Deuxième Place 04

BÊTA PUBLIQUE

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Steven se sentait de plus en plus frustré. Alors, quand Carrie, une intérimaire travaillant à son bureau, l'invita pour un déjeuner, puis pour un dîner, il accepta.

Danielle--------

La revanche était douce, se fit comme réflexion la femme d'affaires en posant le pied hors de la douche et en se frictionnant d'une serviette. Le regard dévasté sur le visage de la petite pute snobinarde, quand elle avait appris que son alliance était mise en gage... elle avait de quoi se donner une centaine d'orgasmes. Et Danielle avait déjà pris un bon départ pour atteindre ce nombre. Sur le chemin du retour, elle avait bien profité des embouteillages, utilisant intelligemment ce temps pour que sa chatte refasse connaissance avec son vibromasseur favori, pour le compte de trois orgasmes. Elle s'en donna un autre quand elle glissa le jouet plein de mouille dans son cul serré. Elle laissait les chauffeurs autour d'elle déconcertés, ils n'avaient jamais vu quelqu'un si heureux de passer du temps dans les bouchons. Rentrée chez elle, sous la douche, elle avait laissé ses doigts prendre la relève, elle avait atteint deux fois le nirvana. Elle régla alors la tête de la douche et se coucha sur le sol et, écartant ses jambes, elle laissa le jet haute pression buter contre son haricot. Elle en eut des spasmes quatre fois, imaginant la langue de sa pauvre secrétaire en train la lécher.

S'installant sur son lit, Danielle retira sa serviette et ses doigts retrouvèrent leurs marques. De sa main gauche, elle jouait avec son clitoris ; de sa main droite, elle s'enfila un, puis deux, et finalement trois doigts. C'était merveilleux, le seul problème était que ses mains commençaient à lui faire mal. Danielle aurait souhaité que sa secrétaire/esclave soit là pour la servir. Puis, elle pensa sadiquement : "pourquoi devrais-je juste le souhaiter? J'ai cette petite putain à ma botte!"

Haletant très fort, l'accaparante patronne prit son téléphone, et tapa un numéro qu'elle connaissait par cœur. Ce numéro allait faire sonner un pager quelque part en ville. Et si à la suite de son bip, elle ne recevait pas de réponse dans les dix minutes, cela causerait l'envoi d'un certain nombre de paquets et de lettres compromettantes auprès du mari d'une certaine bimbo blonde.

Danielle remit le combiné sur son support. Elle s'allongea sur le lit, l'oreiller était mouillé à cause de ses cheveux... et ses draps étaient mouillés à cause de sa chatte dégoulinante. Elle attendit.

Quand le téléphone commença à sonner, elle décida de ne pas y répondre tout de suite. Elle souriait, elle approcha son majeur de sa bouche, et le fit entrer, suçant lascivement le délicieux nectar qui le couvrait.

La vengeance était très douce.

Carrie------

La jeune femme chevauchait son amant en se donnant à fond. Le fait qu'il soit un homme marié ne l'excitait que davantage. Et puis vu toutes les vacheries que l'épouse de cet homme avait fait endurer à sa meilleure amie, Carrie n'avait aucun complexe à la faire cocue. Ce n'était pas la première fois qu'elle s'envoyait Steven bien sûr... Mais c'était la première fois qu'il était conscient qu'elle le baisait. Et Carrie voulait que Steven sache ce que se faire baiser par Carrie voulait dire.

Carrie aimait être dessus. Elle avait le control, et pouvait mettre la queue de son amant aux bons endroits. Quand elle le sentait proche de jouir, elle pouvait facilement se retirer et le laisser décompresser un peu. Ce qu'elle avait fait plusieurs fois, au cours des deux heures de baise époustouflante qu'ils venaient de vivre.

« OH PURRÉEEEEEEEEE..... VAS-Y MON CHAUD LAPIN.......C'EST SI BON.....OUIIIIIII!!!!!!! articula Carrie. Ouuui.... ta femme ne sait pas.... à côté de quoi elle passe.... OUI!!!!! OUI!!! OUI!!! OUUUUUUUIIIIIIIIIIII!!!!!!!!!!!!!!!! » Carrie se prépara, comme si sa vie en dépendait, et les deux amants jouirent simultanément. Les muscles de sa boîte à mouille furent pris de spasmes et se contractèrent autour de la queue palpitante et giclante de Steven qui lui remplissait son trou de semence gluante.

