Domination Noire 05

Informations sur Récit
La famille Martin, bourgeoises avilies...
4.6k mots
4.67
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3

Partie 5 de la série de 7 pièces

Actualisé 08/16/2023
Créé 05/10/2020
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LucasDehi
LucasDehi
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Quand je ressors de mon orgasme, ma grande fille Juliette me regarde avec un air de total étonnement sur le visage.

- Mais maman qu'est-ce qu'il se passe? demande-t-elle la bouche ouverte de surprise.

Je me remémore la scène à laquelle elle est confrontée à cet instant. Sa mère est attachée sur un fauteuil, nue, avec un vibromasseur posé sur la chatte et elle vient de me voir avoir un orgasme. Tandis que sa petite sœur de 18 ans est en levrette au milieu du salon, en train de gémir sourdement sous les coups de reins d'un gode-ceinture manipulé par une fille de couleur noire inconnue au bataillon.

Leia se précipite et prend la main de Juliette, l'éloignant de la porte. Ma fille se laisse faire, encore trop choquée pour se rendre compte de quoi que ce soit. Leia fait asseoir ma fille sur le canapé.

Juliette, jeune fille de 25 ans est en couple depuis 2 ans avec un gendarme, ils pensent se fiancer, vivant le grand amour. Ma fille ainée, blonde comme sa mère et sa sœur, porte, elle aussi fièrement, une belle paire de seins dont je lui ai fait hériter. Elle est habillée de manière estivale, une jupe par-dessus de fins collants avec un top moulant sa poitrine, que je sais sans soutien-gorge.

- Votre mère a quelque chose à vous dire, par rapport à votre nouveau statut. Déclare Leia, me regardant d'un air lubrique.

Ma respiration s'accélère, les vibrations me maintiennent toujours dans un état indescriptible et mes nerfs sont sur le point de lâcher. Juliette me regarde, le visage rempli d'appréhension. Tandis que Lisa se fait toujours prendre par sa dominatrice.

- Dis-leur ce que tu as fait chienne! ordonne Farida.

- Comment osez-vous lui parler ainsi! réplique Juliette.

Leia s'approche et décroche une gifle à Juliette. Cette dernière trop choquée, ne réplique pas et reporte son regard sur sa mère en se frottant la joue.

- J'ai signé... un contrat... chuchotai-je, le visage rouge.

- Plus fort! gronda Leia.

- J'ai signé un contrat! criai-je. Il stipule que nous sommes toutes les trois leurs soumises... continuai-je, penaude.

Lisa laisse échapper un gémissement plaintif. Farida vient de plonger le gode dans son cul. Juliette est scandalisée et ne parvient pas à comprendre ce que cela implique réellement.

- Votre mère a assisté à la soumission de sa fille et y a même participé. Puis étant aussi salope que sa fille, elle a choisi de se soumettre et par la même occasion, nous livré ses filles. Déclara Leia, un horrible sourire sur son beau visage.

C'en est trop pour Juliette, qui se lève et se dirige vers la porte essayant de fuir cette maison de fous. Mais Leia l'avait vu venir, elle se jette sur ma fille et la plaque sur le canapé. Je voudrais intervenir mais les liens qui me retiennent m'empêchent de me lever. Et une petite voix perverse dans ma tête se demande ce qu'il va advenir de mon ainée à présent...

Leia soulève sa minijupe et découvre ses collants. Elle rugit quand elle remarque que sous son attirail, ma fille ne porte pas de string. Ma pauvre Juliette, non préparée à tant de violence se retrouve allongée sur les genoux de Leia qui abat sa main sur les fesses de cette dernière. Juliette crie à chaque coup, protestant, me demandant de venir l'aider, mais je ne peux qu'assister à la déchéance de ma 2ème fille. Attachée dans mon propre fauteuil, un gode faisant vibrer mon clitoris...

Les fesses de Juliette, moulées dans son collant, sont rouges après maintenant une trentaine de fessées. Ma fille ne proteste plus et pousse des petits cris de douleur à chaque coup. Leia, le regard fou, assène des coups de plus en plus violents sur le postérieur de la jeune fille. Elle déchire alors son collant et atteint sa vulve.

- Espèce de salope! Tu commences à mouiller hein? J'en connais une qui aime ça, recevoir des corrections!

