Château Ragia Chapitre 19

Informations sur Récit
La fuite des esclave au travers de la forêt.
3.6k mots
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1

Partie 19 de la série de 34 pièces

Actualisé 03/26/2024
Créé 09/03/2020
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Chapitre 19

-aaahhhh, hhhhh, hhhhh.

Rose peinait à reprendre son souffle. Elle était allongée sur l'épais tapis de la salle de torture. Autour d'elle les six individus semblaient enfin calmés alors que Sofia elle, était tombé dans l'inconscience depuis un temps indéterminé.

Son uniforme à moitié retiré laissait voir sa peau tannée et douce recouverte de fluide et de trace de sperme se soulever doucement alors qu'elle reprenait enfin son souffle.

L'après-midi s'effaçait dans son esprit. Dans son espoir de partir le plus vite possible, elle avait dû satisfaire les individus frustrés et bourrés d'aphrodisiaque. Elle n'aurait jamais pensé qu'ils puissent être aussi endurants.

Vers la fin elle jouissait presque en continu alors que le garçon se vidait en elle, remplissant sa chatte alors qu'elle s'agrippait toujours plus a son membre, elle avait la langue rapeuse à force de lécher leurs entrejambes et elle avait du avaler dans grande goulée des fluides de chacune de ces femmes. Elle se sentait sale alors que le sperme s'écoulait doucement de son entrejambe alors qu'elle se remettait debout.

Suivant son exemple la petite troupe se redressa également. Derrière leurs bâillons les femmes la regardaient avec un air mi satisfait mis désolé. Comme si elle savait que la jeune fille aux seins couverte de fluides avait fait pour elles, mais qu'elles étaient trop satisfaites pour vraiment s'en vouloir.

En remettant son uniforme du mieux qu'elle le pouvait tout en essuyant sa peau avec un chiffon Rose indiquât la caisse de vêtement qu'elle avait rapporté.

-Habillez-vous.

Dit-elle dans un souffle en frémissant alors qu'elle essuyait sa chatte encore sensible. Heureusement qu'elle était devenue endurante avec le temps. Ses muscles étaient encore forts et elle tenait bien sur ses jambes malgré les ondes de plaisir résiduel qui traversait son corps.

Elle avait cru que ça ne s'arrêterait jamais! même humainement elle n'avait aucune idée de comment ce garçon pouvait jouir autant!

Elle avait les genoux un peut râpé à force de s'être fait prendre en levrette, mais rien de trop douloureux ce dit elle alors qu'elle ré ajustait son uniforme pour tenter de lui faire couvrir un maximum de peau, mais c'était bien évidement peine perdue.

Les six esclaves se retournèrent vers la soubrette. Rose vit qu'ils avaient enfilé les quelques vêtements qu'elle avait trouvés.

La brune a la coupe au bol ainsi que la jeune fille à la longue tresse portaient un costume d'écolière dont la fine chemise blanche tendait sous le poids de leurs seins en laissant leur ventre apparent. Une jupe à carreau parvenait à cacher leur intimité et de larges chaussettes blanches enserraient leurs jambes.

La grande femme noire portait une blouse d'infirmière surmontée d'une petite coiffe. L'habit était ouvert au niveau des fesses dans une petite jupe se relevant à chaque pas. Une culotte blanche ornée d'une croix rouge cachait son intimité alors que des collants blancs ornaient ses jambes, ressortant fortement sur sa peau sombre.

La blonde qui avait torturé Sofia et l'asiatique étaient respectivement dans un costume de lapine et de chatte composer d'un bustier cachant leur sein et fente, mais laissant leur jambe uniquement protégée par des bas résille.

Le garçon n'avait pas trouvé grand-chose si ce n'est quelques pièces de cuir pour ses jambes et son torse, mais aucun sous-vêtement.

« ils vont se les geler »

Se dit Rose en les regardant. Mais c'était les seuls habits qu'elle avait trouvés.

Elle leur fit signe de la suivre alors qu'elle ouvrait la porte sur un couloir totalement désert. Parfait! se dit-elle alors que la petite troupe lui passait devant.

Elle referma la porte en jetant un dernier regard à Sofia. Toujours avec sa coiffe de soubrette a oreille de chats elle était attachée a la grande croit de bois et parvenait tout de même a dormir à point fermé. Rose avait un peu de peine pour elle, mais Sofia était perdue dans ce monde depuis trop longtemps pour être ramenée à la réalité.