Quand Carrie se sépara de la queue de Steven, elle remarqua qu'elle était encore dure. Ça n'allait pas se passer comme ça! La lui prenant dans sa bouche, elle voulut lui donner après ce qui avait été la baisse de sa vie, ce qu'elle espérait être la pipe de sa vie. Elle lui aguicha le gland, jusqu'à ce qu'il lui attrape l'arrière du crâne et la presse de lui prendre son chibre tout entier dans sa bouche. Ce qu'elle fit avec plaisir, donnant de grands coups de langue et suçant cette magnifique bite, jusqu'à ce quelle gicle à nouveau sa délicieuse crème, cette fois dans sa bouche chaude et humide.

Carrie descendit du lit. Son amant voulut en faire autant, mais elle le repoussa gentiment - mais fermement.

« J'ai une petite chose à faire. Je serais de retour dans un moment. Reste ici.

— Ma femme... commença Steven

— ...est probablement sortie, à faire Dieu sait quoi, jusqu'à minuit passé. Tu l'as dit toi-même. Reste au lit... Et je veux que ta belle bite pleine de sève soit prête pour moi quand je serais de retour. » Pour souligner son propos, la voluptueuse jeune femme prit le chibre semi-bandé de Steven dans sa bouche et lui donna quelques caresses mouillées. Remua-t-elle? Carrie n'attendit pas pour le savoir.

Enfilant une chemise de nuit, elle partit de la maison et sauta dans sa voiture. Elle feint de ne pas savoir où elle allait, mais en réalité elle le savait précisément. Elle franchit le point de non-retour quand elle prit la sortie menant à la maison de Terri.

"D'accord, je *suis* curieuse. Et alors? Faites-moi un procès!" s'amusa-t-elle. Blague à part, Carrie s'était sentie fébrile lors de ses précédentes rencontres avec Terri. Elle n'avait cependant pas voulu l'admettre devant Danielle. Mais Danielle avait Terri à sa merci, ce qui permettait à Carrie d'avoir à sa disposition un automate qui ferait tout ce qu'elle voudrait, et à l'allure qu'elle voudrait.

Oisivement, la jeune fille se demanda si la salope d'épouse reconnaîtrait le goût du sperme de son mari dans sa chatte.

Ça n'avait pas vraiment d'importance, Carrie avait de toute façon l'intention de lui dire.

Terri ----

Son cul lui faisait mal. Tous les jouets sexuels -- et les bites d'hommes -- qui avaient été dans son cul ces derniers jours lui avaient déchiré la membrane de son canal anal. Mais le pire était les affreuses chatouilles que lui causait son fion pendant qu'il guérissait. Elle se mettait parfois à espérer que Danielle l'envoi dans une chambre d'hôtel pleine d'hommes qui lui ramoneraient son étroit trou du cul pour faire cesser ces démangeaisons.

À part ça, Terri en était encore à essayer de retrouver sa stabilité. Elle était déjà bien pourvue en matière de poitrine avant que Danielle ne lui impose son "indispensable" opération des seins. Et avec son nouveau bonnet F, son centre de gravité avait changé, elle avait même failli basculer plusieurs fois en avant. Et bien sûr, il y avait les regards indiscrets à chaque fois que Danielle l'envoyait effectuer quelques insignifiantes commissions. Que sa patronne lui ait interdit d'acheter de nouveaux vêtements ne rendait pas les choses plus faciles. Elle se trouvait confinée dans des tenues que ses nichons faisaient presque exploser.

Debout, toute nue dans une chambre à coucher elle se regardait dans le miroir. Son était visage strié de larmes, il y avait de quoi : ses obscènes nichons géants, sa toison pubienne teinte en noire (pour faire croire aux gens qu'elle n'était pas une vraie blonde.) Terri se demandait comment en avait été réduite à ça. Il lui semblait qu'hier encore elle était l'une des femmes d'affaires les plus brillantes de la ville. Et maintenant, et bien, elle faisait juste d'autres sortes de négociations, pensa-t-elle amèrement. Comme pute.