Juliette ne répond pas, les yeux fermés, bouche grande ouverte, tandis que Leia passe ses doigts le long de sa chatte. Elle en enfonce deux, qu'elle ressort immédiatement. Je me rends compte avec étonnement, qu'ils luisent de sécrétion vaginale. Leia me regarde avec un regard triomphant.

- Toi et toute ta famille vous n'êtes que des soumises! Des putes bon marché bonnes qu'à se faire défoncer! Vous inquiétez pas mes chiennes, vous allez en avoir des bites pour vous combler. Dit-elle, folle de luxure tout en agitant ses deux doigts dans le fondement de ma fille, qui a ouvert la bouche, regardant fixement devant elle.

Un bref cri me fait tourner la tête, Lisa est maintenant en train de lécher Farida. La jeune noire est allongée sur le sol et tient la tête de ma fille entre ses mains.

- Vas-y sale chienne. Gémit-elle, complètement excitée. Lèche-moi bien!

Je vois le doux visage de ma fille, déformée par une expression malsaine... Comme si lécher la chatte de sa maîtresse était ce qu'elle aimait le plus.

Cela donne des idées à Leia qui s'allonge sur le sol à côté de Farida et ordonne à Juliette de venir la lécher à son tour. Juliette la regarde elle, puis moi, les yeux ronds, mais tout ce qu'elle voit en me regardant, c'est sa mère qui a de plus en plus de mal à contenir ses mouvements de bassin. Leia la rappelle à l'ordre, et à ma grande surprise, ma fille se lève, jupe tirebouchonnée autour de sa taille par Leia et collant troué donnant vue sur sa chatte ou perle des gouttes de cyprine.

Sans comprendre comment tout ceci est allé si vite, je me retrouve à regarder mes deux filles adorées, à genoux, penchées sur la chatte de nos dominatrices. Leia et Farida gémissent bruyamment et les vulves crachent des filets de mouille sur le visage de leurs soumises. Je gémis moi aussi, la situation trop excitante pour que je puisse me retenir et agite rapidement mon bassin sur le vibro. L'orgasme commun de Leia et Farida déclenche le mien et nos cris se répercutent dans la maison.

Perverses, nos maîtresses ont décidé de nous humilier un peu plus. Lisa assise sur le canapé, les jambes ouvertes, doit se faire lécher par sa propre sœur dont les seins sont apparents après que son haut moulant ait été remonté sur sa poitrine. J'ai été détaché et Leia me force à venir regarder de plus près. Juliette à quatre pattes, les seins qui pendent, promène sa langue sur la fente de Lisa qui essaye de se contenir pour ne pas laisser échapper des gémissements qui seraient la preuve de son plaisir.

Fébrilement, je regarde cette scène d'une perversité sans nom quand je sens quelque chose pointer à l'entrée de ma chatte. Farida, armée de son gode ceinture, est rentrée comme dans du beurre. Preuve de mon état d'excitation... Moi, une femme respectable et respectée, suis en train de me faire baiser tandis que ma grande fille suce sa petite sœur avec un empressement étrange.

Car si au début, Juliette avait protesté face à cet acte contre nature, quelques fessées de Leia l'avait fait changer d'avis. Puis, protestant qu'elle n'y mettait pas assez du sien, Leia l'avait menacée de l'enculer avec l'énorme gode noir. À présent, ma fille suçait vilement le clitoris de sa sœur, le mordillant par instant, ce qui laissé échapper des cris à Lisa.

Des litres de mouilles coulaient de la fente de ma petite fille et salissaient le visage de Juliette.

- Bon on va pas y passer toute la journée! protesta Leia, en appuyant sur la nuque de Juliette.

Lisa, la tête en arrière, la pointe des seins triturées par Leia, se cambra et jouit dans un hurlement de plaisir.

Nos maîtresses ont faim et je dois aller faire à manger, nue bien sûr. Tandis que je suis dans la cuisine à préparer des pancakes, j'entends les cris de mes filles qui doivent subir je ne sais quelles perversions.

Je passe la tête rapidement pour voir ce qui se passe. Lisa et Juliette sont allongées sur la table à manger tandis que Leia et Farida s'amusent à leur introduire toutes sortes d'objets. Des concombres, des carottes, des stylos... Mes pauvres filles subissent ces outrages en poussant des gémissements plaintifs, se tortillant sur la table, mais je ne peux m'empêcher de voir qu'elles ont la chatte trempée...

