De la Chimie des Corps Ch. 04

BÊTA PUBLIQUE

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« Allez Wally, je ne suis pas en sucre tout de même! Baise-moi comme un homme sapristi! »

Il augmenta l'amplitude de ses mouvements mais restait tellement concentré sur son plaisir à elle que lorsqu'elle jouit, il était encore loin du compte lui-même.

Après quelques instants de récupération, elle fit sortir sa verge de sa vulve ruisselante et lui murmura

« T'as plus le choix mon amour ,tu vas devoir me sodomiser maintenant »

« Tu es sûre? »

« Wally, si tu ne veux pas me faire l'amour, je peux inviter Lambert! Subjugué ou pas , il ne fera pas la fine bouche, lui! »

Titillé dans son amour propre, Walter fouilla la table de nuit et récupéra un tube de lubrifiant qui ne servait plus beaucoup depuis qu'il avait arrêté de subjuguer les Abeilles de la Reine. Il s'en enduisit la verge puis l'anus de sa compagne. Il avait à peine présenté son gland à l'entrée du rectum qu'elle donnait un grand coup de hanches pour s'empaler elle-même sur son membre tout en se lançant dans une logorrhée

« AAHH Wally, enfin, tu m'encules! Oooh ça fait du bien!, Défonce-moi la rondelle, ramone mon trou de balle! J'aime quand tu prends mon cul! S.O.D.O.M.I.E.! Wally, sodomise-moi aaahh! Oui Wally, tu bien dur là entre mes fesses! Oooh Tu aimes mes grosses fesses mon amour? »

« J'adore tes fesses ma Niki humpf! Je voudrais pouvoir aaah les baiser toute la aah journée mais tu .. humpf ... m'excites trop ... Je vais ..humpf ... jouir dans ton .. beau cul .. humpf aaah ...Main... te ... NANT! AAAH! »

« Oui mon amour, décharge en moi ; donne-moi toute ta semence »

Elle ondulait des hanches pour le traire au maximum tandis qu'il broyait son sein dans sa main, tétanisé par le flot qu'il envoyait dans ses tréfonds.

Pendant que sa verge rapetissait tout doucement, il posa sa main sur son ventre et l'embrassa dans le cou.

« Niki, je veux qu'on se marie avant la naissance des enfants! Je me fiche du 'Qu'en dira t'on', je me fiche de l'opinion des autres, je veux être ton mari et le père légal de nos enfants »

Moqueuse, elle redonna un petit coup de fesses qui fit rentrer sa verge pourtant en pleine débâcle dans son rectum.

« Tu ne veux quand même pas que j'arrive à l'Hôtel de Ville sur un brancard? »

« Non mais on pourrait demander une cérémonie exceptionnelle à domicile ... C'est une simple question de pognon. En plus, cela nous permettrait d'organiser une petite réception juste après avec toutes tes amies ... »

« Walt, ce n'est pas si urgent ; on peut bien attendre après la naissance ; on n'est plus au 18è siècle! »

« Moi oui. Je vis toujours au siècle de Lavoisier. Et je veux que tu fasses de moi un honnête homme! »

« Soit, si tu parviens à arranger quelque chose pour juin, j'accepte de t'épouser! »

Elle se retourna sur le dos et il vit que ses yeux étaient brillants, presqu'en larmes ; sa femme de fer n'était pas aussi blindée qu'elle voulait le laisser croire.

Deux heures plus tard, il était à son labo et préparait une assez grosse commande pour Sylvie d'Arcques. Le paquet était à peine prêt que Toussaint Sawané se présentait pour l'emporter. Walter aimait bien le géant franco-malien qui était devenu en quelques mois l'un des meilleurs éléments de l'Agence. Il avait commencé comme 'muscle' pour boîte de nuit puis était devenu garde du corps avant d'assumer à peu près toutes les missions à risques comme les transports confidentiels et de fonds.

« Bonjour Toussaint. Vous avez été blessé? »

Le colosse portait un grand bandage en travers de la joue, de l'oreille jusqu'à la pointe du menton.

