Chroniques Du Cheptel - Ch. 03

BÊTA PUBLIQUE

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— « Oh putain, tu sais pomper une bite toi! » lâcha Victor alors qu'Estelle avait l'intégralité de son chibre dans la bouche. Au bout de quelques minutes de ce traitement, Estelle senti les testicules de Victor se contracter alors que sa respiration s'emballait. D'une main autoritaire il plaqua le visage de la favorite contre son pubis et éjacula bien au fond de sa gorge en de longues saccades. Quand il ressorti sa bite, un filet de salive et de sperme reliait encore son gland à la bouche de la jeune femme. Victor joua un court moment à frotter son gland contre le visage d'Estelle passant sur ses joues, son nez, ses yeux...

Puis il empoigna d'une main ferme les cheveux de la belle pour la forcer à grimper sur le lit avec lui. Il glissa aussitôt l'une de ses mains sous sa robe pour lui enfoncer sans ménagement deux doigts dans le vagin qu'il découvrit humide. Couchée dans le lit, elle ouvrait ses cuisses et ajustait sa position pour lui permettre un meilleurs accès à sa chatte. Dans la chambre on entendait plus que la respiration d'Estelle qui se faisait plus lourde, elle laissait échapper de petits cris accompagnant le bruit du clapotis que faisait sa chatte malmenée.

Victor étouffa les gémissements de la fille en collant sa bouche contre la sienne pour lui imposer un long baiser. Un troisième doigt vint rejoindre les deux premiers pendant qu'il la doigtait. Ses doigts tournaient, la palpaient, fouillaient son vagin le plus largement possible la griffant au passage, lui arrachant de petits soubresauts. Puis il inséra un quatrième doigt dans sa cramouille et la doigta avec frénésie tout en frottant son clitoris en érection.

Victor mit fin à leur baiser et se recula pour mieux la regarder. Sa robe blanche était remontée au-dessus de ses hanches, il voyait ses seins pointer à travers l'étoffe de la robe. Son clitoris était gonflé, les lèvres de son sexe étaient écartelées par sa main qui s'agitait rapidement d'avant en arrière. Elle avait les yeux hagards et un filet de bave s'échappait de sa bouche. Les gémissements d'Estelle avaient repris, Victor senti des contractions erratiques dans le vagin qu'il doigtait, elle venait d'avoir son premier orgasme sous ses doigts. Victor sorti sa main du con de la favorite, ses doigts étaient plein de mouille. Avec un regard méprisant, il écrasa sa main souillée sur le visage et la bouche de la jeune femme. Puis il finit de l'essuyer sur sa robe.

Victor déboucla rapidement sa ceinture et rejeta son pantalon. Quelques secondes plus tard, son chibre se présenta devant l'entrée de la vulve ouverte de la jeune femme. Il aurait préféré que sa victime se souvienne de ce moment, mais tant pis. Je vais baiser la favorite de Sonny, pensa-t-il savourant par avance ce moment. Il bandait comme un âne, sa queue s'enfonça en elle comme dans du beurre.

— « Aaah oui, prend ma bite sale pute... haann... » Dit-il se mettant à la baiser frénétiquement.

— « Mmmhhh... ooh... ooh... ooh... Oooh... ooh... mmmhh... aaahh... » Immédiatement, Estelle se mit à haleter et gémir de plus en plus fort.

Victor avait tellement attendu ce moment qu'il avait du mal à se maitriser. Il jouit en elle au bout de seulement quelques allers-retours. Il grogna de déception et se retira.

Sans lui accorder plus d'attention il lâcha d'une voix froide. « Tu feras un brin de toilette avant de redescendre dans la taverne ». Il se rhabilla et quitta la chambre laissant la porte grande ouverte.

Quelques minutes plus tard, Estelle redescendait précautionneusement l'escalier. Elle était décoiffée et sa jolie robe blanche était un peu froissée. Elle rejoignit au comptoir Sélanor en grande discussion avec Orvald et un autre homme qui lui tournait le dos. Elle ne remarqua pas Clotilde qui quittait discrètement la taverne.

Sélanor l'accueillit avec un grand sourire. « Justement nous parlions de toi ». Estelle tentait en vain de se souvenir de ce qu'elle faisait l'instant d'avant, elle était encore dans une sorte de brouillard cotonneux, ses idées n'étaient pas tout à fait claires. Elle jeta un regard interrogateur à son amie elfe.

