Dérapages. 05

BÊTA PUBLIQUE

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- Bonjours, je voudrais voir Hervé.

- Il vous attend?

- Oui. Je suis Léo, le compagnon de Carla.

Quand j'annonce ça, une lueur de peur apparaît furtivement dans les yeux de la réceptionniste. C'est encore pire que je ne le pensais, Carla terrorise vraiment ses employés. Si ils savaient ce qu'elle vit en ce moment, pas certain qu'ils auraient pitié d'elle. La jeune femme prends son téléphone.

- Monsieur Hervé, le compagnon de Carla est là.

Elle écoute ce qu'il lui dit, puis raccroche.

- Il vous attend, prenez l'ascenseur, c'est au dernier étage.

- Bien, merci.

L'ascenseur est luxueux. Hervé m'attends devant les portes. Je ne l'ai jamais vu. C'est un tout juste trentenaire, blond, le regard franc. Son sourire est chaleureux quand il me tend la main.

- Enchanté de vous connaître monsieur.

- Moi aussi. Mais appelez-moi Léo, je préfère.

- D'accord Léo. Suivez-moi dans mon bureau.

- Je préfère que l'on aille dans celui de Clara.

- Heu... Oui, elle est au courant?

- Bien entendu. Je veux bien faire ses courses, mais je veux en profiter pour voir où elle travaille.

- D'accord.

Le bureau est vraiment immense. Il y a un coin détente avec canapé, télé, fauteuil. Je me dirige vers les fauteuils, je m'assois. Hervé me suis, il s'assoit en face de moi.

- Carla va bien?

- Oui, une grosse fatigue. Le tournage de son film à Londres à dut être épuisant.

- Sûrement, mais c'est une réussite. Il n'est pas encore sorti qu'il fait déjà du bruit dans le milieu. Les demandes de productions arrivent de partout. Maintenant ce sont de grands réalisateurs qui s'y mettent, français, européens et même américains.

- C'est une bonne nouvelle ça. Carla sera contente.

- Elle revient quand? Lundi?

- Je ne sais pas encore. Pas avant le milieu de la semaine prochaine.

Une lueur de soulagement traverse le regard de Hervé. Il semble pensé que plus tard elle revient, mieux ce sera. Moi je sais qu'avec son nouveau boulot chez Radiu, elle sera beaucoup moins agressive.

- J'espérais qu'elle revienne plus tôt. On l'aime tellement ici.

J'ai envie de m'amuser un peu.

- Allons, Hervé, pas de ça entre-nous.

- Pas de quoi?

- De mensonge, je ne penses pas que vous ayez si envie que ça, qu'elle revienne rapidement.

- Non, non, je vous assure.

- Dans ce cas, venez manger à la maison ce soir.

- C'est à dire que...

- Ne soyez pas timide, ça lui fera autant plaisir qu'à vous.

- Elle est au courant de votre proposition?

- Non, mais ce ne sera pas un problème, je vous l'assure. Vu à quel point elle vous manque, vous ne pouvez pas refuser.

Hervé déglutit, je viens de le coincé. Je suis fier de moi.

- Dans ce cas c'est d'accord.

- Parfait. On dit vingt heures.

- D'accord, j'emmène le dessert.

- Bon, je dois regarder quelques trucs sur son ordi. J'ai oublié de lui demander son code, vous le connaissez?

- Oui et non. Elle m'a juste dit que c'est douze chiffres, votre date de naissance et celui de sa fille.

- Bien, je vais me débrouiller. Je vous préviens quand je parts, je devrais en avoir pour une petite heure.

J'ouvre l'ordinateur de ma compagne. Je vais directement dans la compta. Je sais que sa société marche très bien, puisque Carla paie exactement la moitié de nos frais. Et je peux vous dire que nous avons un train de vie très élevé. Les films financés par ma femme ont pour les trois-quarts, dégagés de jolis bénéfices, tandis que les autres sont soit à l'équilibre, soit avec de légère pertes. Chose rare dans le milieu, cent pour cent de ses films ont été entièrement produit par elle. Seul les divers aides ont aidé à leurs financements, aucun autre producteurs n'y est entré.