« Non, c'est un cadeau de ma sœur et de quelques amis : de la chirurgie esthétique pour diminuer la balafre. D'après le toubib, on ne devrait plus voir qu'une fine ligne plus claire après guérison . »

« Je suppose que cela vous tenait à cœur mais professionnellement vous allez y perdre : avec une cicatrice pareille, personne n'avait envie de vous chercher des crosses »

« J'ai failli refuser. Surtout que ma copine n'y prête pas attention mais d'un autre côté, la balafre était quand même fort vilaine. Dès que j'ai eu pris ma décision, je me suis senti soulagé »

« Tout va pour le mieux alors! Voici le colis pour Madame d'Arcques. Il y en a pour 7.000 euro cash! Cinq pour cents pour vous comme d'habitude »

« Ca va être une bonne journée Doc, il y a de fortes chances que Sylvie me propose une cht'ite gratification! »

Cela faisait déjà un bout de temps que Walter avait découvert que Toussaint faisait partie de l'écurie de gigolos de la Dame D'Arcques et de son cercle d'intimes, en compagnie de sa petite amie, de sa sœur et de son 'beau-frère au carré' comme il disait puisque le frère de sa petite amie était l'amant de la fameuse Gabrielle Sawané du C.U.L.

« A cette après-midi alors? »

« Oui, probablement après-déjeuner . Ad t'aleur Doc! »

Après le départ de Toussaint, Walter se rendit à l'Hôtel de Ville où il parvint à rencontrer le responsable de l'Etat Civil qui accepta, au vu de la qualité et de la grossesse multiple de la future mariée, de passer outre les règlements en vigueur pour précipiter la cérémonie à domicile. Walter allait bien entendu faire un don conséquent aux œuvres du personnel pour le remercier.

Il retourna ensuite à Baisieux, battant au passage son meilleur temps de référence sans s'en rendre compte et rassembla ses documents et ceux de Niki. Pour retourner vers Lille, il prit cette fois leur voiture ; il ne se sentait pas la force de courir un marathon ce jour-là, même en quatre tronçons. Il déposa les documents et retourna au labo. Deux heures plus tard, Toussaint refaisait son apparition.

« Tout s'est bien passé? Heureusement que tu m'avais dit que Sylvie te retiendrait peut-être ; j'ai failli téléphoner. »

« Oui, sorry Doc mais elle avait invité deux amies à elle à déjeuner et j'ai servi d'apéritif, de plat de résistance et de dessert à ces dames! »

« J'envie ta résistance Toussaint ; j'ai beau m'entraîner, je ne crois pas que j'y arriverais! »

« Vous n'avez pas autant besoin de fric que moi , Doc! Les études de Médecine de ma sœur coûtent cher! Ca motive!»

« Tiens, je ne t'ai jamais parlé de la fondation 'de Commines'? C'est ma femme qui s'en occupe. Normalement elle n'attribue des bourses qu'à des chercheurs mais elle pourrait peut-être développer quelque chose pour les étudiants méritants. Je vais lui en parler ; je te tiens au courant! »

« Tout est bon à prendre, Doc, merci d'avance! »

Au moment où Toussaint prenait congé, Carine entra dans la pièce ; Elle regarda avec un peu de crainte l'énorme mâle qui la saluait avant de rejoindre Walter. Depuis qu'elle n'était plus subjuguée, elle avait récupéré le labo n°9 tout en continuant à travailler dans l'équipe. L'appât du gain avait été plus fort que la découverte des turpitudes de Walter.

Ce dernier regrettait un peu les délicieuses fellations matinales de la jeune laborantine mais il avait toujours respecté sa promesse à Niki de ne plus s'en prendre au Club des Lesbiennes. Le rapport de Caro lui fit , une fois de plus, regretter sa promesse.

« La version 'L' fonctionne magnifiquement . Anne et moi on l'a essayée sur la jeune Aurélie du service du personnel avec le musc d'Anne. Tu sais qu'Aurélie est avec l'assistant de Lambert, celui avec sa queue de compétition? Eh bien, elle a presque violé Anne dans son bureau. Je n'ai eu que le temps de fermer la porte autrement , tout le couloir y assistait. Elle était complètement asservie à ma femme qui, après avoir bien joui, lui a ordonné de me lécher et j'ai pris un sacré pied! »

« Il ne reste plus que la version 'G' à tester alors? »

« Oui mais je suis à 100% certaine qu'elle fonctionnera parfaitement. Le tout sera de trouver un couple de 'volontaires'. Il me faudrait un hétéro et un vrai homo mais je ne connais que des hétéro ou des couples homo pacsés et d'une fidélité morbide! »