Ses pensées furent interrompues par le bruit strident de son bipeur. Quand elle regarda le numéro affiché, elle vit que c'était Danielle qui l'appelait. Encore des humiliations et des dégradations en perspectives. Terri comprima ses énormes nichons sous sa robe, manquant de la déchirer, et se mit à sangloter sans retenue. Puis, elle reprit le contrôle d'elle-même, et se mit en route pour accomplir les devoirs qu'exigerait d'elle sa patronne.

8ème chapitre : La crémaillère des nichons

En prenant l'ascenseur jusqu'à la salle de bal qu'elle avait louée à la demande de Danielle, Terri savait qu'elle en serait quitte pour une soirée humiliante. Un des murs de la cage d'ascenseur était constitué d'une surface réfléchissante, et elle put réexaminer son apparence. Un chemisier blanc boutonné, un peu serré pour elle, mais autrement plutôt ordinaire... si ce n'est que les trois boutons du haut n'étaient pas attachés, offrant ainsi une impressionnante vue sur son décolleté et son nouveau bonnet 95F ainsi qu'un aperçu sur son soutien-gorge en dentelle. Sa mini-jupe verte en cuir était assortie au sous-tif (et à son string, pensa sombrement Terri, qu'avec un peu de chance elle n'aurait pas à montrer avant les vingt premières minutes de la fête.) Elle ne portait pas de collants, mais des espadrilles blanches à talons hauts de dix centimètres. Pour toute l'assemblée, Terri aurait l'air d'une serveuse de bar. Terri examina son visage. Elle avait fait une permanente et portait un très joli maquillage. Après tout, elle était l'hôtesse d'une fête très importante! Elle sortit de son sac à main un eye-liner, et retoucha les zones qui nécessitaient une révision à la suite de ses crises de larmes en voiture.

Terri régla ensuite un minuscule appareil dans son oreille. Presque invisible pour un observateur, il était en plus dissimulé par sa magnifique chevelure blonde. L'oreillette était reliée à un émetteur à distance, par lequel Danielle lui donnerait des instructions pour l'humilier encore plus copieusement cette nuit.

Dans une petite pièce dédiée à cet unique but, Danielle regardait la fête sur une série d'écrans de vidéosurveillance. La machiavélique femme avait déclaré le bar ouvert, et un bon nombre d'hommes en profitaient déjà. Les femmes étaient notablement absentes. Il y avait une bonne explication à ça : quand Terri avait rédigé les invitations pour le pot d'entreprise, Danielle avait fait bien attention de sélectionner toutes les invitations pour les employées femmes et les avait passées à la broyeuse à papier. Le résultat était un pot avec environ trente employés mâles, et une super-salope blonde qui allait connaître intimement tous les hommes présents à la fête avant que la nuit ne soit finie.

L'ascenseur s'arrêta et Terri en sortit. Elle remercia le ciel d'avoir eu la cage d'ascenseur pour elle toute seule. Elle avait été sur le point de s'écrouler en larmes et n'avait réussi que de justesse à reprendre contrôle sur elle-même. Dans le couloir sortant de l'ascenseur, elle dut à nouveau faire face aux gens qui la regardaient fixement. Elle refoula ses larmes et tenta d'avoir des pensées positives. Au moins Danielle l'avait laissée acheter des vêtements qui lui allaient. Elle n'avait plus à forcer ses nichons éléphantesques dans des tenues trop petites. Non qu'elle risque de garder ces vêtements longtemps sur elle, se fit-elle amèrement la réflexion. Elle espérait au moins pouvoir se rhabiller avant de rentrer chez elle ; Danielle et ses amies l'avaient déjà forcée à rentrer à la maison en ne portant que son soutif et son string.

Elle était à la porte de la salle de bal. Elle aurait voulu courir au loin, mais elle n'avait nulle part où fuir. Danielle la tenait à sa merci. Ce n'était pas seulement la menace que Danielle avertisse Steve de ses activités extra-conjugales... Ce point n'avait plus grande importance. Carrie la jeune pouffiasse que Danielle avait amenée avec elle à son domicile -- et qui était revenue plusieurs fois d'elle-même pour expérimenter le lesbianisme avec Terri -- s'était vantée d'avoir baisée Steven. Terri n'avait pas voulu la croire jusqu'à ce qu'elle soit forcée d'en lécher les preuves qui sortaient d'une chatte toute juste tringlée.

