Devenir la pute du jeune voisin

BÊTA PUBLIQUE

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Il se lève et j''entends des bruissements. Je suppose qu'il s'habille. Il quitte la pièce sans un mot. Je ne sais pas qui il était, et la seule trace de sa présence est son sperme qui coule de ma chatte sur les draps.

Eric revient alors dans la chambre et il m'enlève le bandeau. Immédiatement je commence à me mettre en colère pour avoir laissé un de ses amis me baiser. Mais il me répond que si je le prends comme ça, nous pourrions demander à mon mari Jean de visionner certains des films qu'il a réalisé au cours de ces dernières semaines. Je sais à ce moment-là que j'ai laissé tout ça aller trop loin et que je suis prise au piège. Si mon mari voit ces films, il me quittera sûrement.

Alors qu'Eric se dirige vers la salle de bain, il me dit avec désinvolture que l'homme n'était pas un de ses amis, mais seulement un client. J'ai alors l'estomac serré, Eric ne me partage pas, il me vend à des étrangers. Je suis vraiment devenue sa pute.

Eric revient avec un rasoir à la main. Il m'explique que son client s'était plaint que je sois trop poilue. J'essaie de discuter en soutenant que Jean va savoir qu'il se passe quelque chose. Mais Eric me dit de rester tranquille ou il risque de me couper. Il me dit de dire à mon mari que je l'ai fait pour lui. Je suis vraiment gênée d'être allongée là, à le regarder me raser la chatte qui va sûrement encore vendre à d'autres étrangers. Quand il a fini, il me libère pour que je puisse prendre une douche. Je remarque que son caméscope est encore en train d'enregistrer, donc je pense qu'il y a moyen de savoir qui vient de me baiser.

Je suis bien sous la douche, mais il va falloir bien plus qu'une douche chaude pour laver cette sensation de souillure de mon corps. C'était déjà trop d'être le jouet sexuel d'un adolescent voisin, mais à partir d'aujourd'hui je suis sa pute. Des larmes commencent à couler sur mes joues alors que je me frotte vigoureusement pour essayer de me sentir plus propre.

Quand j'ai fini, Eric me fait changer les draps et m'allonger, puis il me remet les menottes. Enfin il me met le bandeau. Je lui demande pourquoi j'en ai besoin et il m'explique que ce n'est pas pour moi, mais plutôt pour les clients qui peuvent ne pas vouloir être reconnus.

J'ai trois visiteurs de plus ce jour-là, chacun différent du précédent. Une chose qu'ils ont tous en commun c'est qu'ils utilisent des préservatifs et qu'ils aiment tous les vider sur mon visage ou dans ma bouche lorsqu'ils ont fini avec moi. J'entends aussi beaucoup de cliquetis, je suis sûre qu'ils prennent des photos de moi avant, pendant et après qu'ils m'ont baisée. J'en parle à Eric, mais il ne semble pas s'en soucier.

A la fin de la journée, je suis fatiguée et endolorie. J'ai été baisée plusieurs fois dans tous les trous possibles et je dois maintenant me dépêcher de nettoyer la maison et préparer le dîner avant que Jean ne rentre à la maison. Ce soir-là, mon mari me pose des questions sur ma journée et je lui ai dit que la journée avait été calme. Il me suggère alors de trouver quelque chose pour m'occuper. S'il savait!

Je me résigne à l'idée qu'Eric peut faire ce qu'il veut de moi. Si je me rebelle, il montrera à mon époux sa vaste collection de films où je suis baisée par de nombreux hommes différents. Il risque aussi de montrer tout ça à tous les gens que je connais et ça mettra définitivement fin à mon mariage et à ma vie sociale. Par contre, si je coopère, le garçon s'attend à ce que je baise et suce tout homme qu'il m'envoie tout en étant filmé en détail, la vidéo s'ajoutant à la collection déjà trop vaste d'images de « sa petite pute ». Quel choix ai-je?

Je ne sais pas comment Eric contacte ses clients. Mais même s'il s'agit de mon imagination, j'ai l'impression que beaucoup d'hommes et maris du quartier me traitent différemment, pas de mauvaise façon, mais comme s'ils me connaissaient mieux qu'avant. Comme je l'ai dit plus tôt, c'est probablement ma conscience coupable qui me joue des tours. Quoi qu'il en soit, Eric n'avait pas de mal à trouver des hommes prêts à le payer pour mes services. Ce petit con s'enrichit à mes dépens.

