De vierge à décharge de sperme

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L'évolution d'une jeune fille...
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Ceci est une histoire donnant une image dégradante de la femme. Si vous n'aimez pas ce genre d'histoire alors ne continuez pas votre lecture.

Traduction avec l'autorisation de l'auteur dreamweaver5539 de son histoire "The cum dump" . Merci.

**********************************************************

Je vais vous raconter comment j'ai rencontré Angela, ma nouvelle meilleure amie. Elle avait une histoire intéressante et j'ai réussi à lui faire raconter. Je vais vous la répéter. Je suis sûr que cela ne la dérange pas,

Il y a quelques mois, mon beau-fils âgé de 20 ans est revenu à la maison avec une femme que je n'avais jamais vu avec lui auparavant. Elle faisait plus proche des 30 ans que des 20. Je fus curieuse de savoir qui elle était. Elle était blonde avec des cheveux qui lui arrivaient aux épaules. Elle était mince et très jolie. De taille moyenne avec de longues jambes, elle avait un petit cul bien rond et des seins qui devaient faire du 85B.

Alors que son visage respirait l'innocence, sa tenue indiquait le contraire. Elle était vêtue d'une mini-jupe noire et serrée et d'un tee-shirt sans soutien-gorge au-dessous. Quand elle m'aperçut assise dans le salon, elle me sourit et baissa les yeux comme si elle avait honte. Je savais que je l'avais déjà vu quelque part mais je ne pus me rappeler.

Matt me lança un petit bonjour et tira rapidement la femme dans l'escalier qui monte à sa chambre, ses talons aiguilles cliquant sur le sol.

Je fus surprise d'entendre presque immédiatement le cadre de lit de mon beau-fils taper en rythme contre le mur de la chambre. C'était bien le genre de fille à laquelle je pensais. Je fus tout aussi surprise quand le bruit cessa peu après. Je pensais qu'ils étaient essoufflés. Peu après, le couple était de retour en bas des marches et se dirigeait vers la porte d'entrée. Voyant la femme plus nettement, je me souvins où je l'avais vue auparavant. Elle venait souvent à l'église avec son père et son mari. Je savais que son père était quelqu'un de bien mais strict et sévère. Le comportement de sa fille me surprenait beaucoup. Quand Matt ouvrit la porte, je me levai et lui demandai :

- Où vas-tu Matt? Tu viens juste de rentrer?

- Il faut que j'aille à l'entrainement. Je ne dois pas être en retard. Répondit-il.

- Est-ce que ta nouvelle amie doit t'accompagner ou elle peut rester un peu?

Matt haussa les épaules et la jeune fille essaya de trouver une excuse pour partir. Mais je la saisis par le bras et j'insistai :

- S'il vous plait, restez un peu. J'aime bien discuter avec les nouveaux amis de Matt.

Sur ce Matt partit, laissant la jeune femme debout avec moi, rougissante et clairement honteuse de ce qui s'était passé plus tôt.

- Asseyez-vous! Lui dis-je en lui montrant le fauteuil en face du canapé où je m'assis.

- N'êtes-vous pas la fille de M. JACOBS? demandai-je.

Elle hocha la tête doucement tout en fixant ses pieds, incapable de me regarder dans les yeux. Je relevai son visage en soulevant son menton et je lui dis :

- Regardez-moi quand je vous parle.

Elle acquiesça, ses yeux humides fixés sur les miens.

- Je sais que votre père est un homme bien, un homme pieux. Et votre mari semble être un assez beau garçon. Alors pourquoi avez-vous baisé avec mon fils?

Ses yeux retombèrent sur ses pieds. Alors je la saisit par les cheveux pour lui relever sa tête et je lui demandai d'une voix forte :

- Dites-moi pourquoi vous êtes venu baiser mon fils sinon je vais voir votre père et je lui raconte!!!

Cette menace lui fit venir les larmes aux yeux et elle murmura :

- J'ai tellement honte, je suis humiliée. S'il vous plaît ne dites rien à mon père. Je vais tout vous dire. Je ferais ce que vous voudrez mais ne dites rien à mon père s'il vous plait.

Je la lâchai et la calmai en lui offrant un verre d'eau. Puis je la laissai me raconter son histoire.

