De Mari à Esclave Ch. 17

Informations sur Récit
De mari à esclave.
3.4k mots
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Récit n'a pas de balises

Partie 17 de la série de 29 pièces

Actualisé 11/10/2023
Créé 10/05/2023
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Robert sentit qu'il était observé. Un cliquetis et la porte en face de lui soudain s'ouvrit. De l'obscurité qu'il découvrit au-delà de cette porte, il entendit une voix douce et autoritaire à la fois lui ordonna de faire trois pas. Robert les fît, entendit la porte se refermer et plusieurs verrous ou serrures se verrouiller. "Maintenant, déshabilles-toi entièrement, plies et empiles tes vêtements correctement par terre.

Tu n'en auras plus besoin pour un moment.

Quand tu auras finis, attends la suite avec attention." Robert se dévêtit rapidement et plia ses vêtements, puis il ferma les yeux d'anxiété et lentement se redressa et attendit la suite. Il s'agenouilla presque aussitôt lorsqu'il sentit la main gantée de l'inconnue lui attraper et serrer les couilles. Grimaçant, il reprit tout de même ses esprit mais senti des ongles lui griffer le torse puis lui pincer sauvagement les seins, et glisser finalement le long de son ventre, passer entre ses cuisses pour lui peloter les fesses.

Elle lui passa une cagoule sur la tête et zippa l'arrière et noua le lacet à la base du cou. La bouche, les yeux et le nez restaient exposés et complètement disponible. "A quatre pattes!" Il se mît à quatre pattes et attendit. "Ouvres les yeux et regardes mes talons!" Suivant docilement les instructions, Robert ouvrit les yeux. De sa position, il eu tout à loisir d'admirer les magnifiques cuissardes en cuir vernies. Son regard se focalisa ensuite sur les talons de cinq pouces de haut. Il se prosterna d'avantage, de lui même, et embrassa les pieds gainés de cuir.

Il lui avait souvent parlé de sa passion pour le léchage des cuissardes, mais il savait qu'elle réservée ce genre de privilège qu'en guise de récompense quand elle était satisfaite de ses performances dans sa soumission. "Suis-moi... Gardes les yeux baissés." Ils se déplacèrent le long du hall et tournèrent dans un salon. A quatre pattes, il était capable de voir un sofa en cuir, un fauteuil profond, et une table de salon. Elle s'assit dans le fauteuil. "Viens ici et allonges-toi sur mes cuisses.

Allonges-toi vers la gauche que je puisse user de ma main droite." Robert se plaça docilement en travers des cuisses de sa Maîtresse Patricia. Elle écarta légèrement les cuisses et ajusta sa position de manière à ce que la queue de Robert pende entre ses jambes gainées de bas noirs. Elle resserra ses cuisses sur son membre et de sa main gauche lui maintenant la taille. Sa main droite commença à frapper ses fesses. Sans faire de pause, elle le frappa une fesse après l'autre alternativement. Après une cinquantaine de fessées sur chacune d'elles, elle le poussa de ces genoux.

"Retournes à terre et allonges-toi sur le dos. Poses ta tête entre mes pieds!" Elle leva un pied et doucement le plaça sur son sein gauche. Appuyant sur son talon, elle leva son pied droit et plaça son talon sur ses lèvres. "Ouvres là et lèches mon talon. C'est ça. Prends-le en entier. Allé, avales! Suce-le! Tu sais que tu aimes ça. Suces, allé lèches! Fait le briller pour moi." Tandis qu'il s'appliqué à faire plaisir à sa Maîtresse, elle frotta son talon gauche sur sa poitrine. L'odeur du cuir l'excitait mais la douleur lui ôtait toute envie de trouver du plaisir.

Elle parcourait également son corps d'une cravache qu'elle faisait claquer sur ses couilles et sa queue ramolli de temps en temps. "Pourquoi n'es tu pas en érection? Quel est ton problème vermisseau? Tu ne veux pas satisfaire ta Maîtresse? Branles-toi, fais la durcir pour moi vermisseau!" Il empoigna son sexe ramolli et essaya de le faire raidir, mais il avait trop souffert jusque là. Maintenant les deux talons étaient installés sur ses seins. Sa cravache s'abattait encore sur des zones sensibles en guise d'avertissement et parfois s'abattait sur ses mains alors qu'il se branlait. Soudain la correction s'arrêta.

