Contrainte 09 - Le proviseur 2/2

Informations sur Récit
Les contraintes quotidiennes de la soumise.
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3

Partie 2 de la série de 2 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 04/30/2020
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Cette histoire est complètement imaginaire, de l'ordre du fantasme. Les personnages sont fictifs et majeurs. Les violences faites aux femmes sont condamnées par l'auteur. Si vous n'aimez pas les situations de contrainte, d'humiliation, voire de viol, ne lisez pas.

*

Près de la fenêtre, elle tournait lentement sur elle-même, mains sur la tête, le cul en feu des 70 claques appliquées par Alain-Claude TREPREUX. Philippe l'avait cédée aux ordres du proviseur qui comptait bien en profiter.

Il s'approcha de la pauvre fille et ôta sa culotte de chaînes métalliques. Il préférait la savoir et la voir entièrement nue sous la petite jupe écossaise rouge. C'était une jupe achetée dans un salon érotique, très courante en ces lieux, plissée, ultra courte, bien large, une invitation à passer la main ou le regard dessous. Il en profita pour exciter les tétons qui, sans même cela, formaient déjà deux boulettes parfaitement apparentes sur le pull blanc. De retour à son bureau, il enclencha sa webcam qu'il dirigea discrètement vers Françoise. Il mit en marche la fonction ENREGISTREMENT.

Il fallait maintenant qu'il aille à la salle commune faire le point avec le personnel sinon il ne tarderait pas à avoir de la visite à son bureau. Il ordonna à la fille de continuer à tourner lentement sur elle-même sans jamais cesser jusqu'à son retour. « Avec la webcam, pensa-t-il, je verrai si elle désobéit. » Il la laissa seule à ses craintes.

A la réception des visiteurs, il trouva les deux éternelles permanentes en cours de commérage avec un client, Thérèse et Christiane. Il leur fit la bise comme de coutume, s'intéressa quelque peu à la conversation, s'arrêta aux problèmes éventuels. RAS. Tout était en ordre. La première dame s'inquiéta de la présence de Françoise :

* Elle est arrivée, répondit le proviseur, mais pour le moment elle est occupée. Elle vous rejoindra tout à l'heure.

Il s'occupa à ranger une table qui proposait des mangas pour grands enfants. Ce n'était guère facile de se concentrer tant son cerveau était empli d'images de la belle Françoise à sa merci. Il avait besoin de faire le point. De façon complètement imprévue, il venait d'obtenir un énormissime pouvoir sur la fille : « ...vous en faites ce que vous voulez, quand vous voulez et où vous voulez... » avait dit Philippe. A l'évidence, il ne blaguait pas! Elle était devenue son esclave.

Elle, seule dans le bureau, avait bien fait deux ou trois tours ; s'y trouva profondément ridicule ; les fesses brûlantes qui réclamaient qu'on les calme. Elle cessa de tourner en rond, se frotta la partie douloureuse, descendit un peu sa jupe, tira sur le pull. Elle maudit son mari qui la mettait dans de telles situations ; elle maudit aussi Philippe, le plus vicieux de tous. Mais elle ne savait pas encore qu'elle venait de tomber sur pire que lui! Elle était très inquiète par la brutalité d'Alain-Claude, il lui avait vraiment fait mal. Elle fixait sans cesse la porte du bureau non fermée à clé, n'importe qui pouvait venir. Que dirait-elle si l'une ou l'autre des permanentes entrait?

Lui, à l'unique pensée qu'elle était seule à tourner en rond, s'en excitait. Il devait prendre garde à ne pas montrer son pantalon tendu par l'érection. Il se décida à retourner au bureau vérifier l'obéissance de la fille. Il avertit les commères qu'il avait à faire et qu'on ne devait pas le déranger. Il avança silencieusement dans le couloir jusqu'à la porte qu'il ouvrit brutalement pour surprendre Françoise. Elle avait les mains sur la tête.

Sur PC, il lança la vidéo prise par la webcam.

* Oh... Ca ne va pas... Ca ne va pas du tout, lança-t-il. Tu n'aurais pas oublié de garder ta position?... Dis-moi.

* Eh... non Alain-Claude... je... pas du tout... J'ai... j'ai obéi.

