Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.
Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.
Cliquez ici
- Bonsoir mademoiselle.
- Bonsoir marquis.
- Vous n’étiez pas tout à fait prête. Prenez votre temps.
- Non, je suis prête.
- Vraiment? J’en doute.
- Alors mettez moi au défi.
- Je n’attendais que cette phrase. Alors cette nuit à minuit dans ma chambre.
- Pourquoi pas maintenant?
- Pour vous donnez une chance de vous défilez.
Maude resta seule dans sa chambre. Tout c’était précipité si vite en quelques jours. Elle n’était pas croyante en la religion, elle faisait seulement semblant pour ces parents. Mais elle pensait sérieusement à respecter la chasteté avant le mariage. Maintenant, elle était confronté à la sexualité et d’une manière assez brutale. Elle était très orgueilleuse et ne voulant pas perdre la face devant le marquis, elle devait poursuivre. Elle ne savait pas quoi faire en attendant. Elle se promena d’un bord et de l’autre de sa chambre. Saurait-elle à la hauteur? Pourrait-elle avoir un orgasme comme les filles d’hier soir? Plusieurs questions lui venaient en tête. Le coup de minuit sonna enfin.
Maude sortit de sa chambre. Ella alla vers celle du marquis. Sans cogner, elle ouvrit la porte. Le marquis était là assis devant son bureau et le jardinier était assis sur le lit.
- - Venez, venez, Maude n’ayez pas peur.
- Oui oui, dit-elle troublée par la présence du jardinier.
- Avec Paul se sera plus facile pour toi. Et puis vous avez déjà commencer les présentations qu’il m’a dit. Alors Maude, vous êtes prête à m’obéir.
- Oui.
- Approchez-vous de lui. Allez Paul venez vers elle.
Le marquis arracha d’un coup la chemise de Paul , puis le haut de la robe de Maude. Elle avait les cheveux en bataille et une simple petite camisole blanche pour cacher ses seins. Paul lui l’a regarda avec désir, il avait un corps invitant un peu poilu et vraiment superbe. Son membre dur se dessinait sur la surface du pantalon. Il s’approcha brusquement d’elle.
- Non, idiot, hurla le marquis en les repoussant, soyez doux avec elle pour commencer, vous devez l’apprivoiser ensuite vous pouvez être dur.
- Oui, monsieur. Oui.
Maude s’approcha de lui doucement, elle plaqua son corps contre lui en l’embrassant. Leurs langues se croisèrent dans un plaisir remplit d’ivresse et de joie. Elle caressa le pénis de Paul et elle le sortit de son pantalon pour le masturber. Elle lui chuchota à l’oreille : «J’ai vu que vous aimiez cela». Paul caressa ses seins assez violemment, mais l’excitation de Maude ne sentit pas cette brusquerie, elle savoura la caresse. Ils se touchèrent pour bien découvrir le corps de l’autre. Puis le marquis s’approcha de Maude, il plaça son pénis bandé contre les fesses de la jeune fille en la poussant sur le lit. Il la coucha sur le ventre puis il retira sa jupe et sa culotte. Il la retourna sur le dos pour placer ses lèvres contre son clitoris et il la suça un peu. C’était beaucoup mieux qu’avec la main. Ensuite, il se tourna vers Paul en disant : «À toi». Paul se plaça entre les jambes de Maude qui se laissa faire avec plaisir. Elle sentit qu’il était moins expérimenté que le marquis mais cela était quand même agréable. Pendant ce temps, le marquis lui caressait les seins, et elle le masturbait. Toutes ses stimulations au même moment étaient vraiment agréables. Maude se laissa faire, elle savourait ce moment.
- Je t’envie pour ce que tu découvres présentement, lui dit le marquis.
Paul descendit complètement son pantalon puis il entra son pénis en elle. Elle sentit un mélange de douleur et de plaisir qui la revit complètement. La marquis l’embrassait sur les seins et le cou. Puis Paul laissa sa place au marquis qui ne se fit pas prier pour l’enfiler avec sa bite. Elle poussa un petit gémissement accompagné d’un frisson d’extase. Paul lui caressait les seins avec désir et elle le masturbait violemment. Paul éjacula sur ses seins en même que le marquis dans sa fente et qu’elle poussa un cri de bonheur. Les deux hommes la lavèrent doucement en l’embrassant. Ils s’endormirent tous les trois, elle avait de chaque côté d’elle, un bel homme heureux mort de fatigue. Si c’était cela découvrir Paris, elle serait prête a y rester toute sa vie.