Elle me dit qu'elle s'appelait Angela et elle m'expliqua comment son mari l'avait transformé d'une vierge timide à l'âge de 18 ans en un « sac à foutre » aujourd'hui (ce fut ses propres mots).

Elle commença à me raconter sa vie et sa situation.

Mon père est un homme très strict et dominateur si bien qu'à 18 ans j'étais une fille douce et vierge. A cet âge, je n'avais encore jamais embrassé un garçon et j'étais toujours habillée de façon stricte. Les garçons ne s'intéressaient pas à moi. A l'université, j'ai rencontré quelques filles qui m'ont aidée à sortir de ma coquille, à me maquiller et m'habiller un peu plus à la mode. Et surtout, elles m'ont présentée à certains garçons pendant des fêtes. A une de ces fêtes, j'ai rencontré le garçon qui allait devenir mon mari.

Paul était un peu plus âgé que moi, beau et charmeur. Il n'a fait attention à moi que lorsque nous avons été présentés par un ami commun. Je suis tombée amoureuse instantanément. Enivré par quelques boissons, nous nous sommes retrouvés sur la balancelle à l'arrière de la maison. Je lui ai même permis certaines choses en dépit des avertissements de mon père qui disait que les garçons ne voulaient qu'une chose.

Nous nous sommes embrassés profondément et il a glissé sa langue dans ma bouche. Je l'ai accepté et je n'ai pas bronché quand il a placé sa main sur mon genou nu. Haletante, je n'ai pas résisté non plus quand il a posé sa main sur ma poitrine et qu'il a commencé à caresser mes seins à travers le tissu de ma robe et du soutien-gorge.

Mais quand il a essayé de glisser sa main sous ma robe, je lui ai demandé qu'il arrête. En parfait gentleman, il n'a pas tenté d'aller plus loin et nous avons passé le reste de la nuit en baisers et caresses innocentes.

Après cette première nuit, nous sommes devenus inséparables.

J'avouai rapidement à Paul que j'étais encore vierge et que je n'étais sorti avec aucun homme encore. Je lui décris la stricte éducation religieuse que m'avais donné mon père, son caractère dominateur qui faisait que je ne pouvais sortir de la maison pour rencontrer des amis.

Je dis à Paul que j'étais devenue réservée et timide.

Je fus surpris quand Paul me répondit que mon innocence et ma pureté le touchait profondément et qu'il était heureux d'être le premier homme dans ma vie.

Je lui dis que nous pourrions nous aimer mais que je voulais rester vierge jusqu'au mariage. Il accepta cette condition mais posa les siennes ainsi que ses attentes. Il me dit que je devrais être prête à explorer avec lui notre sexualité, qu'il y avait d'autres formes de contacts sexuels, et que je devrais lui faire confiance et lui obéir sans poser de questions.

Je fus excitée par ces termes. Mon éducation avait fait de moi une soumise qui fantasmait d'être contrôlée sexuellement par un homme. Alors je m'empressai d'accepter.

Paul fut doux et lent, me laissant apprendre et explorer mes désirs sensuels à mon propre rythme. Un jour, je lui offris mes seins qu'il caressa et suça avec tant d'amour que je priai pour avoir plus. Il me demanda si mon sexe était mouillé et j'admis que oui. Il me dit que je devrais jouer avec moi-même. En m'embrassant et me caressant les seins, il ajouta que lui aussi il jouerait avec son corps.

Je me couchai en arrière, laissant ma tête reposer sur l'oreiller et mes seins exposés pour son plaisir.

Glissant ma main sous la robe, je commençai à me toucher sous ma culotte pendant que Paul jouait avec mes mamelons. Il tira son pantalon et commença à caresser son pénis raide. Je n'en avais jamais vu auparavant et je trouvai que c'était un objet fascinant. Il remarqua mon regard fixé sur son entrejambe. Alors il se déplaça légèrement vers le haut pour que j'ai une meilleure vue.

- Aimes-tu regarder mon pénis. Demanda-t-il.

- Oui Paul. Marmonnai-je timidement.

Paul se mit à genoux à côté de moi pour que je puisse mieux voir. Je le regardai tandis qu'il pompa sa grosse tige charnue. Il mit son sexe à quelques centimètres de mon visage et dit qu'il ne savait pas s'il pourrait attendre pour me former à sucer une bite et à utiliser ma bouche pour faire plaisir aux hommes.