Elle eut envie de pester contre l'appétit sexuel des esclaves qui avaient dû être satisfaits durant toute l'après-midi. Il était désormais presque la nuit et le soleil descendait doucement sous la cime des arbres. Dans quelques dizaines de minutes tout au plus il ferait nuit.

Dans la discrétion la plus totale, le petit groupe se dirigeait vers la porte arrière comme Rose l'avait conseillée. L'air froid de l'extérieur frappa leur peau, mais Rose tenait trop bien le froid pour s'en soucier. Au moins ses gênes lui servaient. À côté d'elle les esclaves frissonnaient, mais tous étaient trop motivé par l'idée de s'enfuir pour en avoir quelque chose à faire.

Ils trottèrent vers l'entrée de la forêt, Rose regardait constamment autour d'elle afin de s'assurer que personne ne les voyait. Mais les fenêtres du pavillon restaient toutes sombres, pas un bruit ne venant déranger le son de leur pas.

Au moment où ils passèrent les arbres, ils commencèrent à courir, à courir comme ils ne l'avaient jamais fait dans leur vie. Rose voyait les arbres défiler devant elle alors que ses jambes la faisaient voler au-dessus de la couche de feuilles qui occupait le sol.

Elle le faisait! Elle était vraiment en train de s'enfuir!

Elle courut sans se soucier de rien d'autre que de sentiment de liberté enfin retrouvé. Sans s'en rendre compte, la soubrette avait distancé le petit groupe qui peinait à naviguer entre les arbres.

La nuit était maintenant complètement tombée. Ils avaient courus pendant plus d'une demi-heure et pas la moindre clairière ou indication d'une fin de leur périple n'était en vue. Autour d'eus la forêt avait toujours le même aspect, heureusement que la lune offrait une bonne visibilité sinon ils seraient complètement aveugles.

-Allez! Faut continuer!

Cria Rose en reprenant le pas de course.

Elle savourait tant sa liberté sur le point d'être retrouvé qu'elle n'avait pas du tout remarqué que ses camardes étaient bien moins endurantes qu'elle.

Mais ils obéirent et reprirent un petit trot.

L'esprit de Rose était concentré sur son objectif. Tout d'abord, trouver une plaine ou un terrain dégagé, ensuite de la il fallait repérer une route ou une habitation et s'y précipiter pour prévenir les autorités immédiatement. Si elle faisait vite ils pourraient intervenir dans la nuit sans laisser le temps à ces femmes de s'enfuir.

Elle allait enfin avoir sa vengeance! elle avait tellement hâte de voir la tête de Maria et de Mathilde! elle pouvait déjà sentir leur supplique quand la justice leur mettra la main dessus.

« oh! »

Rose esquiva l'arbre en souriant, perdue dans ses pensé elle avait manqué de se le prendre dans la figure.

Elle ralentit son rythme pour finir par s'arrêter.

-On ne doit pas être très loin il faut juste continuer tout droit.

Le silence fut sa seule réponse alors qu'elle se retournait pour ne voir que du vent là où ses compagnons étaient censés se tenir.

Magnifique! elle avait fini par les distancer! ce dit elle a elle-même en maudissant sa trop grande rapidité. Elle devait les retrouver.

Soudain elle se figea.

Un bruit venait de frapper ses tympans, un bruit qui ne semblait pas venir de la forêt.

Comme un réflexe elle se plaqua contre un arbre, son cœur se mettant à battre si fort qu'elle crut qu'il allait sortir de sa poitrine.

Quelques secondes passèrent, puis une pleine minute, puis deux. Enfin elle souffla, ça devait être une bête ou un vieil arbre.

-Par là!

La voix féminine la figeât sur place. C'était un écho, preuve que la personne était encore loin d'elle, mais c'était clairement une voix. Et les esclaves étaient tous bâillonnés!

On les traquait déjà!?

Mathilde avait dû passer dans la salle de torture et alerter qui que soit ces gens.

Rose s'élança de toutes ses forces vers sa destination. Elle devait continuer tout droit! Sinon elle se perdrait et tout ça n'aurait servi à rien.

