Decouverte Du Plaisir Avec Maman

BÊTA PUBLIQUE

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- Cela ne me gênerait aucunement quant à moi de franchir ce pas, au contraire. Je t'aime tant maman!

- Merci mon ange, mais je n'ai jamais osé y penser, même si j'aime ce que nous faisons, l'acte incestueux est grave. On dépasserait les limites de la bienséance.

- Je respecte ton choix, tu fais comme tu juges bon pour faire ce qu'il y a de mieux pour nous deux.

- Merci, de ne pas insister, j'apprécie ton geste au plus haut point.

- C'est normal, maman. Je pense que ce que l'on fait, fera ne peut se réaliser que d'un commun accord et même désir.

- Tu es un homme franchement merveilleux et très mature malgré ton jeune âge, et je t'apprécie davantage chaque jour, sois en sûr.

- Moi aussi maman chérie que j'adore. En revanche, tu pourrais faire un geste d'équité qui ne transigerait en rien la convention de la bienséance telle que nous l'entendons.

- Oui et que devrais-je faire?

- Regarde, je suis nu mais toi non. Tu gardes toujours une culotte, te voir nue ne me troublera en rien, sinon en émoi, crois-moi!

- J'en suis sure. C'est moi-là qui est embarrassée de t'offrir ma nudité.

C'est quand même l'issue de ta venue au monde, cela est troublant de te montrer mon sexe.

- Tu sais les familles naturistes ne s'embarrassent pas de tel raisonnement.

- En effet, c'est exact. On verra

Pendant cette discussion, je continuais de masser sa poitrine et en l'écoutant je me pris à sucer son téton gauche. Elle ne fit aucun geste pour m'écarter, elle me mit sa main dans les cheveux en les caressant délicatement pendant que je léchais ce téton désiré.

Je me branlais de plus en plus vite et la phrase fatidique arriva.

- Levons-nous! vient te finir dans la salle de bains, tu pourras continuer à me sucer les tétons, j'aime cela aussi, tu pourras même les mordiller, j'adore.

- Maman je t'aime! lui dis-je en allant ensemble dans notre salle de mes éjaculations personnelles.

Le lendemain, je me réveillais plus tard et ces quelques minutes de plus passées sur mon oreiller, on fait que maman était déjà en cuisine préparant notre petit déjeuner.

Résultat je ne la croisais pas en salle de bains, je m'asseyais face à elle et je pus voir un léger sourire sur son visage, elle était gaie, badinait joyeusement de tout. En quittant la maison elle me fit un grand baiser sur ma joue en insistant et laissait ses lèvres quelques secondes sur mon visage, puis virevolta et me lança :

- A ce soir, mon chéri, prends garde à toi.

Je la regardais partir et elle me parut terriblement jolie même de dos.

Comme d'habitude, c'était moi le premier arrivé, je pris ma douche, restait nu, puis je me mis devant mon secrétaire et me mis à mes études.

J'entendis maman entrée et s'écria

- Tu es là?

- Oui dans ma chambre, je travaille. Comment vas-tu?

- Très bien et toi

- Moi aussi

- Ok, je me mets à l'aise si tu le permets

- Bien sûr, maman fait j'en profite pour terminer.

Je n'étais pas sur mais il me sembla entendre maman fredonner une de ses chansons favorites puis me concentrant sur mon travail en lointain je distinguai le bruit du ruissellement d'eau de la douche italienne, puis plus rien.

Quelques instants plus tard, je perçus un

- Mon chéri, en as-tu encore pour longtemps?

Je me retournai pour répondre et je fus saisi par une immense émotion. Maman était dans le cadre de la porte de ma chambre, avec ce sourire que j'avais pu voir ce matin sur son visage et un regard brillant et lumineux. Maman m'observait pour voir ma réaction face à sa nudité totale. Maman nue devant moi, m'offrant ce spectacle sublime, j'en fus pantois, émerveillé, je la fixai sans parler, j'admirais son corps ses seins connus mais surtout son sexe enfin libre d'entrave.

Elle avança vers moi d'un pas léger et toujours son sourire aux lèvres.

- Quel effet te fait de voir ma nudité totale, mon chéri?

- Une grande bandaison, un cœur battant d'émotion dans ma poitrine. Tu es sublime mon amour de maman. J'en tremble d'émoi.

