Cheat-Code - LvL 15: Buzz

BÊTA PUBLIQUE

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— Ce n'est pas une façon de demander.

Celle qui en tant normal me commandait trembla jusqu'à la base de se reins. Comme elle demeurait silencieuse, j'inclinai légèrement mon bassin pour accentuer la pression contre son anus.

— Je... je... s'il te plait, finit-elle par dire

Et hop, quatre orgasmes mentaux de plus.

N'y tenant plus, j'agrippai ses hanches avec fermeté. Des bourrelets de chair se formèrent entre mes doigts. Avec toute la délicatesse dont je me sentais capable -- soit pas tant que ça vu mon état d'excitation - j'entamais la pénétration de ma patronne.

L'anneau résista, pressant l'extrémité de mon sexe comme pour le repousser. J'insistai. La dilatation imposée par mon membre s'élargissait doucement. Lentement. Ma patronne haletait de plus en plus fort. Une fine pellicule de sueur poissait la basse de ses hanches.

La jauge de masochisme explosait les scores à 87%, humiliation plafonnait presque, à 96%. En dépit des râles plaintifs qui échappaient de Mme Kirichenko sous l'assaut lent de mon sexe, la jauge de son plaisir montait. 37%.

La partie la plus large de mon gland avait presque franchi le barrage ourlé de son anus. Je résistai à la tentation de m'enfoncer en elle d'un coup. Je ne voulais pas courir le risque de réellement la blesser. Heureusement, le plus dur étant fait. Je glissais sur les derniers centimètres avec aisance.

Arrivé à la garde, ma patronne feula entre ses lèvres entrouvertes. Une série de contractions progressive glissa le long de ma verge, et je manquais de défaillir de plaisir. L'étroitesse, et l'idée que j'étais le premier, et donc le seul, à avoir le privilège d'explorer le plus intime du corps de ma patronne furent presque trop. Je restai immobile un long moment dans ce fourreau chaud pour regagner mes esprits.

Mon entrainement intensif portait ses fruits. Je n'eus même pas besoin d'invoquer les visions du clodo pour tenir le choc. J'entamai une série de lents va-et-vient pour jauger mes sensations. À chaque fois que je sortais presque entièrement, ma patronne retenait sa respiration. Quand je me réempalai, elle gémissait, et ses mains plaquées contre la baie vitrée se crispaient en poings.

Plaisir 45%! Masochisme à 93%. Humiliation à la traine à 75%.

— Ça fait quoi de se faire déchirer le cul par ton stagiaire et d'y prendre plaisir?

La jauge récalcitrante retrouva aussitôt des couleurs.

— C'est... trop... bon, gémit-elle entre deux halètements.

J'arrachai sa chemisette d'un geste nerveux tout en l'écrasant de mon maigre poids contre la vitre. Rien qu'imaginer le spectacle de sa poitrine comprimée contre le verre me fit presque envier les éventuels voyeurs. Presque. Parce que les sensations de mon sexe dans cet anus inexploré provoquaient des vagues de plaisirs auquel aucun adjectif, aussi dithyrambique soit-il, ne saurait rendre justice.

Les râles de ma patronne s'accéléraient, et avec eux, la jauge de son plaisir. 55%

Dans le reflet de la vitre, je contemplais son visage crispé de plaisir et d'ondes de douleurs ponctuelles. Concentrée sur chacun de mes mouvements de bassin, elle ondulait le sien pour m'aider à mieux la pénétrer. J'accélérai le rythme, prenant bien garde à ne pas dépasser les 100% de sa jauge de masochisme par peur d'aller trop loin, même pour sa résistance. La sensation de la contrôler intégralement avec mon sexe m'intoxiquait.

70%

J'ahanai en cognant de plus en plus fort dans son petit cul étroit.

70%

Oh non. Pas encore! Rien ne peut être simple avec cette saleté d'Interface? Tout en amplifiant mes mouvements, je lançais « Lecture de pensée ».

Rien. Pas même un grésillement!

C'est là que je remarquais l'évidence.

D'abord le silence. Lourd. Oppressant. Plus un seul brouhaha. Aucune vibration de clim ou d'ordi, zéro vrombissement de moteur de voiture dans la rue. Ensuite, ma patronne ne bougeait plus! Et attention, pas genre, « merde elle s'est évanouie, ma bite est trop dangereuse tavu! ». Non, elle était totalement figée, comme si quelqu'un venait d'appuyer sur le bouton PAUSE de la réalité.

Un craquement dans mon dos me tira de ma sidération. Toujours enfoncé dans ma patronne paralysée, je tournai le cou. Les doigts glacés de la peur me titillèrent l'arrière-train. Deux hautes silhouettes familières se tenaient dans l'encadrement de la porte forcée du bureau : le couple bien sapé du métro. Aucun cœur au-dessus de leur tête.

Pris la main dans le sac par les chasseurs d'Artefacts - ou plutôt, le pénis dans... enfin vous voyez quoi!

— Continue, dit l'homme dans un sourire tout en dents. Fait comme si on n'était pas là. On ne voudrait surtout pas déranger

Le gloussement qui accompagna sa pique laissait entendre tout le contraire.

***

(À suivre au chapitre 16 très bientôt, voir maintenant si vous venez du futur. Comme toujours, n'hésitez pas à commenter, c'est toujours un plaisir.)

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  • COMMENTAIRES
Anonymous
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5 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 5 ans
Parfait

C'est incroyable comme tu nous surprends à chaque fois ! Je m'y attendais pas du tout !

Gros soutien

AnonymousAnonymeil y a presque 5 ans

toujours aussi captivant... Chapeau!

Ben_CloverBen_Cloveril y a presque 5 ansAuteur
Merci

Ah ça, l'attente c'est toujours compliqué, mais c'est que ca demande du temps d'écrire tout ces chapitres. Un jour, qui sait, je pourrai le faire à temps plein ^^

AnonymousAnonymeil y a presque 5 ans
Un vrai régal

Vraiment super ces histoires ! Mon seul reproche, l'attente entre chaque chapitres me semble trop longue 😂

Et cette sodomie qui ne dit pas son nom, miam miam

AnonymousAnonymeil y a presque 5 ans

L histoire est genia'

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