Les visites à la maison se poursuivent. Je suis toujours attachée et les yeux bandés. Je réalise plus tard que c'est parce que je risque de reconnaître ces hommes comme les maris de mes amies et voisines.

Mais récemment, Eric veut élargir mes services en m'envoyant dans des villes voisines pour rencontrer des clients ayant réservés dans des endroits de leur choix. Ça me donne au moins l'occasion de découvrir ce qu'Eric facture pour mes services, cent euros pour baiser ma chatte, soixante-quinze pour mon cul et cinquante pour une fellation. Ce petit enfoiré gagne beaucoup d'argent.

Eric m'a acheté une nouvelle tenue pour ces excursions : un string en dentelle blanche avec un soutien-gorge à balconnets assortis, une jupe bleu marine beaucoup trop courte, un chemisier blanc, une veste bleu marine assortie à la jupe et des chaussures à talons hauts. Une fois habillée, je ressemble exactement à ce que je suis, une pute. Il faut que je me change toujours avant d'atteindre ma destination. Je ne m'inquiète pas des hommes du quartier qui savent ce que je suis, mais je ne peux pas laisser leur femme me voir dans cette tenue de travail.

Eric me fournit un téléphone portable jetable pour rester en contact avec moi et me faire savoir où se trouve mon prochain rendez-vous. Il me dira toujours ce que l'on attend de moi afin que je puisse facturer mes services à l'avance.

C'est mon premier voyage et je suis nerveuse. Je suis la pute d'Eric depuis un moment déjà, mais je l'ai toujours fait dans ma propre maison. Maintenant je dois aller dans un endroit inconnu pour rencontrer des étrangers et les laisser coucher avec moi.

En arrivant chez mon client, je ne peux pas m'empêcher de remarquer que sa maison est belle. Évidemment le propriétaire a de l'argent. Mes mains sont moites alors que je m'approche et que je frappe à la porte. Un homme aux cheveux gris ouvre la porte et m'inspecte avant de me faire entrer. Il me dit qu'il s'appelle Jean. Mon cœur s'arrête presque, mais je réalise qu'il s'agit d'un prénom commun. Il me conduit au salon où il me fait signe de m'asseoir avant de me servir un verre. Assis sur le canapé je montre plus de cuisses que je ne le voudrais, mais je me rappelle que bientôt cet homme va me voir totalement nue. Il me tend une enveloppe avec cent euros. Puis il me suggère de finir mon verre avant que nous commencions.

Il me conduit dans des escaliers et une chambre d'amis. Elle est très agréable, bien décorée, mieux qu'à ce que je pensais, avec un grand lit contre le mur. Jean me demande de me déshabiller lentement.

J'enlève d'abord mes chaussures et ma veste, puis je défais lentement mes bas l'un après l'autre. Mon chemisier a six boutons alors j'enlève chacun d'eux en faisant une pause entre eux. Je plie ensuite soigneusement mon chemisier et je le place sur une chaise à côté du lit. Ma jupe a une fermeture éclair dans le dos et un bouton. Je les défais pour permettre à la jupe de tomber à mes pieds. Je me penche avec mon cul face à Jean et je prends mon temps pour la ramasser, la plier et la mettre sur la chaise. Je défais mon porte-jarretelles et je l'ajoute à ma pile de vêtements. Je dénoue ensuite mes longs cheveux brun foncé et je les laisse tomber sur mes épaules. Je me lèche les lèvres en approchant de Jean et je mets une main dans le dos pour dégrafer mon soutien-gorge tout en le tenant de l'autre main. Petit à petit, je laisse le soutien-gorge glisser vers le bas et exposer mes seins fermes à mon client. Je jette le soutien-gorge sur mes autres vêtements et je fais un pas vers Jean cette fois-ci en glissant mes doigts dans l'élastique de mon string. Alors qu'il a les yeux rivés sur mon entrejambe, je commence à faire glisser le string le long de mes cuisses et de mes jambes jusqu'à ce qu'il soit à terre. Une fois de plus, en me tournant, je me penche à la taille pour récupérer le sous-vêtement et j'expose mon cul et ma chatte. A la bosse dans son pantalon, il est évident que l'homme apprécie mon strip-tease.