Ella arriva près de moi, toujours assis, j'avais, sous mes yeux, à vingt centimètres le sexe de ma mère offert à ma vue. Elle prit ma tête me la maintint bien en face de son pubis tout en caressant mes cheveux avec ces doigts de libre.

- Regarde mon sexe, mon ange, regarde-le, fais connaissance avec lui, mémorise-le, respire-le.

- Maman tu me fais le plus beau cadeau de ma vie. Je t'aime tant, j'en ai tellement rêvé.

- Je suis heureuse que cela te plaise, je vois que tu bandes dur, c'est le meilleur des compliments que tu puisses me faire. Dit-elle en me maintenant toujours fixe devant son sexe.

Je ne pus résister à me caresser ma bite, trop envie, trop excité de voir la chatte de maman. Une envie folle de mettre mes lèvres sur son sexe merveilleux.

- Viens allons dans le salon, nous serons plus confortables sur le canapé.

Je la suivi en regardant ses fesses merveilles se déplacer devant mes yeux. Une vision féerique!

Une fois installés un soupir de relâchement sorti de la bouche de maman.

- Ah! quel plaisir de ne plus avoir l'entrave de mes culottes, se sentir libre de tout, le plaisir de me montrer, à toi, nue comme un ver en concordance avec toi.

- Pourquoi ce joli revirement?

- Notre conversation d'hier soir m'a fait comprendre que j'étais prude de mauvaise façon. Donc le plaisir de me montrer, à toi, nue a gagné d'où ma décision de mettre à exécution dès ce soir ce désir.

- J'en suis ravi maman chérie. Crois-moi!

- Je te crois volontiers, je vois ta réaction, ta verge est bandante et tu n arrêtes pas de te caresser. J'adore voir tes masturbations qui me sont dévolues.

- Tu dis que tu adores me voir, mais tu restes insensible à la vision de ma bite masturbée.

- Détrompe-toi, je suis follement excité de tous nos actes, lorsque je reçois ton sperme sur le ventre, tes caresses sur mes seins, la vision de ton corps nu, tes masturbations, je mouille intensément et je prends sur moi pour ne pas le démontrer. Mais une fois seule dans ma chambre, je me masturbe comme une déchaînée jusqu'à la jouissance tant désirée, avec mes envies de nous deux, sans tabou, qui activent mes doigts sur ma chatte réjouie du traitement.

- Ta confession me ravit le cœur, je n'étais pas sûr que tu éprouves les mêmes ressentis que moi envers toi.

Sa réaction fut immédiate, elle me prit dans ses bras, me serra sur sa poitrine, me couvrit le visage de baisers. Puis après quelques secondes elle prit mon visage et le descendit sur ses seins et le pressa sur ceux-ci, mon nez se trouvait dans son sillon entre ces deux seins. Son odeur me fit chavirer de bonheur, je serais resté ainsi une éternité, après quelques minutes elle guida ma tête afin que mes lèvres soit au niveau d'un téton et le mit dans ma bouche.

- Suce-les-moi, malaxe-les, triture-les, j'en meurt d'envie, mon fil adoré

Je ne me fis pas prier. Je me vautrais sur sa poitrine, la sucer de partout, mordiller ses tétons, les masser parfois durement, j'entendais des soupirs languissant de maman, elle appuyait parfois plus hardiment ma tête sur ses mamelons.

Je me branlais de plus en plus vite, maman le sentit et me dit

- Vient allons dans la salle de bains 1

Elle me prit la man pour m'emmener, en se levant j'ai eu le temps d'apercevoir sa chatte gonflée plus que d'habitude.

Elle avait un pas précipité, plus rapide qu'à l'accoutumé.

Elle s'asseyait comme toujours sur le bord de la baignoire m attira vers sa poitrine comme d'habitude en me disant

- Va continu occupes toi de ma poitrine et branle toi bien, j'adore ta bouche et tes mains sur elle, ainsi que te voir branler ton sexe m'excite et me fais mouiller ma vulve ardemment.

- Oui maman! moi aussi j'aime cela

Après quelques minutes, je me levais la bite dure et droite, je l'avais toujours en main, je me reculais et regardais maman nue assise le regard brillant. Mon désir d'elle me donna du courage et lui demandais

- Regarde maman l'excitation que tu me procures, tu aimes ma bite, maman? tu aimes me voir me masturber?