Victor se retourna vers Estelle en la regardant d'un air méprisant. « Oui je disais que tu gémis comme une pute quand tu fais l'amour ». Sélanor pouffa en entendant la remarque ce qui lui valut un regard noir de l'intéressée.

Choquée, Estelle rétorqua. « Je ne vous permets pas, Monsieur, de me parler comme ça, je suis la favorite de Sonny! ». Elle essayait de se souvenir si elle avait déjà croisé ce malotru quelque part mais son visage ne lui disait rien.

Sélanor repris la parole en souriant. « Ce que voulait dire ce gentlemen, c'est que tu n'es qu'une pute sans inhibition ma chérie tout juste bonne à sucer des bites et justement ce qui serait bien, c'est que tu t'occupes de celle de notre ami tavernier! »

Le regard d'Estelle se troubla un bref instant, la colère disparue subitement de son visage. Elle se fit plus séductrice en se tournant vers Orvald. « C'est vraiment ce que vous voulez mon cher Vald? » dit-elle en papillonnant des cils.

Orvald se racla la gorge pour déclarer. « J'en serais ravis mademoiselle! »

— « Très bien, je suppose que nous pouvons trouver une chambre à l'étage... » Répondit Estelle sans le lâcher des yeux.

— « Tata! Tu tiens le comptoir pendant mon absence! » éructa le tavernier en s'adressant à l'une de ses vieilles putes.

La prénommée Tata maugréât quelque chose d'indistinct, renifla et cracha par terre. Orvald enlaça Estelle par la taille et se dirigeât avec elle en direction de l'escalier. Sélanor remarqua que la main du tavernier avait glissé vers le bas pour palper les fesses d'Estelle pendant qu'elle marchait, le tout sous l'œil guilleret et les ricanements des quelques clients présents dans la taverne.

Estelle se retrouva à nouveau dans cette chambre qui sentait la sueur et les pieds. Dès qu'elle passa la porte, Orvald se colla dans son dos lui murmura à l'oreille. « Alors comme ça, tu fais des infidélités à ton maître dès qu'il a le dos tourné! Ne t'inquiètes pas, je vais bien m'occuper de toi. »

Elle aurait dû être dégoutée par cet homme corpulent qui avait deux fois son âge et qui sentait la pipe froide. Il avait envie d'elle et elle devait le satisfaire, rien d'autre ne comptait. Plaqué contre son dos, il lui empoigna les seins à travers sa robe et commença à les malaxer comme un boulanger pétrie sa pâte.

— « hummm... » Soupira Estelle s'abandonnant à cette rude caresse. Il lui faisait un peu mal, mais elle sentait le désir de l'homme, son sexe tendu contre ses fesses la faisait mouiller. Elle eut une délicieuse chair de poule quand il l'embrassa dans le cou. Estelle le repoussa gentiment pour faire passer sa robe par-dessus ses épaules et la laissa tomber sur le parquet. Sa culotte suivit la même trajectoire. Elle était maintenant totalement nue face au tavernier.

Orvald laissa échapper un sifflement, il n'en revenait pas d'être devant une femme aussi belle, il la dévorait littéralement des yeux. Ne sachant pas quoi dire, il lâcha. « T'es sacrément baisable toi! » Puis il l'embrassa fébrilement. Aussitôt sa langue et son haleine de tabac froid envahirent sa bouche. Estelle retint un haut le cœur mais mêla sa langue à la sienne dans un baiser fougueux.

*****

Plus bas dans la taverne, Victor était heureux de passer du temps en compagnie de Sélanor. Il appréciait la plastique parfaite de l'elfette. Dommage pour lui, les elfes étaient naturellement résistants aux charmes magiques, sinon, il aurait déjà utilisé ses pouvoirs de mage pour la mettre dans son lit. Quant à la séduire... il avait parfaitement conscience qu'il n'était pas du niveau, à moins d'un malentendu... Il noyait son regard dans le corsage avantageux de la belle pendant qu'il lui faisait le compte rendu de son aparté avec Estelle. Les yeux de Sélanor brillaient d'une excitation malsaine.

— « J'ai dit au tavernier de rester discret sur les aventures d'Estelle... » Dit Sélanor, en se penchant exagérément vers Victor, elle savait qu'elle lui offrait ainsi une vue imprenable sur son décolleté.