« Et si on pouvait trouver deux hétéro et les mettre en contact avec la potion 'G' de l'autre? »

« Tu doubles la difficulté. Comment faire pour récolter deux fois leurs phérormones? »

« Deux sportifs, ce ne devrait pas être trop dur à trouver ... »

« Pour moi, oui ; que veux-tu que je fasse dans un vestiaire d'hommes ... »

« Hum, il faudrait que j'en parle à Toussaint ; c'est exactement le genre de missions pour lesquelles il excelle ... »

Une semaine plus tard, ils étaient tous réunis dans la chambre de Nicole qui se trouvait dès lors surpeuplée : outre Niki dans le lit et Walter assis à ses côtés, il y avait les jeunes femmes du Club et Françoise qui sympathisaient visiblement ainsi que Toussaint et son beau-frère Loïc qui rétablissaient l'équilibre hommes/femmes par leur seule présence. Le géant africain ne portait plus qu'une fine bande de sparadrap à l'emplacement de sa balafre au lieu de l'impressionnant bandage de la semaine précédente.

L'ordre du jour était la préparation du mariage le plus discret de l'année. Les deux derniers devaient se charger du transport de personnes, principalement de l'Officier d'Etat Civil et de sa greffière , mais aussi de la sécurité et de la chasse éventuelle aux paparazzi. Walter ne croyait guère à une irruption de la presse dans leur vie privée mais avec le parfum de scandale qui entourait toujours l'Institut, deux précautions valaient mieux qu'une! De plus, malgré la liste plus que restreinte des invités, la présence de la sulfureuse Dame d'Arcques pouvait surprendre.

Anne s'était occupée d'écrire tout un scénario pour la cérémonie qui devait se dérouler dans le salon et le passait en revue tandis que Caro notait point par point les modifications proposées par les unes ou les autres. Les hommes se taisaient prudemment.

Lorsque la liste des invitées fut passée en revue pour la vingtième fois, Walter s'éclipsa, faisant signe à Toussaint et à Loïc de le suivre dans le salon où ils s'assirent autour de la table qui servirait à l'officiant.

« De toute façon, vous et vos sœurs êtes mes seuls invités » leur dit-il « Loïc, tu t'occuperas des officiels et toi Toussaint de Sylvie et de son groupe? Pour info, j'ai déjà fait installer des lits ans les trois chambres encore inoccupées de l'étage ainsi que dans le boudoir et le petit salon attenants parce qu'avec certains de nos invités, si on ne leur fournit pas un endroit où s'isoler, ils seraient capables de s'envoyer en l'air en plein milieu du salon. Si vous êtes sollicités, ou si vous avez une petite envie, n'hésitez pas , vous êtes les bienvenus .

Le traiteur sait que l'étage lui est interdit et il montera une tente-cuisine à l'extérieur pour son matériel et son stock.

Toussaint, ton équipe qui réaménagera le living room pour la réception est bien prévue pour la veille et le surlendemain de la cérémonie? »

« Vous en faites pas Doc ; on a briefé er re-briefé tout le monde, vous aurez droit à un service trois étoiles. Autre chose . Vous m'avez demandé de vous dégotter des volontaires pour votre potion « entre hommes ».

« Oui mais ça peut-attendre »

« Ben justement, on a peut-être une solution rapide : Loïc et moi, on voudrait l'essayer à nous deux. Vous voyez, on s'amuse régulièrement à nous quatre avec nos petites amies mais Lolo et moi, on a beau s'aimer comme des frères et se faire confiance, on ne parvient pas à dépasser le stade des branlettes. Nos copines par contre font l'amour entre elles sans problème et nous houspillent parce qu'on reste comme deux statues de sel à les regarder. On se demandait si une cht'ite dose de votre potion ne pourrait pas nous débloquer? Et les échantillons de sueur que vous m'avez demandé, ce sont les nôtres! »

« A priori, il n'y a pas de danger mais comme vous êtes mes amis, je suis un peu réticent. J'ai promis à ma future femme de ne plus utiliser mes potions sur des proches. Loïc, vous êtes aussi sûr que Toussaint de vouloir tenter l'aventure? Ni vous ni lui n'avez vraiment le type gay. »

« Docteur, ce n'est pas une question d'avoir un type ou une préférence sexuelle, notre but c'est de pouvoir partager notre sensualité à quatre et comme nous ne tenons pas trop l'alcool, vos élixirs d'amour représentent notre meilleure chance. »

« Bon, soit mais je voudrais bien organiser une surveillance scientifique. Vous connaissez Geneviève Roussel? La grande brune un peu coincée qui discutait en aparté avec Françoise. Elle sera très discrète et n'interviendra que pour vous 'réorienter' si le besoin s'en fait sentir. »

« On ne pourrait pas demander à Françoise? C'est une amie ...»

