Confession d’une femme au foyer 05

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Son récit devient de pire en pire.
2.9k mots
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Partie 5 de la série de 9 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 04/21/2020
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Traduction d'un récit de Quin.

***********

En sirotant mon verre et en essayant de me détendre, je demandai à ma femme :

- Combien d'hommes ont été impliqués dans cette histoire avec les ouvriers?

- Tu veux dire avec combien j'ai eu des relations sexuelles ou ceux devant qui j'ai fait de l'exhibitionnisme?

- Bon, voyant que tu fais la distinction entre les deux, je te laisse continuer ton histoire. Dis-je brusquement.

- Je pense que celui qui s'appelait Bob était plus excité à regarder qu'à participer. C'était toujours lui qui poussait les choses un peu plus loin. C'était un jeu entre nous de voir jusqu'où il pouvait me pousser. Mais il n'était pas autoritaire, mais plutôt rusé. D'ailleurs il ne venait jamais seul, il voulait toujours un ami avec lui. Il n'a jamais eu l'intention de me connaître en tête à tête. Parfois, j'étais un peu agacée de me sentir seulement comme un objet sexuel.

- Mais tu l'étais. Ce n'était pas vraiment romantique non? Quoi qu'il en soit, il semble que tu appréciais ça.

Elle soupira :

- Oui, je dois l'avouer. Montrer mon corps et les taquiner m'a toujours fait frémir. C'est comme ça qu'il m'a piégée et a fait une blague à deux autres de ses collègues de travail. Ça s'est retourné contre lui. Il a voulu me surprendre, mais ce fut lui qui fut surpris. Il aimait bien une de mes petites robes d'été, une qui était assez courte et transparente, une sous laquelle il fallait un string si vous ne vouliez pas montrer votre culotte. Elle avait une taille en moins et était très petite pour moi, si bien que j'avais l'air sexy dedans. Je n'avais pas vu les ouvriers depuis deux jours et Bob vint me dire qu'ils viendraient une heure plus tard. Je dois avouer que je les attendais avec impatience. Il me demanda de porter la petite robe et de prendre aussi des bas et un porte-jarretelle pour lui. J'ai ri et je lui ai dit que j'y penserai. C'était étrange qu'il me demande ça pour lui, je me suis posé des questions.

Ma femme reprit son souffle et continua :

- Anticiper leur visite m'avait réjouie, alors je suis montée et j'ai mis bas, porte-jarretelle, petite culotte noire et soutien-gorge assorti. Ça faisait un peu « salope », je n'aurais pas pu sortit comme ça. On distinguait très bien mes sous-vêtements noirs sous ma robe. Mes tétons pointaient à travers le soutien-gorge car la robe était vraiment serrée, une robe efficace pour attirer l'attention des hommes.

Elle sourit sur cette idée, puis elle dit :

- J'ai continué à faire mes tâches ménagères tout en étant très excitée d'être habillée ainsi. Même si je me penchais légèrement, on pouvait un bout de peau nue au-dessus de mes bas. J'étais dans la cuisine quand j'entendis la porte s'ouvrir. Je tournais le dos à l'entrée, légèrement penchée. Quand je me suis retournée, il n'y avait pas seulement Bob et son ami, mais deux autres ouvriers aussi. C'était deux gars dans la trentaine. Bob me dit que l'un d'eux était un vieil ami à lui et qu'il commençait à travailler avec eux. Il me dit qu'il espérait que ça ne me dérangeait pas qu'ils viennent prendre un café. J'étais agacée, et un peu déçue car rien ne se passerait avec d'autres personnes dans la maison. Je me sentais gênée et maladroite debout dans la cuisine. Bob souriait malicieusement et je compris qu'il avait tout préparé. Les autres hommes étaient ébahis, il était évident qu'ils ne savaient pas à quoi s'attendre. Ils se sont installés à la table de la cuisine.

- Et tu n'as jamais pensé à leur dire de partir?

- Non. J'étais en colère mais je leur ai quand même fait un café. Nous avons commencé une conversation polie mais l'atmosphère était tendue. Je sentais les regards posés sur moi, ou plutôt sur ma robe.

- Alors ils se sont assis et ils ont bavardé. Puis qu'est-ce que tu as fait?

- Eh bien je me suis occupée à essuyer le plan de travail de la cuisine, en faisant attention de ne pas trop me pencher. Bob demanda aux autres ce qu'ils pensaient de mon look. Quel enfoiré, j'avais envie de le tuer sur le moment. Puis il me demanda pourquoi je ne m'asseyais pas. Je lui répondis que ça allait, et que de toute façon il n'y avait plus de sièges. Alors il me tira sur son genou. J'ai compris qu'il voulait que je montre ma culotte. Il essayait de répéter ce qu'ils avaient fait il y a quelques semaines.

