De la Chimie des Corps Ch. 09

Informations sur Récit
La Nouvelle Vie de Walter le Chimiste Ch9.
8.1k mots
4.29
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1

Partie 9 de la série de 10 pièces

Actualisé 04/29/2021
Créé 01/17/2015
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Chapitre 9 : Les Sexonautes

Walter regardait le mûrisseur faire son travail, songeant aux dix jours qui venaient de s'écouler. Il avait eu de passionnantes discussions avec Zen sur l' adaptation des Baits au déclin de leur capacité à la reproduction. Le Neutre avait été lui-même étonné des données qu'ils avaient retrouvées dans les banques mémorielles de leur vaisseau. Seulement 20.000 ans auparavant, les coutumes matrimoniales et les appareils génitaux des Baits étaient beaucoup plus semblables à ceux des Terriens mais pour faire face à la chute de leur fertilité, ils avaient muté pour en arriver à ce qu'ils étaient devenus. Walter était persuadé que l'exsudation des nanoparticules 'aphrodisiaques' , l'empathie sexuelle qui agissait sur le remplissage des testicules ou les naissances multiples venaient d'une manipulation génétique. Il était moins catégorique quant à l'apparition des Neutres dans laquelle il voyait une adaptation sociologique à la nécessité d'injecter un maximum de semence mâle dans les Femelles pour espérer des fécondations de plus en plus rares.

Xen et Yen avaient repris à leur compte la redécouverte de l'histoire de leur Race tandis que Zen était parti avec le Colonel recruter les derniers couples reproducteurs disséminés à la surface de la Terre. Les premiers arrivés, Xale, Yale et Zale avaient bénéficié d'une démonstration de la Famille 'En' avec le concours de Loïc et d'Ulla tandis que Toussaint et Maureen étaient gardés en réserve pour la nouvelle Famille Ale qui se porta volontaire quasi immédiatement et enregistra le même succès que les En à la satisfaction générale.

Sous prétexte d'une expérience scientifique, le Sergent Gabi et le Lieutenant Léa, fraîchement promue après son comportement décisif face aux En, avaient réussi à convaincre Walter de les vaporiser avec la version 'soft' du nanofluide aphrodisiaque des Baits. Elles avaient ensuite affronté les trois escouades de gardes en même temps ... et les avaient mis sur les genoux. Walter avait réussi à convaincre les 'En' d'assister à l'orgie alors qu'ils n'étaient plus trop intéressés par la répétition d'ébats sexuels vu la grossesse confirmée de Xen.

« Maintenant, vous devez apprendre à copuler pour le plaisir » leur avait expliqué le Colonel Lévèque -- il avait été lui aussi promu - et ils avaient fini par obtempérer plus par respect pour leur sauveur que par véritable envie. Mais les ébats et les orgasmes en cascade des vingt-quatre gardes et des deux femmes en chaleur les avaient mis dans un tel état de surexcitation qu'ils avaient entamé leur propre mini-orgie sur le côté.

« C'est la première fois que je prends Xen trois fois d'affilée et Yen a même pris ma voie arrière. Ce qui nous arrive est extraordinaire » avait commenté Zen très satisfait de lui-même. Walter avait acquiescé, ayant observé toute la scène depuis son labo grâce aux caméras installées dans le dortoir. Lui-même avait pu compter sur le dévouement d'Anne-Sophie pour garder son attention braquée sur les Baits pendant qu'elle se démenait pour soulager leurs organes sexuels en ébullition. Il l'avait prise avec la même animalité que les gardes, se vidant en elle à trois reprises, presqu'à l'unisson de Zen. En homme galant, il s'était néanmoins préoccupé du plaisir de son assistante et l'avait fait jouir à quatre reprises, décidé à ne pas la laisser sur sa faim sexuelle.

Sa relation avec la jeune laborantine avait pris une tournure inattendue. Elle avait toujours fait preuve d'un enthousiasme débordant en travaillant côte à côte avec lui sans parler de leur sensuelle complicité bien nécessaire dans cette atmosphère de lubricité permanente mais depuis la révélation d'une possible grossesse, elle lui avait avoué son amour tout en l'assurant qu'elle ne voulait pas être une briseuse de mariage.

« Je prendrai ce que tu pourras me donner Walter ... et si j'attends vraiment ton enfant, je serais déjà la plus heureuse femme du monde ... ou la deuxième après Niki! »

Walter était pris dans un conflit d'émotions. Entre son amour pour Niki et sa réelle affection pour Anne-So, il ne savait trop comment gérer cet imbroglio sentimental ... en admettant qu'il n'y en ait un. Il commençait à imaginer une solution mais cela passerait par Niki, comme d'habitude ...