Il lui fit signe d'approcher. Stupéfaite de constater qu'elle avait été filmée, l'angoisse explosa à cause de son mensonge et de sa désobéissance. Comment allait réagir TREPREUX? Elle eut rapidement une première réponse par une magistrale claque sur l'arrière d'une cuisse qui la fit sauter sur place de surprise et douleur. Puis, après qu'il se fut levé de son siège, elle reçut une claque sur la joue droite et une autre tout autant appuyée sur la joue gauche. Elle sentait en lui une colère froide, méchante, tenace.

* Tu commences bien mal, ma pauvre fille. Je n'apprécie pas du tout. Non seulement, tu n'obéis pas correctement mais en plus tu mens! Tu te fous de ma gueule?... Tu seras punie. Retourne au coin, en position... Je remets la webcam. Tu comprends ce que ça veut dire maintenant?

Elle ne répondit pas, les bras à nouveau sur la tête. Il s'approcha. Elle le sentit attraper la jupette à la taille et la tirer vers le haut. Puis il se recula, l'observa pendant deux tours sur place puis sortit à nouveau, sans qu'elle entende la clé de serrure fermer la porte. Elle se retrouvait seule encore, sous l'œil immobile de la caméra, avec l'impossibilité de tricher, à la merci de n'importe qui, sans compter la menace de punition.

TREPREUX retrouva quelques personnes à la permanence sans qu'elles puissent le sortir de ses pensées. « Cette garce a voulu me baiser. Elle m'a pris pour un con. Je vais la laisser là un bon moment. Putain, si quelqu'un entre maintenant, ça va faire un choc ». Il ne débandait plus depuis qu'il était sorti du bureau. « Je dirai que je ne savais pas qu'elle était là, elle passera pour une grosse salope ».

* Bonjour monsieur TREPREUX, belle journée non?

* Ouais, bonjour facteur, comment allez-vous?

L'idée, lumineuse, explosa sa cervelle!

* Rendez-moi service facteur, allez poser le courrier sur mon bureau, je suis très occupé.

* Avec plaisir, répondit le facteur.

« Putain, il va la trouver à poil, il va voir son gros cul et sa chatte poilue. Qu'est-ce qu'elle va lui dire? Oh c'est bon ça! Je verrai tout sur la cam! ».

Elle avait mal aux bras. Aussi, pour les détendre sans désobéir, les étirait-elle bien au dessus de la tête. A chaque tour de corps, son regard fixait le petit point de la caméra au haut de l'écran d'ordinateur. Comment n'avait-elle pas pensé à ce piège grossier tendu par Alain-Claude. Puis, elle fixait la porte en se demandant ce qu'elle pourrait dire si quelqu'un entrait. Ensuite, elle se trouvait dos à la porte, le nez quasiment collé à une étagère. Elle terminait son tour en regardant le monde libre par la fenêtre.

Elle en était à son nième passage devant les bouquins lorsqu'elle entendit la porte s'ouvrir. Son cœur cessa de battre tandis que son lent piétinement sur place continuait. Le facteur avait ouvert la porte tout en triant le courrier. Ce n'est qu'au moment de le poser sur le bureau qu'il sursauta en voyant Françoise.

Il resta bloqué, immobile, tellement ébahi. Finalement, il demanda :

* Françoise! Mais... mais... qu'est-ce que vous faites là?

* Je... je... suis obligée... pardon... sortez s'il vous plaît, partez!

* Partir? Vous voulez que je parte?

* Eh... oui... partez.

* Pas avant que vous ne m'ayez dit ce que vous faites là, répliqua-t-il assez sèchement.

* C'est... c'est... un ordre de Alain-Claude... Je dois rester ici... comme ça... Je dois obéir!

En disant cela, elle sentit un courant électrique cercler son ventre, ce courant du plaisir qu'elle ne connaissait que trop bien à chaque fois qu'elle vivait une situation scabreuse. Il la reprit au mot :

* Obéir! Mais c'est très bien ça... oui, oui tu dois obéir.

Il porta sa main entre les jambes alors qu'elle lui tournait le dos.

* Putain, mais c'est que tu aimes, ta chatte est trempée... Oh la salope... Elle aime montrer son cul... Ca te fait mouiller?... Merde, j'ai pas de temps, faut que je termine ma tournée... Demain, ici demain... même heure... même position... eh... seulement avec tes souliers, rien d'autre pour que je vois tes grosses miches. Je t'enculerai.

* Non, s'il vous plaît, je... je ne viens pas demain... je ne peux pas... laissez-moi tranquille.

