Contrainte 01 - Les Deux Amis

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Les contraintes quotidiennes de la soumise.
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Son maître de mari avait ordonné qu'elle se soumettre à deux de ses copains : Francis et Philippe. Elle avait donc accepté de leur obéir en tous lieux et en toutes circonstances puisque son maître l'avait ainsi voulu mais ce n'était pas de gaité de cœur.

Le premier était un petit brun plutôt pervers tandis que l'autre un grand blond plutôt brutal. Bien qu'ils fussent sympathiques dans la vie courante, ils étaient abjects avec elle. Du pouvoir accordé par son maître, ils usaient allègrement.

Elle ne savait pas si son maître était informé de toutes leurs exigence et de leurs comportements, pour le moins macho. Elle n'osait pas le lui demander. Il aurait été probablement furieux de voir chez elle quelque résistance à ses ordres. Il avait ordonné, elle devait obéir. Tel était son choix depuis qu'ils se connaissaient.

Elle est brune, 1.60 mètre pour 53 kg et une poitrine fort honorable avec un 85C. Françoise n'était pas exhibitionniste, ni même portée naturellement sur les outrances des échangistes. Elle s'était seulement donnée à son mari qui avait su éveiller en elle une incroyable capacité à obéir. Il avait vite compris que son plaisir venait plus des obligations que des faits eux-mêmes.

Les deux compères intervenaient rarement en présence de son mari. Elle supposait que son maître leur avait demandé de ne lui laisser que peu de répits lorsqu'il était occupé ou absent. Ce qui fait qu'à toute heure et en tout lieu, elle s'attendait à recevoir des ordres des deux compères en plus de ceux de son mari.

Elle vivait dans une tension sexuelle permanente qui mélangeait peur et désir.

L'ATTENTE

Récemment, Philippe lui avait envoyé un SMS :

- Mets-toi à 4 pattes dans ton hall d'entrée

- Cul nu vers la porte

- Laisse la porte entrouverte

- J'arrive.

Il n'est arrivé qu'une demi-heure plus tard ; une demi-heure sur les genoux, c'est très long et surtout très douloureux.

Elle a senti un courant d'air lorsque la porte s'est ouverte. Elle a entendu les clics de la ceinture puis le pantalon glisser au sol. Deux mains ont agrippé ses hanches. Un sexe s'est posé à l'entrée de son anus. Il s'est enfoncé rudement, en une seule poussée continue, sous les hurlements de douleur de la pauvre brune. Quelques minutes ont suffi à son plaisir brutal. Il s'est rhabillé. Il est parti sans un mot.

LE DINER

Un soir, son mari et elle avaient été invités à dîner chez Francis. Sa dernière copine était présente et un autre couple qu'ils ne connaissaient pas.

Depuis longtemps, Francis et son mari avaient des relations de copains et c'est à ce titre que le repas était organisé. C'était donc une soirée tout à fait normale, entre personnes bien élevées. Les discussions passaient de sujets en sujet sans que jamais les relations sadomasochistes ne fussent évoquées.

Ils avaient pris l'apéritif au salon. Le seconde couple avait la trentaine, une jolie brune sympa, rondelette et un garçon plutôt élégant. Pantalon et col roulé pour elle, costume pour lui. Classiques, un peu timides. Ils dégustaient une entrée de saumon à la salle à manger lorsque Françoise railla quelque peu son hôte d'une moquerie banale et vraiment peu méchante. Pourtant, elle le vit immédiatement à son regard, il prit la chose fort mal.

- Eh... Excuse-moi... C'est une plaisanterie bien sûr.

Il quitta la table. Et son mari la réprimanda :

- Il est très susceptible et tu le sais! Pourquoi donc te moques-tu de lui?

Quelques instants plus tard, Francis appela la fautive à la cuisine. Elle s'y rendit donc très ennuyée par cet épisode. Un peu après, Francis revint seul à table dans le silence gêné des autres participants. Nul ne dit mot.

- Mangez, je vous en prie... Que cela ne vous trouble pas... Elle va arriver.

Effectivement, elle arriva, tête basse, rouge écarlate. Elle prit sa place. Et tous, stupéfaits, ne pouvaient détacher leur regard du bâillon boule noir qui lui tenait la bouche ouverte et la déformait un peu.