La vue de sa grosse queue ainsi que ses paroles m'excitèrent tellement que je me mis à frotter mon clitoris plus énergiquement sous ma robe. Je lui avouai :

- Je veux être la femme parfaite pour toi mon amour. Je veux que tu me formes pour que je sois la partenaire sexuelle idéale pour toi.

- Tu acceptes d'être formée comme mon jouet sexuel, de me laisser t'utiliser de la façon que je veux et d'obéir à toutes les fantaisies sexuelles que je t'ordonnerais? Demanda Paul, curieux.

- Mon père et l'église m'ont appris à être soumise et obéissante à mon homme et mari. Donc, tu peux me former à n'importe quel acte sexuel que tu désires. J'obéirai à tous les ordres sexuels que tu donneras. Je te promets d'être une amante soumis, à obéir aux ordres et à me soumettre sexuellement à tous tes fantasmes.

Bien sûr, à ce moment-là j'étais encore naïve et je n'avais aucune idée des perversions et fantasmes que les garçons pouvaient avoir. A l'époque cela me semblait bien innocent. Mais avec ces mots, j'avais scellé mon destin.

Paul, m'ayant vu me caresser frénétiquement sous ma robe me demanda, en digne gentleman, s'il pouvait soulever ma robe et me voir jouer avec mon sexe. En signe de consentement, j'écartai les jambes plus largement. Il remonta ma robe sur mon ventre. Il caressa la chair tendre de mes cuisses en me regardant me frotter le sexe sous ma culotte. Il tenta de glisser ses doigts sous mon sous-vêtement mais je lui giflai la main, le privant de cette aventure si tôt dans notre relation.

Contraint de me caresser les jambes nues en me regardant me caresser la chatte, il se masturba et fut bientôt prêt à éjaculer.

- Puis-je éjaculer sur tes seins bébé? Laisse moi jouir sur tes seins magnifiques. Gémit-il.

N'ayant jamais vu d'hommes éjaculer, je fus excitée par l'idée :

- Oui Chéri, tu peux jouir sur mes seins. Haletai-je.

La vue des giclées de sperme sortant de son pénis et s'écrasant sur mes seins provoquèrent mon orgasme et je laissai échapper un long cri.

Allongés côte à côte, nous échangeâmes un long baiser intime. Il me prit dans ses bras pour me bercer et il me demanda s'il pouvait lécher les doigts qui m'avait donné du plaisir. En lui tendant ma main, je lui dit :

- Quel garçon vicieux!

- Tu n'as aucune idée des plans coquins que j'ai pour toi. Dit-il calmement.

Je ris en réponse. A ce moment je n'avais pas la moindre idée des choses extrêmes qu'il avait prévu pour moi.

Comme vous pouvez l'imaginer, notre relation passa à une vitesse supérieure. Paul put bientôt enlever ma culotte pour me regarder me masturber et lécher mon vagin. Il m'apprit à sucer sa bite et il me convainquit d'avaler son sperme. J'aimai exécuter la position qu'il appelait un 69, écartant mes jambes et offrant ma chatte à sa langue tandis que je me régalais sur son engin.

Et quelques mois plus tard, je reniai ma résolution de rester vierge jusqu'au mariage. Librement je lui offris l'entrée de mon vagin.

Après le premier rapport sexuel, je trouvai que je n'en avais jamais assez. J'étais contente e ne pas avoir attendu le mariage et je voulais qu'il me prenne sans cesse. J'ai souvent été choquée de la façon dont je m'offrais sans retenue à Paul. Dès que l'occasion se présentait, j'ouvrais les jambes : dans sa chambre à l'université si son colocataire n'était pas là, à la bibliothèque cachée derrière une étagère, dans la cage d'escalier tard dans la nuit, ou encore dans ma propre chambre de dortoir.

Quand il verrouillait la porte de celle-ci, je levais ma jupe et descendais ma culotte avant même qu'il soit au milieu de la pièce. Je m'allongeais sur le bureau, la robe tirée sur mes hanches, les jambes écartées pour lui montrer mes petites lèvres humides et je le suppliais :

- Paul s'il te plait, aime-moi.

- Baise-moi. Dit-il un jour.

- Pardon? lui demandai-je.