Il me fait signe d'avancer jusqu'à lui. Mes seins touchent presque son visage. Il en prend un dans sa bouche alors qu'il pétrit l'autre avec la main. Son autre main se fraie un passage entre mes cuisses, jusqu'à ma chatte humide. Je laisse échapper un petit gémissement tandis que son doigt glisse dans mon sexe. Je commence à défaire ses vêtements alors qu'il explore mon intimité. Bientôt il se lève pour me permettre de lui ôter totalement ses vêtements que je plie et pose sur la chaise. Jean est un homme beaucoup plus âgé que moi, presque le double de mon âge, mais il est attirant. Il possède une bite de bonne taille qui est bien dressée. Je peux d'ailleurs voir du liquide pré-éjaculatoire suinter sur son gland. Je l'enlève avec mon doigt et en regardant l'homme dans les yeux, je l'essuie sur mes lèvres avant de les lécher.

Jean pose ses mains sur mes épaules et applique une petite pression pour me faire savoir qu'il veut que je suce sa bite. Mais je lui dis qu'il n'a pas payé pour ça. Alors il attrape son pantalon, sort son portefeuille et me tend 200 euros de plus. Je fourre l'argent dans l'enveloppe et je lui souris. Je lui dis alors que je suis à lui pour les prochaines heures.

Je suppose qu'il est un peu nerveux parce que pendant que mes lèvres glissent le long de sa bite, il m'explique qu'il n'a jamais fait ça auparavant et que sa femme est absente pour la semaine. Mais il ne faut pas longtemps avant qu'il se détende et commence à profiter de ma bouche experte sur sa queue.

Après quelques minutes seulement il se crispe, ses jambes tremblent et il décharge son sperme chaud dans ma bouche. J'avale jusqu'à la dernière goutte et je lèche bien sa queue et ses couilles comme je suis formée à le faire. Une fois qu'il a repris son souffle, il commence à s'excuser d'avoir joui dans ma bouche. Je lui explique alors que tout va bien et que j'ai apprécié.

Il me faut un peu de temps pour le faire bander à nouveau, mais sa bite revient à la vie et se tient bientôt au garde à vous comme un soldat. Quelques minutes plus tard, il est au-dessus de moi, sa bite recouverte d'un préservatif fermement implantée au fond de ma chatte. Ses mains et sa bouche explorent mon corps. Il commence à me baiser dans un rythme lent et régulier, faisant de son mieux pour partager le plaisir qu'il éprouve. Il finit par me provoquer un orgasme agréable, pas puissant, mais très agréable. Rapidement il jouit lui aussi en éjaculant dans le préservatif. Finalement, il laisse son corps reposer doucement sur le mien. Nous restons un petit moment ainsi tandis qu'il caresse mes seins. Puis nous nous levons, je vais prendre une douche rapide et je m'habille.

Je demande à jean s'il y a autre chose que je peux faire pour lui et il me dit qu'il en a eu pour beaucoup plus que son argent et il me remercie. Je lui fais un baiser sur la joue et je pars. Une fois dans ma voiture je téléphone à Eric comme il me l'avait ordonné. Il me dit alors que j'ai un autre rendez-vous dans une heure et il me donne l'adresse.

En arrivant au lieu indiqué, je vois qu'il s'agit d'une maison de classe moyenne dans un environnement dans lequel je me sens plus à l'aise. Malheureusement cette visite allait être moins agréable que la dernière. L'homme qui m'ouvre la porte est grand et mince. Il doit avoir la quarantaine. Sa maison est en désordre et lui n'est pas mieux.

Il me dit de me débarrasser de mes vêtements et me donne 75 euros. Je me déshabille et il me fait m'agenouiller au milieu de la pièce. Il met alors du lubrifiant sur son sexe et il commence à le forcer dans mon cul. Sa queue est assez longue et en quelques secondes, je suis fermement empalée. Il commence à me baiser rudement comme si je n'étais qu'une simple poupée gonflable. Après quelques coups de rein, il commence à me gifler le cul assez fort pour vraiment me faire du mal. Il me tire aussi par les cheveux en me traitant de pute et de salope. Après presque une demi-heure de sodomie sauvage, il jouit finalement dans mon cul. Puis il se retire et essuie sa bite sur mes fesses.

