De Mari à Esclave Ch. 15

Informations sur Récit
De mari à esclave.
1.9k mots
4.27
1.6k
00
Récit n'a pas de balises

Partie 15 de la série de 29 pièces

Actualisé 11/10/2023
Créé 10/05/2023
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Maitresse Patricia me réveille allé lève-toi va a la douche a ma sortir Elle me souriait, et dit bon soumis de service ou pute de service avec son sourire sadique qui me fit frissonner.

- Maintenant, je vais t'habiller pour tes rendez-vous de cet après-midi.

Elle me mit d'abord des bas noirs et une guêpière de même couleur,

Elle me passait ensuite une jupe courte, un chemisier bleu satin sans manche et des bottes. Pour parfaire le tout, elle ajoutait une large ceinture rouge. Mes mains furent introduites dans des gants de cuir munies de sangles et d'anneaux aux poignets. Elle maquille

-Voilà, tu es prêt, tu es mignonne comme tout, alors. Bien, allons-y ma belle, ah j'oubliai, je t'ai nommé Carole.

J'étais debout près du bar travesti et attaché par une chaîne à mon collier. Un autre homme et deux femmes étaient comme moi attachés aux quatre coins de la salle. Les clientes discutaient et consommaient du champagne avec modération.

L'une d'entre elle plutôt proche de la cinquantaine, s'approcha de moi, me demanda de me retourner et relava ma jupe. J'étais blême de honte.

- Tiens, un nouveau, je prends, je vais l'essayer. Vous allez être fessé car j'aime ça cela me rappelle mon enfance, mais aujourd'hui, c'est moi qui donne la fessé.

Elle m'entraîna vers une chaise de bois, posée au centre de la pièce. Elle s'assit sur la chaise et me demanda de m'allonger sur mes genoux. Je me retrouvais, tête en bas, la jupe relevée et le derrière tendu, offert a la vue et aux sévices de la terrible cliente. La première claque s'abattit rapidement. Le bruit et la douleur soudaine, bien que modérée, me firent sursauter. Les claques se succédèrent, d'abord modérées, puis de plus en plus fortes, frappant alternativement chacune de mes fesses.

Après une trentaine de claques, elle marqua une pause et caressa mes fesses Celles-ci étaient déjà plus chaudes mais sa caresse me fit du bien. Je n'eus pas le loisir d'apprécier trop longtemps ces douces sensations, car la fessée reprit de plus belle. Elle me demanda de me relever. Honte et excitation d'être ainsi livré nu a la vue d'une Dame, j'affichais une érection plus que ferme.

- Je vois que vous aimez autant que moi, jeune homme, alors nous allons jouer.

La cliente se lève et retire sa culotte puis me tire la tête en arrière par les cheveux et me pince le nez, à court d'air j'ouvre la bouche et je sens alors le tissu tout tremper de sa culotte rentrer au fond de ma gorge répandant le goût de sa cyprine de femme mûre dans ma bouche.

-Si vous faites tomber ma culotte, je vous fouette jusqu'au sang suis-je claire? Maintenant venez à moi que j'apprécie vos attributs de mâle!

Elle me retira ma jupe et entreprit de jouer avec mon sexe.

- Je crois que je vais m'offrir quelques plaisirs avec vous, tournez-vous et penchez-vous que je vois si votre cul est bien préparé.

Elle m'introduit un doigt puis deux dans mon anus puis entreprit de faire des va-et vient dans mes fesses.

- Je trouve que votre cul de soumis est encore étroit, il doit être dilaté!

Elle m'enduisait l'anus de lubrifiant puis attrapa un des Plug queue de cheval posés sur la table. Doucement elle le fit entrer dans mon anus qui résistait mais le lubrifiant aidant il finit par entrer. Je me sentais bien, le Plug est bien plus agréable qu'un gode, il vous remplit pleinement et la sensation de douleur première disparaît rapidement. Ce qui fut moins bien, c'est la suite.