Elle me regarda droit dans les yeux, son regard changea, devint doux et enfantin. D'une voix douce elle répondit

- Oh! oui mon ange. J'aime ton sexe, il est beau majestueux et fort conséquent, tu es un beau mâle et tu m'émois tout le temps depuis notre changement de comportement. Crois-moi mon chéri! même au repos de ton membre.

- Quant à te voir te masturber? j'adore, oui j'adore cela me fait mouiller mon vagin et me donne une envie folle de me masturber en te regardant.

- Je ne me reconnais plus, je deviens sensuelle et sexuellement retournée par tout ce que nous faisons, toi et moi, dans le désir et l'envie.

Une voix rauque me vint par mon désir et je dis à ma mère d'un ton ferme

- Ecarte tes jambes!

- Pourquoi? me demanda-t-elle

- Pour voir ton pubis, ta vulve, ta chatte pour l'admirer, me rassasier de ta vue de ton joli minou. Je l'ai vu gonfler de désir tout à l'heure, alors ne me prive pas de sa vue. Tu profites bien de ma queue! maman adorée.

- Lorsque tu dis, ces mots hard, tu amplifies mon désir j'aime les entendre cela ne me choque pas comme à l'ordinaire.

- Je vais écarter mes cuisses, mon ange, mais tu me promets de ne pas me toucher.

- Oui maman promis! je regarde simplement comme tu fais toi avec ma queue

- Bien! alors voilà!

Elle s'exécuta lentement, mon désir de voir sa chatte grandissait au fur à mesure de son l'élargissement de ses jambes. Enfin, pleine vue du trésor tant attendu et espéré. Magnifique, sublime vision, chatte enflée, lèvres charnues gonflées. Je restais ainsi un moment, prunelles fixes, sans remuer un cil puis je levais mes yeux vers le regard de maman, il brillait davantage, elle souriait d'un air satisfait et joyeux. Tout son être me disait : regarde, mon fils! savoure le don de mon sexe à ta vue. J'exécutais avec délectation et sans retenue.

Durant cette observation minutieuse, je constatai que sa chatte avait des contractions, ses lèvres remuées, s'écartées je pus voir apparaître un petit trou au bas de sa vulve, il s'ouvrait, se fermer par des convulsions dues sans doute par le plaisir et le désir ressenti, par maman, à notre posture de don de nos corps et organes. Nous étions en osmose elle et moi. Un bonheur total!

Je me cajolais ma bite lentement pour ne pas partir trop vite et profiter longtemps de cette position et de l'état de feu de maman.

- Maman ouvre tes lèvres avec tes doigts que je puisse admirer ton minou avec sa mouille abondante qui en dégouline.

- Est-ce nécessaire? mon ange

- Oui! je pense pour le bien de nous deux. Toi d'abord car tu dois avoir une envie folle de sentir tes doigts sur ta chatte et moi pour admirer enfin le trou de tous les bonheurs ruisselant de cyprine de maman excitée par notre posture, tel que je le suis moi-même.

- J'ai peur que nous perdions le contrôle de la situation et de nous perdre.

- Je t'ai promis maman! pas d'attouchement sur toi de ma part.

- Met tes doigts sur ta foufounette et élargit tes lèvres, je t'en supplie

- Arrête avec ta foufounette, tu me troubles trop avec ce mot de ma jeunesse, je ne vais pas résister. Tu ne me toucheras pas! promis n'est-ce pas?

- Ma parole d'honneur!

Elle se leva, alla sur le fauteuil en osier, sur un coté de la salle de bains, pris son peignoir de bains, elle l'étala sur le fauteuil, le recouvrant en entier, fauteuil et coussin de siège. Elle s'assied, met ses fesses au bord du siège et s'alanguit sur le dossier. Ecarta ses jambes, se cambra pour me faire admirer son sexe et mis ses deux mains dans son entre jambes. Elle mit ses deux index de part et d'autre de ses lèvres remonta ses bras et écarta sa vulve lentement.

