Découverte à Cosne

Informations sur Récit
la jeune femme qui va se découvrir...
12.1k mots
4.17
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2
Récit n'a pas de balises

Partie 1 de la série de 4 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 03/11/2019
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À vrai dire je ne sais pas où commencer mon histoire...Je veux expliquer mon cheminement. Comment, moi Emmanuelle B, dentiste, je suis devenue une accro de la jouissance. Qu'est-ce qui a fait que je suis ce que je suis. Qu'est-ce qui fait que je ressens tellement et tout le temps ce besoin fondamental de jouir. C'est devenu avec les années aussi important pour moi, presque que de respirer. La jouissance est sous certains aspects une sorte d'oxygène qui me nourrit.

Alors j'ai décidé de coucher sur papier certains évènements, de me raconter le plus franchement possible. Il est bien possible que mes propos heurtent bien des âmes sensibles, mais je veux aller au bout de cette démarche d'introspection. Je veux savoir pourquoi, comment je suis devenue femelle plus que femme....et pourquoi je me sens si bien ainsi, pourquoi je suis totalement à l'aise dans cette pute que je suis.

Emmanuelle B.

Le départ d'Emmanuelle pour Cosne

J'ai aussi en mémoire ce stage que j'ai fait à ̀ Cosne....C'est sans contredit l'évènement le plus marquant de ma vie, de ma transformation de jeune fille bcbg en salope et en accro de la jouissance.

Je le raconte, au meilleur de mes souvenirs, et comme cela s'est passé ́. Encore ici, je veux avertir les lecteurs que des propos pourront en choquer quelques uns. Mais je me dois de poursuivre mon introspection, de connaitre le cheminement qui a fait de moi ce que je suis aujourd'hui.....une vraie pute...une femelle accro de la jouissance! Et c'est lors d'un stage que j'ai fait à Cosne sur Loire que s'est produite ma transformation la plus radicale, et cela hors de tout doute!

C'était un vendredi. Je m'en souviens comme si c'était hier.

Tant de chose ses sont passées. Tant de chose, de faits m'ont alors marquée. Si je suis la salope que je suis, si je dois jouir pour continuer de vivre c'est beaucoup entre autre à cause de cette expérience que j'ai vécue lors de mon premier remplacement à Cosne sur Loire.

J'avais terminé mes études en fac et j'avais besoin d'un grand bain dans la vie active loin de la famille, alors j'ai sauté sur ce remplacement de 3 mois

Mon prof préféré à la Fac, M Philippe m'avait suggéré ce stage à Cosne sur Loire.

-« Tu verras Emmanuelle, tu adoreras. Les dentistes sont très bien et de chics types. Il y a le Dr Jean- Jacques, le plus âgé, mais d'une telle compétence en particulier en chirurgie. Il y a aussi Dr Bernard très fort en endodontie. On était de la même promo à la Fac et on est toujours demeuré de très bons amis. Il y a aussi Dr Thierry qui est titulaire d'un diplôme américain de parodontologie et bientôt enseignant ici. Tu trouveras un plateau technique exceptionnel et des assistantes compétentes, même si la plus ancienne Thérèse est capable d'autoritarisme et d'aspect revêche (elle protège soigneusement ses trois docteurs, attention à ce que tu lui diras!) Ca fait tellement de temps que j'y vais! »

-« Je leur ai parlé de toi, de ton talent...et de tes charmes...... »

Emma rougit en entendant ces derniers mots...

-« Mes charmes se dit-elle? »

-Professeur Philippe, vous blaguez? Je suis et je me considère très ordinaire et dans mon cours il y en avait de bien plus jolies que moi.

-« Non, sérieusement Emmanuelle, je t'ai toujours trouvée très différente des autres filles de la fac...J'aime ton allure. J'aime ta façon d'analyser les problèmes, avec ton petit nez retroussé .J'aime aussi ta façon très classe et très simple de te vêtir. Tu ne fais pas vraiment le type de la dentiste professionnelle, tu sais! »

