Domination Familliale 07

Informations sur Récit
La cabane au fond du jardin.
2.6k mots
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32.6k
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Récit n'a pas de balises

Partie 7 de la série de 8 pièces

Actualisé 10/29/2022
Créé 02/04/2008
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jean_yves
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A quelques kilomètres du pavillon des Guillet de Saint-Hilaire se trouve un centre de formation d'apprentis. Les jeunes qui vont étudier dans ce CFA sont en échec scolaire et tente d'apprendre un métier pour pouvoir s'en sortir. Ils habitent tous dans les quartiers « populaires » de Bordeaux mais ils viennent régulièrement le soir déambuler dans les quartiers chics dans l'espoir d'apercevoir une jolie bourge qu'ils pourraient draguer, tout en sachant qu'une fille qui habite dans ce quartier ne s'intéresse pas à des gens comme eux...Mais le destin réserve parfois de drôles de surprises...

Le diner a été servi par Ambre et Sophie, habillées en soubrette, et leurs tourmenteurs se sont régalés. Jean-Yves, toujours attaché à son fauteuil, a de nouveau était le témoin de l'avilissement de sa femme et sa fille qui ont du subir tout au long du repas des attouchements. Chaque fois qu'elles apportaient un plat, Maitre Christian Panaris, Diop et surtout Katia, introduisaient leurs doigts dans leurs chattes et leurs trous du cul...Entre le fromage et le dessert, Sophie a du sucer sous la table Panaris et Diop pendant que Ambre devait lécher la chatte de Katia. Elles ont ensuite débarrassé la table et fais la vaisselle sous la surveillance de Katia qui leur fouette le cul quand elle trouve qu'elles ne vont pas assez vite. Sophie et Ambre ont ensuite été envoyées dans leurs chambres pour s'habiller toujours sous la surveillance de Katia. Sophie revient dans le salon vêtu d'une longue robe noir fendue sur les cotés laissant apparaitre la lisière des bas. On aperçoit à chaque pas l'attache du porte-jarretelles. Elle est perchée sur des talons aiguilles à brides. Un profond décolleté échancré donne l'impression que son opulente poitrine va jaillir de la robe des qu'elle respire. Ambre, elle, est toujours habillée genre « petite fille modèle » mais en plus sexy...Un chemisier blanc transparent portés sans soutien-gorge permet de voir ses seins. Une courte jupe écossaise sur des bas blancs avec des talons aiguilles rouges vernis complètent le tableau...Le jupe est vraiment courte et on peut voir sa fente par moment...Katia a poussé le vice a lui faires des couettes lui donnant un air de petite fille perverse. Les entrainant toutes les deux en dehors du pavillon, Panaris leur expliquent qu'elles vont arpenter le trottoir et se débrouiller pour appâter le client. Sophie rechigne disant que ce n'est pas possible, pas devant leurs respectables voisins.

- Je me fous de ce que pourrais penser de toi tes voisins, ma chérie, si ca trouve parmi eux certains ont envie de te baiser depuis longtemps...

Panaris explique que quand elles auront trouvées un client et qu'elles auront discuté tarif avec lui, elles l'emmèneront dans la cabane au fond du jardin qui sert de débarras pour ranger les outils de jardinage de Diop et que celui-ci a déjà aménagé en petite chambre avec un matelas posé a même le sol...Sous la surveillance de Katia, qui s'y connait et pour cause, Sophie commença a marcher sur le trottoir, ondulant de la croupe, ses talons claquant sur le bitume, croisant sa fille qui part avec Diop sur le trottoir d'en face...

Jean-Yves a été détaché et emmené dans le jardin pour qu'il puisse assister aux premier pas dans la prostitution de sa femme et sa fille. Diop l'a bâillonné avec une paire de bas de sa femme roulée en boule qu'il a enfoncé dans sa bouche et qu'une autre paire nouées autour de la tête maintient solidement. Tout ceci afin qu'il ne puisse pas ameuter les voisins. La grille est ouverte et il peut voir passer sa femme et entendre les conseils de Katia, qui lui dit de bouger son cul en marchant. La nuit est tombée mais les réverbères illuminent le quartier presque comme en plein jour. Il frémit en entendant des voix qui se rapprochent...

- Eh les mecs, regardez, je rêve ou quoi?

