De la Chimie des Corps Ch. 02

BÊTA PUBLIQUE

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« Impressionnant » commenta de Commines « mais donc vous me proposez de transporter votre laboratoire? »

« Non, uniquement le home trainer et deux combinaisons de sudation. Vos amis pourront les utiliser à leur guise et me les rendre dès que possible. HAN! » Il s'était enfoncé jusqu'à la garde dans l'anus de la jeune femme « AAÏÏE » cria-t'elle « SIRE, IL ME PREND DANS MON.. DANS MON ... »

« Oui ribaude, il prend ton CUL et dès la semaine prochaine, ce sera mon tour mais en attendant, tais-toi! » Il se déculotta et laissa pendre sa verge molle dans la bouche de Linda qui la goba docilement.

« Ribaude, tu dois apprendre à être le réceptacle du plaisir de ton Sire et de ses amis. Aucune protestation ne t'est autorisée. »

« A ce propos, mon cher Président, je crois que ... humpf .. je ne vais pas aah tarder à décharger ... son cul est délicieux et ... AAH! «

« MMMMHHHH! MMMIIH »

« Ma parole » s'écria De Commines « Elle prend son plaisir aussi! Lévèque, livrez-moi votre 'pot lillois' au plus vite que je puisse la faire jouir avec un braquemart bien dur dans ses tréfonds moi aussi!»

Walter retourna à son labo. Niki avait disparu, appelée par ses tâches directoriales mais Anne et Geneviève avaient rejoint Carine et toutes trois discutaient avec animation autour d'éprouvettes et de générateurs de nanoparticules qu'Anne avait amenés de sa propre unité de recherche. Elle en expliquait le fonctionnement à Carine et Walter constata avec satisfaction qu'elle en profitait pour enlacer la benjamine de ses subjuguées. Si ces deux-là se mettaient en couple, ce serait une nouvelle humiliation pour Soumise qui n'aurait bientôt plus que lui vers qui se tourner pour sa satisfaction sexuelle.

Il fit signe à Geneviève de venir laver son sexe puis lui ordonna de le sucer. Il n'avait ni la force ni l'intention de jouir mais il savait qu'elle était la plus sensible à l'orgasme par fellation et tenait à lui rappeler son ascendant sur elle qui avait fait preuve de la plus grande résistance à se soumettre à ses désirs. Elle ne tarda pas à grogner de plaisir et fut bientôt prise dans les tremblements d'une jouissance majeure.

Il lui fit ouvrir sa blouse pour vérifier qu'elle était bien nue en-dessous et que sa chatte était parfaitement épilée. Parfait! Il allait avoir besoin d'elle pour suborner le responsable des stocks de produits pharmaceutiques et chimiques et la réputation de l'homme lui attribuait une préférence pour les filles à peine majeures. Geneviève avait une apparence particulièrement juvénile malgré ses trente ans mais une vulve imberbe ne pouvait qu'améliorer ses chances de succès.

Il lui fit signe de le suivre et ils se dirigèrent vers les sous-sols où régnait Joseph Wattine dit « Jo-la-Saumure » . Il fit affaire rapidement même si Jo protesta quelque peu devant la liste de produits surveillés dont il allait devoir camoufler la disparition. Mais ses protestations diminuaient à chaque bouton de la blouse de Geneviève que Walter défaisait au fur et à mesure.

« Elle pourrait être à toi, Jo! Tu n'as pas envie de ces beaux petits seins bien fermes ... et regarde ce ventre plat ... et tu pourrais aussi avoir cette magnifique chatte sans poils disgracieux ... »

Le responsable du magasin céda à la tentation de caresser Geneviève lui aussi ... et fut perdu à tout jamais pour la bonne marche de son département. Il se hâta de rassembler la liste de Walter qui l'abandonna avec sa subjuguée. Il se retourna une dernière fois avant de reprendre l' ascenseur et vit Jo à genoux devant la jeune femme, la tête cachée par la blouse grand ouverte tandis qu'il lui léchait la vulve. Geneviève le regardait lui en gémissant déjà. Il lui envoya un baiser à distance et reprit le chemin du labo 4.

Il avait un léger scrupule de jouer ainsi au mac mais la fin justifiait les moyens ; tant qu'il n'aurait pas toute la chaîne de commandement de l'Institut sous son contrôle, il ne pourrait pas se procurer ses drogues par les canaux officiels. Il avait déjà Niki et de Commines mais il lui fallait encore trouver le moyen de subjuguer la vieille Ballard et son âme damnée Martin, respectivement Présidente et Vice-Président du Comité Scientifique d'Acquisitions.