« Soise n'est pas au courant pour la version G ... à moins que vous ne lui en ayez parlé? »

« Non Docteur, Toussaint m'a bien dit et répété que votre business devait rester confidentiel! »

« Alors ce sera Geneviève. Où et quand?

« Avant ce week-end si possible; c'est l'avant-dernier match du championnat de basket et si l'équipe de ma sœur gagne et que l'équipe de Nanterre perd, elles seront championnes. Donc on va faire la fête et nous aimerions beaucoup leur faire la surprise. »

« Cela ne nous laisse que ce soir et demain jeudi. Ne bougez pas, je vais demander à Jenny. »

« Tu es bien décidé? » demanda Loïc à son beau-frère

« Oui mais parlons d'autre chose parce que pour le moment, rien que d'y penser, j'ai envie de vomir .. »

Walter revint l'air un peu ennuyé.

« Je suis mal tombé ... Françoise s'est mêlée de ma conversation avec Geneviève. Résultat des courses, le test aura lieu tout de suite dans sa chambre et elle veut se charger elle-même d'évaluer votre évolution. »

Toussaint déglutit péniblement « Je ne sais pas si ... »

« Courage grand frère ... Où est sa chambre docteur? »

« En haut de l'escalier, c'est la chambre avec le petit salon et le boudoir. »

Il se leva et contourna leurs chaises comme pour leur montrer le chemin mais profita de la manœuvre pour sortir deux diffuseurs de sa poche et envoyer une décharge dans le cou de chacun des garçons en suivant les noms inscrits sur chaque ustensile . Il les précéda jusqu'au bas de l'escalier où les attendaient Françoise et Jenny.

« Soise, tu as du lubrifiant en haut? »

« Plus qu'assez Wally ; je veux dire Patron! Et j'ai aussi toute une panoplie de gadgets pour les attendrir de la rondelle! »

« N'hésite pas à me prévenir au moindre pépin. Je les aime bien ces deux jeunes gens! »

« Pas de danger! Léa m'arracherait les tripes si je ne lui rendais pas ses hommes en parfait état! »

Elle s'engagea dans la cage d'escalier suivie de Geneviève et de Loïc qui prit la main de Toussaint . Le grand Franco-Malien se laissa entraîner à la suite de son ami sans lâcher sa main.

Arrivés dans sa chambre, Françoise dévisagea les deux jeunes hommes. Ils se serraient l'un contre l'autre mais sans vraiment prendre d'initiative.

« Et quoi les garçons? je croyais que vous vous aimiez? »

Ils semblèrent sortir de leur torpeur. Loïc leva son visage vers le géant qui l'embrassa à langue déployée sans aucune retenue. Loïc arracha la chemise de Toussaint hors de son pantalon de et lui caressa la poitrine. Toussaint l'imita et bientôt, les deux hommes exploraient le moindre recoin du torse de leur partenaire. Sous peu, ils se débattaient avec la ceinture de l'autre, peu habitués à manipuler des vêtements masculins à l'envers. Les caleçons suivirent plus facilement et les deux observatrices aperçurent alors la plus impressionnante paire de verges masculines de leur vie. Si Françoise connaissait bien la bite d'âne de Loïc pour y avoir déjà goûté, elle était fascinée par la vision de l'énorme verge noire comme sur une pellicule de négatif et à peine moins monumentale.

Les deux garçons portèrent la main sur le sexe de leur vis-à-vis et se branlèrent mutuellement et puissamment. Françoise commençait à sérieusement mouiller son slip en voyant ces deux corps masculins particulièrement virils se livrer à cette joute amoureuse et même Geneviève malgré son lesbianisme affirmé ne semblait pas insensible à ce spectacle.