Sa vulve était en pleine exposition à mes yeux, j'admirais le rouge clair, l'orangé et le rouge vif et le rose de sa fleur entre les lèvres ainsi que ce trou magnifique toujours pris de contractions, le tout brillant de sa mouille qui faisait luire l'ensemble. Un filet de cyprine coulait de ce puits de mes désirs fous. Elle espaça davantage ses lèvres par le haut et j'ai devant les yeux son clito, bien tendu, bien gonflé quasiment blanc. Mon excitation était à son comble, mes rêves les plus fous se concrétisaient, du moins en visuel.

- Maman tu bandes, ton clito est tendu. Il est magnifique, tu as du plaisir à te montrer à moi, j'adore ta chatte maman, je prends sur moi pour ne pas me jeter dessus pour sucer, lécher, mordiller, embrasser, bref te bouffer le minou et mettre un, que dis-je deux, voire trois doigts dans ton vagin beurré de cyprine , je t'aime, tu es sublime mon amour de mère.

- Oui mon fils, j'aime cela, c'est incroyable, j'aime être en exhibition devant toi, oui mon clito bande fort je suis tellement stimulée par toi, ta queue, tes masturbations, tes jouissances, ton sperme, tu me rends folle de toi, de tout.

Je me suis mis à genoux, toujours ma bite entre mes doigts, bandante à dureté intense. Me rapprochant vers le siège, j'avais sa chatte à vingt centimètres de mon nez, j'étais à la première loge pour contempler l'objet de tous mes concupiscences.

- Maman! ne reste pas ainsi avec cette envie de jouir. Tu en as envie, je le vois, je le ressens très bien.

- Oui mon fils j'ai envie de jouir, fortement tu m'excites, tu ne peux imaginer. Tout cela m'échauffe. Tu peux le voir à ma chatte ouverte et suintante de ma mouille.

- Caresse-toi, caresse toi! ma merveille, fais-toi jouir maman.

- Trop intime, te montrer ta mère en train de se masturber je ne sais si cela est bienséant.

- Maman cela fait plusieurs semaines que je me branle de toi, que je jouis de toi devant toi.

- Je sais mon fils aimé et j'adore cela.

- Alors fais-moi ce plaisir, pour moi aussi, branle-toi et jouissons ensemble de nos désirs partagés l'un de l'autre.

- Tu as toujours de bonnes paroles pour battre mes deniers remparts.

Aussitôt fini de parler je vis l'index de sa main droite rechercher son clito le cernant en faisant des ronds autour de la tumescence de son clito. L'autre index faisait des allers-retours dans le sillon de ses lèvres. Les deux coinçaient le clito et la tête de celui.ci était apparente au-delà des doigts, des petits gémissements sortaient de sa gorge.

Sa tête dodelinait de droite à gauche, une main lâcha sa vulve pour aller sur ses seins, elles les triturer sauvagement.

- Oh maman! c'est merveilleux, c'est beau, tu es sublime dans ton désir, cela m'excite, ma bite est énorme tellement tu me fais bander.

- Lève-toi mon fils! que je puisse te voir te branler, voir ta grosse verge. Tout cela m'excite tant.

- Avec joie mais avant arrête de tenir un langage choyé dans un moment pareil, parle comme tes sens exacerbés te lance le message réel à ton esprit. Sois naturelle et sincère, nous le méritons toi et moi. Dis-je en me levant

- D'accord amour de fils! tu as raison, tu dois me voir et m'entendre tel que mon esprit m'envoie mes ressentis dans ces merveilleux moments.

- Regarde ma queue maman elle bande pour toi, sur toi.

- Oui chéri, ta bite me rend folle de désir, j'adore te voir te branler, voir ton foutre jaillir d'elle, j'apprécie que tu puisses regarder ma chatte que je branle par convoitise de toi, tu peux la voir baigner dans son jus, mon ange.

- Maman je ne vais pas tarder à jouir, trop attisé de voir ta moule enflammée qui mouille ardemment.

- Jouis mon salaud jouis sur moi, sur ta salope de mère qui n'attend que cela, je vais venir moi aussi. C'est trop bon, trop fou, démentiel, merveilleux.

- Maman, avoue que tu as envie de sentir ma bite en toi, dans ta chatte, dans ta bouche, avoue que tu en rêves et que tu en jouis rien qu'en y pensant, maman avoue le moi.

- Oui j'avoue, je me masturbe la nuit en pensant sucer ta bite, que tu baises ma foufoune avec ta grosse bite. oui je reconnais mes désirs de toi et même que tu m encules aussi, toute à toi je veux être.

