De la Chimie des Corps Ch. 03

BÊTA PUBLIQUE

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« Alors, caresse-moi les seins, ils brûlent! »

Sans se faire davantage prier, Carine plongea ses mains dans l'échancrure de la bouse et s'empara des deux petits seins qui semblaient vouloir faire exploser le soutien soudainement étriqué de la fougueuse bisexuelle.

« AAAH , Vas-y, pince-moi les tétons, écrase mes mamelles! OOH OUI! PLUS FORT! »

L'intensité de ses va et viens sur l'homme s'intensifiait avec la rudesse du traitement que subissaient ses seins.

« Embrasse-moi petite! Ca vient .. ça .. mmmh mmh! »

Carine recueillit le troisième orgasme de son amie , le buvant à même sa bouche. Dans une sorte de brume de désir, elle entendit vaguement Francine qui hoquetait « Arr . Arrête Gérard! »

Les trois femmes se rajustèrent et rhabillèrent leurs deux cobayes éprouvant quelques difficultés à ranger les braquemarts dans les caleçons bien trop étroits.

« Ils vont quand même se poser des questions en revenant à eux » dit Francine. Une bite bien raide et imbibée de cyprine dans le futal, ça interpelle »

« Je repasserai un peu plus tard pour régler deux trois détails au nom du Comité » répondit Geneviève. Je verrai bien où ils en sont! »

« Ceci dit, j'ai quand même un mystère à résoudre » dit Carine songeuse. « J'ai employé mes propres phérormones dans la version 'M' mais ils vous ont baisées sans faire la distinction. »

« Peut-être parce que tu étais dans la pièce? » suggéra Francine .. « Donne m'en un peu ce soir ; je l'essayerai en privé sur Paul »

Par la suite il s'avéra que les hommes ne faisaient pas la distinction quant aux phérormones utilisés ; du moment que la source était une femelle humaine, leur réaction était la même quel que soit ensuite leur partenaire. Même un mâle pouvait profiter de l'excitation du subjugué. Walter demanda à Niki d'utiliser la version 'M' sur lui et reprit conscience une heure plus tard, la verge débandant doucement au milieu de son pubis trempé.

« Félicitations mon chéri, tu as dépucelé Caro! » lui annonça sa compagne

« Hein? Mais ... comment as-tu pu accepter cela? demanda t'il abasourdi

« Je ne l'ai pas accepté, je l'ai organisé! » répliqua t'elle très fière d'elle. « Tout le Club s'est réuni pour assister à la fin de la virginité de notre benjamine. Et je puis te dire que mes amies n'ont eu que des compliments flatteurs sur ton comportement passif mais volontaire! »

« Mais pourquoi moi? »

« Question de taille mon chéri! D'après Francine, Gérard et son assistant ne peuvent jouer que dans la catégorie des vagins surentraînés alors que tu conviens beaucoup mieux aux vierges ou aux ex-gouines comme moi »

« Et elle a aimé? Je veux dire Caro»

« Bah, en bonne lesbienne, elle a un peu frémi au début mais comme elle pouvait régler son rythme sans que tu ne bousilles tout et elle a fini par jouir copieusement. Le plus marrant c'est qu'Anne lui a succédé. Elle voulait vivre la même expérience sur ta bite bien raide ... et aussi récupérer le sang virginal de sa dulcinée! »

« Par tous les alambics de Nicolas Flamel! Dire que je ne me souviens de rien »

« C'est d'autant plus dommage que je t'ai chevauché comme une folle après que mes deux co-gouines en ont eu fini avec toi »

Elle s'assit sur ses genoux et l'embrassa

« Et c'était très bon. J'ai essayé de te faire jouir mais rien à faire, j'avais beau contracter mes muscles intimes, te prendre en force ou au contraire très lentement, tu restais imperturbablement raide en moi. Après mon troisième orgasme, je t'ai dit de jouir et tu m'as lâché une quantité phénoménale de foutre tout au fond du vagin. C'était tellement impressionnant que je crois que j'ai encore eu un mini-orgasme au passage. Mais ne bouge pas, je vais te nettoyer ; je crois que c'est nécessaire! »

« Et elles ont assisté à ça aussi? » demanda t'il pendant qu'elle s'affairait sur son pubis avec une serviette.