- Quand nous avons des rapports sexuels passionnés pendant un long moment ça s'appelle aimer. Mais si nous avons un rapport rapide, juste pour le plaisir, cela s'appelle baiser.

Comme je compris la nuance je me suis entendu crier :

- Alors baise moi Paul. S'il te plait baise moi juste.

Je présentai Paul à ma famille et ils l'ont bien accueilli. Mais ils insistèrent sur le fait qu'il avait sa proche chambre lorsqu'il resterait. Je dis à mon père que nous avions tous les deux décidé de nous réserver pour le mariage. Mon père embrassa mon front et me dit qu'il était fier de moi et qu'il savait qu'il avait élevé une bonne fille.

Sur le coup, je me sentis très mal et déçu de lui avoir menti.

Mais quand mes parents furent partis faire des courses, Paul et moi nous sommes rapidement déshabillés et nous avons baisé dans chaque pièce de la maison. Il m'a baisé dans mon lit où je dors depuis que je suis petite. Il m'a prise en levrette sur le lit de mes parents. Il m'a baisé assise sur le comptoir de la cuisine où ma mère passe sa journée à préparer les repas. Il m'a baisé sur la table de la salle à manger où nous dinons tous. Je l'ai chevauché dans le canapé où ma mère tricote. Et il m'a baisé assise, les jambes écartées dans le fauteuil en cuir préféré de mon père.

Quand Paul éjacula dans mon vagin, son sperme et mes secrétions vaginales tombèrent sur le cuir du fauteuil de mon père. Regardant je me suis dis « Mon amant vient de baiser la chatte en feu de la précieuse fille à son père et il vient d'éjaculer dans son vagin accueillant sur le siège préféré du vieil homme ». Je pensai à toutes ces années sous l'emprise de mon père, son éducation stricte et sa volonté d'avoir une famille soumise et obéissante.

Eh bien, aujourd'hui, j'avais un autre homme à qui obéir aveuglément, à servir comme une fille soumise. Est-ce que mon père pourrait comprendre que ces années d'abus m'avaient formé à assumer le rôle d'un jouet de baise contrôlé par un autre homme. Et comme je le comprendrai plus tard, à assumer volontairement le rôle d'un « sac à foutre » obéissant.

Je laissai Paul déverser son sperme dans ma chatte, volontairement, librement, voulant qu'elle soit remplie de son amour. Je regardai sa semence fuir de mon sexe pour se répandre dans le fauteuil de mon père. Paul indiqua qu'il allait le nettoyer rapidement mais je lui dis :

- Non. Laisse-le sécher sur son cuir précieux. Laisse ce vieux s'assoir dans notre amour. Je ne suis plus à lui maintenant. Je n'obéis qu'à toi. Tu peux me baiser où et quand tu veux. Je suis à tes ordres et tu peux me faire faire ce que tu veux. J'étais soumise à mon père pendant 18 ans mais maintenant je suis à toi.

J'embrassai Paul longuement puis je me mis à genoux et suçai sa bite pour la rendre propre. Si bien, que de nouveau sa queue grossit et qu'il put encore baisé la fille du père puritain sur son siège préféré.

Par la suite, je sentis que j'avais gagné ma liberté. Mon père n'avait plus le contrôle de sa fille. je l'avait donné librement à Paul.

J'aimai les idées de mon amant pour explorer ma sensualité et pousser les limites de nos aventures sexuelles.

Paul insista pour que je porte des vêtements provocants lorsque nous sortions à des fêtes. Il me fit échanger mes longues robes à motifs ennuyeux par des jupes courtes en cuir, des soutien-gorge évasés et des talons.

Je mis plus souvent du maquillage et je me laissai pousser les cheveux. Paul m'emmena dans la rue ou dans des fêtes et il commenta souvent comment les hommes avaient été ébahis à la vue de mes seins et fesses.

J'avais honte mais Paul me dit que ça l'excitait terriblement que d'autres hommes me désirent et qu'il se branlerait plus tard sur mon corps en pensant aux regards que ces hommes déposaient sur mon corps.

Comme cela lui plaisait, je ne pouvais résister à ses exigences. Alors je cachai mon humiliation et ma honte d'être considéré par les hommes comme une fille juste bonne à être utilisée sexuellement. Qu'étais-je vraiment? La vérité fut que je ne pouvais rien refuser à Paul. Formée par mon père à être soumise, douce et obéissante, je devins l'esclave sexuelle Paul, accrochée à se lèvres et à tout ordre en sortant.