Les pancakes prêts, je ramène l'assiette dans la salle à manger. Assises chacune sur une chaise l'une à côté de l'autre, Lisa et Juliette se doigtent mutuellement. Je distingue leurs doigts s'agiter dans la fente de l'autre. Je m'arrête, choquée par cette scène mais Leia m'ordonne de leur donner l'assiette, de prendre une autre chaise et d'aller m'assoir à côté de mes filles. Je m'exécute, soumise à son autorité, et déplace la chaise du bout de la table pour la mettre à droite de celle de Juliette.

- Non! Pas ici! dit Farida, tout sourire. Tu vas te mettre au milieu!

Je la dévisage, comprenant la conséquence de cette phrase. Farida me toise d'un regard dur et froid. J'essaye de résister mais je sens ma volonté fondre devant son aura dominante. Je baisse donc la tête et demande à Lisa de décaler sa chaise.

Une fois entre mes filles, nous hésitons toutes les trois. Aucune n'ose faire le premier pas mais Leia, toujours plus perverse, nous menace de divulguer toutes les vidéos si jamais nous osons contredire ses ordres une fois de plus. Nous sommes piégées, et je sens les doigts de Lisa se faufiler entre mes cuisses. Je prends une grande inspiration et fait de même, avançant mon bras gauche vers Lisa et mon bras droit vers Juliette. L'humidité de leurs chattes me trouble. Ce gouinage forcé les exciteraient-elles?

Les doigts de Juliette s'emparent de mon clitoris et commencent à le frotter tandis que ceux de Lisa s'enfoncent dans ma chatte. Voyant qu'il est trop tard pour reculer, je m'active moi aussi sur les fentes de mes filles.

Leia, dégustant son goûter, contemple ses 3 soumises, assises chacune sur une chaise au milieu du salon. Toutes trois nues, les seins lourds, pendant, et les tétons dressés. Un sourire traverse son visage et sa chatte s'humidifie à grand pas.

J'ai la bouche ouverte, j'halète! Les doigts de mes filles se disputent le droit d'investir ma vulve. Jambes grandes ouvertes, mon ventre se soulève et mes tétons sont si durs que j'ai l'impression qu'ils ne rétréciront jamais. Lisa, à ma gauche, gémit sans cacher son plaisir tandis que mes doigts roulent et pincent son clito. Juliette, cheveux en pagaille, le visage rouge, secoue la tête en serrant sa chaise avec sa main libre. J'ai enfoncé 3 de mes doigts dans sa chatte qui bave son jus sur la chaise. Nous avons reçu l'interdiction de jouir...

Farida, prise d'une folie sexuelle, nous fouette les seins tout en criant :

- Bandes de gouines incestueuses, ça vous excite de vous branler comme ça!

Ses paroles me provoquent des spasmes de plaisir alors que Juliette laisse échapper son premier cri.

- Dites-le que vous aimez ça! ordonne Farida.

Concert de gémissements de notre part. Farida me fouette le sein pour me faire parler.

- Oui... J'aime ça maîtresse... Répondis-je, dans un souffle.

Mais Farida veut faire parler toutes ses soumises. Elle fouette mes filles qui crient leur plaisir à l'unisson.

- Je sais bien mes salopes, quand j'ai vu que votre mère nous regardait exhiber sa fille en plein cours, j'ai su que votre famille était une famille de soumise. Il fallait juste quelqu'un pour vous le montrer.

Ses paroles me laissent perplexe. Sommes-nous des putes et des dépravées comme elle dit? Est-il vrai que nous n'attendions que quelqu'un comme elle pour révéler notre vraie nature?

Mais un coup de fouet sur mon sein droit me sort de ma rêverie. Ma fille Lisa, est penchée en avant, n'en pouvant plus. Elle me regarde et je vois dans son regard qu'elle me supplie de la faire jouir. Choquée par cette pensée, ma chatte laisse échapper un filet de mouille sur la chaise. Je me surprends à augmenter le rythme du va-et-vient de mes doigts dans sa chatte. Lisa, pousse un véritable cri de détresse. Leia se rend compte de la situation :

- Tu veux que ta mère te fasse jouir c'est ça? Tu veux qu'elle accélère? demande-t-elle se délectant de cette situation si perverse.