En arrivant à son labo, Caro était seule mais elle avait les joues rouges et il ne put s'empêcher de lui demander « Tout s'est bien passé avec Anne? »

« Oui ...très bien » répondit-elle en rougissant un peu plus

« Est-ce que tu n'aurais pas été un peu coquine avec Anne sans ma permission? »

« Oui Maître...; désolée Maître »

« Et qu'avez-vous fait? »

« Presque rien Maître, on s'est juste caressées l'une l'autre et elle m'a aussi fait les seins avec les siens ... »

« Vous avez bien joui? »

Caro était pivoine « Oh oui Maître, c'est toujours très bon avec Anne

« Bien, je veux que vous continuiez mais tu devras tout me raconter en détail .. et à Nicole aussi! »

Il alla ranger son nouveau stock dans son armoire-coffre-fort puis alluma son PC . Il avait envie de faire un cadeau à Soumise et acheta deux places pour un concert de Marianne Faithfull à la MC d'Amiens le vendredi soir puis dans la foulée, réserva une chambre d'hôtel jusqu'au dimanche matin. Amiens était assez loin de Lille pour qu'ils puissent y passer un petit week-end à eux deux sans risquer de déclencher des rumeurs malveillantes.

Il passa ensuite par le bureau de Niki pour lui annoncer qu'elle ne devait pas faire de projets pour le week-end. Quand il entra, elle sortait de son WC privé en s'essuyant la bouche.

« Tu as été malade Soumise? »

« Rien de grave Maître, j'ai l'estomac un peu fragile depuis quelques jours »

« N'hésite pas à aller voir un médecin si cela continue. J'aimerais que tu sois en forme pour vendredi ; nous allons passer le week-end à Amiens! »

« A Amiens, qu'est-ce qu'il y a de spécial à Amiens? »

« Une très belle cathédrale .... Et un concert à la Maison de la Culture! »

« Un concert de qui? Les Chtis sauvages? »

« Presque! Marianne ... Marianne .... »

« Faithfull? Oh Walt! C'est merveilleux! »

Elle lui sauta au cou avec un enthousiasme qui l'étonna.

« Ne me dis pas que c'est la première fois qu'on t'invite à un concert? »

« Ca fait très longtemps en tout cas. Quand j'étais au Ministère, on n'avait jamais le temps et depuis que je suis ici, je n'ai vu que l'Opéra de Lille et encore, c'étaient des soirées relations publiques »

« Et bien, on va rattraper le temps perdu. Et le samedi, on ira faire du shopping. C'est moi qui invite ; depuis le temps que je vis comme un moine ascète et avec nos gains de ces dernières semaines, on a largement de quoi s'amuser! »

Niki avait les larmes aux yeux. « Merci Walt ... maître... Tu es tellement gentil! »

« Tsst .. Maître ... et Soumise , c'est pour tes ex . Entre nous, c'est Niki et Walt! »

Niki éclata franchement en sanglots, la tête dans le creux de son épaule. Il sentait les larmes qui inondaient son cou et le col de sa blouse.

« Niki, Niki, ne pleure pas! Je suis là! »

« Justement! Je suis tellement heureuse mais je sais que bientôt tu m'abandonneras pour une autre! Quand Carine aura développé ton diffuseur, tu pourras alors avoir les plus belles femmes du monde et moi je te perdrai! »

« Mais enfin Niki, comment peux-tu imaginer que je t'échangerais pour une autre? Tu es la compagne idéale dont j'ai toujours rêvé. C'est moi qui ait toutes les raisons d'avoir peur de te perdre. Le jour où tu ne seras plus sous l'influence de ma potion, tu vas de nouveau me mépriser et tu me renverras le plus loin possible de toi! »

« Non Walt! J'ai besoin de toi. J'ai besoin d'être ta Soumise! Reste avec moi!

Ils restèrent enlacés un long moment jusqu'à ce que les sanglots de Niki s'apaisent. Il embrassa son visage, recueillant les larmes du bout de sa langue au passage.

Après les TP de l'après-midi, il repassa par le labo et reprit une dose de son 'pot lillois' . Caro était toujours occupée avec ses tests. Il la laissa à ses occupations et, pour la première fois depuis qu'il travaillait à l'Institut, partit avant l'heure -- et en taxi encore bien!