-« Euh....euh...Professeur Philippe, je vis comme je sens que je dois vivre. Et j'aime aussi les jolis vêtements. Je me sens mieux et je pense vraiment que je fais un meilleur travail quand je suis bien à mon aise dans ce que je porte. Je sais bien que ça rend certaines filles un peu jalouses. Je sais aussi que plusieurs collègues aimaient bien faire des labos avec moi. Et plus d'une fois j'ai senti leur regard insistant...Mais je vous jure que jamais je ne l'ai fait exprès Professeur. Jamais! C'est ma façon naturelle d'être. Je suis comme ça depuis que je suis toute petite. Déjà en 5ème et en 6ème, je voulais toujours m'habiller pour que je me sente bien. Et je me sens bien quand je me sens belle. Et quand je me sens belle....ben...faut croire que d'autres me trouvent aussi belle!.... Que je lui dis en éclatant de rire! »

-« Oui, j'ai bien vu ton armée de soupirants et ce depuis ton entrée à la Fac...et je dois dire qu'ils n'ont pas tout à fait tort! »

Je rougis quand le professeur Philippe me dit ça......Il est bel homme et il a toujours été si gentil avec moi. Grand, les traits bien définis, anguleux les yeux noirs, très noirs, d'un chic fou. Ce qu'il a dû en faire pleurer des minettes quand il était plus jeune...et même maintenant, avec des étudiantes (il ya des bruits qui courent sur des réussites surprenantes à des écrits!!)

J'ai toujours l'impression qu'il peut voir au travers de mon linge, qu'il devine ce que je pense....Et il m'a toujours attiré, dès mes premiers jours à la faculté. Il est marié. Il a 3 enfants et on dit de sa bonne femme que c'est tout le contraire de lui. Dans notre discipline dentaire le nombre de divorce pour prendre une jeunette, assistante ou étudiante! Mais si j'ai du respect et soupçon de tendresse pour lui, je ne me vois pas faire « l'affaire »

Ces idées m'effleuraient l'esprit alors qu'il me regardait en souriant.

Devine-t-il ce que je pense que je me dis?...Il y a un trouble qui s'installe en moi....Et pourtant, jamais il ne m'a fait aucune approche. Jamais il n'a tenté de me tasser dans un coin, ou de me pelotter ou de se frotter sur moi.

Pas du tout comme le prof Didier, un gros puant avec des doigts graisseux et qui a tellement de fois tenté de me....Tiens la première année, il m'avait au bout d'un mois fait venir à son bureau après les cours, question de me donner un coup de mains!!

Oui, quel coup de mains...

On était assis dans son bureau. Je me sentais toute petite devant lui. J'avais ce jour-là une robe qui m'a alors semblé tellement petite. Et il me zyeutait. Et je tentais de rabaisser le bord de ma robe sur mes genoux. Mais elle était courte...et sans vergogne, il s'arrêtait de parler, et fixait mes genoux croisés que je m'efforçais de garder bien serrés. Et j'avais aussi remarqué au bout d'un certain temps que son bras droit, derrière son bureau bougeait....Je n'osais trop regarder. Entre chaque question sa respiration devenait plus sifflante....ses mouvements s'accéléraient.....Je me souviens que je m'étais alors dit que le vieux cochon se branlait devant moi, caché derrière son bureau!!! J'étais alors restée bouche-bée! Je voulais quitter son bureau et je me préparais à me lever.

-« Reste assise Emmanuelle....j'ai encore d'autres conseils à te donner. » Et il s'était levé de son gros fauteuil pour venir me rejoindre!!

J'étais terrorisée. Je n'osais le regarder dans les yeux. J'avais cependant remarqué, dès qu'il s'était levé la grosse bosse que devait faire sa queue dans son pantalon...et sa chemise était à moitié sortie de celui-ci!

En s'approchant de moi, il avait fait un geste pour remettre sa chemise en place en me regardant droit dans les yeux.

-« Tu penses que tu m'excites gros porc que je m'étais dit...Viens....Montre-moi!!!...mais fais gaffe à Emma....si tu te sors la queue mon bonhomme, je te flanque un coup de genou dedans....Tu verras bien...que je m'étais dit..... »

Et en passant derrière mon fauteuil, en se penchant sur mon décolleté, il avait négligemment posé sa paluche sur mon épaule. Je l'avais délicatement et calmement pris entre pouce et index et soulevée, et ôtée de tout contact avec mon épiderme et mes vêtements avec un air de dégoût pincé (j'étais à deux doigts d'hurler), il avait coupé court à notre rencontre très rapidement. Je l'avais entendu alors mettre le verrou dans sa porte....Et curieuse comme je suis, j'étais restée toute proche. Personne dans le corridor. Je m'étais approchée plus près de la porte...Toujours personne....J'avais collé mon oreille sur la porte....

