Claudine, Professeur de Français 10

Informations sur Récit
Le dimanche au marché et à la chapelle.
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3

Partie 10 de la série de 11 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 12/22/2016
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Cette histoire tirée de mes archives a été écrite il y a une dizaine d'année par un certain Geronimo. Aujourd'hui vous pouvez trouver sur ce site certaines de ses histoires sous le pseudo Elko. Mes remerciements à cet auteur.

***********************************

Il est presque 2 heures du matin quand nous arrivons devant mon pavillon. Les pneus de la Mercedes font crisser les gravillons de l'allée pendant que Mehdi se gare. Nous sortons de la voiture et tout de suite Mehdi prend congé de nous. Il reprend son véhicule et retourne dans son sex-shop.

Nous entrons dans mon pavillon et je reste bouche bée devant le spectacle qui s'offre à nous. Anne-Sophie, ma fille, seins nus est vêtue d'un porte-jarretelles noir et des talons aiguilles qui m'appartiennent, ceux avec le talon en acier. Elle est allongée sur la table du salon, les chevilles attachées aux pieds de la table et Charles, à genoux devant elle, lui lèche la fente. Pierre, debout devant la table lui a enfourné son membre dans la bouche et elle lui administre une fellation.

Jessica nous pousse dans le salon, Sylviane et moi et nous ordonne d'enlever nos tenues de putes et d'aller prendre une douche. Nous nous exécutons, plutôt contente de pouvoir nous débarrasser du sperme qui colle nos cheveux et sèche sur notre corps. Nous arrivons dans la salle de bains et Jessica décide que nous allons nous doucher toutes les trois ensembles. Nous prenons donc notre douche sous la surveillance de Jessica qui s'amuse à nous branler de temps en temps. Elle prend un gant de toilette et nous le passe sur le corps, nous caressant les seins. Elle se penche et nous suce les mamelons en alternant. Elle me force à sucer la pointe des seins de Sylviane pendant que celle-ci doit m'enfoncer deux doigts dans ma chatte. L'eau coule sur nos corps et je commence à respirer un peu plus vite sous la caresse de Sylviane qui me titille le clitoris. J'halète comme une folle et Sylviane agite de plus en plus vite ses doigts dans ma fente. Un flot de mouille envahit ses doigts. Je lui suce toujours les seins lui mordillant les pointes ce qui la fait gémir de bonheur. Jessica nous passe le gant sur tout le corps pendant ce temps-là. Elle nous lave les fesses maintenant et insiste bien sur l'anus. Elle enlève son gant et enfonce son index dans le cul de Sylviane qui pousse un gémissement sourd.

- Je dois vérifier qu'il est propre vu que tu t'es comportée comme une chienne dans le sex-shop.

Elle retire son doigt et je dois le sucer. Puis, comme dans le sex-shop, Jessica nous ordonne de nous embrasser. Sylviane proteste et elle reçoit une claque sur ses fesses. Jessica m'agrippe par les cheveux et rapproche mon visage de celui de Sylviane et je dois poser mes lèvres sur les siennes. Nous nous embrassons de longues minutes pendant que Jessica guide nos mains et nous oblige à nous inspecter le vagin mutuellement.

Nous sortons de la douche et allons dans ma chambre pour nous habiller pour la nuit, lance Jessica en rigolant. Elle farfouille dans ma penderie et mon tiroir de lingerie pendant que nous devons attendre, nues, à côté d'elle. Elle choisit une nuisette transparente pour moi que j'enfile sur un collant noir satinée et une guêpière rouge pour Sylviane avec un porte-jarretelles et des bas noirs qu'elle a déniché dans mon tiroir. Nous devons enfiler toutes deux des talons aiguilles et nous retournons dans le salon.