- Alors, ils auraient pu voir ta culotte? Demandai-je impatient.

- Bien sûr! Il s'était assuré que je leur fasse face et qu'ils aient un bon angle de vue. Mais sur le coup, j'ai décidé que je n'allais pas être utilisée comme ça alors je me suis relevée. Bob avait l'air embarrassé et dit qu'ils feraient mieux de retourner au travail. Je dis alors que ses amis pouvaient rester car ils n'avaient pas fini leur café.

- Pourquoi as-tu dit ça?

- Je ne sais pas vraiment. Je pense que c'était pour ennuyer Bob, lui faire savoir qu'il ne me contrôlait pas. Son ami habituel semblait aussi en colère. Quand il m'avait regardé il savait que nous voulions tous les deux la même chose.

- C'est-à-dire?

- Bien... Un peu de sexe. Dit-elle timidement.

Elle continua :

- Bob et son ami commencèrent à partir et un des deux nouveaux dit qu'ils feraient bien d'y aller aussi. J'ai répondu alors que non, qu'ils pouvaient finir leur café. Il a regardé Bob mais celui-ci et son ami était déjà loin. J'ai fermé la porte et je suis venir m'asseoir à la table.

- Qu'avais-tu en tête?

- Pas grand-chose en fait. Nous avons eu une conversation normale mais je pouvais sentir leurs yeux très pénétrants me détailler. Le deuxième homme ne disait pas grand-chose mais me regardait. Je lui demandai s'il était un bon ami de Bob ou s'il travaillait juste avec lui. Il me répondit : « Je suis un bon ami... et vous? ». Je dis que oui peut-être, qu'ils venaient beaucoup. Il a sûrement compris pourquoi en me voyant avec mes vêtements sexy. Je leur ai demandé s'ils voulaient un peu plus de café. Je suppose que je voulais les garder encore un moment.

- Tu étais de nouveau excitée?

- Oui. En tout cas, après les avoir resservis, je me suis assise et j'ai montré un peu plus de moi. Ils pouvaient voir le haut de mes bas. Un des hommes dit que la vue était superbe mais que c'était dommage que les boutons ne soient pas ouverts sur ma robe. Alors j'en ai déboutonné un. J'étais encore plus surprise qu'eux.

- Quel bouton? Demandai-je.

- Le dernier du bas! Ma robe s'est un peu plus ouverte et leur a montré le haut de mes cuisses et ma culotte. Ils ont eu le souffle coupé et leurs yeux sont presque sortis de leur tête. L'un me dit que j'étais trop sexy et que je le faisais bander. Il m'a demandé si je faisais ça pour Bob. Je dis que oui et pour son ami aussi. Ils ont tout compris.

Elle rigola avant de poursuivre :

- Il me dit alors que ça ne le dérangerait pas si j'enlevais quelques boutons de plus. J'en ai défait deux autre. Puis il me demanda si je ne pouvais pas m'asseoir un peu en arrière et écarter mes jambes. Je l'ai fait et ensuite j'ai détaché le reste de ma robe et je l'ai ouverte en grand. Je l'ai regardé en lui disant : « Comme ça? ». Ils pouvaient tout voir. Ma culotte et mon soutien-gorge étaient transparents. Il me demanda qu'est-ce que je ferais maintenant si Bob et son ami étaient toujours là et qu'eux n'y soient pas. Je lui répondis que je ne savais pas. Il me demanda si nous serions montés à l'étage. Je dis que peut-être? Il me sourit et me dit que je ne m'étais pas donné la peine de m'habiller comme ça pour rien. Ensuite il voulut savoir si je voulais monter. Je lui dis que je ne le connaissais pas vraiment et que quelqu'un pourrait venir ou que Bob pourrait revenir. Il me dit alors de ne pas m'inquiéter. Il s'est levé et m'a tendu la main. Je l'ai laissé m'aider à me relever et j'ai jeté un regard à son ami. Celui-ci était prêt à se jeter sur moi comme une bête sauvage.

- Est-ce que ça t'a fait peur?

- Oui, mais en même temps ça m'a excitée. Il avait l'air bizarre et sinistre.

- T'es-tu demandé si un seul ou les deux allaient monter avec toi?