Finalement il se mit à bander bien dur. Les talons quittèrent sa poitrine et sa Maîtresse se releva et enfourcha sa tête. Dans une lente descente, sa chatte pleine de mouille vint s'écraser sur la bouche de Robert. Elle appuya ses mains sur son esclave et bougea de manière à se que le cuir de ses cuissardes le caresse. Maintenant sa verge était en parfaite érection. D'un geste sensuel, elle enleva de son poignet une lanière de cuir qu'elle noua à la base du pénis de son esclave.

Tirant sèchement sur la lanière, elle enroula le sexe avec le reste de celle-ci piégeant ainsi le sang dans le sexe de l'esclave mâle. Maintenant, elle pressait ses mains gantées sur son os pelvien et se concentra sur son plaisir. Elle chevauchait son visage et sa langue comme s'il s'agissait d'une chevauchait express à la poursuite de quelques sauvages. Comme la jouissance approchée, elle se pencha en arrière et attrapa sa cravache. Elle se mît alors à lui frapper les cuisses et le ventre tout en poussant des cris de jouissance.

Les cris de souffrances étouffées de son esclave servaient à l'exciter d'avantage. Quand l'orgasme éclata, elle posa sa cravache et pressa fortement sa chatte ruisselante sur la bouche de Robert, laissant échapper ainsi un torrent de cyprine dans sa bouche.

Robert était sur le point de s'étrangler ou de s'étouffer, il dû tout avaler pour respirer. Il continua ensuite à laver se sexe devenu hypersensible afin de prouver sa totale dévotion au plaisir de sa Maîtresse. Après une minute, elle se releva et se réinstalla dans le fauteuil. "Viens ici et lèches-moi." Il prit sa position sur ses genoux. Elle agrippa sa tête par les cheveux et la tira contre sa chatte toute trempée. Bientôt, un nouvel orgasme la secoua. Elle poussa ensuite les épaules de Robert vers le sol à l'aide de ses pieds et les écrasa. Dans cette position, il ne pouvait plus garder ses yeux uniquement sur les talons.

En faite, sa contemplation se promenait sur sa svelte silhouette. Comme elle se calmait, elle nota qu'il la contemplait. Elle ne pouvait tolérer une telle attitude, cela signifiait qu'il ne craignait pas suffisamment son courroux. Elle devait corriger cette mauvaise attitude. Avec une nouvelle étincelle de furie dans les yeux, elle descendit les talons de ses épaules et se redressa. "Comment tu as eu cette audace? Comment tu as eu cette AUDACE? T'ais-je donné la permission de me regarder? Réponds-moi!" "Non Maîtresse." Son regard rêveur devint embarrassé. "Je ne tolérerais pas la désobéicence. Je devrais te Punir pour avoir osé de toute façon Maitre Barthélémy sait tout et écris tes fautes. Que pensais-tu?

Tu pensais qu'en me servant et en me donnant quelques moments de plaisir que tu ferais un peu ce que tu veux? Réponds-moi, vermisseau." "Non Maîtresse. Je suis désolé. S'il vous plaît ne me renvoyait pas. S'il vous plaît! Torturez moi si vous le voulez, mais s'il vous plaît... ne le dite pas Maitre Barthélémy." "Tu a peur de te faire punir, hein? Te torturer par Ldy_Chatou? Et te pardonner aussi je suppose?" "Oh oui. S'il vous plaît Maîtresse. J'endurerais vos punitions et je continuerais à vous servir. Testez-moi. Seulement ne envoyer pas à Ldy_Chatou!" Sa sincérité plu à sa Maîtresse Patricia. Elle regardait son corps prosterné, et une idée jaillie dans son esprit. Oui, ce pouvait être amusant. Et s'il refusait d'accepter toutes les punitions elle pourrait simplement le revendre à Angela Elle souri.

La douleur ne peut être pire pour un esclave que de perdre sa Maîtresse qui aime vraiment lui donner le traitement qu'il désir. "D'accord, je te donnerai une chance. Mais souviens-toi par la suite. Soit attentif et fait exactement ce que tu as dit et je te laisserais peut être encore me servir. Si tu ne suis pas mes instructions, tu seras revendu à Maitresse Angela et ma sœur est plus sadique que moi n'oublie le pas Robert. Clair?" "Oui, Maîtresse!" "Prosternes-toi et embrasse mes pieds.