Je m'habille le plus rapidement possible et il me dit de sortir de chez lui. Je suis contente de lui obéir. Une fois dans la voiture, je nettoie et je défroisse mes vêtements autant que possible avant d'appeler Eric. Celui-ci me dit de rentrer chez moi, car mon prochain client ne sera que dans l'après-midi.

Quand j'arrive à la maison, je suis heureuse de constater qu'Eric n'est pas là. Dix minutes plus tard, alors qu'il n'est pas encore arrivé, je décide d'aller prendre une douche en l'attendant lui ou mon prochain client.

L'eau chaude me fait du bien. Elle frappe mon corps nu et je souhaite qu'elle puisse effacer la sensation de saleté qui recouvre maintenant tout mon corps. Physiquement je suis propre, mais mentalement je ne suis qu'une sale pute. Quand j'ai fini de me doucher, je sors et je me sèche en réfléchissant sur mon sort. Je me regarde dans le miroir et je me demande ce qui est arrivé à la femme que j'étais. Je me maquille et j'enfile un string et un soutien-gorge en dentelle. En me regardant de nouveau dans le miroir, je me dis que tout homme devrait être heureux d'avoir à faire avec moi. Cela renforce en bien mon image que je voyais de plus en plus négativement.

Un peu plus confiante, je retourne dans la chambre. Tout est clame dans la maison. Mais quand j'entre dans la pièce, je me fige, mon cœur fait un bond dans ma poitrine et je reste bouche bée. Il y a un homme assis sur la chaise dans le coin. C'est Jean, mon mari. Il n'aurait pas du être à la maison avant quatre heures. Il est évident d'après le regard sévère sur son visage que j'ai des ennuis. J'essaie alors de parler, mais tout ce que j'arrive à dire sont des babillages sans aucun sens. J'avance lentement et je m'assois sur le bord du lit. Je me mets alors à sangloter de façon incontrôlable. Jean me laisse le temps de me calmer avant de commencer à parler.

D'une voix sévère, mais étonnamment calme, il me dit que nous devons discuter. Il me dit qu'il sait ce qu'il se passe, mais qu'il veut que je lui raconte moi-même toute l'histoire. Sur le moment je crois que je voudrais mourir sur place. Puis je me rends compte que je suis prise et qu'il n'y a plus de sens à lui mentir.

Jean s'assoit tranquillement alors que je lui raconte les évènements de la journée du printemps dernier lorsque ma voiture ne démarrait pas et comment Eric m'avait violée dans le salon, puis dans la chambre, et qu'il avait couché une troisième fois avec moi. Jean m'interrompt et demande pourquoi je ne qualifie pas la troisième fois de viol. La tête basse, incapable de le regarder dans les yeux, j'admets que la troisième fois n'est pas un viol, car je voulais que ça se produise. Je continue mon histoire en racontant la façon dont Eric m'a utilisé comme son jouet sexuel en me baisant dans notre propre lit, puis comme il a commencé à me vendre comme une pute bon marché.

Les larmes coulent sur mes joues alors que j'avoue mon infidélité à mon mari. Quand j'ai fini, il se lève et essaie d'essuyer mes larmes, mais il ne réussit qu'à étaler mon maquillage frais sur mes joues. Il me dit d'aller me nettoyer et de me reposer pour aujourd'hui. Il me dit qu'il a des affaires à régler, mais qu'il sera à la maison pour le dîner et qu'il s'attend à un bon repas ce soir-là. Il part alors. Je me nettoie et je finis de m'habiller.

Je trouve le temps long, Jean est parti depuis longtemps. J'ai peur qu'il s'en prenne à Eric et qu'il soit blessé. Je passe le temps en préparant son repas préféré sans savoir si ça va être notre dernière soirée ensemble. Lorsque j'entends sa voiture entrer dans l'allée, je soupire de soulagement. Jean entre dans la maison et demande nonchalamment sir le dîner est déjà prêt.