Ils interrompirent baiser et caresses et se déshabillèrent hâtivement. Soise passa la main sous sa jupe pour se caresser la chatte par-dessus son slip en voyant les deux lances se croiser comme dans un tournoi de chevalerie. Les deux hommes s'enlacèrent à nouveau et basculèrent sur le grand lit. Loïc rampa sur le corps de son 'frère' et s'empara de sa verge tandis qu'il lui présentait la sienne. Les bouches masculines devaient être plus grandes que celles de leurs compagnes car il dépassèrent tous deux le gland pour commencer à se sucer l'un l'autre sans éprouver les mêmes difficultés que les filles. Dans le même temps, ils avaient recommencé des mouvements de masturbation sur l'imposante verge de leur amant.

Geneviève se tourna vers Françoise et la plaqua contre le mur pour l'embrasser avec autant de passion que celle dont les deux hommes avaient fait preuve quelques instants auparavant. Elle écarta la main de Soise et insinua ses doigts sous son slip pour s'attaquer à son clitoris et à sa vulve. Elle lui murmura à l'oreille

« Ces deux-là convertiraient un régiment d'Amazones! »

« Aah ... oui! Toi .. toi .. aussi .. » répondit la rouquine transportée par la magie des doigts de l'élégante Directrice Scientifique de l'Institut.

Les deux-là gémissaient à qui mieux et leurs hanches étaient agités de soubresauts annonciateurs d'une double éjaculation imminente

« Humpf ... Huuumpf » grogna Toussaint et Loïc sentit sa verge se raidir. Il s'appuya sur les coudes pour libérer sa seconde main et empauma les bourses de son ami au moment où le premier jet de sperme frappait son palais. Il commençait à avaler la semence de son amant lorsqu'il sentit une grande main noire caresser ses propres bourses et il explosa à son tour.

« Mmmouss ... gll .. gll! »

« AAAAAHHHHH! ... Jen ... JENNYYY! »

Accrochée au cou de Geneviève, Françoise jouissait sur les doigts de sa compagne en essayant de garder les yeux fixés sur les deux grands corps masculins qui vibraient devant elle.

« Il paraît .. que tu .. as la meilleure .. langue .. du département ... mais tes doigts ... sont déjà magiques ...! »

« Si tu veux essayer ma langue, moi j'aimerais bien tâter de la tienne! »

Les deux femmes se déshabillèrent elles aussi et rejoignirent les garçons enlacés sur le lit. Loïc s'était retourné et ils s'embrassaient à nouveau, mêlant les reliefs de leurs deux éjaculations forcenées.

Comme la plupart des amants mâles ou femelles de Soise, Geneviève ne put résister aux larges mamelons qui mangeaient presque l'entièreté du sommet des deux gros seins de la rousse infirmière et les téta avec une science de bon aloi pour la suite. Françoise la laissa faire un moment puis se positionna en tête bêche sur le flanc et s'attaqua avec férocité à la chatte qui s'offrait à elle tandis qu'elle découvrait dans son entrejambe que la légende de Jenny n'était pas surfaite. Elle mit un point d'honneur à résister assez longtemps pour déclencher l'orgasme de sa compagne en premier mais tout juste car elle fut frappée par une vague de jouissance explosive dans les secondes qui suivirent.

Lorsqu'elle reprit ses sens, elle découvrit deux visages souriants qui la dévisageaient .. et deux bites qui avaient retrouvés toute leur superbe. Elle sourit en retour

« Je ne savais pas qu'un zèbre avait deux bites » se moqua t'elle « Et deux bites d'âne qui plus est! »

« Qui te dit qu'on bande pour toi? » persifla Loïc en retour « Tu n'as jamais goûté mon grand frère » ajouta t'il en empoignant la grande verge d'ébène pour la tenter.

« La petite dose de Walter semble avoir bien réussi sans avoir d'effet hypnotique prolongé » constata l'infirmière « Si vous êtes capables de raisonner, ça vous dirait de faire le 'mille- pattes'? »

« Heu, connais pas » répondit Loïc en regardant son ami d'un air interrogateur

« Moi non plus »

« Ca demande un peu de souplesse et beaucoup de lubrifiant » dit-elle en se levant pour farfouiller dans sa petite commode de nuit