En attendant, chaque fois qu'il se retrouvait à portée de bras d'Anne-So, il ne pouvait s'empêcher de la toucher ; farfouillant sous sa blouse sous laquelle elle était maintenant nue en permanence pour justement lui permettre de la caresser selon son bon plaisir. Elle venait de se pencher vers le mûrisseur pour vérifier l'évolution de leur préparation d'aphrodisiaque Bait quand la main de son amant trouva ses fesses nues, les palpa un moment avant de partir à la recherche de son clitoris passant entre ses cuisses puis remontant sur les grandes lèvres de sa vulve avant de trouver son bouton d'amour.

« Oh Walt, ... tu es insatiable... aaah ... mon amour! Continue ... tu me rends folle! »

« C'est de ta faute ma douce . Chaque fois que tu passes trop près de moi, j'ai envie de te prendre, de te faire jouir, d'entendre tes cris de plaisir! »

« Wally, .. je mouille ... aaah je coule .. Oooh Wally .. tes doigts! »

« Viens ma belle ... inonde-mes doigts ... voilàààà! «

« AAAHHH TOUSS'! oooh ... C'est si bon ... tu sais ... »

« Meilleur que les ..humpf ... gardes? »

« Dix fois, ... cent fois ..aah meilleur! Avec toi ...aaah .. je fais l'aaah mour . Avec eux .... Uuh .. je ne suis qu'un .. uuh .. hangar à bites ... un trou .. des trous... pour leur ... aaahh ... plaisir... je suis leur ... uuuh .. chose ... mais ... j'aime aussi! OOOH TOUSS! PRENDS TON PLAISIR ... JE SUIS.. AAAHH! TA ...LEA ... TA CHOOOSE! »

« Humpf .. Ca te fait .. han .. jouir .. Hein ma belle ... humpf...Tu veux ... être... humpf... le réceptacle ...de ma ...aaah....han ... semence ...après avoir...été...humpf ... la femme-dépotoir ... du régiment .. Han ... Je vais ...humpf ... d'abord te ramoner ... han ...ta chatte infectée ..humpf .. nettoyer ton minou ...han .. souillé ...humpf.. . jusqu'à ce que .. uuuh .. demandes grâce ... »

« Ooh Mon Touss'! .. Sers-toi .. de moi .. aahh ... . mon corps t'appartient.. aaah ... Punis ta salope ... baise-moi aaah . Touss' Baise la pute .. qui t'aime .. Oooh baise-moi .. ooh .. plus m'assoir... TOUSS' TOUSS'! ... CA REPART... JE T'AIME! AAAAHHH! »

Toussaint la laissa récupérer cinq minutes. Il se sentait capable de tenir encore un bon bout de temps après avoir joui à plusieurs reprises dans Ulla la veille dans le cadre de l'entraînement personnalisé de la Walkyrie tel que voulu par le Colonel. Maintenant il réglait un compte avec la troupe par le corps de Léa interposé. Cette dernière rouvrit des yeux presqu'entièrement cernés de noir.

« Touss' , tu veux me tuer? »

« Oui ma belle .. humpf ... mais t'en fais pas ..aaah... on a le revita .. machin ..han .. maintenant ... han ...han! »

Il s'appuya sur un seul bras et broya ses seins de sa main libre

« Après ton prochain ... humpf ... orgasme ...je boufferai tes seins ...han ...gros seins .. han ...de fille ...à soldats .. aah ... han ... ma pute à moi .. han ... »

« OOOH TOUSS' .. OUII .. JE SUIS .. A TOI ... AAAHHH TA PUUUTE!! A TOI ... AAAAHHH! Oooh Touss ' ...pi..pitié ... je n'en peux plus ... OUCH! »

Il venait de se retirer d'un seul coup, brutal, mais c'était pour mieux cercler son sein droit entre ses deux mains géantes et le serrer comme pour le faire éclater puis il ouvrit sa bouche et le mordit sans douceur au plus large qu'il pouvait atteindre avant de remonter ses dents vers le sommet du sein, mordant à chaque fois dans la tendre chair jusqu'à ce qu'il atteigne le mamelon qu'il mordit encore plus cruellement

« AAAÏÏÏÏEE! OUCH! BRUTE! TU ME FAIS ... AAAHH... MAL! ... OOOH C'EST BON! »

Sans lui laisser de répit, Toussaint fit subir le même sort au sein gauche , arrachant de nouveaux cris à sa victime. Lorsqu'il en eut terminé , il la retourna comme une crêpe, lui releva les hanches et la prit en levrette sans se soucier de son inconfort.