* DEMAIN, j'ai dit! DEMAIN, même heure! Tu entres dans le bureau, tu fermes ta gueule, tu te fous à poils, tu mets les mains sur la tête et tu tournes en rond comme aujourd'hui.

* Mais, ce n'est pas possible! Si il y a des gens avec Alain-Claude... je ne peux pas...

* Ta gueule conasse! J'en ai rien à foutre qu'il y a du monde ou pas. De toute façon, ça te fera mouiller encore plus, j'en suis certain. Allez, tchao et surtout n'oublie pas si tu ne veux pas avoir des problèmes.

Il quitta le bureau après avoir retiré deux doigts de la chatte aussi mouillée que poilue. Encore plus abattue, elle reprit sa marche sur place.

Le facteur rencontra TREPREUX dans le couloir.

* Vous alors, vous m'épatez! Comment avez-vous fait pour mettre Françoise dans cet état? Génial, je dois dire, chapeau!

* Cher facteur, je me doutais que vous étiez un fin connaisseur de la gente féminine et de la fente féminine. Pour vous remercier de vos bons soins, j'ai voulu vous faire plaisir en vous offrant ce joli paquet de viande. Intéressante, n'est-ce-pas?

* Tout à fait mignonne. Mais comment avez-vous fait pour la faire obéir? Du chantage?

* Non pas du chantage. J'ai appris par hasard qu'elle était soumise à son mari et qu'il l'avait donnée aux ordres d'un copain. Etonnant, non? Et puis j'ai eu ce copain au téléphone. Et cette fois, c'est lui qui me l'a donnée en précisant : vous en faites ce que vous voulez, quand vous voulez et où vous voulez mais elle ne doit pas avoir de plaisir. Voila comment je me suis retrouvé avec Françoise à mes ordres.

* C'est incroyable, y a quand même des mecs tarés. Mais si ça leur plaît comme ça, tant mieux pour nous. Je lui ai demandé de revenir demain. Même heure, même position. J'espère que ça ne vous dérange pas.?

* Non, non, pas du tout. C'est une bonne idée. Et bien, à demain.

TREPREUX se demanda comment il allait gérer la présence des deux rombières. « On verra bien » pensa-t-il. Il ouvrit la porte du bureau pour constater que Françoise était toujours en position.

* C'est bien, ma belle. Mets ton imper et dégage. On se voit la semaine prochaine quand tu viendras à ta permanence... Tais-toi, je ne veux pas t'entendre, je dois téléphoner en urgence.

Il décrocha l'appareil.

* Allo?... Kevin?... Oui, c'est moi, il faut que tu viennes me voir.

Elle voulait absolument lui parler de l'ordre du facteur en espérant qu'il l'en dispenserait. Elle attendait qu'il termine sa conversation. TREPEUX feignait de l'ignorer pour mieux l'humilier.

* Kévin, je ne suis pas content de ton comportement... A 16 ans, tu devrais te tenir mieux que ça... J'ai même eu des plaintes des voisins... Je veux te voir ici à mon bureau... demain...

Elle avait déjà vu KEVIN, le fils du directeur. Un gamin morveux et prétentieux, auréolé de la réussite de son père. Elle eut un nouveau choc en entendant la suite de la discussion.

* Pas de discussion, c'est un ordre... Demain à 11 h ici! Tu as intérêt à être à l'heure.

TREPREUX raccrocha, apparemment furieux mais en vérité, en complète érection. Il était fier de pouvoir dépuceler son fils sans passer par des putains trop chères, en profitant de la bécasse toujours debout devant lui. Il n'avait plus guère d'estime pour Françoise, devenue à ses yeux une trainée tout juste bonne à se faire baiser. Plus encore, il avait une furieuse envie de se venger de quelque hauteur et snobisme qu'elle avait souvent affichés. Il ne lui laissa pas le temps de parler.

* Fous le camp d'ici. A la semaine prochaine. Allez, casse-toi!

Elle quitta la pièce effondrée à la perspective du lendemain.

Le soir, chez elle, elle téléphona à son mari comme tous les jours et tenta de lui en parler. Elle pensait bien que Philippe avait outrepassé ses pouvoirs en la donnant aux caprices de TERPEUX. Mais, comme elle connaissait bien son mari, elle restait méfiante. Il pourrait parfaitement considérer que sa requête en indulgence constituerait une faute d'obéissance. Elle commença prudemment

* Tu sais, aujourd'hui, je me suis trouvée dans une situation très difficile.

