Domination Féminine à Distance

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Se faire contrôler par sa Maîtresse à 5000 km de distance.
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Nous sommes deux professionnels très sportifs dans le début de la trentaine. Voici une histoire que j'ai écrite pour ma copine et Maîtresse. Nous sommes en couple depuis quelques années maintenant.

Nous nous adonnons parfois à des jeux de domination féminine (FemDom). Aussi, nous faisons du sexe par webcam lorsque nous sommes éloignés l'un de l'autre. Par contre, nous n'avons jamais mélangé le BDSM avec du sexe par internet. Jusqu'à maintenant...

* * *

Tu pars en Europe pour 5 jours, mais malheureusement, à cause de mon horaire chargé, je dois rester à Montréal. Ton horaire ne sera pas très chargé en France, donc en soirée tu vas pouvoir profiter d'une webcam et d'un copain à Montréal pour te divertir.

La semaine avant que ton départ, je n'ai pas été très disponible : longue horaire au travail et je voulais quand même aller au gym m'entraîner. Je me sens un peu coupable avant que tu partes et tu me dis de ne pas m'en faire, que de toute manière je vais être « puni » pour ça. Tu fais un petit sourire qui m'inquiète un tout petit peu.

Cette allusion peu subtile au BDSM m'intrigue : comment peux-tu me dominer avec un océan qui nous sépare? Tu me réponds qu'on avait déjà discuté que la Domination peut être à différents niveaux. On peut attacher la personne, lui mettre un collier au cou. Mais on peut aussi avoir des chaînes plus subtiles. Si une Maîtresse domine vraiment son esclave, celui-ci doit lui obéir, qu'importe les circonstances, longue distance ou pas.

Tu me demandes si j'accepte d'être ton esclave sexuel pendant ton voyage. Je dis évidemment oui avec un grand sourire.

Mais tu en rajoutes : est-ce que je vais être prêt à obéir à toutes tes directives, sans exception? Je dis oui sans hésiter. Je suis plutôt curieux de voir comment tu vas faire ça par webcam. Et de toute façon, c'est souvent moi qui demande à être dominé.

Le lendemain je vais te porter à l'aéroport. On s'embrasse langoureusement avec la langue. À la fin, juste avant de partir, tu me dis avec un petit air conspirateur qu'il y a un sac qui m'attend à la maison, mais que je n'ai pas le droit de l'ouvrir. Et règle numéro un de ma Maîtresse, je n'ai pas le droit de masturber, sauf devant la webcam pour elle.

Je reviens à la maison et je suis plutôt excité. Je trouve un sac de plastique rouge dans le salon avec une serviette bien pliée à côté d'un des murs.

Avec toutes les allusions que tu as faites et le fait que le sac soit rouge opaque, je suis plutôt certain que ça vient d'une boutique érotique. À côté du mur, tu as installé la petite table du salon. Elle n'est pas à sa place habituelle, mais tu as laissé une note de ne pas bouger la table sous aucun prétexte. Intriguant.

Je prends ma douche et j'ai juste le goût de me masturber. Je pense à toi en France. Tu es flambant nue couchée sur un grand lit d'un hôtel luxueux. Tu te masturbes langoureusement. Par contre, je me rappelle que ta première directive était de ne pas me masturber.

J'ai un petit moment de frustration : quand tu vas arriver ce soir, il va être beaucoup trop tard pour se parler par webcam, donc pas de masturbation. Je suis donc forcé de me coucher avec une grosse érection.

Le lendemain on a finalement l'occasion de se parler par webcam. Tu me dis entendre trop bien tes voisins de pallier à l'hôtel, donc tu veux qu'on reste quand même subtil. Tu me dis qu'on peut quand même faire ça sans bruit. Je m'installe sur le lit et je sors ma queue dure.

Tu me fais des clins d'œil avec ton regard de séductrice et je me branle sans arrêter. Plus ça avance, plus je me rends compte que tu vas me montrer seulement ta face. Tu es clairement en train de te masturber, mais je ne peux pas le voir. Est-ce que tu te touches les seins? Est-ce que tu fais rouler tes mamelons entre tes doigts? Ou est-ce que tu es déjà en train de faire des cercles autour de ton clitoris?

Tu es vraiment une agace et ça m'excite encore plus. Tu vois que je suis proche de venir, mais tu me dis subitement d'arrêter!

Ça c'est trop agace! Tu ne m'as jamais fait ça par webcam auparavant. Toi tu continues de te masturber et tu me regardes nu sur le lit avec ma grosse érection. Je te fixe intensément, j'attends juste que tu m'autorises à continuer pour que j'orgasme. Si tu m'autorises seulement 30 secondes de masturbation, c'est sûr que je viens partout sur le lit.

