Crépuscule

23 octobre 1881, Paris France.

Un inconnu se cache dans la nuit. Il vient pour elle, et seulement elle. Il vit pour elle, et seulement elle, il convoite pour elle, et seulement elle. La passion sans fin, il se sent peut pas être détruit par n'importe quel homme. L'amour sans fin qu'il ressent pour cette femme ne doit être ni nié d'résisté. Non, cet étranger doit l'avoir pour le sien, ou qui souffrent aux mains de ses propres désirs.

Dans le ciel clair de lune, il vient, comme une ombre de la vieille. Il est entré dans le jardin et passa le chien garde. Il climats du mur et se pousse, prêt pour le moment le plus important de sa vie. Dans le ciel clair de lune, il vient, avec toute sa misère et la gloire. Il glisse tranquillement à travers la fenêtre d'ouverture et rampe sur le noir, sol poussiéreux.

Il voit son sommeil sous les couvertures, dormant tranquillement. Il se lève sur ses pieds, et vient à son chevet. Cette femme était tout ce qui comptait pour lui. Une fois, elle était à lui, la vie serait la sienne! Avec beaucoup de force et de vitesse, l'ombre bondit sur elle, causant la femme pour éveiller tout d'un coup. Elle avait peur sans doute, mais elle voulait cela, besoin de cela. Elle voulait son innocence devant être prises par cette ombre qui se cache dans la nuit, a voulu être prises dans le ciel clair de lune.

Il alimente sur son en toute simplicité, et avec force. Elle ne crie pas, et elle ne désespère pas, car elle voulait cela et ne se souciait pas. L'ombre entre avec passion, il passe à travers elle avec aisance. Cette femme ne pouvait pas croire ce qui se passait. Elle devait se marier le lendemain, à un homme qu'elle avait été promise à toute sa vie. Non, la nuit était jeune et elle était avec un inconnu. Il fait l'amour avec elle. Il a ouvert son esprit et a pris son âme. Il l'a forcée à se réconcilier avec l'acte de passion. C'était la fin de son orgueil, la fin de sa douleur, ses gouttes lacrymales tombaient comme la pluie. Il n'y avait rien qu'elle pouvait faire, et elle n'a pas envie de faire quoi que ce soit.

"Pourquoi devez-vous faire cela?" elle a plaidé, perdu dans le plaisir que son corps céleste était consommer à chaque respiration, à chaque poussée. L'étranger ne répondit pas, ne continué, se livrant dans le doux plaisir de la vie et l'amour. Les larmes ont commencé à tomber, et la femme embrassé cet homme avec tout son amour et l'espoir. Elle avait besoin de lui, elle avait besoin d'être avec lui dans la beauté du ciel clair de lune.

Son humidité imbibé les feuilles dont elle prévues. L'étranger a été une respiration rapide, des grognements agressive, battre farouchement. Il a laissé cette femme sait à quel point il avait besoin d'elle, besoin d'être avec elle dans l'extase que du ciel clair de lune. Enfin, leurs plaisirs est venu à une tête, et tout l'amour, tout le plaisir, tout a explosé en une longue, l'expression profonde de l'extase.

"Pourquoi, pourquoi?" criait-elle, sa respiration calmante. L'étranger ne dit rien, vient de se retiré des feuilles et se tenait près de la fenêtre et regardait dans la nuit.

"Vous savez que vous avez été une femme très bête mon cher, pour profiter de la convoitise et que vous voulez d'un parfait inconnu est delà de ma compréhension. Qu'est-ce que le futur mari pense?" il se mit à rire, aussi fier de sa victoire sur cette femme.

"Ne dites pas, merci de ne pas le dire!" elle a pleuré, en désespoir de cause.

"Oh, il sait tout prêt. En fait, il a été dans la salle tout ce temps." Un regard de confusion est apparu sur le visage de la femme.

"Je ne comprends pas monsieur."

"Bien sûr, vous faire coeur non sucré. Vous n'avez jamais été très brillant," a ri de l'étranger, en entrant dans la lumière du ciel clair de lune. Pourquoi il n'a jamais été un étranger tout au long de. Non, cet homme a été faire pour épouser la femme qu'il venait de prendre demain après-midi. Cette révélation l'a choquée grandement, plus alors elle pourrait exprimer.

«Je pensais que nous aurions notre nuit de noces avant le mariage." L'homme sourit, aimer son triomphe sur sa femme qui sera bientôt. La femme tout à coup l'équipage en colère, ne pas aimer le fait qu'elle avait menti.

«Espèce de salaud!" Avec ce que le ciel clair de lune refermé sur eux à la fois, ce qui conduit à une scène romantique qui ne pouvaient être appariés. L'homme est venu vers son être bientôt épouse, et a placé ses bras autour d'elle.

"Ne me détestez pas mon cher, dans le ciel clair de lune tout peut être réalisé." Avec cette obscurité refermé sur eux deux. Il l'embrassa, et elle l'embrassa. Et ils ont partagé dans cette passion, la passion du ciel clair de lune.

La fin