Contrainte 07 - Le Bizutage

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- Pardon de te déranger... je... je cherche Ralf, un garçon roux comme toi.

- Tu brûles ma cocotte, répondit-il.

- Youpi, m'exclamai-je en sautant sur place. Ralf, je viens de la part de Gabriel. Je dois... tu... tu es au courant?

Je voulais lui parler de mon obligation de me mettre à ses ordres. Il fronça les sourcils, demanda :

- Gabriel? Tu veux dire le copain de Dimitri? Le mec de troisième année?

- Ben oui, répondis-je avec une boule au ventre, tu... tu n'es pas... tu n'es pas Ralf?

- Ralf, c'est mon frère. Tu y étais presque!

Le ciel me tombait sur la tête. Autour de moi, une fille et deux garçons qui sortaient du cours attendaient que j'en aie fini avec mon interlocuteur. J'ai vu Dimitri me faire un signe de la main, ce battement de main qui montre que ça va barder. Il riait.

- Je peux remplacer mon frère si tu veux.

- Hélas non, tu ne peux pas le remplacer!

Cette fois, Dimitri m'a montré son index levé, comme les parents qui annoncent une punition à un enfant, du genre : « gare à toi si tu n'obéis pas! »

Je n'avais plus le choix. Il aurait fallu renoncer plus tôt, tout de suite, ne jamais accepter ce bizutage. J'ai descendu la fermeture-éclair dans le dos de ma robe, j'ai tiré le tissu devant et j'ai laissé glisser la robe au sol. A l'exception de mes souliers et de mes bas autofixants noirs, je ne portais plus rien.

J'ai fait demi-tour et suis partie en courant vers une salle de classe encore vide. J'ai entendu quelques propos bien fâcheux à mon égard : « quelle salope, elle se fout à poil... C'est Gabriel, tu crois?... Elle a des gros seins, ça me fait bander... Putain, quel cul... »

Il était 11h45 et je n'avais toujours pas trouvé le rouquin. J'étais affolée, honteuse. Cette humiliation était la pire de toutes, du moins le pensais-je encore. Il ne me restait qu'une demi-heure pour trouver le type. A défaut, j'aurai à subir deux gages : celui de Dimitri et celui de Ralf. Amandine m'a téléphoné à nouveau :

- Je crois que je l'ai trouvé. Je viens de voir passer Gabriel avec un rouquin. Ils allaient vers l'amphi B, celui du premier étage.

- Mais, tu en es sûre, ai-je demandé? J'ai appris que plusieurs garçons s'étaient teints en roux à cause d'un pari. Je viens de me faire avoir.

- Je... oui, j'en suis sûre... j'ai entendu Gabriel prononcer son prénom. Eh... Où... es-tu?... Comment es-tu?

- Je suis dans une salle de classe vide. Je n'ai plus de culotte, je n'ai plus de robe, autant te dire que je suis à poils. Je n'ose pas sortir d'ici.

Amandine m'a alors enjointe de quitter le local protecteur. La voix toujours hésitante, elle m'a dit que je risquais bien plus en restant cloitrée, que certainement Gabriel et les autres seraient furieux. Etc.

J'ai appris plus tard que les trois bizuteurs étaient à côté d'elle près de l'amphi. Ses bras étaient tenus par Dimitri et Ralf. Gabriel avait baissé le pantalon et la culotte de mon amie pour exposer sa chatte rasée. Ils ne la libèreraient qu'après m'avoir convaincue de continuer ma recherche.

J'ai pensé bêtement qu'elle avait raison. « Courage ma fille, tu ne dois pas perdre, ce sont des salauds, accroche-toi, dis-toi que ce n'est pas de ta faute ». Une main devant ma touffe de poils et une autre en soutien-gorge, je suis sortie en pensant à la sentence du jeu :

Si par malchance, tu n'as pas trouvé Ralf à 12h, c'est lui ainsi que Dimitri qui te donneront chacun un gage.

Hélas, arrivée près de l'amphi, je ne n'ai trouvé personne hormis des élèves de-ci de-là qui ne manquèrent pas de railler ma condition. Finalement, C'est Amandine qui passa un bras à la porte d'une classe pour m'inviter à la rejoindre.

J'ai alors découvert la contrainte qu'elle subissait puisqu'elle avait le ventre penché à plat sur une table et le cul entièrement dénudé. Je me suis mise au garde-à-vous et j'ai salué les trois garçons par trois « bonjour majesté », leur offrant ainsi ma complète nudité.