« Petite salope d'Emma....tu as voulu m'exciter puis tu as changé d'idée, que je l'ai entendu grommeler, pester...Et bien tiens je vais te foutre ma grosse queue dans ta bouche et tu vas me la sucer..... »

Et je l'entendais gémir. J'étais sûre qu'il avait baissé son pantalon et qu'il se branlait en me parlant comme si j'étais là...

-« Allez salope suce moi ma queue....et puis ouvre moi tes jambes que je te vois tes trous de salope pour y fourrer ma grosse bite dure.... »

Et il gémissait encore plus fort.....

Je surveillais le corridor, mais j'étais attentive à ce qui se passait de l'autre côté...attentive...et bientôt incapable de décoller mon oreille.....et avec cette chaleur qui avait envahi mon bas-ventre...cette chaleur que je connaissais bien....

-« Merde ce vieux salaud m'excite et me fait mouiller que je m'étais dit...Allez enfonce-la ta grosse pine sale dans ma fente, vieux porc!!...Fourre moi....que je me disais dans ma tête alors que je l'entendais gémir! »

....Et ma chatte gonflait...je le sentais...et mon clito me suppliait d'y toucher...

Et puis un grognement........le vieux salaud jouissait.

-« Emmanuelle, je me vide de mon foutre dans ta chatte de salope...allez prends le tout... » J'étais toute rouge et ma main avait commencé à frotter le mince tissu de cette trop courte jupe.

Mais j'entendis alors des voix dans le corridor. Ça m'a aussitôt refroidie. Et je me suis sentie surprise d'avoir été excité par ce vieux cochon.

J'ai quitté son bureau, mais mes talons faisaient un peu de bruit...et avant que je tourne le corridor, j'ai entendu la porte de son bureau s'ouvrir...et je suis sûre qu'il a vu que j'avais été là......

Ce souvenir était passé dans ma tête comme un éclair...une fraction de seconde, alors que je discutais avec le prof Philippe et que je pensais à tous ses attraits, lui qui n'avait jamais tenté quoique ce soit avec moi!

-« Dis donc Emmanuelle tu rêves que je l'entends me dire? Tu m'écoutes? Et ce remplacement alors?»

-« Excusez-moi prof Philippe j'étais dans la lune, mais c'est sûr que votre offre de remplacement à Cosne assortie d'une recommandation de vous me fait le plus grand plaisir. J'hésitais encore entre 2 ou 3 endroits....vu ce que proposent vos amis au plan professionnel, ça change alors tout Monsieur!»

-« Et de très bons et vieux amis....je les visite régulièrement....Si tu acceptes, il est fort probable que tu m'y vois. J'adore prendre ma voiture et quitter la maison pour un week-end et aller rejoindre Bernard...et les autres, me dit-il avec un sourire et ce que je perçois comme un clin d'œil.... »

Et c'est ainsi que j'ai annoncé à ma famille que je quittais pour un remplacement de trois mois en Bourgogne.

Le Dr Bernard, à qui j'avais causé au téléphone à plusieurs reprises m'avait proposé en plus d'un pourcentage plus que correct sur mes honoraires l'utilisation d'un grand deux pièces appartenant au cabinet et situé dans le même bâtiment (un ancien corps de ferme qui constituait un carré de plus de 20 m de côté) et qui servait à accueillir amis et confrères lors de conférences.

-Tu seras la bienvenue Emmanuelle... C'est si grand ici que mon ami Philippe y loge depuis des années et qu'il séjourne ici à chaque fois qu'il descend à Cosne... »

Que pouvais-je demander de mieux. Ces hommes de Cosne étaient charmants. Ils avaient une très bonne clientèle. Il faisait avec sérieux de tout. Pas comme dans les grands centres où les dentistes souvent ne font que de la dentisterie générale, plomber et replomber encore et encore des caries! À Cosne, le groupe de dentiste que je joignais faisait de tout, endodontie, parodontologie, chirurgie buccale orthodontie etc....Ça me serait tellement utile pour ma carrière! Situation gagnante sur tous les points.