Un des jeunes apprentis du CFA qui vient de poser cette question n'en revient pas en découvrant cette femme qui pourrait être sa mère (sauf que sa mère est moche et grosse en tous cas c'est ce qui dit son père) qui vient vers le groupe d'une démarche ondulante suivi par une autre fille qui leur parait plus jeune. Katia les interpelles.

- Eh les jeunes, ca vous dirait de vous taper une bourge...

Les apprentis regardent la femme avec des yeux ronds n'en croyant pas leurs oreilles.

- C'est sérieux? demanda un des jeunes, interloqué.

- Très sérieux, cette bourge est une salope qui veut se faire baiser par des petits jeunes comme vous.

Sophie rougis en entendant cela mais elle ne proteste pas.

Pour leur monter qu'elle est sérieuse, Katia contraint Sophie à s'agenouiller sur le trottoir devant eux. Un des jeunes s'avance vers elle et sort sa bite gonflée a bloc. Il l'approche du visage de cette femme si belle dans sa robe de cocktail.

Katia appuya fermement sur la nuque de Sophie. Elle pencha la tête et aspire la bite de ce jeune qu'elle ne connaissait pas 5 minutes avant. Sa pine s'engouffre dans la bouche de Sophie qui réprime un haut le cœur. Elle sent que des mains avides saisissent ses seins dans son décolleté, les triturant sans aucune douceur, elle pousse un gémissement quand elle sent qu'on lui pince les tétons. Un des jeunes fit le tour, souleva la robe et enfonça ses doigts dans son vagin dégoulinant.

- Elle mouille cette salope.! S'exclama-t-il.

Sophie pompe la bite du jeune homme, il donne des coups de reins pour s'enfoncer encore plus loin. Katia relève Sophie sous les exclamations déçues des jeunes.

- Si vous en voulez plus, il faut payer les gars.

- Combien? demandèrent-ils en lorgnant Sophie Guillet de Saint-Hilaire avec avidité.

- 50 Euros.

Sophie ne connait pas les tarifs d'une prostituée « normal » mais elle se doute bien que cela va au delà des 50 Euros...Non seulement elle est contrainte de se prostituer mais elle l'est au rabais! Le comble de l'humiliation...

Les cinq jeunes fouillèrent dans leurs poches et arrivèrent à réunir la somme. Katia encaissa et les fit rentrer dans le jardin les dirigeants vers la cabane du jardinier. Ils ne virent pas Jean-Yves dans le fond du jardin. Katia poussa la porte les faisant rentrer. Sophie se retrouva à quatre pattes sur le matelas, la robe troussée. Elle sentit que des mains la prenaient aux hanches et un sexe dur et épais s'engouffrai dans son vagin lui faisant pousser un petit cri bref. Le jeune homme entama un va et vient rapide faisant claquer son ventre contre ses fesses dodues. Elle poussa un gémissement en sentant la bite qui la limait. Une main la tira par les cheveux et une bite se présenta devant sa bouche.

- Suce salope!

Docile, elle ouvrit la bouche et la queue la pénétra. Elle commença sa caresse buccale avec application pendant que ses seins gigotaient dans tous les sens sous les coups de boutoir du jeune qui la pilonnait avec brutalité. Le gland de celui qu'elle suce heurte son palais et il s'enfonce plusieurs fois aussi loin qu'il le peut manquant de l'étouffer. Des larmes lui viennent aux yeux. Celui qui la baise donne des coups de reins de plus en plus violents et il lâche soudain des torrents de sperme dans son vagin en poussant un râle de plaisir. Celui qu'elle suçait se déversa sur son visage, des trainées de sperme chaud giclant sur ses lèvres pulpeuses coulant sur son menton. Ils se retirèrent tout de suite mais ils furent remplacés immédiatement par les trois autres. Elle fut prise ainsi plusieurs fois, par tous les trous. Enculées, baisées, contraintes de sucer. ..Tous ses orifices furent explorés, pénétrés avec méchanceté par ces jeunes trop heureux de l'aubaine...

