Coiffeuse à Domicile

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Le fantasme préféré d'un homme devient réalité.
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Jeudi matin, je paresse dans mon lit, pendant que ma femme Bérengère emmène les enfants à l'école. Généralement, elle traîne ensuite avec ses copines, chez l'une ou chez l'autre, en bavardant et buvant le café. Elle sait que si elle rentre tôt, je vais lui tourner autour, l'entraîner dans la chambre, et qu'elle va y passer. La maison est silencieuse, comme elle l'est toujours quand les enfants ne sont pas là. Je me suis réveillé avec le bois du matin, une érection agréable, et je veux profiter du calme de la maison pour m'offrir une douce branlette.

Je fouille dans le tiroir de chevet de ma femme pour en sortir le tube de vaseline qu'elle utilise quand je veux utiliser sa voie arrière. Notre sexualité n'est plus aussi dynamique après 10 ans de mariage et 2 enfants, mais il me reste quelques pulsions, et j'ai certaines exigences auxquelles ma femme doit se soumettre. Mon imagination, et ma main reste mon plus fréquent soulagement.

Mon fantasme habituel tourne autour d'une amie de ma femme, Sabrina. Une petite brune pétillante, dans la quarantaine, avec une silhouette ravissante, mince mais galbée là où il le faut, et qui aime la plaisanterie. Elle est coiffeuse, elle fait des extras à domicile, elle a déjà coupé les cheveux de ma femme à plusieurs reprises. Je la connais bien, et je l'apprécie beaucoup. On s'entend bien, on plaisante en flirtant un peu, elle n'est pas bégueule, et elle a de la répartie. Surtout, je jouis très fort en l'imaginant dans mes bras, car c'est mon fantasme préféré.

Quelques gouttes de lubrifiant sur ma bite et je me caresse lentement, en faisant défiler dans mon esprit le catalogue des situations coquines que j'imagine avec Sabrina. C'est une de mes particularités, j'ai une imagination débordante, et je m'invente des milliers de situations avec l'élue de mon cœur. La mayonnaise prend lentement, et cela se termine en apothéose, dans la gerbe éclatante d'un feu d'artifice cosmique ... ou presque ! Je suis en pleine ascension, lorsque l'impensable se produit, la sonnette de l'entrée retentit.

Merde ! Qui vient me faire chier en plein bonheur? Dans mon rêve, j'étais en train de coucher Sabrina sous moi, et elle écartait déjà les cuisses, impatiente et amoureuse ! Je me lève précipitamment pour chasser l'importun. Si c'est ma femme, je vais la prendre debout dans l'escalier, elle va ramasser !

J'essuie rapidement ma main sur une serviette qui traîne sur le sol, et j'enfile un peignoir. Je suis encore dur en descendant les escaliers vers la porte d'entrée, et j'accroche mon peignoir à la rampe. J'entends un son, comme un accroc, je regarde rapidement, mais je ne vois rien d'anormal, alors je vais vers la porte pour l'ouvrir. J'ouvre la porte et je vois Sabrina, dans sa blouse de coiffeuse :

« Salut chérie ! » Je me penche sur elle et je l'embrasse dans le cou. Elle a ce petit rire coquin qui me plaît tant. Je suis mouillé de chaud, hirsute, pas rasé, et j'ai probablement l'air hagard :

« Salut, poulette ! Quel bon vent t'amène par ici? »

« Est-ce que tout va bien? Tu as l'air un peu patraque ! »

« Je vais bien, chérie, j'étais en train de dormir, et tu m'as réveillé en plein rêve érotique ! Quoi de neuf? » Elle est venue déposer des produits capillaires pour ma femme.

« Elle n'est pas à la maison, est-ce que je t'offre un café? » Elle accepte et franchit la porte. Elle s'assoit à table pendant que je mets la cafetière en route. On blague en attendant que la machine chauffe. Je fais couler deux cafés que j'apporte à table. Je remarque la fixité de son regard et sa gêne. Quelque chose cloche. Je baisse les yeux et je vois la déchirure de mon peignoir. Je me rajuste en vitesse.

« Oh merde, je suis désolé. Je me suis accroché en me précipitant dans les escaliers, et je n'ai pas vu l'accroc ! »

« J'ai vu ta bite ! Tu ne dormais pas, tu te branlais, gros cochon ! » Ma bite est encore dure et pleine de lubrifiant, qu'est-ce que je peux dire? J'aurais pu noyer le poisson, trouver une excuse, parler d'autre chose, mais à la place, j'ai trouvé malin de lui dire :

« Tu as tout deviné, je me branlais en pensant à toi, ma chérie ! » Elle ne peut pas détacher son regard de ma bite, son regard devient lubrique, elle passe la pointe de sa langue sur ses lèvres comme si elle voulait s'agenouiller et me sucer. Elle sourit, ne semble pas avoir envie de s'enfuir, je m'enhardis, et j'ouvre mon peignoir. Son regard s'éclaire, elle tend la main et me caresse du bout des doigts.