Et j'avais fait ma valise. Ou je devrais dire mes valises. J'ai toujours aimé le linge, la lingerie, les dessous....toujours. Et j'avais tout vidé mes tiroirs à la grande surprise de maman.

- « Emma, tu nous quittes pour quelques mois!!! Tu as apporté du linge pour toute une année! Tu es sûre que tu as besoin de tant de jupes, de chemisiers, de soutiens....?? Que me dit maman avec un peu de mépris dans son visage. »

Elle pouvait alors voir ma grande valise ouverte sur mon lit...et tous mes vêtements de dessous bien alignés dedans....

- « Tu as de ces vêtements!! Si tu n'étais pas ma fille Emma, je te prendrais pour une pute avec tous tes dessous, qu'elle ajoute de sa voix que je connais tant et depuis si longtemps! »

-« Maman, stp, laisse-moi faire ma valise et je te ferai remarqué ma très chère mère que tous ces vêtements je les ai achetés avec mes propres sous.... Papa m'assurait régulièrement d'avoir assez d'argent ...mais maman n'avait pas besoin de savoir qu'il me donnait plus que ce qu'il prétendait.

Et puis grâce à mon grand père paternel, j'avais ma voiture (une dyane rouge qui était sa deuxième voiture de médecin en Bretagne et comme il avait diminué son exercice, il me l'avait donnée)

Mais comme papa assurait aussi mes études, j'avais toujours travaillé pendant l'année (baby sitter) et pendant les vacances (banque et bureau) pour m'assurer le choix de mes vêtements et mes sorties. Mais la gâtée de la maison et surtout de ma mère, c'était Marie, ma petite sœur chérie!!!.... »

Maman avait alors quitté ma chambre en claquant la porte!

-« De toutes façons Emma, tu es tout le portrait de ta tante (sa sœur à qui elle ne parlait plus depuis 10 ans au moins, pour une histoire dont je ne savais pas tout) qui a des mœurs plus que légères! Et comme elle ne pouvait s'en empêcher elle médit aussi de papa : Belle fin de carrière qu'il se prépare ton père, s'il n'est pas congédié d'ici peu à cause de son alcoolisme! Que maman avait ajouté avec mépris juste en claquant la porte..... »

La séparation le vendredi soir avait été plus difficile avec mon père.

Il pleurait comme si je ne reviendrais jamais. Il avait bu dès son retour du bureau (grosse filiale de la COGEMA qu'il dirigeait) et ça me chagrinait tellement. Et il me prit dans ses bras, me serrant très fort et en répétant comme il m'aimait....

-« Prends bien soin de toi mon ange, ma belle Emma...et tiens moi au courant...et donne-moi un coup de fil dès que tu arrives à Cosne que m'a dit papa.

Le lendemain matin à 6 h quand je me suis levée, il était déjà parti pour son bureau, mais il y avait une enveloppe dans mon sac avec 500F! Marie était excitée de ma voir partir et est venue me faire un câlin et m'a aidée à charger ma Dyane garée dans la cour de l'immeuble (ancien hôtel particulier en plein marais)

J'étais habillée pour voyager tranquille, en ce début juin, jean et pull col v très fin.

Pour ne pas choquer ma mère, j'avais mi un soutif sous ce chandail, mais aussitôt hors de sa vue, je l'avais retiré pour être plus à mon aise.

La route serait longue...presque 200 kms...il faisait beau...j'étais contente de mon sort...je me sentais si bien dans ma peau.

Il faisait grand bleu. Et hop au premier virage, j'ouvrais le toit de ma Dyane et mes deux fenêtres avant. J'avais aussi mis ma radio à tue-tête sur un poste de musique disco et je chantais fort en roulant.

Je sentais ce soleil chaud sur ma peau...je sentais ce vent sur ma poitrine....et rapidement mes tétons, si sensibles, étaient tous sortis au travers ma blouse.

J'ai toujours eu les tétons facilement érectiles et très sensibles. Négligemment, en conduisant, je le caressais au travers mon chandail. Je me surprenais à vouloir les faire bander encore plus. Ma main gauche sur le volant, ma main droite sur mon tétin droit à le caresser, à le pincer, à le faire rouler entre mes doigts, fixant la route et ressentant ce plaisir....