Elle trouva un buisson et se glissa dans la cachette qu'il offrait. Le plus lentement et discrètement possible elle retira son uniforme. Sa peau sombre la camouflerait plus que la tenue de soubrette, même si cela voulait dire souffrir les affres du froid. Elle jeta la coiffe à terre avant de recouvrir le tout pour tenter de cacher son odeur. Elle ne savait pas si ça marcherait, mais elle ne voulait pas prendre de risque.

Quand elle fut sûre que personne n'arrivait elle courut à petit trot pour éviter toute surprise. Ses seins ballottaient à chaque enjambée, mais sa musculature solide tenait bon.

Elle allait s'en sortir!

-Mph! mph! mph! ghhhhh!

Elle se figea quand la scène apparut sous ses yeux. À quelques mètres sur sa droite la grande noire avait les mains plaquées contre un arbre, un homme la prenant a un rythme régulier qui faisait s'agiter le corps de la femme qui manquât de tomber à genoux quand l'orgasme la traversa. Mais la compagne de l'homme se chargea d'abattre une cravache sur ses fesses jusqu'à ce qu'elle présente de nouveau son entrejambe au membre tendu.

-Mhhhh elle est toute chaude. Vraiment une perverse.

-Mphhh! ghhh!

L'infirmière se tordit quand la femme lui enfonçât un doigt dans l'anus.

-Notre petite infirmière a visiblement le cul complètement dilaté mon chéri. Tu veux bien lui faire une injection?

Dit-elle en souriant alors que ses doigts faisant de larges mouvements de piston dans l'anus de la malheureuse.

-Phooonn! agh ghhhhh!

Le membre sorti de sa chatte pour s'enfoncer en glissant dans l'anus de la pauvre créature qui se cabra de gène face à l'afflux de sensation.

-attend j'arrive.

-Aphendez phon phitié maiphraisse!

Supplia l'infirmière à la peau sombre alors que la femme enfilait un grand gode.

-Tiens-la bien surtout.

-Ghhhaa!

D'un coup puissant, l'homme fit se redresser sa victime pour qu'elle fasse face à sa compagne. La fixant sur place avec son membre profondément enfoncé en elle. D'un bras il attrapa une des jambes de l'infirmière et la souleva, lui faisait ainsi présenter sa chatte à la femme qui la caressa quelques instants en souriant.

-gh-gh-gh -staaaph g-g-g-g-g.

Elle trembla quand le membre s'enfonçait doucement en elle, faisant gémir la femme qui savourait la détresse de sa victime.

-Mhhhhhh voilàaa. Mhhh.

Rose se rendit compte qu'ils ne l'avaient absolument pas remarqué. La mort dans l'âme elle se glissa derrière un arbre pour sortir du champ de vision du couple qui prenait sa compagne de fuite en sandwich.

Elle devait continuer, si elle s'enfuyait elle pourrait revenir les chercher avec les autorités.

Le plus discrètement du monde elle repris sa route, accompagné par les gémissements de l'infirmière qui se faisant prendre sans pitié.

Elle croisa les deux écolières un peu plus tard. Se rendant compte que son opération de camouflage avait permis à tout le groupe de la dépasser.

-Aller plus fort, on y mes du cœur mes petites.

-oh regardez comme elles sont vigoureuses!

-ghhh!

-mphhh!

Depuis le petit bosquet où elle avait trouvé refuge, Rose vit les deux jeunes filles plaquer leur chatte l'une contre l'autre alors qu'un long gode à deux têtes était enfoncé en elles.

-Aller fait la jouir. Sinon attention à la punition. Tu ne veux pas être punie hein.

-Phon!

Les deux répondirent en même temps alors qu'elles projetaient chacune leur extrémité du gode profondément dans l'intimité de l'autre.

Rose compta quatre femmes autour des deux écolières donc le chemisier avait été défait pour laisser leurs seins bien formés se balancer à chacun de leur coup. Les quatre femmes ressemblaient à des nonnes, Rose reconnaissait clairement leur coiffe, mais leur tenue était faite de cuir et de tissus noirs laissant voir leur forme généreuse enlacée dans une lingerie complexe et intimidante. Chacune portait une longue cravache et s'amusait à frapper légèrement les téton et clitoris de leurs deux victimes.