Ce qui effrayait vraiment Terri était toutes les choses illégales que Danielle lui avait fait faire. D'abord, il y avait l'affaire d'espionnage industriel, quand Terri avait commencé à "travailler" pour Danielle et avait volé des archives confidentielles à son ancienne entreprise. Puis il y avait la prostitution, dont Danielle gardait des preuves ainsi que des documents visuels. Enfin, Danielle menaçait d'envoyer les cassettes vidéo et les photographies compromettantes à toute la famille de Terri, en plus de Steven.

Terri n'avait pas le choix. Elle ouvrit la porte et entra en scène. Trente des employés qu'elle côtoyait -- tous des hommes -- étaient assis aux différentes tables. Puis, elle remarqua avec un serrement de cœur que plusieurs caméras vidéo avaient été installées, Danielle aurait des enregistrements permanents de la fête pour la faire chanter. Même si, après cette nuit, plus personne n'aurait de doute sur le genre de traînée qu'était Terri.

Les têtes se tournèrent pour mater la belle jeune femme. Les conversations s'arrêtèrent et les bouches se mirent à gober les mouches. Tous les yeux étaient braqués sur Terri -- enfin, pour être plus précis, sur la poitrine de Terri. Beaucoup de ces hommes avaient entendu des rumeurs sur la nouvelle arrivante, et beaucoup s'étaient déjà imaginé lui peloter ses seins bien fermes. Et c'était avant qu'ils n'aient grossi!

Terri plaqua un sourire feint assorti à sa poitrine factice... et se dirigea droit vers le bar, trente paires d'yeux suivirent le balancement de son cul en forme de cœur, bien visible sous sa jupe serrée. Elle aurait besoin de quelques petits remontants pour passer la soirée.

Une voix dans sa tête l'arrêta. En fait, la voix était dans son oreille, et lui parvenant à travers l'oreillette. « Pas d'alcool, trésor! Je te veux complètement sobre! » C'était la voix de Danielle. La garce ne voulait pas que Terri fasse quoi que ce soit qui rende son humiliation plus facile. « Pourquoi n'accueilles-tu pas tes invités comme il se doit? Remercie-les d'être venus. »

Terri se retourna, faisant face à tous les hommes qui la fixait des yeux. « Merci d'être venue, » dit-elle simplement.

Le quart d'heure suivant, Terri le passa à aller d'une table en table, saluant chaque invité. On lui posa des questions sur son opération des seins, auquel elle répondit. Danielle insista pour qu'elle propose de remplir à nouveau les verres. Elle était une vraie serveuse de bar, faisant attention -sur l'ordre de Danielle- à bien se pencher à chaque fois pour régaler les hommes d'une ravissante vue sur son décolletée.

Quand Terri eut fini de trottiner pour servir la deuxième tournée (et qu'une Danielle invisible lui ait commandé de défaire un autre bouton de son chemisier), il y avait une belle bosse dans la plupart des pantalons. Scott, l'un des hommes qui était au courant de la situation fâcheuse où se trouvait la salope de l'étage - en ayant déjà eu plusieurs occasions d'en goûter les faveurs- lui frappait les fesses à chaque fois qu'elle passait à proximité, sous les acclamations et les sifflements de ses collègues. La lubricité déjà apparente sur le visage de Scott effrayait beaucoup Terri. Elle gardait encore des marques après avoir été fouettée par Scott et sa femme dans la réserve.

Ce soir, Scott aurait à jouer un rôle très important à jouer. Son épouse, Angela, avait été exclue à cause de son sexe. Mais en rentrant à la maison, Scott lui donnerait un compte-rendu exhaustif de tout ce qu'aurait fait Terri (incluant la qualité de ses performances...). Et le lendemain, Angela en ferait le récit à toutes les employées qui avaient été exclues ; et qui auraient deux fois plus de travail, puisque tous les hommes avaient reçu un jour de congé pour récupérer des festivités. Elle expliquerait clairement que leur travail supplémentaire était de la faute à la bimbo idiote aux grosses loches qui travaillait pour leur patronne.

Terri recevait de nouvelles instructions de Danielle. Il était temps de passer à la phase suivante. Elle essaya de ne pas pleurer... mais finit par s'excuser pour aller aux toilettes quelques minutes.