Je dois dire que ma femme est douée dans sa partie. Malgré le financement de son dernier film, qui à coûté cent millions d'euros, sa boîte dispose de quatre cent millions d'Euros en disponibilités, presque autant sont placés sur divers compte à son nom ou à celui de sa fille. Salaire ou dividendes sur les bénéfices. Elle à également, au noms de sa société, plusieurs maisons ou appartements dans divers villes du monde. Je ne le savais pas, mais elle est bien plus riche que moi. Cette chienne ne m'en a jamais parlé. Je regarde l'historique, l'argent afflue depuis cinq ans. Je me rappelle qu'elle a financé à l'époque des comédies américaines dont personne ne voulait, à tort. Toutes ont rapportés un joli magots. Depuis, les succès s'enchaînent, commerciaux à défaut d'être reconnu par la profession. Un joli plan me vient alors en tête. Mais je m'en occuperais plus tard. Je passe un coup de fil vite fait à Radiu pour avoir un renseignement. Il peut m'aider, je lui fais le topo de ce que je veux. Je lui envois également un mail avec tout ce dont il pourrait avoir besoin. J'éteins son ordi et je vais voir Hervé pour lui dire que je part.

J'arrive chez moi à dix-sept heures trente. J'encule Manon et je baise ensuite Clara. A dix-huit heures trente, je les envoient se préparer. Je les préviens que l'on aura de la visite ce soir. J'ai envie d'en mettre plein la vue à Hervé. J'espère que je ne me trompe pas sur son compte, sinon je risque d'être dans la merde. Je choisis une robe noire, dos nue, avec un décolleté profond pour Clara. Je lui prépare un petit string ficelle rouge, des bas et des porte-jarretelles noir. Ainsi que des chaussures à talon très haut, qui accentue grandement sa parfaite cambrure de reins. Pour Manon, je lui prépare une jupe blanche ultra-courte, qui laissera voir le bas de son sexe et celui de ses fesses. Elle n'aura aucun dessous. En haut, un petit top blanc, complètement transparent fera très bien l'affaire. Elles sont vraiment bandante une fois habillée. Clara ferait bander un mort, Manon est un véritable appel aux viols. Comme maquillage, juste un peu de noirs aux yeux, ainsi qu'un rouge à lèvres vif.

Rapidement vingt heures arrive. Hervé est ponctuel, une des qualités que j'apprécie le plus chez un homme. Finalement j'ai changé d'avis, Manon à mit un petit string jaune, ainsi qu'un soutien-gorge blanc transparent. J'envoie Carla ouvrir quand on sonne à la porte, sans lui dire qui c'est. Si Clara est vraiment surprise en voyant Hervé, le jeune homme ressent la même chose en voyant sa patronne dans une tenue si sexy. Elle qui ne met que des tailleurs de marque, classique mais vraiment sage.

- Vous ne m'attendiez-pas?

Carla répond la première chose qui lui passe par la tête.

- Bien sûr, mais je ne pensais pas que vous seriez à l'heure.

Hervé se dit que même malade, son dragon de boss est toujours aussi méchante. A chaque fois un pic à envoyer. Par contre, il ne la pensais pas si sexy, son compagnon à vraiment de la chance. Il lui tend le gâteau et une bouteille de champagne.

- Merci Hervé, il ne fallait pas. Suivez-moi.

Hervé rentre, Carla referme la porte. Il entre dans le salon, il reste subjugué. Je suis debout au milieu de la pièce, Manon dans sa tenue de salope, à mon côté.

- Manon, ma fille et belle-fille de Léo.

- Enchanté Manon.

Ils se font la bise. L'homme ne peut détacher son regard de Manon. Il faut dire que sa paire de seins, même dans un soutiff ne peut qu'attirer le regard. Quand au petit bout de string jaune apparaissant au bas de sa jupe, je n'ose même pas imaginer l'effet qu'il doit faire sur le pauvre Hervé. Heureusement qu'il a une chemise longue qui cache son bas-ventre.

Manon et Carla servent l'apéro. Quand on s'assoit, un trait de panique traverse le regard de Carla. C'est plus fort qu'elle, elle me pose la question.

- Je me mets où?

Un air interrogatif passe sur le visage de Hervé. Pendant une fraction de seconde, j'hésite à lui dire: par terre.

- A ma droite ou à ma gauche, c'est comme tu veux ma chérie.

- AH!

Carla est rassuré, tandis que Hervé se dit qu'il ne pensé pas que sa bosse puisse être aussi soumise. Le repas se passe bien, même si les deux filles parlent peu. La conversation se faisant entre Hervé et moi. Une fois le repas fini, je propose un cigare et un cognac à Hervé, tandis que les filles débarrasseront et feront la vaisselle. Il accepte avec joie. On va dans les fauteuils, tandis que les deux femelles se dirigent vers la cuisine.