-Oh je crois qu'une va jouir.

-Mphhhh! mphhhhh!

La fille à la coupe au bol soufflait de plus en plus fort sous les assauts de sa camarde et des nonnes. Chaque mouvement de bassin faisait voler leur jupe alors que leurs lèvres se collaient l'une à l'autre, frottant leurs vulves dans un bruit visqueux alors que leur intimité était remplie par le long phallus.

Elle tenta d'écraser plus fortement son extrémité dans l'entrejambe que la fille a la tresse qui mordait son bâillon de toutes ses forces pour résister à l'envie de jouir qui lui martelait l'entrejambe.

-Ghaaaa phhhhh!

Le visage de la jeune fille à la coupe des années folle se décomposa alors que l'excitation avait rendu son visage rouge vif. Elle n'avait pas réussir à maintenir sa prise suffisamment fortement sur le phallus et l'objet avait glisser en s'enfonçant encore plus en elle.

-Mphhh!

- Oh! Je crois que ça vient. Aller ma petite fait jouir cette vilaine écolière.

Dis une des nonnes en tapotant les seins de la fille à la natte.

-Phoon.

Supplia sa compagne alors que son bassin tremblait en attente de la délivrance. Elle tentait de rester parfaitement immobile pour ne pas jouir.

-ph-h mhhhhhh!!!

Les lèvres s'écrasèrent une dernière fois l'une contre l'autre et la jeune fille sembla convulsée sous l'orgasme qui ravageait son corps, faisant s'agiter ses seins et jambes sous les rires des nonnes. Bientôt sa compagne jouissait aussi et le gode luisant tomba sur l'herbe alors que les deux écoléires roulaient sur le sol.

-Très bien, bonne petite. Mhhh viens là tu as bien mérité une récompense.

-mmmmmhh.

Gémis doucement la fille à la tresse quand deux nonnes commencèrent à lui malaxer tendrement les seins et la chatte.

-phon! phitié! phai pha phoui!

Tenta de supplier la perdante avant qu'un violent coup de cravache sur les fesses puis sur les seins et enfin sur la chatte ne la fasse terre en gémissant de douleur.

-Toi tu pars en retenue. Petite perverse! tu vas voir ce que ça coûte de désobéir comme ça!

Elle se débâtit en pleurant alors que les deux autres nonnes l'emportaient un peu plus loin.

Rose resta parfaitement immobile de peur d'être vue. Elle dut attendre que toute soit trop occupée pour ce soucier de leur environnement pour délicatement se dégager et s'éloigner sous les cris de celle qui se faisait punir alors que camarde avait une nonne entre les jambe en train de goulûment lui lécher l'entrejambe alors que l'autre massait ses seins.

Rose se rendit compte que son corps s'était légèrement réchauffé en regardant le spectacle alors qu'elle mettait le plus de distance possible entre elle et les nonnes.

Elle parvint à rester discréte pendant encore une bonne heure de course alors qu'autour d'elle les cris des esclaves se faisaient attraper un à un emplissait la forêt de cris plaintifs. Rose était désolée pour eux, mais elle ne pouvait rien faire.

Elle crut que le garçon allait la dénoncer quand elle croisa son regard, mais finalement il semblait qu'il ne l'avait pas vue dans les ténèbres.

Trois femmes habillées comme Mathilde s'amusaient avec leur proie comme des chats avec une souris. L'une d'entre elles avait la bouche enroulée autour de son membre tendu alors que l'autre le fessait avec un paddle de cuir. La troisième le forçant à enfoncer sa tête entre ses deux seins massif.

-Mmmm il vas jouir.

Dis celle qui faisait la large fellation.

-Aller! vilaine bête! joui pour ta maîtresse.

Le paddle s'écrasa avec force sur les fesses rougies alors que le jeune homme se cabrait de douleur en contractant son membre.

-Pfft! même pas une goutte!

Pesta la femme à la fellation.

-Quoi? Tu garde ton sperme petit vilain?

Demanda la troisième en faisant sortir le visage du garçon d'entre ses seins. Rose compris qu'avec tout ce qu'il avait joui il n'avait plus rien a offrir a ces folles.

-Tu penses que tu peux désobéir?

-Mphhh! phon!

Gémit-il en secouant frénétiquement la tête.