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« N...nous allons jouer à un jeu... commença Terri

— Strip-poker? » cria, plein d'espoir, une personne dans le fond. Tout le monde applaudit et rigola, excepté Terri qui rougit.

Tremblante, elle continua. « Nous allons jouer à action ou vérité... Je serais... la seule... à qui vous poserez... des questions... » elle retint ses larmes, essayant de penser à des choses agréables...

« Et n'espère pas prendre que "vérité" et pas "d'action", » lui souffla Danielle dans l'oreillette.

Un homme fut volontaire pour passer en premier. Terri choisit "vérité"

« As-tu déjà été infidèle à ton mari? »

Terri chuchota un « oui », la foule répondit par des "ooohs" et des "ahhhs".

Personne suivante. Daniel, de la compta. Un type plutôt timide, Terri se risqua à dire "action".

Rougissant, le jeune homme bafouilla sa demande. « Défait... un autre de tes boutons... » Terri, un peu tremblante, obéie. Avec cinq boutons défaits, une bonne partie de son soutien-gorge vert était visible. Une sacrée vue.

Les questions venaient de toute la salle. Vérité. Terri raconta sa première fois avec un homme. Vérité à nouveau. Terri admit qu'elle avalait le sperme et en aimait le goût (c'était en fait deux questions, mais personne -- à part Terri -- ne se gênait pour enfreindre les règles.)

Action. Un autre bouton défait. Vérité. Terri admit qu'elle adorait exposer ses gros nichons devant des hommes. Action. Elle roula une pelle au nouvel arrivé des Ressources humaines, qui lui pelota ses plantureux nibards à travers sa chemise pendant que tout le monde l'encourageait. Action. Un autre bouton en moins. Le chemisier blanc de Terri était maintenant complètement ouvert, son délectable bonnet F fanfaronnant dans son soutif en dentelle vert.

Puis... ce fut le tour de Scott. Terri ne voulait même pas commencer à imaginer quelle dégoûtante et perverse action il pourrait lui faire accomplir. Donc...

— Vérité.

— Vérité, » répéta Scott. Il se pencha en avant. « Es-tu mouillée, Terri?

— Qu... Quoi?

— Es-tu mouillée, bimbo stupide . Est-ce que ta chatte dégouline de jus? Est-ce que ça t'excite de faire ta pétasse? » Des bouches s'ouvrirent en grand, et tous attendirent la réponse de la jeune femme désemparée.

« Non, » mentit Terri. Puis ses yeux s'écarquillèrent d'horreur comme Scott se levait.

« Je crois que c'est fair-play que tu nous laisses vérifier... » Scott se baissa pour soulever la jupe de Terri, exposant son string vert. Qui était trempée. Pour qu'il n'y ait aucun doute, Scott introduisit sa main dans le string, caressa sa toison noire puis glissa son majeur dans sa boîte d'amour dégoulinante. Il le retira, et leva son doigt bien haut. Il scintillait de jus de salope, tout le monde pouvait le voir. On aurait dit qu'il faisait un doigt d'honneur à la foule. Puis il offrit son doigt à Terri, qui sanglotait doucement. Elle ferma les yeux et se résigna à prendre le doigt dans sa bouche, le suçant pour le nettoyer de sa mouille traîtresse. Les hommes pendant ce temps hurlaient d'une indignation forcée à son mensonge.

« Il semble que tu nous as menti, vilaine petite fille... » chuchota Scott. Puis, plus fort : « Terri doit être punie pour ça. Mais d'abord, jetons un œil sur ce que nous sommes tous venus voir. » Scott arracha sauvagement le chemisier de Terri. Les sifflements augmentèrent, et les hommes pressaient Scott de lui retirer aussi son soutien-gorge.

À la place Scott mena Terri à une petite table et la fit se courber dessus. Puis, sous le cri des hommes, il remonta la jupe, la lui retroussa sous le ventre et révéla la forme appétissante du cul de la secrétaire.

« Cette salope doit maintenant recevoir sa punition. Je vais vous demander de vous mettre en ligne, pour que chacun de vous puisse fesser son joli petit cul. » Pour accentuer son propos, Scott caressa les fesses de leur hôtesse.