Mais non, tu continues de te masturber en silence. Au bout de quelques minutes, tu fermes les yeux et tu sembles continuer de te toucher, mais encore plus intensément. C'est évident que tu as orgasmé.

Quand tu es finalement satisfaite, tu me souhaites de passer une bonne nuit en souriant. Une autre nuit à passer avec une érection encore plus intense.

Le lendemain, tu fais le même manège. Je m'y attends un peu. Par contre, là c'est plus cruel : tu me laisses me masturber à fond, puis tu me dis d'arrêter. Tu te touches encore 2 minutes, puis j'ai le droit de continuer pour une courte période avant de m'arrêter à nouveau.

Tu me demandes de me pincer les mamelons comme si c'était ta bouche dessus. Tu répètes ça au moins quatre fois, masturbation, arrêt, masturbation, etc. Mes mamelons sont en feu, mais je m'en fou : je vais les arracher vif s'il faut juste ça pour que tu me donnes la permission de venir!

Tu m'arrêtes subitement et tu me souhaites encore une fois de passer une bonne nuit. Mes mamelons sont rendus pratiquement aussi rouges que ma queue.

Au moins, je me couche avec la certitude que demain je vais pouvoir venir parce que tu m'as dit que tes voisins de palier aller quitter pour toute la soirée. On va donc pouvoir être plus vocal et plus torride. Juste avant de m'endormir, j'ai quand même une petite inquiétude : tu m'as demandé si j'étais prêt à tout avant de partir.

Ça m'inquiète un peu, parce que tu sais que suis pas mal partant pour tout ce qui de sexuel avec toi. Donc tu dois avoir un plan particulièrement pervers...

En revenant du travail le lendemain, je reçois un message texte :

" Directive numéro 2 : En arrivant à la maison, met le plus gros butt plug dans tes fesses et va t'entraîner. Je veux t'avoir complètement en sueur."

Je suis tellement excité quand moins d'une minute notre plus gros butt plug est dans mes fesses. Par contre, je me rends compte que c'est assez particulier de s'entraîner avec ça entre les fesses! Je ne peux pas faire un mouvement sans penser à ce qui s'en vient.

Je finis mon entraînement excité et complètement en sueur. À force de faire des push-up et des sit-up, j'ai l'impression que le butt plug est rendu deux fois plus gros dans mes fesses. Je voudrais prendre une douche, mais c'est certain que tu vas me vouloir tout en sueur.

Le moment fatidique arrive : tu m'appelles sur la webcam. Encore une fois, tu me montres seulement ton visage, mais je suis pas mal certain que tu es complètement nue dans ton lit. Tu as mis un maquillage particulièrement séducteur avec un rouge à lèvre de suceuse. Juste à te voir comme ça, j'ai le goût de te prendre dans n'importe quelle position et de ne pas arrêter.

Pas de conversation anodine, tu passes directement aux choses sérieuses. Je dois mettre la webcam sur la petite table près du mur. Par la suite, je dois m'installer complètement nu à quatre pattes sur la serviette. Je m'exécute.

De la façon que tu demandes d'installer la webcam, tu me vois de côté. La sensation est particulière : je me sens assez vulnérable, même s'il n'y a personne d'autre dans la maison. Je commence à être habitué d'être nu pour toi sur la webcam, mais pas dans cette position!

Tu m'ordonnes d'ouvrir le sac rouge : une paire de pinces à mamelons, du gel et un nouveau dildo. Ce dernier doit être aussi long que ton dildo rose de strap-on, mais il est plus gros. Aussi, il y a une espèce de succion à sa base. Je comprends assez vite ton plan. Tu confirmes mon impression : ce n'est pas parce que tu es à l'étranger que tu ne peux pas me défoncer avec ton gros strap-on!

Je ne sais pas quoi répondre et honnêtement, je pense que tu préfères que ton esclave ne dise pas un mot. Ma queue est complètement en érection. En même temps, je suis un peu inquiet : il est vraiment gros le nouveau dildo!

Tu m'ordonnes de l'installer au mur grâce à la succion, juste à la hauteur de mes fesses. Il tient sans problème, à un angle de 90 degrés par rapport au mur.

Tu m'ordonnes d'installer les pinces à mamelons en pensant que c'est ta bouche qui mord mes seins. Je les installe au même niveau de tension que d'habitude, mais la chaîne pend vers le bas et ça tire beaucoup plus. C'est douloureux, mais c'est moi qui te demande habituellement de les mettre, donc j'endure sans rien dire.