Pour le taximan, ce fut la course du siècle : ils se rendirent d'abord chez un poissonnier-traiteur du centre de Lille, puis chez un fleuriste recommandé par le chauffeur lui-même avant de faire étape chez un bijoutier puis de reprendre la route de l'appartement de Niki.

Il avait une heure avant son retour et s'affaira comme un beau diable pour tout préparer ; il fit même couler un bain très chaud juste avant l'heure fatidique puis éteignit toutes les lumières.

Lorsque Nicole, ouvrit la porte de son appartement sombre et silencieux, elle remarqua tout de suite l'étrange clarté qui provenait de son living-room. Elle voulut allumer la lampe du hall mais la lumière ne vint pas. « Encore une ampoule grillée » se dit-elle. Elle déposa son sac à main sur le guéridon, entra dans le living et son cœur s'arrêta. La pièce n'était éclairée que par deux chandeliers posés sur la table qui semblait par ailleurs bien garnie. L'accueil romantique comme dans les films! Une silhouette se découpa dans l'embrasure de la porte de la cuisine et Walt s'approcha d'elle.

Il l'embrassa passionnément puis lui releva le menton en disant « Ton bain t'attend ma Princesse » et il la chassa vers la salle de bain avec une grande tape sur les fesses.

Elle se déshabilla et se laissa couler dans l'eau délicieusement chaude dans laquelle il avait même pensé à ajouter un mélange d'huiles relaxantes et parfumées. Elle eut de nouveau les larmes aux yeux(« je deviens une vraie chochotte » se dit-elle) . Elle trouva un kleenex sur le lavabo et se moucha énergiquement avant de se replonger dans l'eau chaude. Elle réussit à se relaxer tout doucement et s'apprêtait à sortir de l'eau lorsque la porte d'ouvrit et une main éteignit la lumière. Puis la main réapparut tenant une bougie et Walt vint la poser sur le rebord de la baignoire en lui tendant un verre de vin blanc.

Walt la dévorait des yeux. Ses seins magnifiques effleuraient la surface de l'eau, laissant les mamelons à moitié immergés? Il se pencha pour l'embrasser à nouveau et lui entoura le cou de ses mains. Elle le sentit farfouiller dans son dos puis sentit quelque chose de froid se poser entre ses seins. Elle interrompit le baiser pour regarder et vit qu'il avait attaché un collier en or auquel était fixé un pendentif au milieu duquel brillait quelque chose qui lançait de mille feux à la lueur de la flamme de la bougie.

« Walt C'est magnifique! »

« Si tu veux parler de ce qu'il y a en-dessous de la babiole, je suis entièrement d'accord! »

« Idiot, aide-moi à me lever, je me sèche et j'arrive »

« Ne perd pas ton temps à te maquiller ; tu n'en as vraiment pas besoin et tu risquerais de manger froid ce qui devrait être chaud et vice-versa »

Walter fit retraite vers la cuisine, dissimulant de son mieux une érection impossible. C'était la soirée de Niki, pas celle de Soumise!

Il sortit les zakouski et le Crémant de Bourgogne du réfrigérateur et les disposa sur la table. Il s'assit et examinait la présentation d'un œil critique lorsque la porte de la salle de bain s'ouvrit et Niki apparut. Elle avait pris le temps de défaire son chignon et d'arranger ses cheveux châtains en les laissant tomber sur ses épaules

Elle était entièrement nue si ce n'était le pendentif qui scintillait entre ses seins.

Elle était fabuleuse.

Ses longues jambes et ses hanches fines mettaient en valeur ses magnifiques seins haut plantés dont les tétons dardés lui faisaient penser à une Amazone prêtresse du Dieu Amour.

Walter se dit que cette image allait rester gravée en lui pour le restant de ses jours.

Elle lui sourit et il se rendit compte que sa mâchoire pendait stupidement et qu'il devait avoir une tête l'idiot du village.

Niki s'approcha et s'assit sur les genoux de Walter. Elle se blottit contre lui et il l'entoura de ses bras. C'était la première fois qu'il ressentait aussi violemment l'envie d'aimer et de protéger quelqu'un. Elle prit sa main droite et la posa sur son sein gauche puis sur son ventre légèrement bombé et lui murmura à l'oreille « Aime -moi Walt, fais-moi l'amour ou baise-moi comme tu l'entends mais je veux te sentir en moi »

Le sexe de Walter était tellement tendu qu'il en était douloureux.