Sa honte était immense : traitée ainsi devant des étrangers, probablement des gens qui ne connaissaient rien au SM! Ce n'était pas la première fois qu'elle était humiliée mais cette fois, c'était terrible. Elle sentait le silence peser sur la bave qui coulait un peu d'entre les lèvres.

Les discussions reprirent lentement. Personne n'osa dire mot en faveur de la victime, pas même son mari. Elle passa toute la soirée assise à table, bâillonnée, ne mangea, ni ne but. Sa mâchoire lui fit horriblement mal. Elle ne pu saluer les convives lorsqu'ils partirent. Elle fut délivrée par son mari, dans leur voiture seulement, sur le chemin du retour. Elle n'osa pas lui demander des comptes. S'il l'avait ainsi laissée, c'est que c'était son choix alors elle devait le respecter.

LA LECON DE TENNIS

Il était 9h le matin lorsque Francis téléphona.

- Allo? Françoise? Tu vas bien? Nous t'invitons cet après-midi à une leçon de tennis... Oui, tu as bien entendu : tennis! Tu ne sais pas jouer? Pas grave, c'est une leçon...

Elle les entendait rire et se parler à voix basse.

- Ha, oui...mon pote me précise que... il faut que tu sois en tenue!... Allo!!... tu m'as entendu?... Oui en tenue, tu sais une belle tenue blanche!... Pas un froc! Pas un short!... Une belle petite jupe de tennis... Tu vois ce que l'on veut dire?...

Son cœur se mit à battre à vitesse nettement plus élevée que d'habitude. Ils continuaient à se parler à voix basse.

- Oui... D'accord... Eh... il dit qu'il faut que tu sois déjà en tenue quand tu arriveras... Ben oui, il n'y a pas de vestiaire au club!

Elle se voyait déjà quitter son appartement, rouler dans sa mini et arriver au club en minijupe blanche. Pas si simple avec ses voisins tellement curieux.

- Bon à tout à l'heure. 15 heures... Et tu n'as pas intérêt à être en retard! Compris?

- Oui... maître

Elle avait toujours des difficultés à dire « maître ». Pas moyen que cela devienne quelque peu naturel. La perspective de l'après-midi ne l'enchantait guère. Philippe et Francis ensemble, la brutalité et la perversité en même temps, ça ne présageait rien de bon. Elle eut envie d'appeler son maître de mari pour éviter de devoir obéir. Mais elle s'en abstint : il ne l'avait aucunement relevée de son obligation d'obéir à ses deux copains. La simple demande d'exemption aurait constitué une grave faute, punissable.

Elle avait la matinée pour se trouver une tenue de tennis. Elle se pressa de courir quelques magasins de sport et rapidement trouva ce qui convenait à la situation. Une jupe droite, large pour pouvoir courir, des baskets assorties, un pull, blanc lui aussi.

A 14h, elle reçut un SMS de Francis.

Ta jupe : 35 centimètres maximum de hauteur

« Merde, pensa-t-elle! Ca commence. Quel malade celui-là! ». Elle entreprit immédiatement de mesurer la jupe : 50 centimètres! Il fallait qu'elle la raccourcisse rapidement. Or il était déjà bien tard. A coup sûr, il l'avait volontairement prévenue tardivement. Nerveuse et angoissée, elle entreprit la taille se rendant bien compte que 35 centimètres, c'est extrêmement court.

Ses ciseaux suivirent sa main tremblante et coupèrent hélas en biais. S'en suivit une course pour coudre un ourlet. Lorsqu'elle essaya le vêtement, il était déjà 14h35. Effarée, elle constata que la jupe couvrait à peine sa chatte poilue mais pire, ne descendait pas suffisamment bas pour cacher les fesses. La mauvaise coupe associée à la cambrure des reins créaient une œuvre salace.

Elle se couvrit de son imperméable et ferma sa porte. C'est alors qu'un autre SMS lui bloqua le cœur instantanément. Philippe :

Ton imper : donne-le tout de suite à ton voisin

« Zut! Le donner à ce vieux salaud! Qu'est ce que je vais lui dire! ». Elle n'avait pas le choix. Elle ôta l'imper et sonna à la porte de palier voisine.

- Bonjour monsieur Rizo... Je... J'ai... j'ai oublié ma clé...