« Penses-tu! J'aurais eu besoin d' un fusil à pompe pour éloigner cette meute. Elles adorent toutes voir un mâle se faire prendre contre sa volonté. Je crois que 'Irrésistible-M' va être un solide succès dans une certaine communauté. Et cela sans parler des cougars! J'en connais justement une qui devrait être intéressée. Il faudra que je te la présente! »

« Comment s'appelle-t'elle? »

« Sylvie d'Arcques . Mais tu ne la connais pas ; je l'ai rencontrée en différentes occasions lors de soirées mondaines et ou caritatives et je ne crois pas que tu l'apprécierais ; c'est une vraie Dominante comme on n'en fait plus même si elle le cache bien.

Et pour répondre à ta prochaine question, oui j'ai couché avec elle ... et sa régulière, c'est d'ailleurs aussi une Caro si je me souviens bien. Cela nous met à égalité mon chéri»

« Niki .. »

« Oui mon chéri, je vois que tu bandes de nouveau ... cela t'excite que je te raconte mes partouzes avec de vieilles gouines? Tu ne préfères pas que je te parle de mes ex-petites amies du Club? Evidemment, elles étaient moins expérimentées mais c'était plus torride. Par exemple, Francine et moi avec un double gode que je faisais aller et venir de sa chatte dans la mienne... »

« Niki, j'ai envie de toi ... »

« Sois un peu patient mon beau génie ... Donc, avec Francine ou Anne, on était dans le torride mais avec Caroline -- la Caro de Sylvie - , c'était pas mal non plus. L'impératrice de la léchouille. Elle m'a fait grimper aux rideaux tellement de fois que j'en ai perdu le compte. Tu ne pourras jamais te rendre compte à quel point la langue experte d'une femme peut te mettre le clitoris en éruption. »

« Niki, par pitié! »

« Encore un peu de patience mon amour et je vais te prendre dans ma bouche et je vais t'assécher les couilles en suçant ton gland et en te masturbant comme si ta bite était un pis de vache. Mais d'abord, je dois t'expliquer que le dernière fois que j'ai fait l'amour avec Sylvie et Caroline,

C'était un peu avant que tu n'abuses de moi pour la première fois. Nous nous étions retrouvées dans son appartement du centre-ville après un concert à l'Opéra. Un très bel appart' heureusement insonorisé parce que Caro ma vraiment fait hurler de plaisir ce soir-là. Ce qui m'a surpris, c'est qu'à un moment donné, Sylvie a fait entrer un superbe jeune homme nu qui affichait la plus monumentale érection que j'ai jamais vu . Il a pris Sylvie en levrette pendant qu'elle nous regardait. Il nous regardait d'ailleurs aussi et je crois que je l'excitais au plus haut point avec mes cris de plaisir .. »

Il pistonnait la vieille Sylvie avec tellement de vigueur qu'elle a fini par me tomber dessus et nous nous sommes embrassées pendant que nous jouissions l'une après l'autre. Le plus surprenant, ce fut après, l'éphèbe s'est retiré de Sylvie et s'est couché sur le dos. Alors, Caro -- que je croyais pourtant lesbienne jusqu'au bout des seins -- s'est couchée sur lui et s'est empalée sur sa bite géante qu'elle a chevauché pendant dix bonnes minutes avant de connaître l'orgasme elle-aussi . Et pendant ces dix minutes, l'Apollon n'a pas remué un cil ; il ne l'a pas touchée, lui laissant un total contrôle de leur accouplement. Exactement ce qui s'est passé avec notre Caro et toi aujourd'hui, la Potion M en moins! »

Elle cessa enfin de parler et sa bouche happa le gland tuméfié par le désir, goûtant au passage les humeurs des deux femmes qui l'avaient précédée. Sa main s'agita le long de la verge et il saisit bientôt sa tête pour la maintenir le plus loin possible autour de sa bite. Il allait enfin pouvoir se soulager de l'infernale pression qui l'habitait depuis qu'elle avait commencé à le faire grimper au mur avec ses histoires de lesbiennes en chaleur.