« AAARRGH! .. TU ES COMME EUX! TROP FORT ... TOUSS' ... MON HOMME .... AAAAHHH ... ENFIN ... oooh Touss' ... ooh tu viens en ...moi ... aah .. c'est si bon ... si bon ... oooh ... tu m'inondes ... oooh Touss' qu'est-ce que tu m'as de nouveau mis .... Ça t'excite tant de me baiser après un autre homme? »

A ce moment, ils entendirent une cascade de cris de douleur dans la chambre à côté.

« On dirait que mon p'tit frère blanc donne la leçon à Gabi » remarqua Toussaint

Puis ils entendirent un cri « NON, pas par là! »

Léa frémit en sentant la bite de son amant se réveiller en elle . Il avait une lueur égrillarde dans le regard

« Que crois-tu qu'l lui fait? »

« Heu je ne sais pas.. »

« Menteuse, tu sais bien qu'il est en train d'enculer ma petite sœur avec la plus grosse bite de France ... Et si je te sodomisais ... avec la deuxième plus grosse? Mmmh? Tu as aimé ça avec les gardes! »

« Non Touss' , pitié, pas aujourd'hui! Je n'en peux plus. Tu es plus viril qu'un régiment de gardes à toi tout seul! Tu veux que je te suce?»

« J'ai une autre idée ... je vais prendre tes seins! »

Il se jucha sur elle et plaça sa bite raide et luisante dans la vallée de sa poitrine. Léa était soulagée d'avoir échappé à la sodomie mais cela ne dura pas. La pression de ses mains de part et d'autre et de sa verge au milieu ravivaient les morsures qui parsemaient ses mamelles martyrisées.

« Ooh Touss, attention! Avec les morsures, ça brûle! »

« Je m'en doute!! C'est d'ailleurs fait exprès mais c'est ça ou ton cul ma belle! Tu préfères que j'enfonce ma grosse verge dans tes fesses »

« uuuh , salaud, espèce ... d'HOMME! »

« Mais ça m'excite ...humpf ...de voir tes seins blancs...humpf... couverts de marques...humpf ... rouges ... de mes dents ..humpf ... et ma grosse bite noire .. humpf ... qui les viole ... humpf ... au milieu ...oooh Léa , c'est si bon ... humpf! »

« Aaah ... pour moi aussi ... salaud ... j'ai mal aah .. mmmais c'est bon ...aah ... salaud ... oooh! »

A côté, ils entendirent Loïc hurler « A MOI, TU ES A MOI! »

« Ooh, la punition de ...uuh Gabi est finie ... aaah ... jouis aussi ... sale brute ... que j'aime ... ahhh mon Touss' ... gicle ton foutre ... sur moi ... aargh . ..marque ta propriété «

« Aah Léa ... Ca monte! ooh je vais ... » il serra convulsivement les seins de Léa entre ses grandes pattes noires et éjacula une quantité impressionnante de sperme sur son visage et jusque dans ses cheveux! Puis il essuya sa verge sur ses seins et se coucha à côté d'elle.

« Tu es vraiment jaloux que je me sois fait sauter par les gardes »

« Pas jaloux .. non mais excité en diable ... j'ai envie de faire la même chose qu'eux ... en pire... d'ailleurs si tu continues à m'en parler, je vais recommencer »

« Non, non, pitié ... plus aujourd'hui. Je ne sais même pas comment je vais faire pour m'assoir! »

« Le Colonel Lévèque sollicite une entrevue, Mon Colonel » dit l'interphone.

« Faites entrer »

« Colonel! » « Colonel! » Le salut devenait un peu curieux vu sa promotion mais Walter sentait bien qu'il n'arriverait jamais à plus d'intimité avec le militaire.

« Nous avons réussi à produire en masse l'aphrodisiaque Bait . En voici deux échantillons pour vous. C'est de loin supérieur à mes propres potions ...»

« Merci Walter! Nous pourrions le tester ce week-end? »

« De préférence sans moi, je voulais vous annoncer que vu l'avancement de nos travaux, je retourne à Baisieux dès cette après-midi jusqu'à lundi matin. Ma femme me manque. »

« La petite Anne-Sophie ne vous suffit pas? »

« Justement ... »

« Alors si je puis vous donner un conseil, prenez Melle Terclavers avec vous. Si j'en crois les rapports de Fabienne Cartier, madame Nicole Lévèque sera ravie de faire sa connaissance. »

Anne-So était ravissante habillée en civil. Elle devait avoir consulté le bulletin météo car elle portait une robe légère qui ne masquait pas grand-chose de ses seins nus sans soutien et laissait planer de sérieux doutes quant à la présence d'un quelconque slip.