— « Discret? Une fille comme elle? Dans cette taverne minable? » répondit Victor, il venait de se faire violence pour la regarder dans les yeux et tomba sur le sourire moqueur de Sélanor.

La belle elfe gloussa. « Justement j'espère bien que les gens parleront, d'ici une semaine ou deux, elle devrait avoir une belle réputation de chaudasse en ville. »

*****

— « Ooh... ooh... oouh... Mmmmhhh... oui... oui... baise moi... Ooohhh... »

Orvald besognait Estelle en levrette, il ahanait et soufflait comme un phoque. Le vagin de la fille était serré comme il aimait, un vrai fourreau pour sa bite. Les mains calleuses du tavernier agrippaient fermement les hanches de la favorite pour lui imposer un rythme rapide. Son pubis claquait contre les fesses de la jeune femme, ses seins fermes ballotaient sous elle, d'avant en arrière, suivant la cadence qu'il lui imposait. La tête de la fille était enfouie entre ses bras, il ne voyait pas son visage mais il entendait ses gémissements et ses encouragements le faisait redoubler d'ardeur. Il n'avait pas baisé une fille comme ça depuis sa jeunesse. Il ahanait et transpirait de plus en plus fort. Il sentait qu'il était proche de jouir. Pris d'une inspiration subite, il dit d'une voix fiévreuse. « Je veux balancer la purée dans ta bouche! »

Il se retira de la chatte d'Estelle, la jeune femme, eut à peine le temps de se retourner que la bite du tavernier s'engouffra dans sa bouche entrouverte. Elle scella ses lèvres sur la hampe de son pénis juste à temps pour recevoir des giclées de sperme dans son gosier. « Ah merde, t'es trop bonne! » Orvald lui maintenait la tête sur sa bite le temps qu'il finisse de décharger, puis il relâcha son étreinte en lui murmurant dans un souffle. « Qui aurait pu croire que la favorite de Sonny était une vraie salope! » Son plaisir pris, Orvald se rhabillait pendant qu'Estelle, allongée, s'abandonnait à une douce torpeur.

— « Tu n'es pas très bavarde » constata le tavernier, son regard s'attarda un instant sur le corps alangui de la belle. Elle ne disait rien, les yeux dans le vague. « Si tu ne veux que du sexe, ça me va aussi! » dit Orvald en quittant la chambre.

Une fois seule, Estelle se secoua et utilisa le seau d'eau et la serviette pour faire un brin de toilette intime. Puis, elle se rhabilla à la va vite et quitta la pièce.

La porte c'était à peine refermée derrière elle, quand l'air se troubla devant le lit. Smordif apparu un sourire pervers aux lèvres, il tenait dans ses petites mains un cristal aux reflets bleutés. « J'ai tout enregistré patron, avec des gros plans!» Puis il marmonna « D'accord boss, je la lâche pas d'un poil! »

*****

La taverne du perroquet ivre était pratiquement déserte ce soir-là, La nuit n'allait pas tarder à tomber sur Sinistrevent et un vent froid avait envahi les rues de la cité. Orvald s'affairait à débarrasser une table quand la porte s'ouvrit sur trois robustes gaillards habillés chaudement, armés de cimeterres.

— « Calbert! » Tonna joyeusement Orvald.

— « Frangin! » Répondit tout aussi amicalement l'homme de tête.

Les deux hommes s'étreignirent à grand renfort d'accolade. « Tata, vieille fainéante, apporte nous à boire! » Ordonna Orvald. Tout le monde s'installa à une table pendant que Tata apportait des bières.

— « Tu es rentré plus tôt que prévu. » Constata Orvald.

— « Mouais, le loup des brumes est rentré au port pour réparer quelques avaries. On a croisé un groupe de trirèmes de l'empire et ça c'est mal passé. » Dit Calbert en buvant sa bière d'un air maussade. « On a perdu une dizaine d'hommes et au moins le double de blessés. On a filé tant qu'on a pu, les autres navires de l'escadre s'en sont bien tirés. Du coup, je suis là pour au moins une semaine... Mais assez parlé de moi frangin, quelles sont les nouvelles? »

— « Tu ne devineras jamais qui est rentré dans ma taverne aujourd'hui? » Pérora joyeusement Orvald, le regard pétillant.

— « Vas-y racontes moi tout! »

A suivre...

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