« Niki, aaah, ta bouche! AAH! Tu es la meilleure! Je .. vais .. venir ... OUI .. AAH! BOIS-MOI! AVALE TOUT! AAAH ooh ...! »

Pendant qu'elle déglutissait, il trouva la force de lui dire « Mon amour, tu es la plus adorable, la plus démoniaque et la plus douée de toutes les lesbiennes! »

Elle fit mine de vouloir lui tordre les testicules « Je ne suis plus lesbienne. Du moins plus à temps complet. Et tu le sais parfaitement, vil profanateur! »

« Mais tu m'as quand même dit que tu pourrais encore avoir envie de coucher avec une femme »

« Et j'ai ajouté que je voulais que tu participes ... Tant que je ne t'aurai pas invité à un trio, c'est que je n'aurai pas trouvé une fille qui me plaît assez ... »

« Et tes ex? »

« C'est de l'histoire ancienne ; je n'aime pas les plats réchauffés . Par contre, c'est vrai que j'aimerais encore une fois séduire une femme avant d'être réduite au rang de mère avec trois mouflets accrochés à mes nibards! »

« Niki, même avec trois mouflets comme tu dis, tu resteras la meilleure des compagnes du monde .. »

« N'exagère pas ... »

« Je n'exagère pas. Il y a une différence entre une compagne et une partenaire de lit. Moi j'ai attendu cette compagne toute ma vie et maintenant que je t'ai trouvée, je ne t'abandonnerai certainement pas. Et si je dois te partager avec une lesbienne pour t'en convaincre, cela ne me semble pas un prix démesuré à payer. Enfin, cela dépend un peu de la lesbienne... »

« Qui te dit que ce doit être une lesbienne? Il y a des femmes bi ou même simplement ouvertes à toutes les propositions sexuelles... Tu te souviens de l'infirmière qui est venue me faire le frottis vaginal etc.. parce que je n'avais pas le temps d'aller à la clinique? »

« La grosse? »

« Tu devrais la voir maintenant! je l'ai revue pour une prise de sang . Elle a bien perdu vingt kilos et d'après ce qu'elle me dit, elle pourrait bien te battre au dix kilomètres. »

« Et quoi, tu as envie d'elle? »

« Je dois bien avouer qu'elle m'intéresse et qu'elle ne semblait pas insensible à mon charme »

« Est-ce que tu crois qu'elle pourrait être intéressée par un futur job d'infirmière privée? On en a déjà parlé, tu auras besoin d'aide avec les triplés et je préfère autant prendre une femme d'expérience et diplômée plutôt qu'une nourrice du Morvan! »

« Je ne sais pas, il faudrait que je puisse lui en parler ... »

« Invite-la! Montre-lui d'abord notre future maison à Baisieux avec les six chambres, dis-lui bien qu'elle fixera le salaire elle-même . Puis emmène-la diner en tête à tête. Pour la bagatelle ... je te fais confiance! »

« C'est une idée qu'elle est bonne ça! Walt, je ne te répéterai jamais assez que tu es génial! Je t'adore! »

Deux semaines plus tard, Walter se souvenait encore parfaitement de cette conversation alors qu'il rentrait à l'appartement avec une pincée de regret. La semaine prochaine , ils allaient quitter leur nid d'amour et emménager dans la grande villa de Baisieux pour y préparer la venue -- l'invasion disait Niki -- des triplés.

Il prit bien garde à ne pas faire de bruit . Niki lui avait laissé un SMS « Serai avec Françoise dans chambre ; attends signal » . Il enleva sa lourde parka et ses bottines bien nécessaires en cette fin janvier et s'assit à côté du radiateur du living room sans allumer ni la télé, ni même la lumière. Il tendait l'oreille ...

Il perçut enfin des gémissements étouffés qui venaient de leur chambre tout au bout du couloir . Cela commença par des « Mmmh mmh mais rapidement le son devint plus clair avec des « Aaaah et des ooh » qui trahissait la nature de l'activité des occupantes de la chambre. Bien qu'ayant promis à Niki de ne pas intervenir, il ne put résister à la curiosité et se dirigea sur la pointe des pieds vers l'embrasure de la porte restée entrebâillée .