Nous nous mettons à table et nous avons un repas plus calme que d'habitude. John accapare la conversation sans parler de ma situation. Après le dîner, nous prenons quelques verres de vin qui me détendent. J'étais beaucoup trop nerveuse pour manger beaucoup, même si mon mari a essayé e me convaincre de manger plus que cela. Quand nous avons fini, je nettoie la table et je mets la vaisselle dans le lave-vaisselle, puis je rejoins mon mari dans le salon.

Pendant quelques minutes, je reste juste assise, penaude, sans dire un mot, attendant que Jean commence à me parler. Il me dit alors calmement que je dois être curieuse de savoir comment il avait découvert la situation. Je hoche la tête, bien sûr cette pensée m'avait traversé l'esprit. Il s'avère alors que l'un de mes premiers clients lorsque j'avais les yeux bandés était Kévin S. C'est un de nos voisins et un ami de mon mari. Il avait appelé mon mari , car il voulait qu'ils se rencontrent. Ils se sont vu au domicile de Kévin qui a expliqué avec tact à mon époux comment il avait été en contact avec un jeune homme qui pouvait organiser des rendez-vous sexuels avec une jolie femme pour un prix raisonnable.

Quand il a découvert que c'était moi, une femme qu'il voyait souvent marcher dans la rue, une femme qu'il convoitait, il a donné son accord. Mon mari me dit qu'il a commencé à décrire à quel point j'étais belle, allongée nue, les yeux bandés et les mains menottées. Mais Kévin s'est rendu compte qu'il ne devait peut-être pas trop décrire le moment à Jean. Alors il s'est excusé à nouveau et lui a dit à quel point il se sentait mal ensuite. Mon mari lui a demandé si ça valait cent euros et Kévin s'est contenté de sourire. Puis il a expliqué que ça lui avait en fait coûté cent vingt euros, parce que quelques jours plus tard Eric lui avait vendu un DVD de son rendez-vous. Jean lui a demandé de voir le film.

Ils sont restés assis comme deux copains regardant un match de football, mais en fait, à l'écran, c'était moi qui étais baisée par Kévin. La qualité n'était pas très bonne, mais c'était suffisant d'un petit caméscope sur la commode. Mon mari me raconte la vidéo. Il voit Kévin se déshabiller et me grimper dessus. L'homme joue avec mes seins et ma chatte, puis il guide sa bite en moi. Mon époux me dit que le gémissement que j'ai poussé à ce moment-là était très sexuel presque autant que les grognements que j'ai émis pendant que notre voisin me baisait. Il poursuit en me disant qu'il a aimé particulièrement la partie où je nettoie sa bite et aspire tout le sperme la recouvrant. Quand Jean était sur le point de quitter sa maison, Kévin s'est excusé de nouveau en lui proposant de lui donner le DVD. Mais mon mari lui a dit de le garder.

A ce stade, je ne peux vraiment rien dire. Je suis totalement à la merci de mon mari. Il m'explique alors que je n'aurais plus à me soucier d'Eric. Il a stoppé les agissements de l'adolescent, mais malheureusement il n'a rien pu faire pour les DVD. Apparemment le jeune garçon les a vendus dans tout le quartier. Jean me dit qu'il lui a affirmé avoir gagné plus d'argent avec les films qu'avec mon cul. Mais Jean me dit qu'il a le reste du stock dans sa voiture.

Il m'explique qu'après avoir découvert ce qui se passait, il a appelé un ami qui est inspecteur de police. Il a arrêté Eric et apparemment il a plus qu'assez de preuves pour l'envoyer en prison pour plusieurs années. Toutefois Jean a fait une offre au jeune garçon. Soit il va en prison pendant de nombreuses années et les autres prisonniers seront contents d'avoir un jeune violeur comme nouveau jouet, soit il devient notre serviteur obéissant les sept prochaines années, temps pendant lequel nous pouvons toujours porter plainte.

Eric a choisi le deuxième choix. Il est maintenant à notre disposition sept jours sur sept, vingt-quatre heures sur vingt-quatre pour faire ce que nous voulons sans poser de questions.

Ce soir-là, Jean teste notre nouvel esclave. Il l'appelle et lui demande de venir immédiatement. Quand il arrive, nous sommes en train de regarder des films où il me baise. Jean le fait se déshabiller et s'agenouiller devant lui entre ses jambes. Puis il place sa grosse bite dans la bouche d'Eric en lui demandant de la sucer pendant que nous regardons la télé.