Baise mes pieds qui vont te punir. Fais-le!" Il allongea son corps sur le sol et commença à embrasser ses pieds avec frénésie. "S'il vous plaît, Maîtresse Patricia, s'il vous plaît punissez moi afin que je puisse continuer à vous servir." Après plusieurs minutes, sa demande fut entendue. "Arrête! Mets-toi à quatre pattes. Maintenant pose ton visage sur le sol et joins tes mains entre tes jambes pour écarter tes fesses. Lève bien ton cul. Écarte ces fesses! Maintenant tiens les ouvertes." Lentement Maîtresse Patricia contourna son esclave et quand elle fut derrière lui, elle mesura précautionneusement la distance, bascula en arrière son pied droit et délivra un coup de pied dans ses couilles qui le projeta en avant. Il empoigna ses bourses et suffoqué tout en se contorsionnant sur le sol. Maîtresse s'en alla vers la porte. "Attends ici pour moi. Je n'ai pas encore finis avec toi."

Elle traversa le couloir jusqu'à son bureau, une fois à l'intérieur elle ferma la porte. Décrocha-le téléphone, Elle dialogua rapidement avec son amie.

"Crystal? . J'ai mon nouveau soumis ici qui a besoin d'une punition et de un traitement douloureux. Es tu libre là maintenant? Merci. Oh, Je ne sais pas. Pas mal de trucs. Oui, le bardex et ton habanero spécial aussi.

Et n'oublie pas ton uniforme d'infirmière, Il est un suceur de femme en uniforme. Super. Je t'attends dans dix minutes. A tout de suite." Elle posa le téléphone et retourna voir comment son esclave se comportait. Il s'était arrêté de sangloter depuis un moment. Elle traversa à grandes enjambées la pièce et prit un bandeau en cuir pour les yeux de la table du salon. Se penchant au-dessus de lui, elle passa et noua bien serré le bandeau. Elle s'écarta et lui demanda : "Ne parles plus, secoue juste la tête. Peux-tu m'entendre?" Il secoua positivement la tête. "Bon maintenant lèves-toi et passes tes mains derrière la tête... c'est bien. Maintenant tes doigts ensembles et gardes tes mains comme ça." D'une petite boîte en bois, elle sélectionna une paire de pince à seins vraiment spéciale. Elle approcha de son esclave tout tremblant et parla doucement. "Du calme... du calme mon petit esclave. Nous allons seulement commencer ta pénitence.

Je vais ajouter ces pinces à ton tourment et alors je te ferais descendre dans mon donjon des plaisirs, où tu apprendras à vraiment me craindre et m'obéir.

Maintenant tiens toi tranquille le temps que je pose ces pinces." Maîtresse Patricia fixa les pinces sur ces seins.

Les pinces avaient de minuscules petites dents qui augmentaient leurs étreintes sur sa peau glissante par la transpiration. Son esclave Robert soupira. La pression des pinces, l'excitaient. Remarquant cela, Maîtresse Patricia ajusta le serrage des pinces et une douleur marquante remplaça la plaisante stimulation. Il grimaça, mais il garda le silence. Maîtresse Patricia lui demanda alors de sortir de la salle et de descendre le hall. En bas de l'escalier, elle le stoppa, ouvrit une porte et l'empoigna par son sexe érigé pour le mener à sa suite. Dans la principale salle de donjon, elle le conduisit au-dessus d'un coffre et lui ordonna de s'étendre dessus. Son ventre prit place sur le dessus du coffre.

Elle lui déploya les jambes et l'équipa de lourdes menottes en cuir autour des cuisses qu'elle fixa de part et d'autre. Puis, elle lia son dos au coffre à l'aide d'une large ceinture de cuir et lui fixa les mains d'un coté et de l'autre, les bras tendu vers le sol avec d'autres menottes. Elle boucla toutes les attaches très serrées et installait derrière lui, elle le contempla un moment jusqu'à ce que la sonnerie de la porte tinta. Elle quitta alors sa contemplation pour monter rapidement les marches et accueillir son amie. "Mais... Je ne vois rien de blanc?" dit Maîtresse Patricia mais elle découvrit en ouvrant l'imper usé de Crystal qu'elle portait bien un uniforme d'infirmière en latex blanc. Crystal portait des bas rouges et des gants assortis, et une pair de hauts talons en cuir blanc. Ouvrant son sac médical, Crystal sorti une coiffe d'infirmière qu'elle fixa immédiatement sur ses cheveux. "Allons voir le patient," dit Crystal reprenant son sac. "Je me sent capable de tout sauf de pitié." Les deux femmes descendirent sans un bruit l'escalier menant au donjon. Maîtresse Patricia ferma précautionneusement les deux verrous de la porte.