Tu m'ordonnes maintenant de m'occuper du dildo comme si c'était ton strap-on. Je dois faire des va-et-vient pour le lubrifié. Il y a quelque chose de vraiment érotique à la scène et j'ai l'impression que tu as commencé à te masturber. Je n'hésite pas de mettre une deuxième couche de gel.   Maintenant, je dois enlever le butt plug et m'installer avec mes fesses qui s'accotent contre le dildo. Tu es à 5000 km de distance, mais je me sens complètement dominé. J'avais beau être en sueur après mon entraînement, là mon cœur bat beaucoup plus vite, tous mes muscles sont tendus. Je sens même que mes fesses sont un peu trop tendues pour ce qui s'en vient.

Tu m'ordonnes finalement de commencer tranquillement à reculer sur ton dildo. Compte tenu de la taille de l'engin, j'y vais beaucoup plus lentement que d'habitude. J'ai l'impression que la sensation est vraiment trop forte. Tu me permets d'arrêter quand j'ai réussi à prendre environ un pouce à l'intérieur.

Je tourne la tête vers toi et là c'est encore plus évident que tu te masturbes en me regardant faire. Par contre, encore une fois, je peux seulement voir ton visage. Tu exprimes un mélange de désir intense avec un pouvoir de domination absolu. J'ai rarement été aussi excité!

Tu m'autorises enfin à toucher à ma queue. Je garde mon équilibre avec une seule main contre le sol, mes abdos qui sont complètement tendus. Ça fait trois jours que je ne suis pas venu. J'ai besoin d'orgasme!

« Arrête! »

Tu veux que je rentre encore un peu du dildo avant de continuer à me masturber. Mes fesses commencent à s'habituer et je rentre un autre pouce avec beaucoup plus de facilité. Ma queue bandée te dit à quel point j'aime ça.

Mais au lieu de me permettre de masturber à nouveau, tu veux que je serre un peu plus les pinces à mamelons. Maintenant c'est mes seins qui brûlent au lieu de mes fesses. Tu me dis à quel point tu me mordrais presqu'au sang si tu étais à Montréal!

Là j'ai le droit de me masturber, mais très lentement. Mes fesses glissent doucement sur le dildo et je dois admettre que la sensation est vraiment incroyable.

Pendant tout ce temps, tu me fixes en te touchant. Je n'ai aucune idée si tu utilises tes mains ou un dildo. Probablement les deux. Tu commences à me dicter le rythme à laquelle le dildo doit faire des va-et-vient. Tu me contrôles complètement.

Des fois, tu me fais aller rapidement. D'autre fois c'est lentement, mais très profond. Tu me demandes d'admettre à quel point j'aime me faire enculer par ton strap-on. Ma respiration est rapide et je réponds « oui » avec difficulté.

Tu veux que je sois plus vocal. Je réponds un « oui » presque bestial en enfonçant un autre pouce dans mon cul.

Tu m'autorises à me masturber, mais seulement à la même vitesse que le dildo rentre dans mes fesses. Je vire fou, je veux venir, mais c'est toi qui contrôle la vitesse et la profondeur de la pénétration. Je sens que tu t'approches de l'orgasme.

J'ai juste le goût de défoncer mes fesses contre le mur pour pouvoir enfin me masturber rapidement, mais ce n'est pas ton plan. Tu me contrôle et tu m'encules selon ton désir.

Tu veux finalement que je rentre le dildo au complet, mais lentement. Très lentement. C'est même une règle stricte. J'y vais vraiment lentement, mais même là, c'est trop vite pour toi. Je ralentis encore plus le rythme. Plus je ralentis, plus ma respiration devient rapide.

La seule chose que je ressens c'est ton énorme dildo dans mon cul. Il s'enfonce de plus en plus profond. Tu me défonces et je laisse échapper un grognement tellement que c'est bon. Juste avant que mes fesses atteignent la base du dildo, je t'entends jouir.

Ton cri de jouissance est juste ce qui manquait : mes fesses se contractent sur le dildo et en moins de dix secondes je répands mon sperme un peu partout. Mes couilles qui débordaient se vident enfin. La sensation de l'orgasme est incroyable et elle se mélange avec l'impression du dildo dans mes fesses et les pinces à mamelons.

Je m'affaisse sur le sol, complètement drainé par mon expérience. Il y a du sperme partout, mais surtout sur mes abdos et sur mon thorax.

Je te regarde et ton orgasme semble avoir été aussi puissant que le mien...

Je regarde autour de moi et la situation est quand même un peu drôle : je suis en sueur, affaissé au sol, seul à la maison, avec un gros dildo couvert de gel attaché au mur et moi qui est couvert de sperme!

De ton côté, tu sembles plutôt fière de ton coup. Ça ne t'empêche pas de rajouter que la règle de la masturbation seulement avec la webcam s'applique jusqu'à ton retour. Cruelle, même quand je suis rendu sur le sol.

Je vais prendre une douche bien méritée et je ne peux pas m'empêcher de penser que dans deux jours, tu reviens à Montréal et que là, ça va être moi qui vais profiter de tes fesses...

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