Dans les Méandres de l'Ombre 01-04

Informations sur Récit
Un thriller policier noir et violent.
3.1k mots
4.66
3.3k
0
Récit n'a pas de balises

Partie 3 de la série de 11 pièces

Actualisé 04/18/2024
Créé 01/03/2024
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Chapitre 4

Ce vendredi soir, face à face devant la fille du commissaire de police qui cherche à me coincer, je sens la tension monter d'un cran. Là, devant moi, se tient cette jeune fille de 18 ou 19 ans, petite et mince, avec des traits qui trahissent sa timidité et sa naïveté. Ses énormes seins à travers sa nuisette transparente m'agressent. La peur peut-être? Ses tétons transpercent le tissu léger. Sa surprise en me voyant, un étranger cagoulé dans sa maison, est palpable. Ses yeux s'écarquillent, reflétant une peur et une incompréhension totales. Je dois agir vite. Je ne peux pas me permettre qu'elle alerte ses parents. Mon cerveau travaille à toute vitesse, évaluant les options, tranchant avec une précision chirurgicale. Je m'approche rapidement d'elle, un mouvement fluide et silencieux.

Avant qu'elle ait le temps de crier ou de réagir, je lui impose un bâillon, étouffant tout son possible appel à l'aide. Ses yeux s'agrandissent de peur, son corps se raidit en réalisant qu'elle est maintenant à ma merci. Je la regarde, la voyant non pas comme une personne, mais comme un obstacle à surmonter, une pièce de mon puzzle complexe.

Mon flegme s'évanouie quand l'étudiante se trouve contre mon corps d'homme.

- Tu t'appelles comment petite conne?

- Lula, m'sieur. Ne me faites pas de mal. Mon père est commissaire de police.

L'opération que j'avais rapidement planifiée est ruinée. La découverte inattendue de Lula Durieux a changé la donne, et maintenant, je dois improviser. Je ne peux pas simplement m'éclipser et laisser derrière moi des témoins. Non, il faut que je m'occupe du commissaire et de sa famille. C'est une complication, mais je ne suis pas du genre à me laisser déstabiliser.

Je monte à l'étage, mes pas aussi silencieux que l'ombre que je suis. Je trouve la chambre parentale, où le commissaire Gabriel Durieux et sa femme, Charlotte, dorment paisiblement, inconscients du danger qui les guette. Charlotte est là, petite avec de longs cheveux blonds, une image de tranquillité qui va bientôt être brisée. Elle est collée à son mari qui ronfle légèrement. Ils sont mignons ces deux là! Baisent-ils encore ensemble? Elle est vraiment charmante la quarantenaire avec ses longs cheveux blonds. Rapidement, avec une efficacité froide, je les ligote tous les deux. Le commissaire, un homme petit et bedonnant avec une calvitie prononcée, se réveille en sursaut, ses yeux exprimant une terreur et une confusion totales. Sa femme se débat faiblement, mais mes liens sont implacables. Derrière ma cagoule, je les observe un peu.

Une fois qu'ils sont tous les deux immobilisés, je retourne chercher Lula. La pauvre fille, toujours bâillonnée, me suit avec une peur palpable dans ses yeux. Je la pousse dans la chambre pour les confronter, un tableau de famille brisé par ma présence. Le commissaire et sa femme, attachés, les yeux écarquillés de terreur, regardent leur fille complètement nue. La petite nuisette et la culotte blanche sage n'avait pas résistées à mes pulsions. Leur impuissance face à la situation est presque palpable. Je savoure ce moment, le pouvoir que j'exerce sur cette famille. Dans cette chambre, je tiens en main le destin de toute une famille. C'est une sensation enivrante, un mélange de pouvoir et de contrôle qui me comble.

Derrière la fillette à papa, je pose mes mains d'homme sur les hanches menues. Je suis celui qui tire les ficelles, celui qui décide du sort de chacun d'eux. Comment ne puis-je pas prendre un des volumineux globes mammaires de Lula. Le commissaire hurle derrière son bâillon et sa femme aussi. Et maintenant, je dois décider de leur avenir.

Mais c'est la bête en moi qui prend les décisions. Mon plan a changé, et maintenant, il faut que je disparaisse sans laisser de traces. Tout en triturant le téton érigé, je réfléchis calmement sentant ma queue gonfler dans mon caleçon. Je vais les réduire au silence ; pas le choix! Mais avant ça... rien ne m'interdit de profiter de cette situation pour le moins excitante.

Je continue de caresser Lula devant ses parents qui sont sidérés. Dans sa toison blonde, mes doigts s'amusent et migrent lentement vers la vulve.

- Est-ce que tu te masturbes de temps en temps Lula? je murmure à son oreille après avoir embrassé son cou si gracile.

Elle ne répond pas tout de suite alors, je vrille durement son téton et arrache une touffe de ses poils pubiens en l'invitant à répondre à mes questions.

- Alors tu te masturbes? je demande plus fort.

- Aïeee, oui m'sieur.

Charlotte gueule dans son bâillon et tente de se débattre dans le lit où elle est attachée.

- Tu fais comment? Avec tes doigts ou avec un objet? je continue en serrant un peu son téton déjà meurtri.

- Je...je... avec mes doigts, pleure-t-elle en fuyant le regard de ses parents.

Je relâche son corps et passe sur le côté. Debout devant le lit parental, droite et figée, complètement nue, Lula sanglote. Ses cheveux blonds sont collés à son visage.

- Montre-nous comment tu fais!

Les yeux bleus écarquillés de la fille se posent sur moi puis sur ses parents qui se débattent inutilement. Je passe derrière la mère en m'agenouillant sur le lit défait. Mes deux puissantes mains entourent le cou de Charlotte comme une menace et Lula le comprend. Elle se résout à approcher ses mains de son sexe. Timidement, elle s'effleure du bout des doigts. Comme je serre un peu la gorge de la maman, la fille aux énormes seins, obtempère enfin. Son index et son majeur se posent sur son clitoris et commencent à tourner dessus. Je relâche Charlotte et passe mes mains sous le long tee-shirt qui lui sert de pyjama et je prends un sein.

- Moins gros que ceux de ta fille! je lui susurre dans l'oreille. Regarde comme ils sont gros, lourds et fermes. Ca donne envie n'est-ce pas?

Lula écarte ses lèvres avec son autre main pour facilité l'accès à ses doigts. Elle pleure mais a parfaitement compris que son obéissance est nécessaire. Je me tourne vers le papa.

- Magnifique non, monsieur le commissaire? Un joli bout de femme. Une peau lisse, des nibards de fou, un sexe certainement vierge... on en veut.

L'homme s'énerve et tente de me pousser. Je lui lance un coup de poing dans le ventre qui le plie en deux. Je déchire le tee-shirt de la mère de famille et malaxe sa poitrine tandis que j'admire la fille avec ses globes énormes qui se masturbe devant nous.

Je me lève et la mets à quatre pattes. Lula juste devant sa mère, est sur le bord du lit. La petite tente de se dérober mais je suis plus fort qu'elle. Le pantalon ôté, le caleçon baissé, la verge droite et son petit cul bien tendu vers moi, je la viole. Elle est toute serrée et je perce son hymen dans les cris de sa souffrance tandis que les parents pleurent et hurlent. Putain que c'est bon de baiser une vierge! Gabriel Durieux ferme les yeux. Il ne supporte plus le spectacle de sa fille violée juste devant lui, ses nibards lourds qui pendent sous son corps si mince, ses cris à chaque percussion de ma queue au fond de son vagin.

Je n'ai pas trop le temps de jouer avec eux. Il faut que j'accélère. J'allonge le père et baisse son pantalon. Par ses longs cheveux blonds, j'amène Lula sur le corps de son père. Je l'étends en positionnant sa tête devant le sexe paternel et en mettant sa chatte nouvellement violée sous le regard de papa. Charlotte est détachée et je m'allonge entre ses cuisses que j'arrive à écarter. Je la viole elle aussi juste à côté du papa et de la fille en 69. Tout le monde pleure et cela nourri ma perversion. Je jouis rapidement dans le ventre de la mère que je gifle ensuite.

Tranquillement, je me relève et me rhabille. Le spectacle devant moi me donne des idées. Quand cette histoire sera terminée, peut-être devrais-je penser à soumettre une famille entière. Lula n'ose pas se déplacer et demeure sur le corps de son père, sa bite devant ses yeux qui pleurent. Charlotte est recroquevillée sur elle-même, mon sperme s'écoulant de son sexe.

Je ramène Lula dans sa chambre et l'assomme. Puis je reviens détacher les parents après les avoir assommé également. J'opte pour la solution la plus radicale : mettre le feu à la maison. Avec une précision méthodique, je prépare incendie domestique, une bougie non éteinte. Je m'assure que le feu se propagera rapidement, ne laissant aucune chance à mes victimes. J'allume les flammes, observant un instant leur danse destructrice. La lumière vacillante reflète dans mes yeux, un miroir de ma propre noirceur intérieure. Le feu prend rapidement, se propageant à travers la maison avec une voracité sauvage. Les cris étouffés de la famille Durieux se mêlent au crépitement des flammes, mais je les ignore. Mon cœur bat calmement, chaque battement résonnant avec le chaos que j'ai créé.

Je quitte la maison en flammes, disparaissant dans la nuit. L'adrénaline du moment me propulse, me faisant sentir plus vivant que jamais. Je me fonds dans l'obscurité, un spectre indétectable, laissant derrière moi la destruction et le désespoir. Alors que je m'éloigne, le feu engloutit la maison, effaçant toute preuve de ma présence, de mon existence. Je suis le Poursuiveur, un fantôme dans la nuit, et ce soir, j'ai encore échappé à leur emprise.

***

Lundi matin, le commissariat s'éveille dans un bourdonnement d'activité. Elias Tabi, sa stature imposante et son allure confiante, arrive tôt. Ses cheveux châtains courts et ses yeux bleus scrutent les dossiers avec une attention minutieuse, chaque document une pièce du puzzle complexe de l'affaire du poursuiveur. Alors qu'il est plongé dans les rapports et les preuves, une brigadière s'approche timidement de son bureau. Pas très grande, un très joli visage aux traits fins qu'un subtil maquillage souligne, la jeune femme est un peu boulotte. Son énorme poitrine attire toutefois les regards. Avec un sourire hésitant, elle lui tend un café, la vapeur s'élevant comme un signe de paix matinal.

- Un café pour bien commencer la journée, inspecteur Tabi? dit-elle, espérant attirer son attention.

Elias lève les yeux, son regard bleu croisant le sien. Il lui offre un sourire de remerciement, saisissant la tasse chaude.

- Merci, c'est très apprécié, répond-il, sa voix portant un mélange de gratitude et de concentration.

La brigadière, ses espoirs vacillant légèrement, ajoute d'une voix douce :

- Peut-être qu'un jour, vous pourriez me remercier en m'invitant à boire un verre?

Sa question, teintée d'un espoir timide, flotte dans l'air entre eux.

Elias reste ancré dans sa mission. Il pose son regard sur l'énorme poitrine que l'uniforme n'arrive pas à masquer.

- C'est gentil de votre part, mais en ce moment, je suis vraiment concentré sur cette affaire de poursuiveur. C'est important pour moi de rester focalisé, explique-t-il, son ton respectueux mais ferme.

La brigadière acquiesce, comprenant. La jeune femme s'éloigne avec un sourire légèrement déçu. Elias, reportant son attention sur les dossiers, reprend son analyse. Dans son esprit, l'image de la camionnette blanche et les détails de l'enquête prennent le dessus, toute distraction mise de côté pour se consacrer entièrement à la traque du poursuiveur. La camionnette l'inquiète.

Ce lundi matin-là, dans la chambre qu'elle partage avec son mari Philippe, Chrystel Louveton se réveille avec une lourdeur dans le cœur. Alors qu'elle se lève de leur lit conjugal, elle regarde Philippe, son mari de 38 ans, grand avec des cheveux bruns et courts, et des yeux noirs expressifs. Il incarne une figure de stabilité et de force tranquille, contrastant avec le tumulte intérieur de Chrystel.

Chrystel est tourmentée par la culpabilité. La honte de l'avoir trompé la submerge, teintant chacun de ses gestes envers Philippe d'une douceur excessive. Elle se montre particulièrement attentionnée, presque avec excès, comme pour compenser son acte d'infidélité. Philippe, dans son ignorance des événements récents, perçoit ce changement dans l'attitude de Chrystel. Il la trouve plus douce, plus affectueuse, mais il ne peut s'empêcher de ressentir une certaine confusion face à ce changement soudain. Il y répond avec affection, ne se doutant pas des tourments qui agitent l'esprit de sa femme.

Pour Chrystel, chaque moment passé avec Philippe est teinté d'une douleur silencieuse, un conflit entre son amour pour lui et la culpabilité de son adultère. Elle se débat intérieurement avec ses émotions, cherchant une façon de gérer sa culpabilité tout en préservant le fragile équilibre de leur relation.

Dans la douce lumière du matin filtrant à travers les rideaux, Chrystel Louveton s'approche de son mari avec une tendresse renouvelée. Elle l'embrasse doucement, ses lèvres effleurant les siennes dans un geste empreint de douceur et de regret. Ses bras s'enroulent autour de lui dans une étreinte, cherchant à la fois réconfort et pardon dans son contact. Philippe, pris par surprise par cette démonstration d'affection, répond à son étreinte. Il ressent la chaleur de son corps, la douceur de ses caresses, appréciant ce moment de proximité. Cependant, il ne peut ignorer ce sentiment diffus, cette intuition subtile que quelque chose a changé. Il sent la différence dans la façon dont Chrystel le touche, le câline, prends sa verge mole dans le creux de sa main. C'est comme si chaque geste, chaque caresse portait le poids d'une émotion non exprimée.

Chrystel, de son côté, est emportée dans ses propres tourments. Chaque geste tendre envers Philippe est teinté d'une culpabilité qui ne la quitte pas. Elle le branle doucement, mais au fond d'elle, la honte de sa trahison avec Elias l'obsède. Elle se demande si elle peut continuer à vivre avec ce secret, si elle peut maintenir cette façade de normalité. Philippe, intuitif et sensible, perçoit ces nuances dans le comportement de Chrystel. Bien qu'il ne puisse pas identifier la cause exacte, il sent une distance émotionnelle, un voile subtil qui s'est installé entre eux. Il apprécie la bouche de Chrystel qui avale son érection naissante, mais reste intrigué et légèrement inquiet de ce changement soudain.

- Baise-moi fort, lance la femme soudainement.

Philippe est choqué mais comme sa femme a déjà tendu son cul vers lui, il ne discute pas. A genoux derrière elle, il la prend en levrette. Les gémissements de sa femme l'encouragent et avec puissance, il lui balance de grands coups de hanches. Rapidement, il ne tient plus et éjacule sans avoir réussi à faire jouir sa femme qui se loge ensuite contre sa poitrine.

***

Samedi matin, alors que le monde extérieur se réveille tranquillement, je descends dans mon sous-sol. J'emprunte les escaliers dont l'entrée est cachée dans l'armoire de ma chambre. Dans la première cellule, Djamila est là, sa peau d'albâtre luisant à la lueur du néon, pour seul habit son collier électrique. Elle attend sa ration quotidienne. Je lui apporte son repas, un mélange calculé pour la maintenir en vie, mais juste assez pour qu'elle sente constamment la faim. Elle me regarde, ses yeux reflétant un mélange de peur et de résignation.

- Mange, lui dis-je d'un ton ferme. Tu dois rester en forme.

Elle obéit, ses mains tremblantes saisissant la nourriture. Je la surveille attentivement, m'assurant qu'elle mange tout. J'en profite pour la doigter. Je suis satisfait car elle a bien maigri. Les exercices de sport qu'elle doit subir ont sculpté son corps. Une fois qu'elle a terminé, je lui ordonne de commencer ses exercices physiques.