La cliente prit une longe, l'attacha à mon collier et me demanda de marcher tout autour de la salle. Régulièrement elle me donnait des coups au moyen d'une cravache. Je sentais le Plug bouger en moi, la queue de cheval qui pendait du Plug contre mes jambes et les coups de cravache réguliers sur mes fesses. Douleurs et plaisirs, honte et bonheur de soumission, je continuais à bander.

- J'ai toujours fantasmé sur le fait de baiser avec un cheval, donc tu vas jouer ce rôle, viens ici. Tu vas me prendre en hennissant. Crache cette culotte que j'entende bien ta voix.

Aussitôt elle s'agenouille sur le canapé et me demande d'approcher. Saisissant mon sexe d'une main ferme, elle me guide en elle pour que je la pénètre. Elle attrape la queue de cheval du gode et commence me tirer pour que je la prenne selon ses souhaits. Après quelques mouvements je l'entends dire :

- Idiot, ou tu hennis ou je te fouette!

J'ai donc baisé ma première cliente avec un gode dans le cul en hennissant pendant qu'elle se caressait pour atteindre son plaisir.

Lorsque cela fut fait, je dus m'allonger à même le sol et lécher son sexe pour nettoyer les effets que je lui avais produits. Le nettoyage du sexe terminé, elle sonna pour que l'on vienne me chercher.

Maitresse Patricia apparut, me remit ma jupe puis au moyen d'une laisse me ramena au bar où je fus attaché à l'anneau qui m'était réservé.

La deuxième cliente arriva rapidement et demanda à ce que l'on me déshabille et m'installe dans la salle qu'elle avait réservée. Maitresse Patricia me prit par la laisse et m'accompagna dans une salle que je n'avais pas encore vue. Elle était équipée d'accessoires type godes, Plug, cravaches pinces et de sangles et moyens d'attaches de toute sorte.

Elle détacha une de mes mains pour la lier aux menottes qui pendaient au milieu de la salle puis fit de même avec l'autre. Elle actionna le treuil pour que mes mains montent vers le plafond.

- Voilà il est à vous, amusez-vous bien, si vous avez besoin de quoi que ce soit, appuyez sur la sonnette, je viendrais rapidement. Il est nouveau, donc s'il se rebelle, n'hésitez pas à employer la manière forte dit Maitresse Patricia en sortant.

La cliente prit place derrière moi et commença à caresser mon dos avec le bout de la cravache. Puis, j'entendis un bruissement d'air, suivi d'un sifflement. La seconde suivante une violente brûlure transperçait mon être. Mais à peine avais-je le temps de réaliser que déjà son bras s'armait à nouveau et que le cuir tressé s'abattait sur ma chair.

Décidément, je donnais dans le hippique. La cravache me cinglait les épaules, le dos, les reins, les fesses et mes cuisses. Les coups me cuisaient la peau et me faisaient hurler de douleur. Tandis que j'essayais tant bien que mal de garder mon équilibre, j'imaginais les traînées rouges qu'ils pouvaient me laisser. Je sentais déjà les boursouflures germer sous mon épiderme. Mon supplice dura plusieurs minutes, jusqu'à ce qu'elle me trouve suffisamment échauffé.

Puis elle vint me faire face, souriante et ravie, devant mon visage grimaçant et mes yeux lavés par les larmes.

- C'est la première fois que je frappe un homme, je trouve cela grisant, jubila-t-elle. Je n'aurai jamais imaginé prendre un tel plaisir. Pour une fois, la Domination masculine est mise à mal vous les hommes, vous êtes vulgaires, brutaux et vous vous sentez supérieur mais aujourd'hui, je peux me venger et crois moi, tu va souffrir!

Elle alla reposer le fouet, prit des pinces reliées par une chaînette et revînt jusqu'à moi.

- Mon mari voulait toujours me mettre des pinces à linge, soit disant pour que j'ai plus de plaisir, le plaisir dans la douleur me disait-il. Maintenant, nous allons voir jusqu'où va ta résistance à la douleur pour mon plaisir.

Lorsque les mâchoires d'acier se refermèrent cruellement sur la chair, j'eus l'impression qu'on m'arrachait la poitrine. Les pinces mordaient cruellement mes tétons. Elle se recula et me contempla avec satisfaction, alors que la douleur tordait les traits de mon visage.