- Merde, de t'entendre je ne peux plus tenir, je viens maman, je viens, j'éclate!

- Oui mon fils arrose moi, arrose ta salope de maman.

Je jouissais comme je n'avais jouit devant maman, j éclaboussais son corps de jets puissants et abondants. Il y en avait sur tout son corps, sa moule, son ventre, ses seins, sa figure et même dans ses cheveux.

J'entendis un lourd gémissement, des onomatopées en tout genre, ma mère se cabra, entra carrément sa main dans sa vulve, ses cuisses la serrèrent, un relâchement de son corps sa main en sortie et un flot d cyprine dégoulina de son vagin, j'étais émerveillé de l'orgasme de maman, de voir ce jus que j'aimerai pouvoir boire. Lécher ce sexe que j'adore, pétrir ces seins merveilleux, embrasser maman comme un dératé, la serrer dans mes bras, mais c'était impossible. Promesse oblige.

Après quelques secondes maman reprit ses esprits, me regarda, souriante, heureuse, un regard lubrique que je ne connaissais pas. Elle me regardait fixement, ses yeux m'envoyaient des émotions qu'elle ressentait, des défis qu'elle se lançait, étonnée de sa nouvelle inhibition, du courage d'être elle dans ses désirs fous. Je la vis ramasser avec son index du sperme sur ses seins elle me montra l'index et lentement le porta à sa bouche et dégusta mon jus, elle recommença jusqu'à ce que le plus gros des éclaboussements finirent dans sa bouche.

- De se branler face à face c'est quand même mieux que seule dans mon lit, j'ai aimé me montrer à toi en plein délire de ta queue me dit-elle je ne me reconnais plus, ce désir de nous me rend folle.

On resta un instant ainsi à se regarder sans bouger, nous nous regardions dans les yeux intensément, on essayait de pénétrer nos âmes afin de savoir jusqu'où nous pourrions aller ensemble tous les deux sans se bruler nos ailes.

L'atmosphère était tendue, tout risquait de basculer dans un sens comme dans l'autre, se jeter dans la luxure débridée ou bien finir une fois pour toute cette relation.

Une fois encore maman prit l'initiative de rompre cette tension en riant et disant

- Puisque nous sommes dans la salle de bains, prenons une douche et lavons nos corps des souillures de notre plaisir. Qu'en penses-tu mon ange?

- Excellente idée maman chérie! répondis-je en allant mettre en route la douche et régler la température de l'eau et pour ne pas être en reste pour évacuer la tension je me permis d'asperger maman avec un coup de jet de pomme.

- Mon voyou, attends que je m'empare de la pomme et tu verras! dit-elle en riant.

Elle arriva sur moi en riant, souriant aussi, nous étions deux gamins chahutant ensemble.

Une fois à son contact je posai la pomme, mis en fonction la pomme fixe sur nos corps nous étions sous la pluie de la douche. Je sentais ses seins contre ma poitrine, ceci eut pour effet de tendre à nouveau mon sexe. Maman devait sentir cette érection sur son ventre, je baissais mes mains et le posais délicatement sur son fessier bien rond, ferme, doux au toucher. Nous restâmes ainsi plaquer l'un contre l'autre maman sa nuque en arrière se laissant mouiller par la pomme souriante et de ce fait nous nous collions davantage avec nos ventres. Elle fit comme si rien n'était, riant de plus en plus fort. Elle m'écarta d'un coup, je me trouvais donc éloigner d'elle sexe tendu, maman se mit à virevolter sous la douche en tournant de plus en vite souriante et me regardant à chaque tour, je la vis pour la première fois, depuis toujours, heureuse insouciante libertine comme une jeune fille enchantée.

Je la regardais enjoué avec un regard d'amour fou et lui-disant

- Maman tu es superbement merveilleuse!

- Merci chéri! tu es aussi superbement merveilleux. Tu es splendide!

- Tu dis cela pour être agréable lui répondis-je

Elle s'arrêta dans son mouvement, me regarda et dit

- Non c'est plus que sincère, je te trouve beau et merveilleux, tu me rends folle avec ta beauté.

- Toi aussi maman chérie

- Arrête de me donner de la maman. Appelle-moi par mon prénom s'il te plait! dis-moi Aurélie chérie