Pendant que sa mère se fait sauter dans la cabane au fond du jardin, Ambre a été emmenée un peu plus loin, dans une ruelle ou peu de personne mettent les pieds. Diop qui connait l'endroit a eu l'idée des qu'il a eu Ambre en charge. C'est le coin des SDF, des sans domicile fixe comme dont dit aujourd'hui, on disait autrefois clochards ou une cloche...2 SDF sursautent, déranger pendant qu'ils cuvent le vin qu'ils ont bu dans la journée en entendant les talons aiguilles de Ambre qui résonnent dans la ruelle. Elle hésite et supplie Diop en voyant les SDF mais celui ci impitoyable la contraint à avancer. Les deux SDF restent allongés par terre, après des années de galère dans la rue peu de chosent peuvent encore les surprendre mais la...Bien entendu, ils ne peuvent pas payer mais Diop, grand Seigneur, a décidé de leur offrir Ambre...Il soulève la jupe d'Ambre dévoilant la chatte aux deux SDF qui pour le coup réagissent...Ils se relèvent péniblement, l'esprit un peu embrumé par l'alcool. Ambre frémit en les voyant s'approcher d'elle sous les encouragements de Diop qui « vend » sa marchandise.

- Venez les gars, vous pouvez toucher, elle n'attend que ca, venez vous vider les couilles, c'est gratos!

Ambre failli vomir en sentant l'odeur écœurante qui se dégage des deux hommes. Elle resta muette d'horreur quand un des SDF saisi son sein gauche a pleine main a travers son chemisier. Le deuxième homme s'est agenouillé et il regarde de prés la chatte d'Ambre n'osant pas toucher. La reniflant...Ambre, des sanglots dans la voix, supplie...

- Oh non, Diop, je vous ferais tout ce que vous voudrez, mais je vous en supplie, pas eux...

- Eh pourquoi pas? Ce n'est pas parce qu'ils sont exclus par la Société notamment par des bourgeoise comme toi et ta mère qu'ils n'en sont pas moins des hommes ...

Un des SDF, celui qui reniflait la chatte d'Ambre, lui enfonça son index et son majeur et commença à les faire coulisser...Diop déboutonne le chemisier d'Ambre faisant saillir sa poitrine. Le SDF s'empresse de lui sucer les seins avec avidité...Lui pinçant les tétons avec ses dents faisant couiner de douleur Ambre. Celui qui la masturbe enfonce ses doigts de plus en plus loin et de plus en plus vite, la fente dégoulinante d'Ambre fait un bruit de clapotis...Les deux hommes extirpent leurs membres impressionnant de leurs pantalons...Diop contraint Ambre à s'agenouiller sur les pavés humides de la ruelle et elle a mal aux genoux. Elle repousse la tête en arrière en sentant l'odeur qui se dégage de leurs sexes tendus...Elle émet une protestation vite étouffée par le membre qui pénètre sa bouche...Le SDF lui agrippe les couettes et fait coulisser sa bite entre ses lèvres. Elle alterne entre les deux SDF, les suçant à tour de rôle ...

Maitre Panaris arrive suivi de Jean-Yves, toujours bâillonné, dans la ruelle. Il pousse un gémissement sourd en découvrant sa fille en train de faire une pipe a ces deux SDF...Ila déjà vu sa femme se faire baiser a la chaine dans la cabane par ces jeunes qui semblent infatigable (privilège de la jeunesse) et qui la défonce par tous les trous. Les yeux exorbités, il observe sa fille en train d'administrer une fellation à ces deux hommes, repoussant de saleté. Ambre, une queue dans chaque main, les branlent et leur suce le gland...Diop la relève soudain et l'entraine vers une poubelle dans le fond de la ruelle, elle manque s'affaler a cause des talons aiguilles qui glissent sur les pavés. Il la courbe sur la poubelle exposant ses fesses fermes aux deux SDF qui s'empressent de les malaxer...Les seins écrasés sur le couvercle...N'en pouvant plus, un d'entre eux, la pénètre de toute sa longueur faisant crier Ambre. Il l'agrippa aux hanches et commença à la pilonner à grand coups de reins. La poubelle, sur roulette, avance toute seul sous les formidables coups de bites du SDF qui a de la ressource...L'autre SDF, a coté, attends son tour en se branlant, le diamètre de sa bite est également très impressionnant...Celui qui bourre Ambre en ahanant et en soufflant comme une bête se retira de son vagin et éjacula, libérant des trainées de foutre sur le cul d'Ambre. Prostrée, Ambre reste courbée sur la poubelle...Diop la relève et l'oblige à s'empaler sur la bite dressée du deuxième SDF qui s'est allongé par terre...Elle pousse un cri en sentant la colonne de chair la pénétrée et elle fait la grimace...L'homme commence a lui donner des coups de reins et d'elle-même elle entame un va et vient faisant coulisser la queue dans sa chatte...Ses seins sont secouées par les coups de boutoir de l'homme. Panaris prends des photos pour son album dit il en regardant Jean-Yves...Il l'a contraint à sortir sa queue et a se masturber en regardant sa fille se faire humilier dans cette ruelle sordide...