Pierre et Charles en ont terminé avec Anne-Sophie et celle-ci est en train de s'essuyer la bouche pour enlever le sperme qu'elle a régurgité. Leila s'approche de ma fille et la courbe en avant. Elle lui attache les poignets à ses chevilles, lui enfonce le gode avec la queue de cheval dans le cul et lui ordonne de rester comme ça. Rachid et Bruce surgissent soudain et sifflent en nous découvrant. Ils se font raconter par Jessica notre expédition au sex-shop et Jessica lui montre les photos qu'elle a prit avec son téléphone portable.

- Super, lâche Bruce, on va pouvoir rajouter ca sur le site. On a fini de mettre les photos et le film qu'on a tourné tout à l'heure. Tu veux voir?

Nous suivons Bruce dans le bureau de mon mari et je réalise soudain que je ne l'ai pas encore aperçu. Bruce se connecte sur internet et mon site où, effectivement, on peut voir les photos de notre « partouze » de début de soirée. Ils éclatent de rire quand on voit en gros plan Sylviane en train de faire des pipes à tout ce joli petit monde. Jessica lui claque les fesses :

- Eh bien Mme la Conseillère municipale, vous n'avez pas honte de vous conduire comme une trainée?

Sylviane est rouge de honte et elle baisse les yeux. Nous retournons dans le salon. Rachid, les mains sur les hanches de ma fille, la besogne à grand coup de reins. Ses seins ballotent et elle pousse de longs gémissements. Rachid accélère son va et vient et éjacule sur le dos de ma fille en poussant un cri rauque. Bruce propose du champagne et Leila tout excitée d'un coup crie :

- Bonne idée, vous allez voir ma nouvelle soubrette!!!

Je reste interloquée. De qui veut-elle parler?

- Paulette! Apporte le champ'!

La porte de la cuisine s'ouvre et, horrifiée, je vois apparaitre Paul mon mari. Leila l'a obligé à s'habiller en soubrette pour faire le service. Il est vêtu d'une robe noire qui lui arrive presque à l'aine et son sexe pend misérablement. C'est une robe qui m'appartient et je me demande comment il est rentré dedans. Il est d'ailleurs complètement boudiné. Mais le pire, le comble de la déchéance et de l'humiliation, du moins pour un homme, il porte des bas et des talons hauts. Il trébuche et manque de tomber à chaque pas.

Il porte un plateau avec des flutes et fait visiblement un effort considérable pour ne pas le renverser. Il me regarde honteux et je me rends compte que Leila a poussé le vice à le maquiller. Elle lui a mis du rouge à lèvres.

Paulette fait le service et Leila, Jessica, Bruce et Rachid trinquent pendant que Sylviane et moi nous devons nous mettre à genoux devant eux. Paulette retourne dans la cuisine. Ma fille Anne-Sophie est toujours attachée courbée en avant. Pierre, lui, est attaché courbé en avant également sur un haut tabouret trouvé dans la cuisine, les mains liées derrière le dos, un bâillon-boule dans la bouche et ficelé sur le tabouret par une lanière sans doute trouvée dans les affaires SM que Mehdi avait ramené de son sex-shop et que Leila a gardé précieusement.

Nos tourmenteurs prennent le champagne autour de la table ronde de notre salon. Au bout d'un moment, on nous demande à Sylviane et à moi de passer sous la table. Rachid et Bruce ont sorti leurs bites de leurs pantalons et nous devons les sucer. Sylviane s'occupe de Rachid et moi de Bruce. Ma langue s'enroule autour de son gland, je le pompe en salivant dessus. Il me force à l'engloutir entièrement en m'appuyant sur la nuque et j'émets une protestation étouffée. Sylviane subit le même sort. Ma tête monte et descend sur le membre imposant de Bruce qui donne des coups de bassin comme pour s'enfoncer encore plus. Très vite, il éjacule en lâchant des trainées de foutre sur mon visage. Rachid éjacule également souillant le visage de Sylviane de son sperme poisseux.