Le regard de l'homme descendit depuis les yeux verts jusqu'aux chaussures blanches et sa bouche s'ouvrit proportionnellement à sa découverte. Le pull blanc collait à la poitrine et laissait deviner un soutien-gorge pour la maintenir. La jupe, tellement courte, allongeait les jambes blanches et nues jusqu'aux chaussures.

- Tenez, prenez mon imper, je le reprendrai tout à l'heure... S'il vous plaît... Merci.

Elle lui tendit le vêtement, ne lui laissa pas le temps de réagir, recula vers l'ascenseur qu'elle appela. Il mit un temps certain pour arriver à l'étage. L'autre eut le temps de réagir.

- Ouais, ouais, revenez tout à l'heure... Sonnez plusieurs fois... le temps que j'arrive... Compris?... Eh... Surveillez l'escalier en revenant...

Elle ne répondit pas, d'ailleurs ne comprit pas la dernière phrase, entra dans l'ascenseur heureusement vide.

Lorsqu'elle monta dans sa voiture au parking sous-terrain, il était déjà 14h45. Elle n'avait que 15 minutes pour arriver au club. Trop court. « Merde, je vais être en retard... Suis sûre qu'ils l'ont fait exprès ».

Il était exactement 15h quand arriva le nouveau SMS :

- Tu es en retard! Punition : privée de culotte. Tout de suite. Dans la bouche.

Elle se gara, déjà versa quelques larmes, ôta la culotte et la mit dans la bouche. Le message venait de Francis. Lui seul avait l'imagination suffisamment féroce pour lui imposer de telles humiliations.

Elle se gara sur le parking qui longeait les cours de tennis. Les deux compères jouaient sur le second cours. Le premier était occupé par deux jeunes ; le troisième était libre. Elle s'arma de tout son courage pour quitter son abri à quatre roues.

Lorsqu'elle passa au niveau du cours n°1, elle tourna le visage vers le parking pour ne pas montrer sa bouche déformée par la culotte. Sa main gauche cacha au mieux la partie dénudée des fesses. Elle prit place sur le banc en face du cours n°2.

Mais pas longtemps.

- Viens ici lui cria Philippe... Allez cours... Il faut t'échauffer!

Elle se dépêcha de rejoindre les joueurs.

- Enfin, tu arrives! Qu'est ce que tu as foutu pour arriver si tard?... Conasse!... Bon, nous on joue à deux contre toi... Va de l'autre côté... Cours fainéante!

Elle se retrouva dos au cours n°1. Et le jeu commença. Mais comme elle n'a jamais joué au tennis, elle se trouva bien incapable de frapper quelque balle que ce soit avec sa raquette. Aussi, ne fit-elle que les ramasser. Elle se rendit compte que les autres joueurs avaient cessé leur activité pour se concentrer sur celle dont la jupe trop courte volait au moindre déplacement. Un nouvel arrivant prit place sur le banc. Tous constataient avec plaisir qu'elle ne portait pas de culotte. Elle prenait soin de plier les genoux pour ramasser la balle mais cela ne suffisait pas à cacher la raie des fesses. Sa chatte noire poilue s'offrait au vent ; son maître, en ce moment, ne la voulait pas épilée.

Francis et Philippe la haranguaient violemment et à voix très élevée, à coup sûr pour l'humilier plus encore.

- Allez... Plus vite... Cesse de trainer... Fainéante... Paresseuse... Bouge ton cul... Si tu rates celle-ci, tu perds ton soutien-gorge!

Et évidemment elle rata la balle.

- Enlève ton soutien-gorge ma salope!.... Tout de suite!

Elle passa une main dans le dos pour ôter l'agrafe, puis par les manches du pull, elle retira le soutien-gorge. Ses seins prirent alors une forme plus naturelle, parfaitement visible sous le petit pull blanc. Elle devait maintenant courir avec le balancement excessif de son 100 de tour de poitrine.

Après 15 minutes de ce régime, elle était essoufflée, rouge de confusion, écarlate de honte. Elle implora la pitié aux deux compères après avoir ôté son bâillon-culotte de la bouche. Mais hélas :

- Nous avons soif... File nous cherchez deux coca au club house!...

- S'il vous plaît, pas ça! Pas comme ça!