Il la souleva dans ses bras et l'emmena vers sa chambre. Après l'avoir allongée sur le lit, il se déshabilla fébrilement, maudissant sa ridicule maladresse et se coucha à ses côtés . Malgré sa lancinante érection, il voulait surtout la caresser. Il commença à lécher l'intérieur de ses cuisses ; remontant du genou vers l'aine mais avant d'y arriver, passa à l'autre jambe et redescendit en direction de l'autre genou. Il remonta à nouveau vers le pubis mais cette fois ne put plus résister et se lança à l'assaut des grandes lèvres de sa vulve béante. Elle attrapa ses cheveux et le plaqua sur son sexe en gémissant « Oh mon dieu, Walt! Tu ne sais pas ce que tu me fais! »

Il en avait au contraire une idée très précise et sa langue remonta et redescendit le long de la vulve jusqu'à ce qu'elle le supplie « Wally! Par pitié » . Alors enfin sa langue remonta jusqu'au clitoris qu'il prit dans sa bouche tandis que ses mains s'emparaient de des seins gonflés de désir.

« Wally, ...WALLY,... JE VAIS .....OOOH! WAALLY! AAAH »

Ses cuisses se refermèrent sur son visage et Walter crut mourir étouffé dans cette étreinte tandis que les mouvements spasmodiques de ses hanches écrasaient sa vulve sur sa bouche. Il fut tellement pris par l'émotion qu'il faillit éjaculer dans le vide comme la première fois où il avait couché avec une fille.

Dès qu'elle relâcha son étreinte , il remonta vers son visage comme un noyé qui remonte à la surface. Il était couché de tout son long sur elle et il l'embrassa à pleine bouche, lui laissant goûter la saveur de sa propre jouissance.

« Walt, c'était tellement bon. Prends-moi maintenant! Fais-moi l'amour mon WallyWalt! »

Elle tendit la main pour l'aider à la pénétrer ... et il jouit immédiatement en elle. Les émotions et sensations du dernier quart d'heure avaient été trop fortes pour lui. Elle l'enlaça et le laissa trembler comme une feuille tout le temps que durèrent ses éjaculations spasmodiques. Elle lui murmura à l'oreille « Je l'aime mon Wally, je t'aime tant! »

Elle l'aimait?! Comment la Potion pouvait-elle l'influencer au point de lui faire dire ce genre de choses? Lui il l'aimait mais il avait toujours son libre arbitre.

Il se redressa, les larmes aux yeux. « Moi je t'aime Niki mais tu ne peux pas m'aimer. Je ne suis qu'un immonde salaud qui t'a volé ta volonté. Je t'ai droguée et j'en ai profité pour te violer et t'humilier. Tu crois que tu m'aimes mais ce ne peut être que l'influence de la drogue que je mets dans ton thé matinal »

Elle lui caressa les cheveux et l'embrassa tendrement.

« Tu crois que je ne le sais pas? Ta drogue m'a toujours laissée consciente de mes actes et je me souviens de tout. Je me souviens des premières fois où je ne voulais pas de toi ; je me souviens de cette horrible femme qui m'a violée, je me souviens de tout ce que tu as fait avec mes amies... Mais je me souviens de ta gentillesse, je me souviens que tu t'es toujours soucié de moi et de mon plaisir alors que tu aurais pu t'en moquer et me traiter comme une serpillère sans que je puisse y faire quoi que ce soit.... Et ... je me souviens que je suis tombée amoureuse de toi. ...

Et cela fait une semaine que je ne suis plus sous l'influence de ta drogue puisque je vomis tous les matins peu après avoir bu ton thé à la maison. Il n'a plus le temps de faire de l'effet. Cela fait presque une semaine que je joue la comédie de la soumission .....Pour toi ...Car je sais que tu m'aimes aussi.»

« Tu devrais vraiment aller voir un médecin ... » La réflexion lui sembla totalement incongrue après la série d'aveux qu'elle lui avait assénés.