* Raconte, répondit-il

Elle lui relata son réveil avec la culotte de chaînes posée par Philippe, puis la découverte de sa tenue par le directeur de la bibliothèque, la fessée et ce qui suivit.

* Je tiens à te dire que je suis restée très obéissante, comme tu aimes, mais après TREPEUX a téléphoné à Philippe.

* Etonnant, reprit le mari! Il le connaissait? Il connaissait son numéro?

* Non, pas du tout. Je lui ai donné le numéro. Tu comprends, Je devais expliquer à TREPEUX... je devais expliquer... eh... que je dois obéir... à toi et à Philippe... tu sais bien... Pour ma tenue... je devais dire pourquoi... tu comprends?...

Elle était rouge de confusion, de gêne, ce que son mari ne pouvait voir à l'autre bout de la ligne téléphonique. Elle poursuivit :

* Il a parlé avec Philippe... et Philippe m'a... donnée... peut-être même vendue... Il a osé! Je trouve qu'il exagère, poursuivit-elle, quelque peu rassurée par l'absence de réponse de son maître. Il ne peut pas avoir tes privilèges, mon amour. C'est toi que j'aime, pour toi que j'obéis mais pas pour lui! Il est très vicieux, méchant! Je n'aime pas ses ordres. Veux-tu l'arrêter s'il te plaît et TREPEUX aussi, ce vieux cochon.

* Ma pauvre chérie, dit le mari. Je vois que tu souffres de cette situation. Mets-toi donc en « table de salon ». A défaut de pouvoir te toucher, je peux t'imaginer.

Il aimait cette position qu'il nommait : en table de salon. D'ailleurs, il lui suffisait de prononcer ces mots pour qu'elle prenne position, à toute heure du jour ou de la nuit. Bien qu'elle aurait pu ne pas obéir puisqu'il ne pouvait la voir, elle prit la position avec le téléphone posé devant son nez.

Il resta silencieux ; elle attendit. Ce silence inquiéta Françoise qui prit bien soin de se taire elle aussi. « Zut, il n'a pas aimé ma demande... Il va me punir... Je n'aurais pas du lui parler de ça... En plus il va le dire à Philippe et je serai punie deux fois! ».

* Décidément Françoise, tu me déçois! Non seulement tu rechignes à obéir à des ordres mais en plus tu me demandes de mettre mon ami Philippe hors circuit! Aurais-tu déjà oublié tes engagements? Tu sais bien que je n'aime pas ce genre de comportements. SOUMISE, bordel de merde, tu comprends ce que ça veut dire, dit-il en haussant le ton! Il faut encore te chauffer le cul pour que ça rentre dans ta cervelle! Sortir Philippe... N'imagine même pas... Mets-toi ça une bonne fois pour toute dans le crane : tout lieu, toute heure, toute personne, tout ordre. C'est ce que je veux de ton obéissance. Si tu n'en es pas capable, tu dégages et je te vends à un autre.

* Pitié, implora-t-elle, je ne recommencerai plus... pardon... mon Maître... Je vais obéir.

* Demain, tu téléphoneras à Philippe et lui racontera ta tentative de l'évincer. Nul doute qu'il appréciera.

Il raccrocha sans même lui dire au revoir.

Elle ne dormit guère. Combien seraient-ils? TREPREUX, son fils, le facteur! Comment allait se passer sa prochaine matinée?

Le lendemain, elle fut prête à l'heure, même avant l'heure car elle ne voulait pas risquer le courroux des hommes. Elle attendit un quart d'heure dans sa voiture avant de rentrer dans la bibliothèque municipale. Elle ne pouvait empêcher sa chatte de couler. A chaque fois qu'elle se trouvait dans une situation scabreuse, ce phénomène physique était plus fort que ses boyaux qui se tordaient pourtant d'angoisse. Elle se frotta la fontaine pour ne pas laisser de trace. Thérèse était à la réception.

* Françoise, aujourd'hui! Mais, tu n'es pas de permanence.

* Il est là, demanda-t-elle à propos de TREPREUX, sans vraiment répondre à l'autre.

* Ils sont là! Tu dois les rejoindre toi aussi? Qu'est-ce que c'est que cette réunion? Dis-donc, tu n'as pas mis de pantalon aujourd'hui! C'est pour la réunion? Ce n'est pas dans tes habitudes.

A l'évidence, la Thérèse était jalouse.