Lisa hoche la tête à toute vitesse, les yeux hors de la tête. Farida éclate de rire et la traite de cochonne. J'ai les yeux rivés sur Leia, attendant son ordre... Elle me fait un signe du menton, m'indiquant de faire jouir ma fille...

Je pince alors le clitoris de Lisa qui part dans un terrible orgasme. Tout son corps tremble tandis qu'elle gueule à plein poumon. Des cris dans mon oreille droite me font tourner la tête, Juliette ma fille de 25 ans vient de jouir d'un orgasme incontrôlé en regardant sa sœur. Faisant cela, elle augmente malgré elle, la pression des ses doigts sur ma chatte et c'est à mon tour d'atteindre le point culminant du plaisir en haletant bruyamment, mon corps s'arquant et projetant un filet de mouille sur le sol.

Nous nous sommes retrouvées dépassées par la situation qui nous a toutes trois excitée à nos dépens. À un tel point que nous avons jouis sous les doigts de l'autre. Les barrières de la moralité sont tombées et je vois bien que Leia pense comme moi, ses yeux scintillants de plaisir et d'excitation.

Nous sommes envoyées à l'étage nous préparer pour la « suite ». Par suite j'ai l'impression que Leia et Farida veulent dire de futures humiliations pour ma famille. Je dois me déshabiller en faisant un strip-tease tandis que Farida, par derrière, me malaxe les seins. Je souffle sous la caresse et mes tétons pointent aussitôt. Je suis affutée d'un porte-jarretelles très sexy acheté au sex shop la dernière fois, mes gros seins pendant dehors tandis que mon attirail laisse un trou pour accéder à ma chatte. Lisa elle, reste nue mais est munie de talons aiguilles. Mon autre fille, Juliette est habillée avec les vêtements les plus sexy de Lisa, une minijupe sans rien dessous et rien en haut, laissant ses beaux seins à la vue de tous.

Durant son effeuillage, Lisa et moi sommes contraintes d'enfoncer nos doigts dans sa chatte encore dégoulinante. Cela donne une idée à Leia qui oblige mes deux filles à s'embrasser sur la bouche. Juliette le regard outré me regarde, refusant catégoriquement de se soumettre à cela. Voyant qu'elles hésitent à exécuter l'ordre donné. Farida pince méchamment leurs tétons et les prend par la nuque, poussant leurs têtes l'une vers l'autre.

Mes deux filles chéries s'embrassent devant moi. Je vois distinctement, la langue de Lisa rentrer et sortir de la bouche de Juliette. Je ne suis pas en reste car Farida et passer derrière moi et me roule les tétons entre ses doigts. Je souffle bruyamment, oppressée par la vision qui s'offre à moi.

- Ça suffit mes chiennes! ordonne Leia. Vous êtes vraiment jamais rassasiée hein!

Mes deux filles baissent la tête, honteuses de se soumettre autant à Leia et surtout de se faire réprimander pour exécuter ses ordres incestueux. Nos dominatrices perverses décident de redescendre, nous tirant par la laisse.

Nous nous retrouvons toutes les trois dans le salon. Nous sommes positionnées à quatre pattes et nous devons déambuler dans notre propre salon, tenues en laisse par Farida pendant que Leia nous tanne le cul avec son fouet, nous arrachant des plaintes. Nos trois paires de seins pendent et balancent au gré de nos mouvements.

Farida s'assoit dans le canapé et nous oblige à lui lécher les pieds et nous nous exécutons totalement soumises à nos dominatrices.

Je ne reconnais plus mes filles chéries... De filles de bonne famille respectable, ces perverses en ont fait des esclaves sexuelles. Juliette semble y prendre plaisir, je la vois sucer le gros orteil de Farida pendant que sa sœur lèche la plante des pieds.

Leia me positionne derrière mes filles et je dois leur lécher la fente ou leur enfoncer mon index et mon majeur. Je m'exécute, rougissante de honte. Mes deux filles ne tardent pas à haleter et gémir comme deux salopes. Gémissements étouffés par le pied de Farida.

Pas en reste, Leia m'enfonce un gigantesque gode noir dans la chatte et l'agite furieusement m'arrachant vite des cris de plaisir. C'est dans un concert de cris et des supplications que la porte d'entrée s'ouvrit soudain.