Et puis un coup de klaxon, alors qu'un immense camion me dépasse et demeure à mes côtés sur la route. Je vois 2 immenses types qui se rincent l'œil en me regardant au travers mon doigt me flatter mes tétons....Il me font des clins d'œil. Ils me font des gestes avec la main de se branler. Ils ouvrent aussi la bouche en mimant de me sucer....

Je rougis, j'ai envie de disparaître au plus profond de la banquette de ma Dyane, mais j'ai aussi une immense chaleur qui envahit mon ventre mes seins. Dans mes fantasmes les plus fous je n'avais osé penser à cela, je me sens faussement à l'abri, je ris...Et je ne veux pas les priver...

La route devient plus large et à 3 voies.....On est presque au milieu de nulle part...Je suis grisée par le soleil, le vent, par le travail que je vais faire.....et par ces deux mecs gentils qui me trouvent excitante....

Alors je ralentis un peu ma voiture...Ils sont toujours à côté de moi à rouler plus lentement eux aussi. Ils semblent avoir compris que je me sens perdue. J'aimerais peut-être arrêter en bordure de la route...J'y songe même.....Ils sont mignons....Ils me désirent....Je le sens...je le vois...

Ils montrent le prochain panneau d'aire de repos... ils insistent... je m'embrouille la tête avec des élans forts dans mon corps...je me décide......Je mets mes clignotants et leur indique que je vais me garer à l'aire de repos qu'on vient de signaliser et qui se trouve à moins d'1 km de là.

Les mecs comprennent très vite et me font signes avec leur pouce qu'ils ont tout compris.

L'aire de repos arrive...Je ralentis...Eux aussi ralentissent leur camion qui roule maintenant derrière moi. Je peux les voir dans leur rétroviseur qui se parlent en riant....et en se disant probablement qu'ils ont frappés une super nana et qu'ils en auront pour leur argent!

J'arrête ma voiture. Le camion freine tout juste derrière moi. Nous sommes seuls dans cet aire de repos.

Je reste sagement assis dans ma Dyane. Je vois tout dans mon rétroviseur.

Les 2 types sortent enfin...Ils sont solides, de gros et grands gaillards.....et mon entre-jambe en frémit.....

Ils arrivent à ma hauteur.

-« Alors ma belle, on a des envies?? Tu nous chargerais combien pour une pipe? Que me dit le chauffeur, un peu plus âgé que l'autre, dans la trentaine et certainement un magrébin? »

L'autre, celui qui m'a vu le premier est un peu plus jeune, très costaud, très bien baraqué...Et je réalise rapidement qu'ils sont bien pourvus par la nature. On peut voir la marque de leurs queues dans leur jeans...Chez tous les deux, la queue semble grosse et bandée et descends du côté gauche sur le haut de leur cuisses. Tous les deux portent à gauche!....mmmmmm que je pense...

Ces types me prennent pour une pute et veulent me payer pour mes services que je me dis, je panique intérieurement en me sentant si chaude moi la bourge de 22a au passé d'amante de salon huppé, mais encore plus excitée, je me lance et je décide sur le champ de jouer le jeu ...

-« Je ne fais pas de pipe, mais je peux vous laisser me prendre mes tétins et je veux vous voir vous masturber et décharger votre foutre devant moi....Et comme je suis gentille et que vous semblez gentils aussi, ça ne sera que 50 F pour vous deux! »

-« Pour 100 Fr, tu nous montre ta chatte petite salope, que me dis le plus jeune qui est aussi le plus beau? »

-Panique à bord, rougeurs généralisées et érection violente de mes tétons, (en fait je rêve et pense in petto que cela pourrait être un film porno dont je serais la vedette!)

-«Allez, c'est bien parce que vous êtes vraiment gentils, et pour 100 Fr, je vais vous la faire voir aussi...mais il faudra rester respectueux » alors que je soulève mon pull col V.

Je suis assise sur mon siège, la portière ouverte les pieds sortis...Mon pull est ôté ....

-« Allez les mecs, sortez-moi vos engins....que je leur dit en souriant...c'est dans le contrat! »

Aussitôt dit, aussitôt fait.

Les deux types ne se font pas prier et en moins de deux, ils ont déboutonné leur jeans et fait sortir leur gros phallus.