Nous sortons de dessous la table et, à la demande de Jessica, nous devons nous nettoyer la figure en nous donnant de petits coups de langue, nous léchant mutuellement le sperme. Puis, de nouveau, nous nous embrassons. Nos langues s'enroulent. Rachid prend des photos et propose que nous nous allongions sur le sol. Leila me fesse le cul violemment et déchire mon collant. On nous force à nous mettre tête-bêche et je dois, sous la pression, mettre ma langue dans la chatte de Sylviane pendant qu'elle fait de même. Je sens sa langue m'agacer le clitoris et je lui introduis un doigt dans sa chatte dégoulinante. Sylviane pousse un gémissement et ondule du bassin. Je la masturbe de plus en plus vite, agitant mes doigts, lui pinçant le clitoris Rachid prend toujours des photos et Bruce filme la scène avec la caméra de mon mari. J'agite mon bassin de plus en plus vite, Je sens monter l'orgasme et je me mords les lèvres pour ne pas hurler. Sylviane, elle, ne se retient pas. Elle pousse un cri en jouissant et je reçois sa mouille sur mon visage que j'avale en donnant de grands coups de langue. Je pousse un râle et je m'effondre sur le sol, exténuée. Il est 4h00 du matin et nous sombrons dans le sommeil Sylviane et moi. Nous pelotonnant l'une contre l'autre pendant que j'aperçois Paul mon mari devenue « Paulette la soubrette » aller se coucher avec Leila. On détache Pierre et Anne-Sophie et ils s'écroulent également sur le canapé, ivres de fatigue. Bientôt, le silence règne dans mon pavillon.

Je suis réveillée en sursaut par un cri qui provient de ma chambre où Leila et Paul ont été se coucher. Il fait jour et je jette un coup d'œil à ma montre : 10h00. Je me lève et me dirige silencieusement vers ma chambre. La porte est entrouverte et j'aperçois Paul, nu, en train de faire l'amour à Leila. J'en ressens une pointe de jalousie. Il a relevé les jambes de Leila à la verticale et sa bite s'enfonce dans sa chatte a une cadence infernale. Leila tourne la tête dans tous les sens, haletante, se tordant et suppliant qu'il la défonce encore plus. Mon mari agite son bassin en soufflant comme un bœuf. Je regarde Leila se faire prendre par mon mari et j'ai l'impression de n'avoir jamais été prise de cette façon, avec autant de fougue par Paul.

Un bruit derrière moi me fait sursauter. C'est Jessica qui a également entendu les cris. Elle ne dit pas un mot mais plaque sa main sur mon ventre à travers le collant et commence à me caresser. Elle descend le collant et introduit deux doigts dans ma chatte. Je me pince les lèvres. Je ne résiste plus à cette caresse et très vite je l'accompagne en ondulant du bassin et en poussant des gémissements plaintifs.

Leila pousse un cri de démente. Elle vient d'avoir un orgasme et Paul éjacule sur son ventre, lui déversant de longues trainées blanches. Cette scène me fait jouir et je pousse également un cri puissant ce qui fait retourner Paul qui s'apercevant de ma présence devient blême. Je remets mon collant et je retourne suivi de Jessica dans le salon.

Tout le monde est réveillé et nous prenons le petit déjeuner. C'est Sylviane et moi qui devons faire le service. Pierre et Anne-Sophie demande s'ils peuvent retourner chez eux car des amis à eux doivent venir les voir. Jessica et Leila hésitent mais finissent par se dire que leur absence pourrait sembler curieuse. Ils les autorisent donc à rentrer mais leur rappelle qu'ils possèdent des photos et des films et que Sylviane et moi nous restons ici.

J'assiste au départ de ma fille et mon futur gendre, une boule dans l'estomac. Rachid et Bruce se lèvent à leurs tours et prennent leur petit-déjeuner tout en nous tripotant Sylviane et moi à chaque occasion. Les seins de Sylviane dégagés des balconnets de la guêpière sont malaxés continuellement par Rachid ou Bruce et même Jessica. Leila, elle, masturbe Paul allongé sur la table du salon et de temps en temps nous demande à moi ou à Sylviane de venir lui téter le gland. Jessica lance l'idée qu'on pourrait aller faire un tour au marché de la ville puisque nous sommes dimanche. Sylviane en entendant cela devient blanche et supplie :

- Non, je vous en prie, le Maire est sur la place du Marché pour sa campagne pour les élections municipales, s'il me voit avec vous...