Je suis assis en face d'Hervé. Je vais directement au fait.

- Vous les trouvez comment?

- Ça dépend de quoi vous parlez.

- De Carla et Manon.

- Manon est très belle. Sa mère aussi, encore plus qu'en tenue pour le boulot, même si ce soir elle est moins classe. Sinon elles sont silencieuse, mais sympa.

- Allons, pas de ça entre-nous, je sais que ma femme est un nazi au boulot.

Le vin et le champagne du repas aidant, Hervé semble hésité à répondre. Il regarde si Carla n'est pas dans le coin.

- Non, je ne dirais pas ça. C'est un amour.

Gêné et stressé, il vide son verre de cognac d'un trait, je le remplis de nouveau.

- Allons, pas de mensonge.

- Je... Vous êtes son compagnon, je ne vois pas ce que vous cherché.

- La vérité. Elle veut que j'intègre son entreprise, je souhaite savoir si je dois accepter ou pas.

- Je vois. C'est vrai, elle est très dure. Radine aussi, surtout vu le travail de toute l'équipe et les résultats de l'entreprise. Sans parler de son mépris et de ses pics.

- Vous voyez, la vérité n'est pas si dure à dire. Vous lui en voulez?

- Beaucoup. D'ailleurs, pour tout vous dire, je cherche ailleurs. Je n'en peux plus. J'ai même envoyé ma démission ce matin.

- Vous aimeriez vous venger?

Il hésite, boit encore son verre de cognac en entier. Je lui en resserre un autre.

- Oui, comme tout les employés de la boîte. Elle se permet des trucs, car elle sait que si elle nous vire, elle a le bras assez long pour que l'on ne se fasse embaucher nulle part ailleurs.

- Comment ça?

- Ben déjà, on est la seule boîte de prod dans la région. Il nous faudrait aller sur Paris. Là-bas, ils appelleraient pour se renseigner sur nous et elle n'aurait qu'a nous casser. Et encore je parle pour ceux qui ne la connaisse pas. Les trois-quarts des boites de prod parisienne la connaisse, un coup de fil de sa part et c'est mort pour nous. Elle en profite, nous traitent pire que de la merde, nous humilie en public dés qu'elle le peut. Donc oui, on lui en veut. Tous.

- Et vous démissionnez quand-même?

- Je bosse avec elle depuis cinq ans, je suis à bout. Donc oui, si j'osais, je me vengerais.

Je me met à crier:

- Carla! Viens! Manon finira seule avant de nous rejoindre.

L'homme devient blanc.

- Vous faîtes quoi?

- Moi, je vous fais plaisir.

Carla arrive rapidement. Elle entre dans la pièce, reste debout devant nous, les bras le long du corps.

- Oui?

- Comme ça tu es un monstre au boulot?

- Non, enfin oui.

- Tu sais que ce n'est pas bien?

- Oui, je le sais.

- Parfait. Tu comprends que tu dois être punie?

- Pitié Léo.

- Ce n'est pas la réponse adéquate, tu le comprends?

- Oui, je le comprends.

Hervé regarde notre tirade un air halluciné. Il ne comprend rien.

- Parfait, mets-toi dans ta tenue habituelle.

- Pas devant lui Léo. S'il-te-plaît.

- Ne désobéis pas, obéis. Tu sais ce qu'il t'en coûtera sinon!

Clara fond en larmes, mais elle va obéir. Elle passe les mains dans son dos, descend la fermeture de sa robe.

- Mais que...

- Chut Hervé, appréciez en silence, vous verrez, c'est mieux.

Elle fait glisser sa robe au sol, dévoilant sa grosse poitrine ferme, au larges aréoles à peine plus foncé que la peau. Elle se tourne, dévoilant son cul magistrale. La peau de son dos et de ses fesses sont encore violacée, boursouflée par mes coups de ceintures. Hervé la regarde bouche-bée.

- J'ai été obligée de la punir pour qu'elle soit sage et obéissante.

Hervé ne dit rien, mais un sourire apparaît sur son visage à mes mots. De nouveau elle nous fait face. Elle ancre ses doigts de chaque côté de son string, dévoilant son vagin presque glabre avec le petit buisson de poils blond.

- Je me suis toujours demandé si c'était une vraie blonde. Maintenant je sais.

Carla se redresse, les bras le long du corps.

- Hervé, tu veux qu'elle garde les bas et les porte-jarretelles ou qu'elle les enlèvent?

- Pour quoi faire?

- Pour que vous la gouttiez.

- Avec, c'est mieux.