Un nouveau claquement retentit alors que le paddle s'écrasait avec force une nouvelle fois.

-Tu vas voir ce que ça coûte d'être désobéissant!

La femme au qui maintenait sa tête entre ses seins se mit à frapper le pénis du garçon avec la paume de sa main. Faisant trembler de douleur mêler de plaisir le jeune homme qui ne pouvait rien faire pour éviter les coups.

-On va te dresser tu vas voir!

Dit celle qui lui faisait la fellation en attrapant une cravache pour taper à son tour sur le gland du jeune homme qui soufflait de plus en plus fort alors que seul du pré sperme jaillissait quand il jouissait.

Bientôt il fut allongé sur le sol, forcer à lécher l'entrejambe de l'une des femmes alors que la plus grande baladait le bout de sa chaussure sur son membre toujours incapable de produire ce qu'elles recherchaient. La troisième avait sorti une bougie pour faire tomber de la cire sur son torse alors que le jeune homme ne pouvait rien faire d'autre que de subir.

Rose avait de la peine pour lui, mais elle profita que la lumière de la bougie aveugle un peu les femmes pour éviter l'endroit, retournant dans les ténèbres de la forêt alors que s'éloignaient les cris de jouissance des trois femmes et les plaintes de leur victime.

La jeune fille commençait à ressentir le froid et la fatigue alors que les arbres continuaient à défiler devant elle.

Mais elle en était sûre cette forêt avait une fin et elle la trouverait.

Comme une ombre elle évitait le petit bosquet ou la femme asiatique en costume de chat avait été capturée par une femme accompagnée de deux étalons. Les oreilles de chats sautillaient alors que sa langue tendue léchait la chatte de sa ravisseuse et que ses mains branlaient les deux hommes cagoulé.

-Mmhhhh ouiii c'est bonn petit chaton. Aaaah continue bonne fille.

Visiblement elle avait choisit de se soumettre et obéissait consciencieusement aux ordres de la femme à la peau noire qui se tenait devant elle.

-Ouvre bien grand.

Elle obéit quand les membres se contractèrent et le sperme s'écrasa dans sa bouche grande ouverte. Visiblement la femme pouvait lui retirer son bâillon.

Elle conserva l bouche ouverte alors que la femme noire au long cheveux lisse et aux seins ferme enserré dans un corset de cuir laissait couler un long filet de salive dans sa bouche.

-Avale maintenant.

Dit elle d'un ton calme en refermant la bouche de la femme d'un doigt.

Dans un grand bruit l'asiatique obéis et Rose vit sa gorge boucher signe de son obéissance a l'ordre.

-c'était bon?

En baissant les yeux, la chatte acquiesça en faisant mine de ronronner

-Mhh mhhh.

-oh bon chaton obéissant. Bonne fille.

Dis la femme en savourant la soumission de sa victime.

-Viens faire plaisir à maîtresse maintenant.

En hochant la tête l'asiatique repris son travail en bientôt les gémissements de la femme résonnèrent dans les bois.

Rose ne croisa pas la blonde aux oreilles de lapin, mais elle se doutait qu'elle avait été capturée aussi. Elle était désormais seule. Son teint mate, ses muscles et le fait de choisir de se mettre nue lui avaient permis d'éviter tous les chasseurs. Elle faisait soin de toujours vérifier son chemin, elle écoutait son environnement, elle s'était même couverte de terre pour assombrir encore plus son teint.

Elle ne serait pas une proie facile.

Elle pensa un instant tenter d'en attaquer un avec une pierre, mais elle voulait fuir d'ici, pas se battre.

Pendant ce qui lui semblât une éternité, elle continua à courir dans le bois. Espérant que chaque arbre passé soi le dernier.

Elle se reposa derrière un rocher un instant. Reprenant son souffle le plus discrètement possible, elle ne devait plus être très loin! bientôt elle pourrait enfin reprendre sa vie!

-Eh bien je dois admettre que je suis impressionnée

Rose sentit une vraie honnêteté dans la voix de Mathilde.

-Je crois que je me suis rarement autant amusé. Tu es sacrément dure à traquer tu sais, on n'avait pas eu une aussi bonne chasse depuis un moment. Très bonne idée de retirer tes vêtements, et puis la terre, non vraiment bravo ma petite.

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