Bien entendu, personne ne tient compte de ses protestations et Jessica et Bruce nous demandent de nous habiller pour sortir. Nous retournons dans ma chambre, suivies de Jessica et c'est elle qui choisit nos vêtements, avec pour objectif bien entendu que nous soyons le plus indécente possible. C'est ce qui l'excite le plus : Nous contraindre à nous habiller de façons provocantes, nous les bourgeoises, les mères de familles respectables. Je dois enfiler la jupe droite d'un de mes tailleurs avec des bas gris et des sandales à talons roses. La jupe est trop courte et on aperçoit l'attache du porte-jarretelles. Un chemisier avec les trois premiers boutons ouverts complète la tenue et laisse apercevoir mes seins. Pour une fois j'ai eu le droit d'enfiler un soutien-gorge, rouge, donc très provocant.

Sylviane est contrainte d'enfiler un tee-shirt noir trop petit pour elle ce qui fait qu'on a l'impression que ses seins vont le déchirer et une mini-jupe en jean sur des bas blancs et des talons aiguilles rouge vif.

Nous sortons du pavillon et nous nous dirigeons vers la Mercedes pour nous rendre en centre-ville. Nous arrivons assez rapidement et nous nous garons. Nous commençons à nous promener dans le marché et, sournoisement, Jessica nous entraine vers le Maire en train de serrer des mains tout en glissant un « votez pour moi » discret. Il reste bouche bée en apercevant sa conseillère municipale habillée de cette façon et plusieurs habitants de la ville nous connaissant restent interloqués tout en se demandant qui sont ces jeunes qui accompagnent ces deux femmes si « correctes » d'habitude.

Nous croisons l'épouse du Maire, une grande femme distinguée au visage fin. Elle a des origines aristocratiques me semble-t-il. Elle est vêtue d'un tailleur d'un grand couturier sur des bas noirs. Elle nous lance un regard méprisant en nous croisant et Jessica me souffle dans l'oreille.

- Madame ne voudrait pas voir cette pimbêche ramper à ses pieds, un gode dans le cul?

Je ne réponds pas, la scène vient de me traverser l'esprit et cela m'a excité. Nous continuons notre balade. Nous baissons les yeux souvent Sylviane et moi, honteuses de croiser des amis qui nous regardent les yeux ronds parfois avec un dégout non dissimulé.

Nous arrivons près de l'hôpital. Juste à côté se trouve une Chapelle. Leila et Jessica se regardent et nous poussent vers celle-ci.

- Salopes comme vous êtes, vous devez ressentir le besoin de vous confesser.

Nous entrons dans l'édifice religieux. Il y fait froid et sombre. Dieu merci, c'est le cas de le dire, la messe est terminée et tous les fidèles sont partis. Sauf deux handicapés en fauteuil roulant que nous apercevons devant l'Autel en train de prier. Même le Curé est absent. Nous nous avançons poussées par Leila et Jessica vers l'Autel. Elles retroussent nos jupes et nous sommes culs nus dans ce lieux saint. Les deux paraplégiques nous aperçoivent et restent bouche bée en voyant s'approcher ces deux femmes, le cul à l'air. Leila et Jessica s'approchent d'eux et leur expliquent que ces deux salopes veulent leur offrir le cadeau de leur vie.

- Ça vous dirait de vous dégorger le poireau?

Les deux jeunes hommes hochent la tête, stupéfaits.

- Eh bien ces deux chiennes acceptent de vous faire une pipe gratuitement.

- Mais ici? balbutie un des jeunes, outré.

- C'est ce qu'il y a de plus excitant, le lieu. Lui murmure Jessica.