Paul m'emmena à des fêtes fabuleuses, où je rencontrai beaucoup de gens passionnants. Il ne montra aucune jalousie quand ses amis me draguèrent. En fait, Paul semblait apprécier qu'ils aient de l'attention pour moi. Pour les chauffer, Paul touchait mes seins, caressait mes jambes ou claquait mes fesses en leur présence. Il insistait pour que je danse avec eux. En fin de soirée, certains hommes essayaient de profiter des danses pour me caresser un sein, mettre leurs mains sur mes fesses ou me donner un baiser. Je regardais Paul mais il ne bougeait pas en souriant.

Par la suite, je me plaignis du comportement de ses amis mais il me dit qu'ils voulaient seulement prendre un peu de plaisir et que je devais les laisser faire. Il suggéra même que je les encourage :

- Embrasse-les. Qu'ils touchent ton cul ou tes seins. Ou mieux encore, tu prends leurs mains et tu les mets sur ton corps en leur disant à l'oreille ce que tu veux.

Paul m'expliqua qu'il était toujours très excité de regarder d'autres hommes me toucher. Ensuite la nuit il se branlait sur mon corps en y repensant.

Indépendamment de mes sentiments personnels, j'obéis à mon amant. Je laissai ses amis déposer des baisers sur mes lèvres, serrer mes fesses avec leurs mains, toucher mes jambes nues et caresser mes seins.

Peu à peu, tout en dansant, ou assis à côté de moi sur un canapé, ou en me plaquant contre mur dans l'intimité, ses amis, des étrangers pour moi, me virent comme une proie facile.

Ils placèrent leurs mains sur mes hanches, me donnèrent de longs baiser, me caressèrent les fesses, insérèrent leurs mains entre mes jambes pour les remonter jusqu'à mes culottes humides. Je n'offris pas de résistance, obéissant à leurs demandes d'écarter mes jambes ou déboutonner mon chemisier pour exposer encore plus mes seins.

Souvent, je vis Paul nous regarder et apprécier le spectacle de son copain tripotant sa petite amie. Il semblait tellement excité que je pouvais voir la bosse que faisait son pénis dans son pantalon.

Et plus tard, le soir, il me baisait profondément pendant que je lui racontais ce que chaque homme avait fait avec moi.

Tandis que les mois d'été passaient, je commençai à me demander comment cette situation pendant les fêtes pourrait bien évoluer. Mais Septembre arriva et nous fûmes tous de retour à l'université ; nous concentrant sur nos études. Les fêtes se firent rares, à mon grand soulagement.

Paul me dit qu'il avait loué une maison avec trois autres copains. Je fus heureuse car nous aurions un peu plus d'intimité et autre chose que le dortoir pour profiter l'un de l'autre.

Le jour de ma première visite de cette maison je fus un peu choquée. Les colocataires de Paul étaient tous des garçons qui avaient pris des libertés avec moi au cours des fêtes.

Je baissai la tête timidement quand je les rencontrai. Paul me dit de ne pas être si timide, d'être fière de mon corps et de profiter de l'attention que les hommes me donnaient.

Paul insista également pour que je m'habille dans des vêtements plus suggestifs quand je lui rendais visite. Il me demanda aussi de n'acheter que des mini-jupes, des talons aiguilles et de ne pas porter de culotte ou de soutiens-gorge et de laisser mes décolletés largement ouverts.

Le soir, dans sa maison, je ne dus porter que des déshabillés particulièrement révélateurs qu'il avait choisis pour moi.

Alors que je marchais dans le salon, ses amis pervers me mataient comme des affamés de sexe. Et plus je protestai auprès de Paul, plus il sembla apprécier la situation.

Un soir, tout le monde était assis avec des boissons. Quand Paul quitta le salon, les garçons commençèrent à me tripoter. Plus tard je m'en plaignis à mon amant mais il rigola.

Une autre fois, alors qu'il revenait dans le salon, Il trouva un de ses amis, la langue dans ma bouche et une main tripotant un sein sous ma nuisette. Plutôt que se fâcher, il encouragea les garçons en leur disant que j'aimais qu'ils me touchent quand il n'était pas là.

trouchard
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