Le chauffeur de la Citroën noire avait relevé la vitre de séparation et le couple réalisa qu'ils pourraient profiter de d'une heure d'intimité.

« Je suis nerveuse » reconnut Anne-So « Rencontrer ta femme, c'est un peu comme la première fois que je me suis présentée au Colonel. Tu vas lui dire pour nous deux? »

« Il vaut mieux ... et de toute façon , elle lit en moi comme dans un livre ... de BD! Elle va comprendre avant même que j'ai ouvert la bouche .. »

« C'est pas comme cela que tu vas m'aider à me calmer ... »

« Pour ça, j'ai une autre idée , met une jambe sur la banquette.. »

Il se pencha entre ses jambes maintenant grand ouverte et releva la robe ... pas de culotte! Sa bouche continua sa course et vint se poser sur sa corolle, écartant de la langue de courts poils blonds qui essayaient de lui faire obstacle.

« Oh Walt! C'est ce dont j'avais besoin! Bou hou! Lèche-moi bien ... Ouiii , le petit bouton! Oh Wally, j'ai vu ... le dossier de ta ... femme ... aaah ... si elle veut bien... ooh de moi ... ooh c'est bon Wally! Je voudrais ... lui faire ... aaah ... l'amour! ... Je veux gouiner ... ta femme ...WALLY ... OUIII!! AAAHHH ... JE VIENS .... »

Walter se redressa en souriant « Tout un programme ma mie! J'espère vraiment que Niki sera d'aussi bonne composition ... Cela me plairait énormément ..»

« Mmmh! Moi aussi Wally. Je voudrais tant faire l'amour avec les Lévèque .... Mais arrêtons d'en parler sinon je vais de nouveau avoir le feu au cul ... »

A grand peine, ils changèrent de sujet et commencèrent à échafauder des hypothèses sur la sexualité des Baits jusqu'à ce que la voiture arrive devant l'entrée du jardin avant de la maison, juste comme deux silhouettes en training y pénétraient en trottinant. Par habitude, Walter crut qu'il s'agissait de Françoise et de Lucie mais les silhouettes étaient moins massives que celle de Soise et plus grandes que Lucie.

Il faillit sauter de la voiture en marche en reconnaissant Niki . ENFIN! Il était de retour au bercail. Il se précipita vers sa femme qui lui sauta au cou

« WALLY! Tu es enfin de retour! »

Elle était trop hors d'haleine mais elle colla son corps couvert de transpiration contre celui de son mari comme pour être certaine que c'était bien lui. Il la couvrit de baiser et finit par l'embrasser sans prolonger le baiser pour ne pas la faire suffoquer. Il l'écarta ensuite de lui, la tenant par les épaules

« Mais c'est extraordinaire ; tu as retrouvé ta taille d'avant la grossesse! »

« Hélas non ; pas encore mais avec Fabienne et Soise, j'y travaille dur! Le plus frustrant a été de me rendre compte que je m'étais déjà trop laissé aller avant ma grossesse ; il m'a fallu une semaine avant de pouvoir courir 3 km et je ne te parle pas des séances d'abdos ou de gym avec Soise! »

« Ma femme est toujours aussi courageuse et déterminée » constata t'il avec un grand sourire de fierté

« Ne fanfaronne pas trop ... ce n'est pas que pour ton plaisir que je me suis astreint à ce calvaire. L'objectif est de rester en forme pour être une mère active pour nos enfants . A mon âge, ce ne sera pas facile de suivre le rythme des trois petits monstres . Heureusement que j'ai Soise et Fabienne! »

A ce moment, Walter réalisa que la seconde silhouette était le caporal Fabienne Cartier, assignée à la protection et au bien-être de la famille Lévèque en l'absence du mari et père. Cette dernière ne semblait pas éprouvée par la course ; c'est à peine si elle transpirait en fait!