- Tu vas être baisé par une femme. Ce soir je vais même te prendre comme une chienne. Mais d'abord, suce, m'ordonna-t-elle en me présentant un gode ceinture devant la bouche. Tu es un bon petit chiot, dit-t-elle en m'agrippant par les cheveux tandis qu'elle dirigeait ma tête d'une main de fer, enfonçant la queue jusqu'au fond de ma gorge, au risque de m'étouffer.

Quand elle jugea que le gode était assez lubrifié, elle se retira de ma bouche, et alla se placer derrière moi. Elle attachait le gode autour de sa taille puis m'enduit la rosette de lubrifiant. Le membre de latex s'attarda quelques instants à l'entrée de mon anus, puis elle plaqua ses mains sur mes hanches, me forçant à creuser les reins. J'eus un frisson en sentant la queue appuyer contre mon orifice. Je réalisais qu'elle allait réellement me sodomiser.

Quand il fut en moi jusqu'à la garde, elle commença à donner de grands et puissants coups de reins. Elle me prit comme un fauve en rut, me ravageant sauvagement, me faisant hurler comme une bête blessée. Il n'y avait aucune douceur dans son acte, seulement de la vengeance. Les pinces accrochées à mes seins se balançaient dans tous les sens, je n'en pouvais plus. Soudain, elle attrapa mon sexe et le caressa sauvagement.

- La jouissance dans la douleur, me disait-il, alors nous allons voir si c'est vrai, je ne m'arrêterai que quand tu auras joui!

Il est vrai que j'ai un côté maso, mais j'eus bien du mal à me concentrer pour y trouver du plaisir. Celui-ci finir par venir, mais avec une puissance que je n'aurai jamais imaginée. Ce fut un feu d'artifice dans ma tête avec des étoiles de partout.

Lorsque je repris connaissance, j'étais toujours attaché mais allongé à même le sol. Elle s'approcha de moi, son entrecuisse à hauteur de mon visage. Elle passa un doigt dans sa culotte et écarta lentement le tissu, dévoilant son sexe. Un fin duvet recouvrait son mont de Vénus, et au milieu des poils bruns ressortaient les lèvres nacrées, gorgées de désir. Elle plaça son sexe au-dessus de mon visage et m'ordonna :

- Lèche, esclave et fais-moi jouir!

La tête coincée entre ses jambes, je commençais à faire aller et venir ma langue le long de sa fente ruisselante. Elle ondulait du bassin, tandis que ma langue montait et descendait, caressant à chaque passage son clitoris tendu comme un arc. Je sentais les ondes de plaisir vibrer en elle alors que le rythme de ses hanches s'accélérait progressivement. Elles roulaient de droite à gauche pour amplifier sa jouissance et ses ongles s'enfonçaient dans ma poitrine et griffaient mes seins. Quand la houle du plaisir commença à gonfler son ventre, je m'appliquais à rendre ma bouche et mes lèvres plus dures et plus douces. Mes lèvres plaquées sur la fente qui s'offrait à moi. Soudain, elle poussa un cri aigu et son corps se tendit d'un seul coup pendant qu'un flot de cyprine âcre et onctueuse emplissait ma bouche.

Elle resta encore plusieurs minutes assise sur mon visage, son sexe posé sur ma bouche, savourant son plaisir jusqu'au bout. Puis elle se redressa et déposa un baiser sur mes lèvres, goûtant ainsi à son propre jus.

- T'es chou, je reviendrai! Elle sonna et Maitresse Patricia vint me chercher. Elle ne me ramena pas au bar mais dans la chambre d'ami pour que je me refasse une santé et une beauté. Elle me fit prendre une douche et modifia mes liens de façon à ce que je puisse dormir un peu. Avant de partir, elle attacha mon collier à la chaîne reliée à un anneau au dessus de mon lit. Lorsque je pensais à tout ce que j'avais vécu et à tout ce qui m'attendait je fantasmais fortement et mon sexe se releva malgré ce que je venais de vivre. Mais les mains liées, je finis par m'endormir.

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE