Damnation en Héritage

BÊTA PUBLIQUE

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Ces vidéos… Je refuse d’envisager ce qu’elles contiennent, quant à leur nombre… Depuis combien de temps Juliette était-elle filmée ? Elle travaille depuis six ans. Ça veut dire que tous les deux-trois jours une vidéo d’elle est mise en ligne…

Le Connétable promeut toujours le site de la mairie : « C’est au top de la modernité ; on peut classer les vidéos par date, par note, par nombre de vue et par étiquette. Regarde un peu, ta sœur à pas moins de trente-huit vidéos avec l’étiquette "animaux" vingt indiquant "chiens", dix "chevaux", deux "ânes", et un "cochon". Une vraie amie des bêtes… je suis sûre que tu n’as jamais imaginé qu’elle était aussi cochonne, ah ah… toi tu étais en cours, à sauter sur un cheval d’arçon, pendant qu’au même moment, ta sœur était sautée par un cheval… ah ha. Tu peux aussi peut-être classer les vidéos de ta sœur selon le nombre de vues, Tiens regarde, la plus populaire date de cinq ans… On mate ça ? »

La vidéo est intitulée « 19 ans ! »

C’est chez moi, l’horloge indique quinze heures… La porte s’ouvre et Juliette entre, elle est habillée avec une courte jupe en latex, et un haut moulant avec écrit dessus « Bonasse ». Tout d’un coup, la lumière s’allume, des pétards claquent, des bruits stridents de sifflets retentissent, une banderole se déplie du plafond : « Joyeux dix-neuf ans, Juliette ! » Une vingtaine de personnes sortent de leur cachette et se mettent à chanter : « Happy birthday to you, Juliette ! »

Juliette porte la main à son cœur surprise… Elle a l’air interloquée, puis elle sourit :

« Merci ! Je ne m’attendais pas à ça. »

Le Connétable se trouve parmi les invités, il va vers elle, « Tu es contente ? Mathilde est là aussi. »

En effet, maman est à côté du Bailli qui lui pelote les seins. Quand elle remarque que le Connétable parle d’elle, elle se dirige vers ma Juliette, et lui roule un patin auquel ma sœur répond avec enthousiasme, on voit leur langue se mélanger. Ma mère arrête le baiser pour lui demander : « tu es prête à servir tous ces messieurs ?

— Oui Maman. »

Maman place alors des bars d’écartement, deux trous pour les mains, et un pour la tête. Ma sœur a les bras emprisonnés, est rendue incapable de se défendre même si elle le voulait. On lui fixe un plateau au niveau de ses hanches, pour que les banqueteurs puissent prendre et déposer leur verre quand elle passe à proximité.

La vidéo est en mode accéléré. Je vois ma sœur circuler parmi les convives, tout le monde la touche, les fesses, les seins. Elle demande « Une fellation avec votre champagne ? » Quand on lui répond oui, elle se met à genoux pour tailler une pipe.

Si, pendant qu’on la pelote ou qu’elle suce un chibre, elle renverse du champagne, ma mère est appelée pour qu’elle la fouette. Au bout d’une heure, tout le monde a bu et a pu remplir la bouche de ma sœur de foutre. On l’a déshabille et elle se retrouve nue, à genoux sur le canapé. Un canapé où j’avais l’habitude de regarder la télé avec elle. Maintenant je comprends pourquoi, un jour, je l’avais trouvé plein de taches blanches dessus. La chatte de ma grande sœur sert de dépotoir à sperme, elle couine alors que les hommes défoncent son abricot en guise d’au revoir. Et après qu’ils aient juté leur sperme, elle ne manque jamais de dire : « Merci d’être venu pour mon anniversaire, si vous voulez quoi que ce soit, n’hésitez pas à demander. N’oubliez pas de m’appeler pour que je vienne vous sucer pour votre anniversaire »

Le Connétable à mes côtés soupire en revoyant cette fête-surprise :

« C’était chouette… mais pour ton anniversaire, on organisera quelque chose de plus cool encore.

— Mon anniversaire ?

— C’est bientôt non ? En tout cas, tu te demandes peut-être comment ta mère s’occupe dans la journée, regarde cette vidéo. »

La vidéo est intitulée « Une maladroite nettoie »

Maman est au manoir Lavant, où elle travaille chez la famille Mélier. Sa tenue est différente de celle qu’elle porte en quittant la maison. À la place, elle est vêtue d’un costume de soubrette de film porno, une mini-robe transparente noire à grosse maille, un tablier en dentelle blanc, un serre-tête en forme de cœur, des porte-jarretelles, un string-ficelle… même pas de soutien-gorge.

Maman est dans la cuisine du manoir à préparer une tartine pour le fils de la famille. Elle lui donne, mais un téléphone sonne, la surprend, et le toast tombe. Le fils donne une gifle à ma mère et lui crie « Nettoie ! »

Maman semble trouver ce comportement normal. Comme s’il était naturel d’être traité comme une chienne. Elle ramasse la tartine et se met à quatre pattes pour lécher le sol. Le fils, tout en croquant la tartine, se lève. Il descend le string de ma mère et commence à la tringler, sans un mot, alors qu’elle est encore en train de lécher le sol. Maman n’est même pas troublée quand la bite s’enfonce dans sa chatte ; elle continue à nettoyer consciemment. Le connétable accélère la vidéo jusqu’au moment où le jeune homme gicle. Maman attend alors que le sperme coule de sa chatte, puis elle se retourne, et recommence à lécher le sol ; cette fois aspirant le sperme tombé de sa chatoune sur le carrelage.

Mon patron prend la parole : « Montre-lui celle de sa sœur, appelée « Transport en commun 1.  C’est important qu’elle comprenne quand s’habiller »

Dedans ma sœur est au milieu du bus, vêtue classiquement, comme j’ai l’habitude de la voir. Il y a des places de libres, mais elle reste debout. Une musique rock sort soudain des haut-parleurs du bus, ma sœur commence alors un strip-tease en utilisant la barre verticale du bus comme dans un pôle de strip-club. Elle est d’une agilité déconcertante, se retrouve vite nue. Elle effectue des mouvements de fou, elle est capable de faire un grand écart en quelques secondes, et elle est d’une beauté étonnante, captivante. Elle se donne à fond pour assurer le spectacle. Les passagers se branlent, quand ils sont sur le point de gicler, ils se rapprochent d’elle et l’asperge de leur foutre. Sans arrêter sa chorégraphie, elle racle le sperme sur sa peau et l’avale avec une moue gourmande. Puis quand son arrêt s’affiche sur le panneau électronique du bus, elle se dépêche de sortir des vêtements d’un sac. Il y a une culotte en dentelle, des bas en soie, une robe tombant à ras-le-bonbon avec un décolleté pigeonnant. Elle a juste le temps de mettre un collier où est écrit « PUTE » avant de descendre.

Quand la vidéo s’arrête, le bailli signale : « Toi, avec ton trajet en bus pour venir jusqu’au supermarché qui est deux fois plus long, tu vas être épuisée en arrivant. Je suis sûr que tu seras contente de pouvoir te reposer en suçant la queue de ton patron.

— Hein ? Mais je ne connais rien au strip-tease ni aux mouvements de pôle dance ! Elle est dix fois plus agile que moi.

— Parce que tu crois qu’elle a toujours été aussi gracieuse ? Oh non ! Elle a pris des leçons ; six mois de cours du soir avant que son spectacle ne commence à être bandant… Mais elle n’a pas dépensé son argent pour rien, maintenant, c’est une vraie pro, aguicheuse comme une pute.

— Mais elle n’a pas dépensé son salaire pour ça ? Elle n’a jamais voulu s’exhiber comme ça ! Vous l’avez forcé !

— Et tu crois que c’était à nous de payer ? Le contrat de ton aïeul est clair, les frais pour remplir le contrat sont à la charge de ta famille. Du coup, si tu veux savoir, depuis l’époque où le contrat a été signé, vos dettes ont doublé. C’est que vous êtes dépensière dans la famille, de vrais paniers percés. Vous avez toujours besoin de nouveaux vêtements sexy, de cours de dance… ta sœur a même suivi des cours pour apprendre à tailler des pipes, elle n’était pas douée au départ, incapable de pratiquer une gorge profonde… C’est que ça coûte cher l’éducation. Quoiqu’il en soit, tu apprendras aussi à accomplir ces mouvements…

— Je ne pourrais jamais me dépenser comme ça pendant une demi-heure… c’est impossible.

— Comme tu veux, de toute façon si les passagers du bus n’aiment pas tes chorégraphies ou s’ils te trouvent ramolli, ils peuvent demander à ce que tu te mettes à quatre pattes pour te péter le cul. Ta sœur a vite compris qu’elle avait intérêt à se montrer brillante.

— On parle, on parle, mais cette salope ne m’a toujours pas sucer je vous signale, intervint le patron du supermarché. »

Le Bailli me donne un coup de pied aux fesses pour que je me dirige vers mon nouveau patron. Il a sorti sa queue et attend que je m’en occupe. Ai-je le choix ? Si le Connétable et le Bailli eux-mêmes considèrent le testament de mon aïeul comme valide ; je n’ai aucun recours. À contrecœur, j’ouvre la bouche et commence à sucer pendant que le Connétable me filme pour alimenter mon dossier.

Le Bailli montre une vidéo pendant que je suis occupée à tailler une pipe.

« Tu sais après les vacances, tu vas finir ton année scolaire. Tu veux savoir comment ta sœur à passer la fin de son année de terminale ? Regarde un peu… »

C’est ma sœur, plus jeune, pendant sa dernière année de lycée. Moi j’étais encore au collège à cette époque. Ce que je vois explique facilement pourquoi elle a raté son bac et abandonné ses études. Elle porte l’uniforme des lycéens Kersiais… Sauf que sa jupe est raccourcie de vingt bons centimètres, lui cachant à peine sa culotte, et que son haut est déboutonné ; plus précisément, tous les boutons ont été arrachés, l’empêchant de fermer son chemisier. Sur son front est écrit au feutre « âne » et sur ses mollets : "Salope" et "Déchet". Une fille lui crie dessus :

« Tu ne respectes pas la tenue réglementaire, penche-toi !

Ma sœur balbutie en pleurant :

« Mais c’est pas ma faute, c’est les garçons, ils ont coupé les boutons et…

— Tais-toi salope ! Je ne veux pas entendre tes accusations mensongères de pute. Penche-toi ! »

Elle s’exécute sans plus discuter. La fille sort une règle de trente centimètres et s’applique à lui cingler le cul. Cette sadique frappe de toutes ses forces… ma sœur a la tête baissée et je vois des larmes tombées par terre, elle doit souffrir horriblement. Deux garçons surgissent et se mettent à lui verser des pots de confiture sur elle, déclenchant l’hilarité de tous. Ma sœur se précipite vers les toilettes. Sur la porte des w.c. pour fille, une feuille est accrochée. On peut lire dessus :

« INTERDIT AUX SALOPES »

Et collée dessous, une photo de ma sœur où elle est assise sur une bite noire et a un sourire extatique.

Ma sœur ouvre donc la toilette des w.c. pour garçons, elle va à l’évier pour se débarbouiller de la confiture. La confiture lui coule sur les yeux, elle pousse un petit cri quand une bite s’introduit dans sa chatte par surprise. Je peux voir sur visage consterné se refléter sur le miroir des toilettes. Elle serre les dents, agrippe les bords du lavabo, et pendant toute la durée où le lycéen la fourre elle réussit à retenir ses pleurs.

Je suis désolée, navrée pour ma sœur. Je me rappelle chaque fois que je l’ai critiquée alors qu’en fait, elle était victime des autres. Quand elle achetait une nouvelle robe parce qu’elle avait déchiré l’ancienne. Toutes les fois où je lui reprochais d’être en retard… maintenant, je comprends ce qui causait son retard et je la plains. Mais même si je suis de tout cœur avec sœur dans son épreuve, ce qui m’horrifie le plus, c’est que le même sort risque de m’attendre. Je revois le visage des garçons de ma classe, et les sourires qu’ils m’accordaient prennent maintenant un autre sens, ils savaient que j’allais bientôt travailler, et que mon minou deviendrait leur jouet préféré.

Le directeur du supermarché me tient fermement la tête et m’inonde de son jus épais. J’en ai plein la bouche, c’est dégoûtant. Il reste la queue dans ma bouche, attendant que j’avale bien tout. La semence glisse dans ma gorge, et l’homme qui est maintenant mon propriétaire sourit en me voyant déglutir.

Je me relève en grimaçant, goûtant pour la première fois au goût du sperme. J’ai honte, je suis désespérée et j’ai peur. Alors je suis un peu rassuré quand le Bailli annonce : « Ah, ta sœur arrive. » En effet, la porte s’ouvre. C’est le patron de la « Mouette heureuse » et il a une laisse à la main, et, au bout, marchant à quatre pattes, ma sœur. Elle a un collier lui serrant le cou ; dessus est écrit : « PUTE ».

Le restaurateur annonce : « Je vous amène Juliette, elle sait comment se comporter… »

En effet, sans dire un mot elle marche à genoux vers moi. Elle pose la main sur ma jupe et la tire vers le bas. Puis elle s’occupe de ma culotte, me laissant presque nue devant tous ces hommes. Elle ordonne : « Installe-toi par terre, salope. »

J’entends le Bailli dire : « C’est moi qui lui ai dit d’insulter sa sœur, je ne veux pas qu’elles deviennent complices. »

Je m’assois au sol. Mon patron confit à Juliette une bouteille d’eau, une cuvette, de la mousse à raser et un rasoir. Juliette demande alors : « Comment voulez-vous que je la rase ?

— Je ne sais pas… qu’est-ce que t'en penses ?

— Elle sera adorable le minou complètement rasé. Je sais qu’elle a une jolie petite chatte, ce serait dommage de la cacher avec du vilain poil. »

Comment ma sœur peut-elle dire ça ? Hier soir, elle était aux petits soins avec moi. Au dîner, elle avait cuisiné un pavé de saumon avec une sauce à l’oseille. Ce que j’adore ; et maintenant, elle va me raser la chatte pour que ces types odieux me baisent ?

« T’as raison, répondit le directeur du supermarché. Mets-toi au travail, et dépêche-toi… je veux lui fourrer son con bien lisse. Et quand les poils repousseront, tu t’assureras de lui entretenir le minou pour qu’il soit identique au tien. Ce sera rigolo, vos deux abricots, côte à côte, identiques… »

Juliette se met à asperger mes poils de mousse. Au même moment, le Bailli passe derrière elle et lui retire sa culotte. C’était une culotte en latex, dessus je peux voir de nombreuses marques blanches. Le responsable de la loi sur l’île enfonce son gourdin dans la chatte de ma grande sœur, sans lui demander si cela lui plaît. Pourtant elle miaule :

« Oh Monsieur le Bailli, votre grosse bite m’a tellement manqué, j’adore quand vous venez me déglinguer la chatte. »

Comment ma sœur peut-elle parler comme ça ? Elle surveille mon langage ; chaque fois que je dis un gros mot, elle me gronde en disant que pour étudier aux universités de Londres ou de Paris, je dois employer un vocabulaire soutenu. Son patron, lui, n’est pas surpris par sa vulgarité. Et il n’hésite pas à être ignoble avec elle :

« De toute façon, on sait bien que ta chatte est toujours en manque. Tu mouilles déjà comme une chienne.

— C’est vrai Monsieur, je suis désolée d’être une telle salope, je ne peux pas m’empêcher de tremper. »

Qu’elle parle et qu’on la baise ne la gêne pas pour continuer à travailler sur moi. Le rasoir racle ma peau, et je suis étonnée que malgré les grands coups de reins que lui donne son patron, elle réussisse à garder un tel équilibre. Je me refuse à imaginer le nombre de fois où elle a dû subir cette situation pour conserver un tel calme.

Le patron de Juliette est concentré sur sa foufoune et ne me porte aucune attention. Le Connétable et les autres hommes bavardent entre eux. Ils parlent de moi, discutant de l’ordre de passage dans mon con. Le Bailli explique que comme représentant de la loi, c’est sa prérogative de me fourrer en premier. Le Connétable, lui, avance qu’en tant que représentant élu de l’île, c’est lui qui est chargé de me dépuceler. Le patron du supermarché prétend que comme employeur, il a autorité sur moi pour ce qui est de me tringler.

Je profite de leur engueulade pour murmurer à ma sœur : « Qu’est-ce qui passe ? Pourquoi tu--

— On doit jouer le jeu, obéir, et tu donner l’impression d’aimer ça… ou tu te subiras un châtiment.

— Dorothée… elle doit partir le plus tôt possible.

— Impossible. Elle serait repérée, et une fois attrapée, elle serait punie. Rien que de l’avertir serait considéré comme une violation de notre legs, mieux vaut que ça n’arrive pas… elle risque d’être mise au centre de la ville, au pilori pendant un mois et baiser par tous… Le seul moyen de partir, c’est qu’elle quitte l’île avant de trouver un travail, là, ils ne pourront rien contre elle… J’espérais que tu m’écouterais, que t’irais sur le continent…

— Mais Dorothée…

— Ne t’inquiète pas… Avec maman on a déniché un pensionnat qui accepte les élèves surdouées en France. On y a inscrit Dorothée, à la prochaine rentrée scolaire, elle sera partie d’ici.

— Mais… »

Le Bailli se tourne vers nous :

« C’est quoi ces messes basses !? Pas de secrets entre vous !

— Non, aucun secret ! répondit ma sœur. Alice me disait qu’elle était ravie que je lui rase la chatte, pas vrai ? »

Son regard est suppliant… quelle horreur endure-t-elle si elle ne respecte pas les consignes ? Je ne tiens pas à le découvrir et je réponds :

« Oui… Juliette est tellement au petit soin avec moi. J’ai hâte de voir l’allure que ça me donnera. »

Ma sœur se montre efficace et quand elle a terminé sa tâche, il ne me reste plus un poil, je suis complètement lisse. J’ai l’impression de ne plus être une femme, mais une esclave ; même ma toison pubienne ne m’appartient plus.

« Sois une gentille petite sœur, et remercie Juliette, » ordonne le Connétable.

Ma sœur s’assoit sur un fauteuil et écarte les jambes, me laissant voir sa chatte rasée en ticket de métro. Dedans son patron a déposé une grosse cargaison de sperme. « Lèche-moi, sale pute, vide-moi le trou à foutre. »

C’était répugnant, mais je m’approche d’elle et enfonce ma langue dans sa fente. J’aspire avec dégoût les restants de semence, je m'aperçois qu’on me filme, que bientôt toute l’île pourra mater une vidéo des sœurs Lavant, l’une gouinant l’autre. Juliette mouille, je ne sais pas comme elle s’y prend… Mais d’après ce qu’elle dit, je devrais moi aussi apprendre ce tour ; prendre du plaisir en subissant les pires humiliations, ou sinon je recevrais une punition peu enviable.

Je finis ma tâche avec horreur, lécher ma propre sœur, jamais je n’aurais imaginé accomplir un acte aussi répugnant, aussi sordide.

Le Connétable me filme toujours et demande :

« Alors, t’as aimé ça ? »

Hors champ, ma sœur hoche fortement la tête. Je comprends son conseil et réponds :

« Oh oui ! J’ai aspiré tous les résidus de semence, c’était délicieux. J’ai enfoncé ma langue dans sa chatte pour tout nettoyer. Maintenant sa chatoune est propre et nette, prête à être fourrée à nouveau. »

Ma voix tremble. J’ai peur qu’on ne me trouve pas assez convaincante. C’est aussi ce que doit penser Juliette, car elle met à genoux à mes côtés et ajoute :

« Ma sœur a toujours dit qu’elle rêvait de me lécher l’abricot ! C’est une vraie salope, vous allez être contente d’elle. Elle a plein de surprises pour vous.» Puis elle m’embrasse alors que j’arbore une mine dégoûtée. Sa langue touche la mienne, j’ai un frisson, c’est ma sœur…

Le Connétable semble satisfait. Après avoir réalisé toutes ces cochonneries, ma sœur quitte le bureau comme elle y est entrée ; à quatre pattes, tenue en laisse par le restaurateur.

Mon patron se tourne vers moi :

« Il va être temps pour toi de commencer à travailler. Je vais te donner une tenue. Tant que Dorothée reste encore ignorante de la tradition de ta famille, tu partiras de ta maison dans un habit classique, mais tu te changeras dans le bus. Tu as vu la vidéo de ta sœur, tu apprendras à distraire les voyageurs avec strip-tease. Je t’ai commandé un costume de Bunny Girl, je devrais le recevoir d’ici jeudi, je suis impatient que tu l’enfiles. Ça attirera du monde. En attendant, je t’ai sortie des affaires du magasin qui seront décomptées sur ton salaire : une mini-jupe, un string-ficelle, un soutien-gorge en dentelle et une blouse en V. Tu devrais avoir l’air bandante avec ça. Dans le magasin, les clients ont le droit de toucher, où ils veulent, et ils peuvent enfoncer leurs doigts dans ta chatte aussi. Quoi qu’ils s’amusent à peloter, tu dois les remercier.