Puis, elles approchèrent du visage de Robert étendue sur le ventre, solidement attaché sur le coffre. Maîtresse Patricia enleva le bandeau des yeux de son esclave et lui dit. "Cher Robert. Voici l'infirmière Crystal. Elle est venue pour t'aider aujourd'hui. Tu as beaucoup de choses à apprendre et elle est une excellente institutrice. Ta première leçon concerne ton hygiène personnelle. Quand tu me serviras, tu devras être propre. Pas seulement en surface, mais aussi à l'intérieur. Pendant que Crystal prépare ta série de lavement, je vais te faire goûter un peu de mon fouet pour la désobéicence dont tu as fait preuve tout à l'heure. Si tu es tranquille je retirerais le bâillon, mais au premier son je te le replace aussitôt. Secoue la tête si tu as compris."Robert secoua positivement la tête. J'ai sélectionné ma cravache favorite. Elle a été réalisée avec des lanières de cuir tressées d'une cinquantaine de vingt pouces fixées à un joli manche en bois sculpté.

Elle commença à tournoyer sa cravache en l'air pour l'abattre sur le derrière et sur les cuisses du bout des lanières. Les fines zébrures quelles laissaient commencèrent à rougir la peau de Robert, mais il sentit son érection enfler d'avantage. Maîtresse Patricia souriait et imprégna les mêmes marques sur ces épaules. Le plaisir de Robert changea rapidement pour devenir des cris de plaintes étouffés. Maîtresse Patricia fronça les sourcils et envoya le prochain coup entre les jambes directement sur les couilles. Incapable de se contenir d'avantage, il cria. "Crystal, as-tu quelque chose pour faire taire cette salope?" "Ma chérie. J'ai juste de l'adhésif. Laisse-moi juste préparer quelque chose et je le gaverai si pleinement qu'il ne dérangera plus personne."

Crystal enfila une paire de gants chirurgicaux en latex qui lui montaient jusqu'aux coudes, et s'activa à nouer avec méthode une lanière en cuir. Elle attrapa un flacon de son sac médical qu'elle pressa pour enduire méthodiquement ce bâillon improvisé de 'sauce spéciale épicée'. Quand il fut ruisselant elle se tînt devant lui et lui pinça le nez. Luttant pour respirer, il inclina la tête en arrière et ouvrit grande la bouche. Crystal fourra l'imposant baillant jusque dans le fond de la bouche de Robert. Puis il fut bâillonné avant que la sauce ne commence à lui brûler la langue. Quand la brûlante concoctions commença à faire effet, il se secoua la tête et tenta vainement d'expulser cette boule de cuir épicée. Crystal attrapa doucement la tête de Robert et força sa mâchoire à rester serrée pour que sa bouche et sa gorge soit bien imprégnées de cette sauce.

Elle avait préparé cette sauce avec différentes sortes de sauces poivrées. Avec ça les cris de Robert stoppèrent, Crystal fit signe de la tête à Maîtresse Patricia. "Je pense que vous pouvez être plus ferme avec lui à présent, chérie. Il ne se plaindra pas d'avantage." Les yeux de Robert roulaient et se remplissaient de larmes. C'était comme s'il avalait du charbon ardent. Pendant que Crystal lui maintenu la tête, Maîtresse Patricia échangea sa cravache de cuir pour son fouet de cuir particulièrement mordant qu'elle appelait sa langue de vipère.

Elle fit apparaître de fines écorchures sur les fesses et le dos de Robert. Quand elle fut satisfaite des nouveaux dessins qu'elle dessina sur le corps de ce dernier, elle jeta sa instrument de torture à terre. Crystal relâcha son étreinte sur la tête de Robert, détacha le bâillon et il reprit alors de légères bouffées d'air frais. Le silence fut brisé lorsque Maîtresse Patricia prit le flacon d'alcool pour tamponner avec de la ouates les griffures de Robert. Crystal était prêt pour lui enlever le bâillon de sa bouche et le remplacer aussitôt par un gode. Aussitôt de nouveaux tourments allaient commencer pour notre Robert.