- Tu as perdu, a déclaré Gabriel sur un ton solennel, il est 12h05. J'en suis vraiment désolé. Mais comme l'exige la règle du jeu, tu dois exécuter deux gages nouveaux, celui de Ralf que je te présente et celui de Dimitri.

Je venais enfin de découvrir le rouquin Ralf. Il n'était pas beau, vraiment pas beau. Il souriait sadiquement tout en poussant son majeur dans le fondement d'Amélie. Je la voyais, bouche grande ouverte, de honte ou de plaisir, je ne sais pas.

- A toi l'honneur Dimitri, a poursuivi Gabriel. Depuis que tu la surveilles, tu as du prévoir son gage.

- Ouais ouais, répondit le garçon. Je veux le cul de cette pouffe!

Mon cœur s'est emballé, mes yeux se sont agrandis, interrogeant mon maître-bizuteur qui ne dit mot pour me défendre.

- Mais... mais... je... non... c'est sexuel ça! C'est interdit!

- Bien sûr que c'est interdit, a répondu Gabriel sur un ton professoral, mais un jeu est un jeu, un engagement est un engagement, un gage est un gage. C'est la règle dans notre institution.

- J'vais juste t'enculer, bizute, bien profond... tu vas voir, tu vas aimer, j'en ai une grosse.

- C'est notre honneur que de respecter nos serments, a continué Gabriel. Si tu n'en es pas capable dès les premiers jours, alors tire-toi d'ici, tu n'as rien à faire parmi l'élite.

- Une grosse bite qui va t'élargir un max... te trouer l'oignon. T'as déjà été enculée?

- Et puis, si tu ne respectes pas ta parole, je te promets une année pourrie. Tu n'es pas prête d'avoir ton diplôme!

L'alternance des palabres, vulgaires et hautains, ma nudité, ma copine avec deux doigts dans l'anus, eurent raison de ma raison!

- D'accord mais après vous me rendez mes vêtements.

Ils m'ont placée, le ventre posé sur une table en face d'Amélie. Je voyais quelques larmes à ses yeux et sa bouche grande ouverte pour prendre de l'air. Puis ce fut mon tour d'ouvrir la bouche quand la queue vint s'appuyer sur l'étroit passage. Je n'avais jamais connu la sodomie, trop peur d'avoir mal. Mes craintes se sont confirmées dès le début.

- J'encule à sec, dit Dimitri. C'est meilleur pour moi.

Il forçait le passage par pressions successives d'entrées et sorties ; à chaque poussée, il allait un peu plus loin mais comme il se retirait, l'anneau ne s'habituait pas à l'élargissement. La douleur restait constante. Et puis, brusquement, il s'est planté jusqu'au bout. J'ai poussé un hurlement de douleur. C'était horrible!

Pour la première fois de ma vie, je venais de me faire sodomiser sauvagement. Je ne savais pas à l'époque que ça allait m'arriver souvent, très souvent, presque exclusivement. Je ne savais pas que mon anus ne s'y habituerait jamais comme s'il voulait me donner à vivre éternellement mon dépucelage anal.

Ralf le moche exigea la même punition. A son tour, il me sodomisa, tout autant durement mais bien plus longtemps parce qu'il avait déjà éjaculé dans le fondement de ma copine.

- Je te prédis, m'a dit Ralf le moche, que ton cul en verra de toutes les couleurs et de toutes les tailles. Tu as un cul fait pour être défoncé. Il se contracte, reste serré. Tu verras ma belle, la sodomie douloureuse sera ton lot quasi quotidien.

Il est vrai que mes maîtres et amants n'auront de cesse que de m'enculer sans pitié.

Enfin, Ils nous ont abandonnées, toutes les deux avec le ventre encore couché sur les tables. Quand je me suis redressée, j'avais l'impression d'avoir encore un objet dans mon fondement. Je n'ai pas osé resserrer mes sphincters de crainte d'avoir encore plus mal. Ils nous ont rendu nos vêtements.

EPILOGUE

Lucie avait écouté l'histoire de Françoise avec autant d'attention que de silence.

- Et après cette semaine d'intégration, que s'est-il passé? T'ont-ils encore bizutée?

- Non, dès le lundi suivant la semaine d'intégration, je n'ai plus été ennuyée par les anciens. Mes trois tourmenteurs se sont conduits comme de parfaits gentlemen pendant toute l'année scolaire. Seul Dimitri conservait toujours un sourire narquois.