Manon, fait son apparition, à ce moment là. Voyant sa mère presque nue, la jeune fille fait pareil. Elle se déshabille complètement.

- A moins que vous ne préfériez la fille?

- Non, non, la mère c'est mieux.

- Bien.

- Je peux tout lui faire?

- Oui, par contre pour la chatte, c'est avec capote, le cul tu peux la prendre à nue.

J'étais passé du vouvoiement au tutoiement. Hervé ne s'en offusque pas.

- Je peux l'enculer?

- Oui, bien sûr.

- Merde, ce sera ma première fois.

Carla est honteuse d'être humiliée devant un de ses employés.

- Carla, vient sortir la bite de monsieur. Tu t'assiéras sur lui, de face, afin qu'il puisse jouer avec tes seins. Je veux sa bite dans ton cul jusque au couilles!

Ma compagne ne dis rien. Elle s'approche de Hervé, lui déboutonne son pantalon, le lui descend. Elle fait de même pour le caleçon. Un engin de belle taille, environs vingt centimètres, mais plus fin que le mien apparaît. Le jeune homme déglutit, quand ma femme s'assoit sur lui, faisant pénétrer en geignant et pleurant de douleur sa bite dans son orifice anal.

- Elle aime pas, mais ne vous en faites pas, elle est ira au bout.

Manon quand à elle attend mes ordres. Je baisse mon pantalon et mon caleçon.

- Ma puce, viens t'empaler sur moi, je vais être gentil, je te laisse choisir ton trou.

Manon obéit rapidement. Je ne suis pas étonné quand elle rentre mon pieu dans son vagin. Les deux gémissements de douleur de mes putains se joignent ensemble. Hervé jouit le premier dans les reins de Carla. Dès qu'elle sent qu'il a fini de se vider, elle se relève pour s'agenouiller devant lui, afin de nettoyer le sexe masculin de toutes souillures. Elle ira au bout, avalant le sperme de son employé. Manon fera la même chose avec moi.

Hervé après avoir jouit dans le cul, puis la bouche de sa boss, se rhabille. Avec le visage heureux de l'homme satisfait. On se sert la main.

- Léo, merci, vraiment merci.

- De rien. Bon, pour votre démission, vous pourriez la mettre en sourdine jusque à demain après-midi.

- Vous rigolez, je l'annule carrément.

- Parfait, ne dites rien de cette soirée. Je passerais demain après-midi vous voir.

- D'accord, je ne dirais rien. A demain.

- A demain Hervé.

J'ai refermé la porte, mes deux putains étaient derrière-moi, attendant mes ordres.

Manon, tu peux dormir dans ta chambre ce soir. Je dors avec ta mère, on a un bébé à faire. D'ailleurs c'est elle qui me réveillera demain matin à huit heures.

- D'accord Léo. Merci.

- Tu seras tranquille jusque à lundi que tu ailles travailler avec ta mère pour Radiu. C'est ta mère qui assureras les gardes pour ma bite et fera mon réveil jusque-là.

Manon est parti se coucher sans demander son reste, au cas où je changerais d'avis. Clara elle, est beaucoup moins heureuse. J'ai pris une pilule, je l'ai baisée dans le vagin pendant quatre heures, jouissant cinq fois dans son corps. Le lendemain matin, sa fellation comme sa façon d'avaler mon sperme fut parfaite.

A neuf heures précise, on sonne à la porte. Je vais ouvrir, même si je ne porte que mon caleçon. Radiu est là, pile à l'heure encore une fois, il est en compagnie d'une jeune et jolie fille, brune, dans le milieu de la vingtaine.

- Je te présent Inès, avocate le jour et putain dans mon bar la nuit. Elle a bossé sur ce que tu m'as demandé hier au téléphone, tout est prêt.

- Merde, elle a bossé vite.

- C'est mieux que de se faire tringler toute la nuit dans un de mes bordels. Puis le deal était simple, une semaine de vacances de mon bordel, si elle réussissait, deux mois de SM extrême si elle ratée. Autant te dire que tout est parfait.

- Je ne sais pas comment te remercier.

- Tu l'as déjà fait en me prêtant tes putes à partir de lundi.

- D'accord, allez rentrons.

La jeune femme à le même regard résigné que Clara et Manon. Je ne sais pas comment, mais Radiu et son associé la tienne et la force à se prostituer. Après, personnellement je m'en moque. Mais elle me plaît bien. Je vais voir avec Radiu si je peux la tester une nuit en remplacement de Manon et Clara.