Crystal sortit le gode de la bouche de Robert pour venir s'installer derrière lui. Maîtresse Patricia essuya soigneusement le gode et Crystal le oigna avec

Générosité de sa concoctions spéciale. Maîtresse Patricia fixa un anneau dans la bouche de Robert de sorte qu'il puisse conserver l'usage de sa langue sans qu'il puisse mordre ou fermer la bouche. Crystal commença à taquiner son anus avec ses doigts recouverts de latex qui étalaient sa mixture spéciale. Maîtresse Patricia lui redressa la tête sur un support, puis le regarda dans les yeux. Et lui dit. "Robert chérie, Je veux que tu me lèches et que tu me fasses jouir. Je suis très excitée, ça ne devrait pas te demander trop de temps.

Pour rendre cela intéressant, Lady Crystal t'enculera avec son gode énorme et préféré. Elle s'arrêtera que lorsque je lui dirai, mais je ne lui dirai pas si tu ne me fais pas correctement jouir. Aussi fait un effort et fais moi plaisir. Maitresse Patricia releva les jambes et les nouèrent autour de la tête de Robert. Se cambrant en arrière sur le tabouret, elle agrippa sa tête et l'écrasa sur sa chatte trempée. Robert commença à la nettoyer avec sa langue. Crystal glissa son gode dans le cul de Robert qui débordait de cette sauce épicée.

Il avait à subir et le cunnilingus forcée de Maitresse Patricia et la sodomie pas très agréable de Crystal. Crystal savait que lorsque Maitresse Patricia aurait jouit, elle commencera là la véritablement soumission de Robert. Maitresse Patricia joui rapidement mais Robert ne l'avait pas remarqué. Alors Crystal retira le gode et s'activa à préparer elle même le prochain châtiment, Maitresse Patricia enfila une paire de gants en latex et commença à branler Robert. Il eu rapidement une érection. Les deux femmes le libérèrent du coffre et le déplacèrent jusqu'à un râtelier fait sur mesure, où elles lui enfermèrent la tête. Crystal glissa un tube en plastique dans l'anus de Robert pour un lavement.

Usant d'une poire à gonfler, elle pompa afin de gonfler l'extrémité du tube de sorte qu'il n'y ait pas de fuite et qu'il ne se dégage pas du soumis.

Lorsqu'elles eurent attachées bien serrés les jambes de l'esclave au chevalet. Crystal monta sur la table juste en face du visage du soumis, écarta les jambes et ordonna à Robert de la lécher pendant que Maitresse Patricia lui pincerait les seins. Maitresse Patricia lui pinça les seins se mit également en tête de le masturber à l'aide de son gant en latex armé de petites pointes de métal qui commencèrent à le tourmenter tout en l'excitant suffisamment pour qu'il conserve son érection. Elle le garda ainsi en excitation le temps nécessaire à Crystal de prendre son pied.

Ce qui prit un peu plus de temps que pour Maitresse Patricia. Ensemble, elles fixèrent le tube pour un lavement à une poche contenant un mélange d'eau et de produit destiné à être vidée complètement et douloureusement dans tout le colon de Robert. Maitresse Patricia indiqua à Crystal de vider doucement la poche de manière à ce que tout le liquide s'écoule correctement entre les fesses de Robert. A ce moment là Robert était sur le point de jouir, aussi Maitresse Patricia empoigna sa queue et le Masturba rapidement jusqu'à ce qu'il jouisse. Robert pensait que s'était terminé. Il pensait avoir tout subit, qu'elles le nettoieraient, l'habilleraient, et le laisserait se reposer. Maitresse Patricia savait ce qu'il s'imaginait et s'empressa de le corriger. "Maintenant regarde, mon petit souffre douleur. Nous avons tous eu un orgasme n'est ce pas? Tu veux répondre?" "Oui Maîtresse Patricia."

"Et je suppose que tu aimerais être libéré pour que tu puisse te nettoyer et nous remercier, n'est ce pas?"

"Oh! Oui, merci Maîtresse Patricia." "Et bien, tu peux oublier ça. Je trouve que la souffrance infligée à un esclave après qu'il est eu son plaisir est une expérience beaucoup plus efficace et une impression plus durable pour lui. Par conséquent, Lady Crystal et moi-même allons t'infliger une leçon de souffrance spécialement longue et cruelle. De cette manière, si nous tolérons parfois ton entêtement et ta désobéicence dans ce donjon, tu n'oublieras pas de si tôt les bonnes manières et tes obligations. C'est clair?" Robert acquiesça. Durant les heures qui suivirent, il n'eu aucun plaisir et aucun orgasme. Seulement des bruits étouffés de ses cries de pitié et les rires de ses Maîtresses que l'on pouvait entendre au travers des murs du donjon...

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