Sur un claquement de doigts, nous devons nous mettre à genoux entre les jambes de ces deux jeunes et sortir leurs queues de leurs pantalons. Elles sont déjà raides et dures. Sylviane plonge la tête et aspire la bite la première. Je fais de même, tétant le gland de ce jeune handicapé. On entend plus que nos bruits de succions dans la Chapelle silencieuse. La tête de Sylviane monte et descend sur le membre du garçon qui la guide en appuyant sur sa nuque. J'enroule ma langue sur le gland de mon « client », arrêtant parfois de le sucer pour le masturber et lui lécher la hampe.

Derrière moi, Jessica me masturbe, elle a enfilé deux doigts dans ma chatte et elle me branle. Leila fait de même avec Sylviane. Je m'active sur la bite du type, je salive, je lui lèche les couilles, replonge sur son sexe. J'halète, je gémis en sentant Jessica qui plonge ses doigts dans mon vagin. J'entends Sylviane couiner de bonheur, gémissements étouffés par le membre de son handicapé qu'elle pompe à toute vitesse maintenant. Il lui éjacule sur le visage, le sperme jaillit et va s'écraser sur ses lèvres, sa joue et ses cheveux. Le mien ne tarde pas non plus à suivre et, contrainte d'ouvrir la bouche par Jessica, il m'éjacule son sperme sur mon palais et je dois tout avaler. Un hurlement nous fait soudain sursauter. C'est le Curé qui, de retour, découvre ce spectacle de débauche dans sa Chapelle. Il s'écrie d'une voix de stentor :

- Qu'osez-vous faire dans la maison du Seigneur?

Les deux handicapés, honteux, partent sans demander leur reste. Jessica et Leila s'approchent du Curé et lui expliquent que ces deux femmes sont d'une perversité sans nom et qu'elles sont surement habitées par le Démon. Le curé reste perplexe devant cette explication d'autant qu'il reconnait Sylviane la collaboratrice du Maire. Il a soudain une lueur dans le regard et s'approche de Sylviane.

- Comment vous Madame, une paroissienne si assidue, vous vous vautrez dans le vice et la luxure?

Se tournant vers Jessica et Leila :

- Je peux tenter un exorcisme?

- C'est vous l'expert Mon Père. Répond perfidement Jessica.

Je reste stupéfaite d'entendre cela. Le Père va sans nul doute se livrer à des pratiques que la morale chrétienne réprouve au plus haut point. Lui! Un homme d'Eglise! Il s'approche de Sylviane et lui trifouille soudain la chatte.

- Vous dégoulinez cochonne! N'avez-vous pas honte?

Il l'emmène vers l'Autel en la poussant. Elle titube sur ses talons aiguilles et manque de tomber. Il la force à se courber dessus et lui remonte la jupe en jean. Il va prendre une badine dans la Sacristie.

- Vous devez expier vos péchés dans la douleur, ma fille!

Le premier coup s'abat sur ses fesses avec un claquement sec et Sylviane pousse un cri de douleur. Il y a un deuxième coup puis un troisième. Bientôt on entend plus que les cris de Sylviane dans la Chapelle. Puis ses cris se transforment en gémissements. Le Curé, avec un regard de fou, lui assène des coups de plus en plus violents. Elle a le cul tout rouge. Cela dure un bon moment jusqu'à ce que, n'en pouvant plus, Sylviane supplie qu'on la laisse en pleurnichant. L'homme de Dieu s'arrête et repose la badine, essoufflé.

- Je pense que cela suffira pour aujourd'hui. Dit-il d'un ton très sérieux, mais il se peut que l'exorcisme n'ai pas marché. Dans ce cas, n'hésitez pas à me ramener cette pècheresse pour une deuxième séance.

- Nous n'y manquerons pas Mon Père. Lance Jessica en nous poussant vers la sortie.

A suivre...

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Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 7 ans

elles ont bien de la chance ces femmes

CocuforeverCocuforeveril y a environ 7 ans

Délicieusement immoral... j'adore

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