Le spectacle était à la hauteur de ses espérances : Nicole, son amour, nue, était tête-bêche sur une athlétique femme rousse tout aussi nue. Les deux femmes se léchaient et se caressaient la vulve et le clitoris avec une détermination qui en disait long sur leur désir mutuel.

Walter examina la rouquine avec attention . En cinq mois, la grosse femme avait fondu comme neige au soleil même si elle restait relativement forte, c'était plutôt du muscle maintenant. Elle avait un peu la carrure d'une des sœurs noires américaines championnes de tennis dont il avait oublié le nom. Même les seins avaient à peu près le même format sauf le diamètre des mamelons qui était tout-à-fait exceptionnel.

(« Elle en a de la chance ma Niki ; j'aimerais bien pouvoir m'occuper de nibards pareils! » se dit-il)

Il sortit son sexe de son pantalon et commença à se masturber devant cette scène d'une haute intensité érotique. Sa verge n'avait plus crû de volume depuis qu'il avait arrêté le 'pot lillois' mais aux dires de Niki, cela valait mieux puisque c'était la dimension qui lui convenait! Niki cria une nouvelle fois « AAH SOISE! » et il se rappela du prénom de l'infirmière « Françoise » sans doute « Soise » pour les intimes. Cette dernière gémit « Vas-y Nicole, met toute ma main! J'aime être bourrée! » Puis assez rapidement « COMME CA! OUI! ENCORE, AAH CHERIE! C'EST TROP BON! JE JOUIIIIS!!! »

Walter faillit l'imiter mais réussit à contenir une furieuse envie d'éjaculer. Il battit en retraite et entreprit de tenter se calmer mais la conversation des deux femmes ne l'aidait pas que du contraire!

« Chérie » disait Françoise « c'était délicieux ; tu es la reine des léchouilles et je peux te dire que j'en ai connu des langues! Mâles et femelles! «

« Tu ne connais pas mon ex-copine Francine! Elle t'aurait fait grimper aux rideaux encore plus vite que moi! Quel dommage qu'elle ait fini par épouser un homme, c'est une perte pour toutes les femmes! »

« C'est notre drame à nous autres les bi » renchérit Françoise « on finit par choisir les mecs ou les filles et on est perdu pour l'autre camp »

« Moi mon compagnon a accepté que je couche encore avec des filles. Mais en échange, je lui ai promis de lui trouver une gentille fille pour la période où ma grossesse le privera de sexe. Ca pourrait être la même pour nous deux d'ailleurs »

« Ma chérie est-ce que ce ne serait pas un avantage en nature en complément du généreux salaire que tu me proposes pour m'occuper de toi et des bébés? «

« Attends de voir mon bonhomme. C'est une crème d'homme et un excellent amant mais il n'a pas la gueule d'un acteur hollywoodien! »

« Je peux toujours lui mettre un oreiller sur la figure! »

Les deux filles s'esclaffèrent . Walter était légèrement vexé mais il réalisait aussi toute l'implication de cette feinte : cette splendide amazone rousse envisageait sérieusement de prendre le job ET la direction de leur lit!

« Où est-il? » demanda Françoise « J'aimerais bien faire sa connaissance tant que je suis à l'horizontale ; j'adore ce que tu me fais ma chérie et je reprendrais bien une autre part de dessert mais je ne serais pas contre une bonne saillie pour conclure la soirée. »

« Il ne doit pas être loin. Probablement à son labo. Je vais lui envoyer un texto pour lui dire de rentrer.

Walter se hâta de couper le buzzer de son mobile et battit en retraite au moment où les gémissements reprenaient de plus belle. Dans le living, il répondit au texto 'suis déjà en route . 5 min ' et se rapprocha de la porte d'entrée au moment où les gémissements allaient crescendo. Il attendit cinq minutes puis claqua la porte bruyamment

« Niki, je suis de retour! »

« Nous sommes ici Wally, dans la chambre! »

Il prit son temps pour arriver à la chambre et siffla d'admiration en découvrant le spectacle : les deux femmes s'étaient adossées à la tête de lit, les seins bien en vue et lui souriaient. Il déglutit péniblement . Il était fou des seins de Niki, surtout maintenant qu'ils étaient gonflés par la grossesse mais les seins de Françoise étaient tout aussi excitants si pas plus avec ses mamelons ultra-larges et les tétons gros comme des petits obus qui surgissaient en leur centre .