- Non... je suis allée à la porte et je l'ai verrouillé. Puis je me suis dirigée vers les escaliers. Ils m'ont suivie tous les deux. Quand nous montions les escaliers, il a retiré la robe des mes épaules et m'a dit : « voyons mieux notre amie sexy ». Dans la chambre, son ami peu bavard s'est assis sur une chaise et continua à détailler mon corps. L'autre se mit devant moi et commença à me caresser. Il laissa ses mains courir sur mon ventre, mes seins à travers mon soutien-gorge, puis mes cuisses. Je regardai son ami qui avait sorti son sexe. Le membre était épais, pas particulièrement long, mais épais. Mes yeux étaient fixés dessus. L'autre homme remarqua mon regard et me demanda si j'aimai voir ça. Je crois que j'ai seulement hoché la tête. Alors il a ouvert son pantalon et a appuyé sur mes épaules. Je savais ce qu'il voulait. Je me suis assise au bord du lit et il présenta sa queue à ma bouche.

- Tu l'as prise ou c'est lui qui la tenait?

- Au début c'était lui, puis je l'ai prise.

- Tu l'as branlé dans ta bouche jusqu'à ce qu'il jouisse?

- Oui... C'est dur de le dire maintenant. J'ai honte de ce que j'ai fait. Je ne peux pas croire que je l'ai fait.

- Ça va! Je ne te juge pas. Tiens t'en aux faits! Dis-je.

- Oui, j'ai tenu sa bite dans ma bouche et je l'ai sucé. Il m'a dit de le branler et je l'ai fait. Et je l'ai laissé jouir dans ma bouche. Ensuite il m'a allongée sur le lit, il a retiré ma petite culotte, s'est agenouillé et a commencé à me lécher.

- Est-ce que ça t'a plu?

- Oui c'était trop érotique. Il a léché ma chatte pendant que je regardais son ami masturber son gros engin. Celui-ci me regardait être léchée, les jambes bien écartées et pendantes sur le lit, avec juste des bas. Oui ça m'a plu. Et encore plus quand l'ami est venu s'asseoir sur le lit à côté de moi. Il m'a pincé les tétons et m'a dit d'ouvrir la bouche. Il s'est placé au-dessus de moi pour que je le suce. Mais ça n'a duré qu'une minute. L'homme entre mes jambes s'est levé et l'autre a mis sa queue dans ma chatte. Il m'a baisé rudement, très fort et violemment.

- Tu n'as pas aimé?

- Oh si! J'ai enroulé mes jambes autour de lui et j'ai poussé mon bassin. Désolé de dire ça mais ce fut la meilleure baise que j'ai jamais eue, même si le gars était bizarre et pas très beau. Pour être honnête, il était même laid.

Elle ajouta, comme si elle pensait à haute voix :

- Mais il savait comment baiser une femme avec sa grosse bite. Après que nous ayons tous les deux joui, nous nous sommes allongés tous les trois pour nous embrasser et nous toucher.

- Et sont-ils revenus? Demandai-je.

Ma bite était dans ma main. Ma femme caressait sa cuisse, sa main remontant de plus en plus sa jupe.

- Oui. Ils sont venus plusieurs fois avant que Bob ne comprenne. Il avait été transféré dans une autre maison et il était vexé car c'était trop loin.

- Alors ils t'ont baisée plusieurs fois?

- Oui. Et ils n'étaient pas aussi hésitants que les deux autres.

- Que veux-tu dire? Questionnai-je.

Elle répondit nerveusement :

- Eh bien, ils ne perdaient pas de temps pour prendre leur pied!

- Explique moi correctement... et en détail. Dis-je sèchement.

Elle soupira :

- Oh mon Dieu... D'accord... Un jour, ils m'ont assise sur une chaise et se sont placés devant moi. Ils m'ont fait lécher leur queue en même temps puis j'ai dû les prendre toutes les deux dans la bouche. Avec mes mains je branlais leur bite.

Avant que je ne puisse dire quelque chose, elle poursuivit :

- Ensuite, ils m'ont jetée sur le sol de la cuisine et ils se sont couchés à tour de rôle sur moi pour baiser ma bouche avec leur bite.

Comme si ça ne suffisait pas, elle ajouta :

- Un jour, alors que je passais devant la maison où ils travaillaient, ils m'ont appelée pour que je vienne à l'intérieur. Ils m'ont montée à l'étage et ils ont commencé à me tripoter. Puis ils m'ont demandée de retirer ma culotte. Ils m'ont penchée au-dessus d'un établi, soulevée ma jupe et caressée mes fesses. Puis ils se sont relayés pour me baiser par-derrière.

Elle toucha sa culotte et commença à frotter son clitoris tout en parlant.

