Complicité Muette

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Masturbation côte à côte mère-fils.
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Témoignage 2 : Complicité muette

Tout a commencé à l'occasion du mariage d'une de mes cousines, qui était organisé à 400 kilomètres de chez nous, dans la Creuse. Mon père, pris par un travail urgent de dernière minute, n'avait pu s'y rendre et avait dû s'excuser. Maman et moi nous y sommes donc rendus seuls. La cérémonie eut lieu dans l'après-midi, et après la séance traditionnelle de photos de qui nous avait menés à une dizaine de kilomètres de Guéret, où habitait ma cousine, nous sommes rentrés pour le repas de noces.

La journée avait été pleinement réussie et le repas le fut tout autant. J'avais été placé en face de ma mère et c'est sans doute à cette circonstance que je dois de l'avoir vue pour la première fois comme une femme et non comme une mère. A sa droite était assis un homme dans la force de l'âge, qui portait assez beau et qui devait être veuf ou célibataire car il n'était manifestement accompagné d'aucune épouse. Ma mère semblait à son goût car il lui réservait toute son attention sans se soucier de sa voisine de gauche. Je remarquai aussi qu'il avait soin de tenir plein le verre de Maman, qui n'était pas habituée à trop boire.

Etait-ce l'effet de l'alcool ou celui de l'atmosphère festive qui régnait dans la salle, toujours est-il que je ne tardai pas à surprendre ma mère en train de flirter, si les mots ont un sens. Elle semblait avoir oublié ma présence en face d'elle, riait sans retenue aux propos que son voisin lui chuchotait à l'oreille, bref se comportait comme une femme à qui un homme fait une cour appuyée.

Le repas terminé, les mariés donnèrent le signal de la danse et bien vite la majorité de l'assistance se retrouva sur la piste, ma mère dans les bras de son entreprenant cavalier. Tout comme la voisine de gauche de ce dernier résignée à faire tapisserie, je faisais partie quant à moi de ceux qui restaient sur leur chaise, faute d'avoir essayé de nouer conversation aves mes propres voisines tant j'étais troublé par l'attitude de Maman.

Celle-ci cependant semblait à présent comme embarrassée. Les vapeurs de l'alcool commençaient-elles à se dissiper ou prenait-elle peu à peu conscience des intentions de plus en plus évidentes de son chevalier servant? Collé à elle, il se frottait ouvertement contre son entrejambes sans souci des spectateurs éventuels, dont j'étais, fasciné par la scène... Dans quel état vous pouvez l'imaginer, partagé entre la honte et l'excitation naissante de voir ma mère pelotée et offerte en spectacle en public. Ma mère, ou plutôt une femelle qui faisait bander malgré lui le jeune mâle que j'étais.

Une femelle qui n'en menait pas large à présent. Je la vis glisser, le rouge au front, quelques mots à l'oreille de son partenaire, qui parut tout à coup désappointé. Sous le regard ironique des assistants, elle s'éclipsa ensuite, pour monter dans notre chambre. Il me faut préciser ici le point capital de cette histoire, sans lequel notre vie, à elle et à moi, n'aurait jamais pris le tournant qu'elle allait connaître. Vu le nombre d'invités arrivant de loin et devant être accueillis pour la nuit, les parents de ma cousine avaient dû nous loger dans la même chambre Maman et moi, une chambre avec un seul lit.

Je restai un quart d'heure de plus dans la salle pour lui laisser le temps de se recomposer et de se préparer pour la nuit. Lorsque je montai à mon tour, elle était déjà couchée et avait éteint la lumière. Je pris une douche rapide dans le cabinet de toilette attenant et me couchai à mon tour à ses côtés le cœur battant, l'esprit encore plein des images de la soirée. Elle semblait s'être endormie et malgré mon agitation j'essayai de me raisonner en me disant que je devais en faire autant. Le sommeil cependant ne venait pas et peu à peu la chaleur de son corps tout proche du mien, joint à mes pensées salaces, me fit bander. Je me gardai de bouger, craignant qu'elle ne se réveille et se rende compte de mon érection.

Ce fut cette immobilité inquiète qui déclencha la suite. Au bout d'un temps qui m'avait paru une éternité, je faillis sursauter : je venais de percevoir à mes côtés un mouvement furtif. Il ne s'agissait pas d'un de ces mouvements instinctifs qui agitent le dormeur sans qu'il en ait conscience, mais de celui, secret, qu'on cherche à cacher. A quelques centimètres de ma queue dressée pour elle, ma mère se branlait subrepticement! Manifestement, elle ne dormait pas depuis que je m'étais couché, mais, habitée comme moi par les images de la soirée, avait attendu que je m'endorme moi pour soulager ses chaleurs. Sûr que son partenaire de danse l'aurait sautée sans problème s'il avait su montrer un peu plus de discrétion... Il aurait suffi qu'il l'entraîne à l'écart et elle n'aurait pas été en état de résister. Mon immobilité silencieuse avait en tout cas, pour l'heure, fini par la convaincre que je m'étais assoupi. Combien de temps restai-je ainsi à épier son branlage précautionneux, percevant par instants le bruit de sa mouille sous ses doigts fébriles? Je ne sais. Vint cependant le moment inéluctable où je ne pus plus y tenir. Sur une impulsion soudaine, c'est positivement malgré moi que je me mis à me branler moi aussi. Et ce qui devait arriver arriva : à la seconde même où je commençai, elle se figea, tétanisée. Je crois sue j'aurais presque pu entendre son cœur battre la chamade autant que le mien. Comment ai-je pu continuer? Sans doute ai-je été traversé en un éclair par la pensée désespérée que puisque de toutes façons nous savions tous deux ce qu'il en était, il n'y avait plus à reculer!

Et le miracle se produisit! Au bout de deux minutes de masturbation angoissée, je l'entendis soupirer... et reprendre la sienne... Nos genoux se touchèrent, nous faisant tous deux frissonner. Je m'enhardis à poser ma main sur sa main qui tourbillonnait autour de son bouton, ce qui lui fit pousser un gémissement d'excitation et accélérer son rythme. Ce n'est que lorsque je m'apprêtai à la monter qu'elle me repoussa en chuchotant un : « Non! » déterminé. Je compris que je ne devais pas insister. Nos jeux côte à côte durèrent une bonne heure encore, où pas un mot supplémentaire ne fut prononcé avant de s'achever sur un orgasme simultané.

Ce devait être désormais la règle entre nous. Mais ceci est une autre histoire, que je raconterai plus tard si ce témoignage de nos débuts présente quelque intérêt aux yeux du lecteur éventuel...

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Anonymous
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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 4 mois

Une suite ?

AnonymousAnonymeil y a 4 mois

Début prometteur

AurailiensAurailiensil y a 4 mois

On reste un peu sur notre fin mais très excitant

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