Niki lui fit signe de s'approcher et de s'asseoir du côté de Françoise? « Viens dire bonjour à notre futur ange gardien mon amour »

Walter obéit et se trouva à portée de main de la superbe paire de mamelles de l'amante de sa femme. Il était comme paralysé. C'est Niki qui le fit sortir de sa fascination en lui disant « eh bien , c'est comme ça que tu dis bonjour? »

Walter se pencha et embrassa Françoise qui ne fit ni une ni deux et empoigna sa nuque pour en faire un baiser passionné. Dans le même temps, elle prit la main de Walter et la posa sur son sein, la pressant pour l'encourager à bien marquer sa poitrine de son empreinte.

Walter poussa un sourd grognement et bascula sur le corps de la pulpeuse amazone. Niki protesta « Wally, pas si vite, laisse-moi d'abord te déshabiller! » En un clin d'œil, elle l'avait complètement effeuillé et installé au centre du lit. Elle suça sa verge pour s'assurer qu'elle était parfaitement bandée puis céda le passage à son amie « Vas-y Soise, il est prêt! ».

Cette dernière ne se fit pas prier et enfourcha l'homme, s'empalant sur lui avec une facilité déconcertante pour Walter, lui qui avait l'habitude de se frayer un passage dans les intimités plus étroites de Niki et des autres filles du Club des (ex-)Lesbiennes.

Il avait l'impression d'avoir été happé par un bain brûlant dans lequel il se mouvait avec une aisance extrême. Soise faisait aller son bassin d'avant en arrière, écrasant son clitoris sur son pubis pour décupler ses sensations. C'était une vraie tornade de sensualité qui se déchaînait sur lui.

Niki se pencha et l'embrassa tout en lui griffant la poitrine. « Elle est terrible hein, mon Wally? Elle va t'assécher les couilles, tu vas voir! ». Walter la crut volontiers. Il sentait le vagin pantagruélique avaler son sexe jusqu'à ses poils pubiens. Il s'empara à nouveau de sa somptueuse poitrine et écrasa les mamelons démesurés entre ses doigts, faisant saillir les tétons flingueurs. Françoise commençait déjà à haleter mais son rythme ne faiblissait pas.

« Uuuh, Ni... cole ... Il est bon ...ton homme! J'aime bien.. .sa bite... OOH! Embrasse..-moi .. aussi! VIIITE! AAAAH! »

Walter se sentit inondé par un flot de liquide avant que la rouquine ne se laisse aller dans les bras de Niki qui l'embrassait à pleine bouche. Il aurait bien voulu jouir lui-aussi mais le poids des deux femmes plaquait son bassin au matelas et il dut patienter, raide comme la justice, qu'elles en aient fini pour pouvoir se remettre en mouvement.

Sentant son impatience , Françoise lui glissa « Désolé mon beau, j'en avais trop envie. Tu veux peut-être me prendre en levrette? Je m'occuperai de ta femme pendant ce temps... »

Elle se releva et contemplant le bassin trempé de Walter, elle s'excusa « Oups, sorry, de temps en temps je joue à la femme-fontaine quand l'excitation est trop forte. Je t'essuierai dès que tu te seras bien soulagé en moi! »

Quelques minutes plus tard, il se retrouvait accroché aux hanches de l'amazone rousse à la pistonner en levrette comme un beau diable tandis que cette dernière avait collé sa bouche sur la corolle de Niki et s'employait à arracher un ultime orgasme à la belle épuisée. Lorsqu'il jouit, Walter eut l'impression que ses bourses étaient aspirées avec leur contenu. Il tenta fixer son regard sur sa Niki qui jouissait au même moment sous la langue de Soise mais ses yeux se voilèrent malgré lui et il éjacula à gros bouillon, les oreilles bercées des cris de plaisir de sa compagne.

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