La jeune avocate et Radiu me suivent. Manon et Clara sont assises, nue dans le canapé. Radiu dit bonjour aux deux putains en les embrassant avec la langue. Inès pose sa sacoche sur la table du salon. Elle sort une liasse épaisse de document. Je regarde Radiu.

- Tu peux t'amuser avec Manon si tu veux, pendant que je m'occupe de mon affaire avec Clara et Inès.

- Ce serait un plaisir mon pote. Ta salope est tellement belle.

- Manon, tu restes et tu fais plaisir à Radiu. Clara tu viens me voir.

Radiu se déshabille en silence, tandis que Clara se lève pour se rapprocher d'Inès et moi. Elle est à peine arrivée prés de la table, que Radiu viole déjà le cul de ma belle-fille.

- Inès, je vous laisse faire.

- Bien monsieur.

Elle se tourne vers Carla.

- Madame, il va falloir que vous signiez ces documents.

Carla me regarde perdue.

- C'est quoi?

- Ma chérie, ces papiers me donnent la propriété sur tout tes biens.

- Quoi?

- Tu as très bien compris. Un problème?

- Non, pas du tout chéri.

Tout les biens de Clara, ses comptes bancaire personnel, sa société, les comptes de sa société, les droits des films, les villas et les appartements, les véhicule, tout passe des mains de ma femme aux miens. Il ne lui reste plus rien. Plus un centime, même ses vêtements, ses dessous, tout me revient. Inès reprend la parole.

- Il y a ces deux contrats aussi, un au nom de votre femme, un au nom de sa fille.

- Les plus importants. Ma chérie et Manon quand elle aura fini de se faire sauter, vous signerez aussi ses contrats.

- C'est quoi?

- Alors ça Clara, c'est le top. C'est un contrat où chacune de vous reconnaît m'appartenir. Corps et âme. M'octroyant tout les droits sur vous. Y compris celui de mort.

- D'accord mon cœur.

Bien sûr, ces contrats n'ont aucune valeur légale. Mais ça, ma compagne et sa fille ne le savent pas. Psychologiquement c'est pire que tout. Manon, malgré son viol anal, à tout entendu, elle est aussi abattue que sa mère à l'annonce de leurs nouveau statut d'esclave et putain officiel.

- Tu as entendu Manon?

Radiu s'immobilise dans ses reins pour la laissée répondre.

- Oui, maître.

- Tu es d'accord?

- Bien sûr maître, cela ne fait qu'officialiser ce que je suis déjà.

- Tu es une bonne pute, tu signera quand tu auras fini de faire ta nympho.

Inès se tourne vers Carla.

- Vous devez parapher chaque page. Signer et dater à la fin, avec la mention « Bon pour accord ».

- D'accord.

Radiu qui est toujours immobile dans les reins de Manon me lance :

- Cela va être long, le temps qu'elle signe et paraphe tout, tu peux t'amuser avec l'avocate pendant ce temps. Tu verras, elle est super bonne et bien serrée.

- Merci mon pote.

Je me tourne vers Inès :

- Allez, à poil l'avocate.

Elle se met à pleurer, je ne m'étais pas trompé, elle se prostitue contre son gré. Mais elle se déshabille complètement. Elle a de petits seins en cône, un cul bombé et mince. Un buisson touffu de poils noir orne son pubis.

- Elle s'épile pas, mon associé le lui interdit.

- Bonne idée, cela change.

Je me tourne alors vers Inès.

- Suce-moi.

Elle s'agenouille, descend mon boxer, et avale mon chibre. Radiu a raison, la chienne est douée. Sa chatte et son cul sont vraiment serré pour une pute, je prends beaucoup de plaisir à la baiser. J'ai jouit une fois dans sa bouche, deux fois dans sa chatte et trois dans son cul, quand Carla à fini de tout signer. Pour Manon, ce fut plus rapide, ne possédant rien, ma belle-fille n'a que son contrat d'esclave à signer. Trois malheureuse pages qu'elle doit parapher et une qu'elle doit signer. Comme celui de sa mère, ce texte est remplit de termes juridiques et d'articles de loi bidon, mais qui lui donne un air tellement véridique que Carla et Manon sont persuadé de sa véracité. Avec Radiu, on passe la matinée à baiser, enculer et se faire sucer par ma compagne, ma belle-fille et la jeune avocate. On prends plusieurs pilules et on s'éclate comme des fous. Comme les monstre pervers que, après tout, nous sommes. Mon dieu que c'est bon.