- J'étais complètement soumise à eux. J'aimais leur grosse bite en moi. Je les aurais laissés faire n'importe quoi. J'aimais me pencher et qu'ils me baisent par-derrière. Ils me pilonnaient très forts, et ils mordaient mes tétons. C'était bien, ça me plaisait, une queue dans chaque main et une bouche sur chaque sein. Nous ne perdions plus de temps avec le café. Soit nous allions directement à l'étage, soit ils baissaient ma culotte dans la cuisine pour mettre leur bite dans ma chatte. A chaque fois qu'ils venaient dans la maison, ils m'embrassaient et ma main descendait à leur braguette.

Ce fut assez d'histoire pour la nuit. Nous jouîmes en même temps. Puis nous allâmes nous coucher en silence.

Le lendemain, je bandai en permanence. L'image de ma femme se pliant docilement pour que deux hommes puissent la baiser par-derrière m'obligea à disparaître dans les toilettes du bureau pour me soulager solitairement. Le soir, lorsque nous fûmes de nouveau seuls, j'étais déjà excité. Je lui dis :

- Continue à me parler des ouvriers! Mais fais quelque chose pour moi d'abord. Va enlever ta robe et mets des bas avec un porte-jarretelle.

- Pourquoi? Demanda-t-elle surprise.

- Pourquoi d'après toi? Répondis-je en défaisant ma braguette et en sortant mon sexe.

Cinq minutes plus tard, elle était de retour. Elle portait des sous-vêtements noirs et des bas.

- Alors c'est ce qu'ils ont vu? Commentai-je.

- Oui. Répondit-elle.

Elle se versa un grand verre puis se dirigea vers le canapé. Elle s'assit devant moi en écartant les jambes et dit :

- C'est exactement ce qu'ils ont vu.

Maintenant elle me taquinait. Je dis :

- Continue!

- Je suppose que tu veux savoir si un jour les quatre hommes ont été ensemble dans la maison pour un moment de sexe. Eh bien oui... Un jour, alors que j'étais à l'étage avec les deux hommes, quelqu'un a frappé à la porte. J'ai enfilé ma robe de chambre et je suis descendu pour ouvrir.

- Vous étiez en train de faire quoi quand on vous a interrompu?

- Nous étions allongés sur le lit. J'étais nue et je jouais avec la grosse bite d'un pendant que l'autre frottait sa queue contre mes fesses.

Après cette explication, elle reprit le cours de son histoire :

- Quoi qu'il en soit, c'était Bob et son ami à la porte. Ils sont entrés et m'ont demandé si quelqu'un d'autre était là. Je leur dis que oui, il y avait quelqu'un en haut. Bob eut l'air agacé mais ne dis rien. Alors qu'ils allaient repartir, son copain qui était dans la chambre en sortit et resta en haut des escaliers. A ce moment-là Bob eut l'air très énervé, mais son ami lui demanda quel était le problème? Nous nous sommes réunis dans la cuisine et les hommes ont discutés. Celui avec qui j'étais en haut tira sur la ceinture de ma robe de chambre. Il dit que nous attendions tous cela et qu'ils savaient tous pourquoi ils étaient là. Je l'ai laissé ouvrir ma robe de chambre. Bob et son autre ami ont pu voir que je ne portais qu'une culotte. Immédiatement j'ai vu apparaître une bosse dans leur pantalon. Ils se sont souvenus de ce qu'ils avaient manqué. Ils ont été choqués aussi de se rendre compte que j'étais disposée à monter avec d'autres hommes. Ensuite nous sommes montés tous les quatre dans la chambre et ils se sont relayés pour regarder ou jouer avec moi.

- Quel genre de jeu? Demandai-je.

- Tu sais bien. Les branler, les sucer, les laisser m'écarter les jambes, me tripoter, regarder ma chatte, sucer mes seins...

- Et te sauter?

- Ben oui, ils ont fini par me baiser. J'en ai pris un dans ma bouche pendant que les trois autres me baisaient à quatre pattes. Ils m'ont vraiment pilonné durement.

- Si ça t'excite, mets la main dans ta culotte. D'ailleurs tu as dû le faire pour eux non? Les laisser regarder alors que tu te faisais plaisir toute seule?

Elle fit un signe de tête coupable et dit :

- Oui.

Ses doigts se posèrent sur son clitoris et elle le caressa doucement.

- Est-ce qu'ils ne sont jamais venus seuls?

Je sentais qu'elle évitait de me dire quelque chose. J'ajoutai :

- Et une fois tu m'as dit que ça s'était passé dans la salle de bain. Tu peux raconter?

- Je vais te dire. Mais d'abord, peux-tu me servir un grand verre s'il te plaît. J'en aurai besoin.

A suivre...

trouchard
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Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 2 ans

cette histoire continue d'une bien belle façon.

et c'est bien écrit, bravo

AnonymousAnonymeil y a presque 4 ans

Toujours excellent… je ne débande pas

Aurailiens

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