- C'est pour ton bien, lui dis-je, un sourire narquois aux lèvres. Tu dois rester forte et saine pour me servir.

Je me dirige ensuite vers la cellule de Julie, la barmaid. La jeune fille de 20 ans, aux longs cheveux roux et aux yeux verts, est un contraste saisissant avec Djamila. Sa peau pale est parsemée de tâches de rousseur sur le visage, sur les épaules et un peu dans le dos. Son sexe maintenant glabre est un délice pour les yeux. Une gentille fente légèrement gonflée. Elle me regarde avec une défiance qui, malgré tout, ne peut cacher la peur qui transparaît dans son regard. Comme son dressage commence, je n'abuse pas trop. Je l'embrasse en me serrant contre elle. Je la sens rétive.

- À toi maintenant, lui dis-je en lui tendant son repas.

Julie le prend avec réticence, mais mange sans protester. Une fois qu'elle a fini, je lui ordonne également de faire ses exercices.

- Tu dois garder la forme car j'ai envie que tu restes en vie, répète-je, ma voix trahissant un plaisir malsain à les voir suivre mes ordres.

Ces routines matinales sont plus qu'une simple question de santé physique pour mes prisonnières ; elles sont une démonstration de mon contrôle, un rappel constant de leur captivité et de leur impuissance. C'est un jeu psychologique, une torture subtile qui renforce leur soumission. Je les observe, chacune à leur tour, exécuter les exercices que j'ai imposés. Dans ces moments, je me sens tout-puissant, le maître incontesté de leurs destins. Je suis le Poursuiveur, et dans mon royaume souterrain, ma volonté est loi.

Ce week-end, je me suis fixé une mission : me venger de Sarah Magari, cette femme qui a osé briser les règles de notre jeu en parlant aux policiers, à ces deux enquêteurs que feu le commissaire Durieux a dépêché. Alors que je conduis vers Strasbourg, je ressens un mélange de colère et d'excitation. Ma détermination est totale. J'arrive en fin de journée, la maison de Sarah Magari nichée dans un coin isolé, entourée par la nature. C'est parfait pour ce que j'ai en tête. Je me cache dans la densité de la forêt, un prédateur invisible, observant sa proie. J'ai tout mon temps, la patience est une de mes vertus.

Je note qu'une jeune fille est avec elle. Sa fille certainement. Une complication supplémentaire, mais pas insurmontable. Et même distrayante Je m'adapte toujours. J'attends que la nuit enveloppe le monde, mon alliée dans cette entreprise. Les ténèbres sont mon domaine, et sous leur couvert, je suis invincible.

Au loin, à travers les fenêtres éclairées dans la nuit, j'aperçois Sarah et sa fille, les deux femmes voilées, chacune dans sa chambre, se préparant pour la nuit. La lumière à l'interieur expose leur corps à ma surveillance. Leur routine habituelle, innocente et banale, me donne un avantage. La fille ôte son voile et ses vêtements. Elle est nue et j'aperçois la silhouette de sa poitrine. Sa chemise de nuit me cache son corps. Elles ne savent pas encore qu'elles sont observées, que leur tranquillité est sur le point d'être brisée. Sarah imite sa fille dans sa chambre. Elle se déshabille et j'ai à peine le temps de voir sa nudité qu'elle la recouvre de son pyjama.

Je reste immobile, un chasseur patient. Chaque détail que je glane est une information précieuse pour mon plan. La nuit, mon élément, me donne le signal. C'est le moment d'intervenir. Je me prépare, ajustant mon équipement, ma cagoule. Ma respiration est calme, mes mouvements sont précis. Je m'approche de la maison, chaque pas un calcul, chaque mouvement un frisson de plaisir anticipé. Ce soir, Sarah Magari va apprendre le prix de sa trahison. La vengeance est un art, et je suis un artiste dans son exécution.

(la suite à suivre)

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2 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a 3 mois

On est embarqué par l'histoire

AnonymousAnonymeil y a 3 mois

Très très bonne série. Très bien écrite, une des meilleures de ce site, merci à l'auteur.

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