Moha et Rachid, les deux jeunes noirs qui avaient baisé ma fille et ses copines la dernière fois, entrent alors, poussant Émilie et Chloé. Les deux copines de Lisa sont perchées sur des talons aiguilles de 12 centimètres. Émilie porte une combi-short dévoilant des jambes gainées d'un collant strass et Chloé une robe rouge ultra moulante sur des collants résilles. Elles restent un instant interdit en découvrant la scène. Elles n'étaient pas au courant de ma soumission, ni de celle de Juliette et voir leur prof à genoux, un gode enfoncé dans la chatte, tandis qu'elle a les doigts plongés dans les fentes dégoulinantes de ses filles les laisse pantoises.

Tandis que tout ce petit groupe entre dans mon salon. Je continue d'agiter mes doigts dans la chatte de mes filles. Juliette pousse des petits cris de plaisir en roulant du bassin, les yeux fermés. Ma fille de 18 ans quant à elle, secoue la tête de gauche à droite, pendant que Farida, perverse, lui pince les tétons. Elle lui murmure des obscénités dans le creux de l'oreille et ma fille boit ses paroles, les yeux grands ouverts, rivés sur sa dominatrice. Consternée, je sens de la mouille couler le long de mes cuisses, j'ai peur de jouir sans me toucher...

Moha et Rachid racontent à Leia qu'ils sont passés chercher Chloé et Émilie chez elles. Leurs mères ne comprenant pas pourquoi leurs filles montaient dans la voiture de garçons de couleur noire, et en plus habillées de cette manière.

- Disons que ces bourgeoises n'aiment pas trop les personnes foncées, dit Moha en ricanant.

Il dit cela tandis que Chloé lui suce la bite, avec un regard de soumission totale. Leia rigole et tire sur ma laisse, mes doigts délaissant l'intimité de mes filles qui poussent un cri de frustration à l'unisson. Elle me force à avancer à quatre pattes vers Rachid qui avait déjà sorti sa bite gonflée à bloc.

- Tiens, lui lance-t-elle! T'as pas encore gouté à la bouche de la mère.

Horrifiée, je m'approche de l'énorme engin de Moha qui palpite devant mon visage. Rachid passe le barrage de mes lèvres et m'enfonce sa bite dans la bouche me provoquant un haut-le-cœur.

Leia m'appuie sur la tête pour que je prenne bien en entier la queue de son ami. Celui-ci fait coulisser sa bite entre mes lèvres. Je salive dessus, de la bave coulant sur mon menton. Du coin de l'œil, je vois Émilie et Chloé accroupies sur leurs talons aiguilles, sucer la bite de Moha.

Juliette est courbée en avant sur la table du salon debout sur ses talons aiguilles, jupe tirebouchonnée autour de la taille. Elle se fait défoncer par Farida qui a remis son gode ceinture et la tient aux hanches. Elle lui donne de violents coups de reins, une lueur mauvaise dans le regard. Ma pauvre fille gémit sans discontinuer.

Lisa, le regard fou, les yeux hors de la tête, est doigtée par Leia. Elle est dans l'escalier, debout, appuyée sur la rambarde. De la bave coulant sur les seins, elle assiste à la déchéance de sa grande sœur et de sa mère. Elle ne tarde pas à jouir dans un concert de cris, se tenant à la barre de l'escalier pour ne pas tomber.

Rachid pousse un cri sauvage tout en éjaculant au fond de ma gorge. Je suffoque, surprise par la quantité de sperme mais Leia me caresse les cheveux et m'ordonnant d'avaler. « Comme une bonne petite chienne » précise-t-elle tandis qu'elle me caresse les cheveux comme si j'étais en effet sa chienne. Je me surprends à avaler du mieux que je peux, soucieuse de faire plaisir à ma maîtresse.

Cette dernière tourne la tête et un sourire vicieux éclaire son visage. Chloé et Émilie sont positionnées tête-bêche, Chloé en bas et Émilie en haut. La meilleure amie de ma fille a enfoncé trois de ses doigts dans la fente dégoulinante de Chloé tandis que cette dernière promène la pointe de sa langue le long de la chatte de son amie. Elles poussent des cris aigus. Rachid prend des vidéos, se branlant en même temps, sa queue reprenant déjà une dimension raisonnable.

LucasDehi
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