« Bonjour Caporal! »

« Mes respects mon Colonel mais si je puis me permettre, Niki insiste pour qu'on ne respecte pas le protocole militaire à la Villa Lévèque donc je suis simplement Fabienne ... »

« J'aurais dû y songer mais puis-je vous présenter Anne-Sophie Terclavers, mon assistante au laboratoire. Elle préfère qu'on l'appelle Anne-So »

Niki la regarda avec une attention soutenue puis sourit et fit la bise à la nouvelle arrivante

« Merci de prendre soin de Walter lorsqu'il est au loin Anne-So ; j'ai l'impression que nous allons bien nous entendre... »

Elle prit le bras de son mari et l'emmena vers l'intérieur de la maison

« Alors mon chéri, tu continues à agrandir ton harem? Soise et moi ne te suffisions plus? Quand je pense que j'étais si contente de pouvoir t'offrir Fabienne ... Elle a un tempérament de feu, je te préviens! »

« Ma chérie, tu m'étonneras toujours ... mais Anne-So est très impatiente de faire ta connaissance intimement aussi ... »

« On verra ça demain . J'espère que ce soir tu voudras bien oublier ta jeune pouliche et partager la couche de ta vieille poule pondeuse! »

« Niki! Je devrais te fesser! »

« Miam ... Enfin de l'action virile! Qui te dit que ce serait une punition? »

« Ma chérie, va vite prendre une douche, je vais demander à Fabienne d'installer Anne-So pendant que je vais saluer Françoise et embrasser nos enfants! »

« Ne te laisse pas dévorer par Soise! N'oublies pas que tu es à moi ce soir! »

« Promis! » dit-il en riant tandis que le petit groupe s'égaillait aux quatre coins de la Villa!

Françoise fut ravie de sa réapparition mais mis un doigt sur ses lèvres en lui montrant les trois bambins endormis et l'entraîna hors de la nursery.

« C'est bon de te revoir Walter mais ne réveille pas les petits monstres! Ils n'ont pas beaucoup dormi ces derniers jours et il faut absolument qu'ils se reposent ... et moi aussi! »

« Comment va le bébé? » demanda t'il en posant sa main sur son ventre

« C'est encore trop tôt pour que la grossesse me cause des problèmes ; je n'ai pas encore eu de nausées ; peut-être que j'y échapperai ... et à propos de grossesse, Lulu a réussi son coup! Les deux sessions avec Lolo ont suffi! On n'est pas sorties des couches-culottes!»

Ils soupèrent gaiment tous ensemble. Fabienne annonça qu'elle prendrait la garde de nuit tandis que Soise, très pressante, proposait à une Anne-So rougissante de lui montrer 'toutes les ressources de la maisonnées'. Niki était particulièrement élégante, vêtue d'une robe à balconnets et d'un boléro qui dissimulait partiellement ses seins. Juste ce qu'il fallait pour faire bouillir le sang de son mari.

Ils s'éclipsèrent dès la fin du repas et se hâtèrent vers leur chambre, terminant les derniers mètres en courant comme des gamins. Dès qu'elle eut passé la porte, Niki se retourna et attrapa Walter par la ceinture, l'attirant contre elle

« Embrasse ta femme Wally et puis baise-moi comme un homme des cavernes. »

Walter s'exécuta avec un plaisir non dissimulé. Et une ardeur non feinte Lorsqu'il la relâcha, elle gémit

« Pfuuu ... tu as fait des progrès! Ne me dis pas que c'est la petite qui t'a appris à embrasser comme ça! »

« Heu .. la situation là-bas implique énormément de tension sexuelle et j'ai dû payer de ma personne »

« Et tu as appris d'autres trucs? »

Il la poussa sur le lit et troussa sa robe . Elle portait une diaphane culotte en dentelle qu'il explora du plat de la main.

« Pas de préliminaire Wally, baise-moi! »

Il n'hésita pas plus longtemps et arracha le slip qui se déchira comme du papier. Il enleva la ceinture de son pantalon et s'en servit pour immobiliser les mains de Niki par-dessus sa tête puis libéra sa verge roide et se coucha sur elle.

« HAN! »

« WAAALLLY! »

Elle était brûlante, ouverte et sa chatte était comme du velours liquide. Sans marquer le moindre temps d'arrêt, il commença à pistonner les chairs délicieusement moites, lui arrachant un concert de râles

« Ooh mon Wally! C'est si bon tu sais ... meilleurs que .. aah .. mes femmes ... Ooh Wally! J'avais ...besoin d'une bonne saillie .. de mon mari .. . Vas-y .. baise ta gouine ... je te veux ... oooh ... Tu es si dur ... si fort ... Wally ... je ne vais pas ... tenir ... Jouir ... TROP BON!!! .. WALLY!!! TU ME TUES!! AAAH.... OUIII ... »