« J'ai déjà un rendez-vous, ne t'en fais pas. Tu vois pourquoi je t'aime? Je pourrais être ta chose et tu te soucies plus de moi que beaucoup de maris ne le font de leur épouse »

« Niki, je t'aime et je t'adore et mon rêve le plus cher serait que tu acceptes un jour de devenir ma femme mais pense à ta réputation! Si tu épouses le Vieux Rat Thé, tu vas être la risée de tout l'Institut et même bien au-delà! »

« D'abord tu es plus jeune que moi et pour le reste on en parlera plus tard. Et si tu arrêtais de causer et tu te décidais à utiliser ce machin bien dur que je sens dans mon ventre pour me faire grimper aux rideaux? »

« Bien madame »

« Mieux que ça! »

« Bien Madame la Directrice? »

« Encore mieux que ça! »

« Oui Maîtresse! »

« Enfin! Vas-y mon Wally, baise-moi, baise ta Niki. Fais-moi jouir!

Il n'eut pas besoin de plus d'encouragements et s'employa à la chevaucher comme jamais il ne lui avait fait l'amour jusqu'alors. Elle l'avait entouré de ses bras et ses jambes et toute à sa passion lui griffait le dos et lui martelait les cuisses avec ses pieds. Submergé par ce déluge de désir exacerbé, il serrait les dents et plongeait avec force dans son antre de félicité qui se resserrait de plus en plus autour de son membre. Ils avaient déjà tous les deux joui mais Niki recommençait déjà à haleter et à gémir. « Walt, ça monte ... tu vas aah .. me faire jouir.. C'est si .. bon.. .. han ... me .. l'amour! Wally ... je t'aime! WALLY! VIENS AVEC MOI!!

« AAH NI.. KI ..!! AARGH! ... Je t'aime ma Niki ....

Vingt minutes plus tard, ils étaient toujours allongés l'un sur l'autre à se bécoter même si la verge de Walter avait baissé pavillon depuis un bon moment. Il avait besoin d'être rassuré.

« Mais comment peux-tu aimer un type comme moi? »

« C'est vrai que c'est compliqué! Il faut d'abord pouvoir franchir les murs que tu avais construit autour de toi -- moi c'était facile, tu ne m'as pas laissé le choix -- mais une fois qu'on est à l'intérieur de ta citadelle Wally, on s'y sent si bien , protégée, aimée et on ne veut plus en sortir! ...Ceci dit, mon beau chevalier servant, j'ai faim!»

Quelques minutes plus tard, ils étaient de retour à la table. Walter avait mis le Crémant au surgélateur pour récupérer quelques degrés de fraîcheur. Il avait remis son pantalon mais Niki n'avait pas daigné se rhabiller et tandis qu'elle se livrait à une véritable razzia sur les zakouski, il admirait sa splendide poitrine qui allait et venait au gré de ses raids sur les plateaux. Le saphir entre ses seins lui donnait parfois la berlue et il avait l'illusion qu'elle avait trois mamelons. L'ensemble ravivait la flamme de son désir pour cette splendide créature qui lui avait déclaré son amour quelques instants plus tôt. Pour masquer son trouble, il alla récupérer la bouteille de Crémant. Ils trinquèrent gaiment « A Nous » et lorsqu'elle déposa son verre elle commenta d'un ton qui se voulait anodin

« Il était bon! Ce sera un agréable souvenir pour les sept mois à venir »

« Hein? C'est-à-dire? « demanda Walter un peu confus . « tu ne vas quand même pas me quitter? » La panique se lisait sur son visage

« Mais non mon Maître mais l'alcool c'est fini pour moi pendant sept mois »

« Ca a un rapport avec tes vomissements? C'est si grave? » La panique était montée d'un cran.

« Oui et non »

« Niki, si tu veux me rendre dingue, tu es bien partie. C'est grave ou pas???»

« Oui, cela a un rapport avec les vomissements et non ce n'est pas grave! En fait cela arrive à la plupart des femmes au cours de leur vie»

« .... »

« Mon Wally d'amour, je suis enceinte de six à huit semaines! C'est pour cela que je vomis tous les matins . cela explique aussi les crises de larmes ou mon appétit de lionne! »

« Hein ... Mais ... mais ...Qui ... Pourquoi .... Comment ...??? »

« Jusqu'ici, c'est facile! Qui? C'est toi! En cinq ans, tu es le seul homme à m'avoir tringlée et à répétition encore bien!

Comment? Je n'ai pas à me plaindre. Même les deux premières soirées, c'était très bien, tu m'as donné plus de plaisir qu'aucun homme ou femme avant toi!