Le SDF se dégage et s'emparant de ses seins, il coince sa bite entre les deux globes de chair faisant coulisser sa queue...la frottant contre les masses chaudes...A chaque va et vient, Ambre doit téter le gland du SDF...il ne tarda pas a éjaculer, aspergeant le visage d'Ambre de son foutre...Au même moment, Jean-Yves éjacula, en poussant un cri rauque, souillant les pavés de la ruelle de son sperme...

Sophie Guillet de Saint-Hilaire vit un véritable calvaire dans la cabane...Après avoir subi le ramonage des ces cinq jeunes, Katia a continué de lui trouver des clients et ce qu'elle redoutait le plus est arrivé...Un de ses voisins, le mari d'une femme austère, qui travaille au Cabinet du Maire a accepté de payer...A genoux, Sophie est en train de se faire enculer par cet homme qu'elle connait depuis longtemps, qu'elle croise tous les matins, qui a déjà été invité chez elle et elle chez eux....Jamais elle n'aurait cru qu'il rêvait de la baiser comme il était en train de le faire en ce moment. Il la besogne comme une brute. Il a tout de suite voulu l'enculer. Quand il l'a pénétrée, Sophie a poussée un hurlement strident. Katia lui a immédiatement fessé le cul...Elle sent la bite coulisser dans l'étroit boyau...l'homme est petit et gros, toute le contraire de sa femme, grande, élancée, cette quinquagénaire occupe des fonctions importante a la Mairie de Bordeaux ou elle est directrice de cabinet. Sophie est poussée en avant par chaque coup de boutoir de l'homme, son gros ventre claque contre ses belles fesses...C'est dans cette position que Jean-Yves découvre sa femme...Il reste stupéfait en reconnaissant son voisin. Il n'en revient pas ; Lui! Un homme si respectable...L'homme si « respectable » a tournée le visage ravagée de Sophie et se masturbe au dessus d'elle...Elle reçoit des giclées de sperme blanchâtre sur son nez, sa bouche, son menton ...Le gros homme se relève et dévisage Jean-Yves avec un air goguenard...

- Eh bien mon chère Jean-Yves, je n'aurais jamais cru que ta femme était aussi salope...Et tu a l'air de ne rien trouver à y redire...

Il ne semble pas plus surpris que ca de le voir bâillonné...

Il découvre Ambre, le visage barbouillé de sperme et comprend qu'elle aussi vient de se faire baiser. Il se tourne vers Katia et Panaris.

- Je ne sais pas trop ce que se passe ici mais je m'en fous, tout ce que je veux c'est pouvoir continuer à baiser cette chienne et devant cette lopette dit-il en désignant Jean-Yves.

- Pas de problème, tant que vous payer, lance Panaris.

L'homme sort de la cabane en se rajustant et se dirige tranquillement vers la demeure familiale distante de quelques mètres.

Considérant que la nuit avait assez rapporté d'argent et qu'on ne trouverait plus personne a cette heure avancée de la nuit, Panaris décide de retourner dans le pavillon afin de se reposer. Ambre, Jean-Yves et Sophie, la tête basse les suivent sans dire un mot...

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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 4 mois

Je trouve l'idée de mettre ambre et Sophie sur le trottoir devant chez elles super excitant .

Un professeur d'ambre pourrait passer et profiter de l'occasion pour sauté ambre contre le mur de clôture et proposer des nouveaux clients et pourquoi pas inscrire ambre à un cours de partouzes à travers l'histoire

AnonymousAnonymeil y a 6 mois

Peut-être par la suite ambre pourrait faire le trottoir devant chez elle et être loué par un ami de la famille pour une partouzes

AnonymousAnonymeil y a environ 2 ans

Je trouve que d'offrir ambre au SDF est bonne idée dommage qu'il n'y avait pas un chien ou un foyer pour SDF

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