* Zut, répondit-elle, ça ne te regarde pas!

Elle prit le couloir qui conduisait au bureau où on l'attendait. Pendant un instant, elle écouta à la porte mais elle n'entendit rien. Les ordres étaient clairs :

... « ici demain... même heure... même position... eh... seulement avec tes souliers, rien d'autre pour que je vois tes grosses miches. Tu entres dans le bureau, tu fermes ta gueule, tu te fous à poils, tu mets les mains sur la tête et tu tournes en rond comme aujourd'hui »

Alors, prenant sa respiration, elle ouvrit brutalement et entra.

Tout en ouvrant son imper, elle avança vers le coin de la pièce près de la fenêtre où elle devait s'installer. Le vêtement tomba à terre, elle garda tête basse, mit les mains sur la tête et commença sa ronde sur place. Devant elle : Alain-Claude TREPREUX, son fils KEVIN, le facteur et une quatrième personne qu'elle ne connaissait pas.

* Oh, putain, quel tableau! Quel cul!

* Je vais le défoncer, continua le facteur, je lui ai promis hier... Approche ici la garce... tout près de moi...

Elle obéit et se trouva debout en face du facteur resté assis dans sa chaise. Alors qu'il s'occupait du cul et de la chatte avec des doigts méchants, Kévin se porta debout derrière elle pour lui empoigner les seins.

* Putain de putain! Ses loches... Sont vachement fermes... Regarde les bouts! Viens toucher Hugo, tu vas voir... sont longs.

Ledit Hugo vint tirer durement les tétons, au point de la faire crier. Le facteur bouscula les deux gamins et poussa la fille devant le bureau de TREPREUX qui s'empressa d'y ôter tout objet. Elle fut pliée en deux sur la table si bien qu'elle trouva un sexe bandé juste devant sa bouche, qui la pénétra immédiatement. Puis derrière, elle sentit que l'on s'activait. Des mains prélevèrent la mouille de sa chatte pour venir humidifier l'anus. Une queue s'y colla, s'y pressa, s'y enfonça. Cela lui fit bien mal, d'abord parce qu'elle n'y était pas préparée, ensuite parce que elle avait toujours mal avec la sodomie. Alors qu'elle mugissait de douleur, des soubresauts du sexe buccal répandirent un liquide âcre au fond de la gorge. Elle ne put faire autre chose qu'avaler et maudire son maître. La queue du fils prit immédiatement la place de la queue du père.

* Tiens, prends celle-ci, salope, dit Kevin... Elle est grosse... T'aime bien les grosses à sucer... Après je te la fourre dans le cul, tu vas la sentir passer, crois-moi.

Hélas, Kévin ne mentait pas. L'engin dans sa bouche était effectivement très gros. Elle ne se souvenait pas d'une bite aussi épaisse. Alors qu'elle s'affolait, le facteur s'agita jusqu'à laisser couler un flot blanchâtre en quelques poussées contre la victime.

La bouche et le cul furent libérés. Devant, elle découvrit cette fois la queue d'Hugo sans toutefois devoir l'avaler. Derrière, elle sentit Kevin se coller, se presser. Elle se débattit pour échapper à l'intromission mais l'homme la fixa au bureau en maintenant fermement les hanches. Alors commença le plus dur.

Elle avait l'impression qu'un pieu énorme lui élargissait le corps ; elle hurla sous la fulgurante douleur qui ne cessa pas pour autant. Kevin fit une quelques entrées et sorties au bord du trou, histoire de ne pas l'habituer trop vite à être élargi. Deux sexes se masturbaient devant elle. Elle redoubla de douleur lorsque le pal s'enfonça plus avant ; un jet lui aspergea le visage. Quand elle fut complètement percée, ses larmes furent couvertes d'une nouvelle crème blanche et elle sentit en son fondement, les sursauts de l'éjaculation de Kevin.

Alain-Claude TREPREUX remis son pantalon en place.

* Je dois vous laisser les jeunes. Il faut que j'aille voir Thérèse. Elle a du entendre les cris de cette folle.

* Je vais avec vous, dit le facteur, il faut que je continue ma tournée.

Hugo tenait les mains de la fille pour qu'elle ne puisse pas se lever du bureau. Elle avait terriblement mal au cul mais aussi au ventre à force d'être collée au bois du meuble. Derrière, Kevin jouait avec la vulve et excitait le clitoris.

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