« Eh bien, ce serait cruel de te laisser dans cet état, mon chéri ! » Elle est si séduisante, avec ce sourire coquin, penchée vers moi, avec le décolleté de sa blouse de travail qui baille. Je regarde ses trésors, et l'envie de les caresser me fait bander ma bite semi-dure.

« Tu as une très belle bite, bien grande, comme je les aime » J'essaie de savoir si elle est sérieuse, ou si elle se paye ma tête. Mais sa main qui me tripote du bout des doigts m'aide à me convaincre de son désir de sexe. Je suis en forme et complètement développé en quelques secondes. Elle se penche un peu plus, comme pour examiner ma bite de plus près, et s'humidifie les lèvres avec la pointe de sa langue.

Elle commente sans fausse pudeur : « Tu as une très belle bite, vraiment ! Ça fait si longtemps que j'ai envie de voir ta bite, je suis ravie ... et toute mouillée ! » Je la regarde droit dans les yeux. Moi, ça fait si longtemps qu'elle est mon fantasme principal que l'impatience me fait trembler. Si j'avais su ... Putain, qu'est-ce qu'elle attend?

Mais elle se redresse et lâche ma bite : « Je suppose que je pourrais t'aider à éjaculer plus rapidement ! » Elle se lève et commence à déboutonner sa blouse, révélant sa peau laiteuse et son soutien-gorge noir. Il est du type push-up qui remonte les seins en les rapprochant, ce qui donne l'impression d'une plus grosse poitrine.

Ses seins ne sont pas énormes, mais ils sont parfaitement fermes, avec les tétons saillants, et leur vue m'excite encore plus. Elle dégrafe son pantalon, et le laisse lentement glisser jusqu'au sol. Elle enjambe son pantalon en tas au sol, et d'un adroit coup de pied, l'éloigne de nous. Elle me regarde, souriante, et me demande :

« Est-ce que ce que tu vois te conviens? » Elle tourne sur elle-même dans un geste plein de grâce, et je suis au paradis. Ce n'est pas possible que tout cela soit réel, c'est un rêve, et comme d'habitude, au moment crucial où je vais conclure, je vais me réveiller et me retrouver frustré, bandant comme un imbécile sans pouvoir conclure.

Ses épaules sont étroites, ses seins plutôt petits, mais sa taille en forme de sablier s'évase sur ses hanches larges et son cul rebondi, surmontant ses jambes toniques. Elle se tourne, et son string noir me révèle son cul joufflu, ce cul que je rêve d'attraper depuis des années. La seule pensée cohérente qui me vient, c'est de me demander combien de temps encore cette salope va m'allumer, avant de s'offrir? Un cul pareil, je pourrais jouer avec pendant des années, sans me lasser. Cette femme me chauffe, et ma bite palpite d'impatience à l'idée de la baiser.

Rien de commun avec ma femme, Bérengère, qui est une femme docile, mais qui manque cruellement d'initiative. Jamais elle n'oserait m'allumer de cette façon. De manière générale, Bérengère ne demande jamais rien. C'est toujours moi qui la sollicite pour un câlin. Parfois elle accepte rapidement, parfois il faut la forcer un peu pour la convaincre. Par contre, Bérengère est plus pulpeuse, avec ses gros nichons qui se balancent quand je la baise en levrette.

Tandis que Sabrina me chauffe avec audace, et je commence à avoir du mal à réfréner mon envie de lui sauter dessus pour la prendre comme une bête sauvage. Elle s'approche de moi, se tourne, et se penche en poussant ses fesses vers mon visage. Elle écarte ses fesses à deux mains, me révélant les trésors de son cul. Elle secoue se hanches de manière aguichante. Je saisis ses hanches à deux mains, je me penche en avant et je plonge mon visage entre ses fesses. Elle m'encourage :

« Mange-moi ! Mange ma chatte, bébé ! »

Elle tire son string sur le côté, me révélant sa chatte, et juste au moment où je suis sur le point de commencer à la lécher, elle s'échappe et se rassoit. Elle écarte les jambes pour frotter son clitoris, je peux voir à quel point elle est mouillée et excitée, et je ne peux pas résister à l'envie de me caresser. Nous restons tous les deux assis face à face pendant quelques minutes, à nous regarder nous masturber jusqu'à ce que cela devienne trop pour moi, des jets de sperme jaillissent de ma bite dans toutes les directions.