- TA GUEULE, hurle Philippe... TOUT DE SUITE! Et remets ton bâillon pour la peine! Faillait te taire et obéir tout de suite... Bouge ton cul!

Résignée, tête basse, bouche emplie, elle prit le chemin du clubhouse, passa devant deux types maintenant sur le banc, puis devant les deux joueurs du premier cours. Elle les entendit rire, peut-être pour irréaliser la situation tellement incongrue.

Elle entra dans la grande salle d'accueil. Un type devant le bar et un autre derrière le bar. Elle ôta discrètement le bâillon pour commander les boissons. Lorsqu'elle quitta le bar, elle entendit les types éclater de rire.

- Elle n'a pas froid aux fesses, celle-là... oh la salope... Jamais vu ça depuis que je viens ici!

Elle refit le chemin vers les cours et cette fois passa devant un attroupement de six personnes, dont une femme. Elle dut refaire une partie pendant un bon quart d'heure encore avant qu'enfin elle puisse partir.

- N'oublie pas de récupérer ton imper chez ton voisin, avait crié Francis... Mais... SANS TA JUPE!

Epuisée, mortifiée, elle courut à sa voiture. Lorsqu'elle arriva à son immeuble, elle était encore morte d'inquiétude. L'idée de sonner, quasiment nue, à la porte de son voisin la terrorisait, même si elle venait de passer des moments déjà bien honteux. Pour ne rencontrer personne, elle prit les escaliers plutôt que l'ascenseur. Arrivée à son palier de 4 appartements, elle ôta sa jupe et sonna chez son voisin. Elle savait bien que Francis ou l'autre prendraient soin de vérifier qu'elle avait enlevé le vêtement avant de sonner.

Dans le silence du palier, elle eut le temps de penser aux événements. « Quelle honte de me retrouver comme ça... ici... Il va se dépêcher l'abruti de voisin... Il doit être aussi tordu que Francis... ». La porte ne s'ouvrait toujours pas. Elle sonna à nouveau en sursautant au bruit résonnant dans le silence de l'endroit. « Pourvu que personne ne vienne, que personne ne sorte! ». Elle ne savait pas que le voisin était collé à l'œilleton. « Putain la salope! A poils dans le hall... Elle n'a pas froid aux yeux... Pas rasée... Poilue la cochonne... ». Soudain, elle se souvint de ce qu'il avait dit : « Surveillez l'escalier ». Elle en comprit alors le sens et se tourna vers l'escalier au grand plaisir de l'œil : « Oh ce cul! Magnifique... Incroyable... Faudra que je l'encule cette garce...».

Enfin, il ouvrit la porte. Il avait son sexe entre les mains et le masturbait sans se gêner.

- Donnez-moi mon imper, s'il vous plaît!

- Ouais... Patience... Je vais le chercher.

Comme il s'éloignait de la porte, elle entra et referma derrière elle. Il revint avec le vêtement.

- Tenez, le voici... Et la prochaine fois que vous venez me voir, je veux la même tenue! Vous avez bien compris?... Et avec des talon-aiguilles noirs de 12 cm au moins... NOIRS... 12 centimètres.

Elle acquiesça, se couvrit et rentra enfin chez elle.

« Rêve connard! Si tu crois que je vais me repointer chez toi! »

Hélas pour elle, c'était sans compter sur la fourberie de ses maîtres.

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5 Commentaires
CyrfranCyrfranil y a environ 1 an

Le récit est entrainant. C'est toujours bien d'être plongé d'entrée dans le vif du sujet. les tentatives d'explication du chemin vers la soumission sont trop souvent trop lentes et répétitives (c'est la vérité d'un bon dressage, mais rendu en littérature cela est ennuyeux). Bravo !

AnonymousAnonymeil y a presque 6 ans
excellent

j'apprécie beaucoup

magnifique exhib

AnonymousAnonymeil y a presque 6 ans
Super

J'adore

Rudy

AnonymousAnonymeil y a plus de 7 ans
génial

comme il est magnifique de voir une gentille épouse ainsi exhibée, humiliée, une fantasmagorie grandiose

excellent ......

pourvu que ça dire sans trop avoir à attendre

merci

trouchardtrouchardil y a plus de 7 ans

J'ai bien apprécié toutes ces petites situations qui s'enchainent. J'attend la suite avec impatience.

Merci.

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