Une fois et une seule fois, à l'approche des grandes vacances, Gabriel a fait valoir un privilège :

- Ma belle Françoise, tu as été ingrate envers moi. En effet, je t'ai ouvert la porte de la soumission, je t'ai fait entrer dans l'univers de l'humiliation et tu ne m'as même pas remercié. Pourtant, tu le devrais car je te prédis une vie bien remplie de ces émotions.

Au fond, je savais qu'il avait raison. Passé la dureté des événements, je les avais revécus sans cesse dans un imaginaire, tant de rêves que de cauchemars. Je ne soupçonnais pas alors à quel point ma vie de femme serait enflammée de ces brûlures extrêmes.

- Mais... comment te remercier Gabriel... eh, comment vous remercier majesté?

- Entre avec moi aux chiottes des mecs, ordonna le garçon, appuie-toi sur le lavabo, cambre bien les reins.

Elle dit à Lucie :

- Tu vois, j'ai repris le vocabulaire du bizutage. C'est venu naturellement, je l'ai appelé « majesté ». J'ai tenté de l'emmener dans une cabine au motif que d'autres garçons pouvaient entrer. Tu te doutes bien maintenant qu'il s'en moquait éperdument, voire même qu'il le souhaitait. Il a remonté ma large robe au dessus de ma tête puis a baissé brutalement mes sous-vêtements.

- Qu'est ce que c'est que ces fouffes de merde! Des collants, une culotte! Ma pauvre, tu n'as donc rien compris? On t'a baladée à poils comme personne ne l'a jamais été, tu as montré ton cul partout, à tous et tu trouves le moyen de mettre ces fringues de vielle!

Il a dégagé un pied des sous-vêtements pour que je puisse l'écarter de l'autre. Sa main est venue entre mes jambes.

- T'as toujours des poils aussi long, on dirait même plus long qu'avant... t'es mouillée comme une piscine... Fais-moi voir ce trou que mes potes ont tant vanté.

Ses doigts ont écarté mes fesses, caressé mon anus, l'ont humidifié de mes propres sécrétions. Il a enfoncé un pouce, j'ai poussé une sorte de « pouf » de surprise. On a beau s'y attendre, comme chez le médecin, mais ça fait toujours bizarre. Ensuite sa queue à pris sa place au bord. J'ai espéré qu'il soit doux, lent, progressif. Hélas, comme pendant mon horrible semaine d'intégration, il a agi à l'opposé. A l'instar de Dimitri, il s'est amusé à de courts et brutaux enfoncements-retraits jusqu'au moment où il a poussé jusqu'au bout. Je me suis retenue de crier pour ne pas attirer l'attention, j'ai serré les mains sur les bords du lavabo et j'ai subi sans plaisir. Quand il a eu terminé son acte, une autre queue a pris la place ; un type que je n'avais pas entendu entrer, trop occupée à mes maux. Moins méchant et déjà ouverte, je l'ai enduré plus facilement.

Après ça, toujours aveuglée par ma robe sur la tête, je n'ai plus vu que quatre pieds à mes côtés. Des claques ont commencé à pleuvoir sur mes fesses.

- Bizute Françoise, tu viens de réparer ton ingratitude avec brio. Cependant, cette fessée que mon ami et moi te donnons doit te rappeler que ton cul et ta chatte auront toujours pour vocation d'être dénudés, montrés et offerts. Retiens bien ceci : dénudés, montrés et offerts!

- Oui...oui majesté, ai-je répondu en larmes.

- Chaque semaine, continua Gabriel, tu dois passer au moins une journée dans ces conditions. Adieu la belle.

- Tu as obéi à son ordre, interrogea Lucie très tourmentée, je veux dire... par semaine?

- Je n'ai pas été capable de les... offrir, répondit Françoise, énigmatique. L'année suivante, les trois ont disparu de l'école car ils avaient terminé leur cycle.

- Tu as pu bizuter les nouveaux, demanda Lucie?

- J'aurais pu, répondit Françoise mais vois-tu, je n'ai rien fait car, née soumise, je le demeurerai à jamais.

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Anonymous
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3 Commentaires
malesmmalesmil y a presque 6 ans

toute la série est remarquable .

On ressent bien l'humiliation de la soumise et en même temps son excitation !!!

j’espère encore d'autre épisode

AnonymousAnonymeil y a presque 6 ans
Génial

J'ai dévoré cet épisode et franchement j'ai adoré.

Rudy

trouchardtrouchardil y a presque 6 ans
Encore :)

Encore une belle aventure de la soumise.

Merci pour ce texte très bon :)

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