J'ai du sperme partout sur mon ventre, ma main, ma bite, mais la majeure partie a giclé sur le sol. La vue de tout ce sperme répandu l'excite, et son corps est secoué par des spasmes lorsqu'elle exulte. Elle gémit avec ses doigts dans sa chatte, mais son regard ne quitte pas le mien. Nous restons assis face à face, nous dévisageant en reprenant notre souffle, elle avec son séduisant sourire, moi avec mon air hébété. Je commence à me lever pour nettoyer mes cochonneries, mais elle me dit :

« Tu ne bouges pas et tu ne vas nulle part, je n'en ai pas encore fini avec toi ! » Elle se soulève de sa chaise, la tire vers moi, se rassoit et se penche sur moi. Elle ouvre sa bouche, tire la langue, et commence à lécher ma bite pleine de sperme. Elle lèche et suce comme une possédée ma bite qui durcit rapidement. Rapidement, je bande aussi dur qu'avant, et je suis de nouveau en parfait état de fonctionnement, mais elle s'acharne à me pomper comme si sa vie en dépendait.

Visiblement, elle est douée pour sucer des bites, je ne sais pas qui lui a appris cela, mais je peux dire qu'elle apprécie ce qu'elle fait. Au bout d'un moment, elle s'arrête, se lève, m'enjambe, et me colle ses seins sur le nez. Elle se laisse glisser contre moi, et s'empale sur ma tige dressée. A peine entrée, elle se soulève et sa chatte s'échappe de ma bite palpitante. Elle répète son petit jeu plusieurs fois, elle descend, sa chatte aspire mon gland, puis elle se soulève en laissant ma bite frustrée.

Elle récidive, mais ne peut pas s'empêcher de descendre plus bas à chaque pénétration, prenant de plus en plus de ma bite en elle. Je résiste à la tentation de l'attraper par les hanches pour la tirer sur moi. Je la laisse contrôler la vitesse de sa descente, cette salope m'excite de plus en plus. Après un moment passé à me taquiner comme cela, elle glisse sur ma bite totalement, et son cul claque sur mes cuisses. C'est une sensation incroyable, sa chatte est chaude et serrée autour de moi, et je sais que je vais bientôt jouir au fond d'elle.

Au début, elle coulisse lentement sur ma bite. Mais, avec l'excitation, son rythme s'accélère peu à peu. Je suis au paradis, la femme de mon fantasme, sur laquelle je me branlais il y a une heure, est en train de rebondir sur ma bite en frottant ses tétons durcis contre mon visage. Ma bouche passe d'un sein à l'autre, léchant, suçant et mordillant tout ce qui passe à sa portée.

Quelques minutes de pur délice, puis son rythme se désunit, son corps se contracte, secoué de nouveau par les spasmes de sa jouissance, sa chatte se resserrant autour de ma bite. Je lui laisse un moment pour reprendre son calme, puis je la soulève et je me lève, car je veux la baiser par derrière, en levrette. Je la penche sur la table, et je soulève sa jambe pour la poser sur la table à l'équerre. Je baisse les yeux sur son cul, et je pense illico que je dois absolument bouffer ce cul qui me plaît tant. Je m'accroupis, pour lui manger la chatte et le cul par-derrière, mais elle se met à grogner :

« Putain, mais baise-moi ! Ne perds pas ton temps en conneries, ta femme peut rentrer à tout moment, magne-toi et baise-moi ! » Je suis un gentleman, les désirs d'une femme sont des ordres, je suis obligé de me soumettre. Je me redresse et je plante ma bite dans sa vulve trempée qui n'offre aucune résistance à mon intrusion. Elle couine un peu à cause de mon empressement, mais j'ai le contrôle maintenant, je vais la baiser comme une poupée de chair.

Je commence lentement, en frottant ma bite dans sa fente et sur son clitoris. Je ne veux surtout ne pas me presser, faire durer, parce que je commence à être à bout de ma résistance. Elle gémit lorsque je retire lentement toute ma longueur, puis je reviens à l'intérieur, et tout son corps tremble de désir. Progressivement j'accélère pour la baiser plus vite et plus durement. Nos chairs claquent, elle secoue la tête en tous sens, comme une possédée. Je transpire abondamment, et je postillonne à cause de ma respiration surexcitée.

Notre coït devient indécent et obscène. Je la baise maintenant en claquant son cul si fort qu'elle doit se tenir à la table pour ne pas chuter. Elle crie son plaisir lorsque son orgasme la fait chavirer, sa chatte enserre ma bite, c'est trop pour moi, ma bite palpite et crache son venin au fond de sa vulve. Jouir en même temps que sa partenaire est une chose rare, surtout quand c'est la première fois qu'on baise ensemble.

Nous restons tous les deux là, plantés l'un dans l'autre, complètement émerveillés, en essayant de nous calmer. C'est tellement merveilleux que j'aimerais la baiser encore, alors je glisse ma main sous elle pour lui frotter la chatte, mais elle m'arrête tout de suite :

« Non, arrête, j'ai la chatte en feu ! Tu m'as baisée si fort que je suis toute ankylosée, ça me pique dedans ! »

Nous nous asseyons un moment sur le canapé, pour nous câliner en bavardant.

Périodiquement, lorsque les circonstances le permettent, mon fantasme préféré devient ma chienne lubrique que je baise en secret.

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