Château Ragia Chapitre 07

Rose s'observa dans le miroir après s'être copieusement aspergée d'eau. L'odeur d'urine était partie, mais elle avait toujours la vison du jet venant s'écraser sur son visage greffé à l'esprit. Elle ne reconnaissait pas la jeune fille qu'elle voyait dans le miroir, son collier d'esclave, les couettes ridicules que madame Brooks lui avait faites, son uniforme de soubrette bouffant et couver de frou-frou lui donnait l'apparence d'une véritable esclave de film pornographique.

Mais malgré cela ses seins ne pouvaient s'empêcher de devenir durs à chaque fois qu'elle se voyait.

Était-elle en train de s'exciter de ce voir accoutrer ainsi? Encore une fois elle fit tout pour chasser cette idée de sa tête avant de revenir vers sa maîtresse qui l'appelait. Elle devait gagner ce fichu concours sinon elle n'osait imaginer ce qui lui arriverait.

Son esprit lui rappela sa tétée mêlée de chatouille du matin et le regard lubrique de madame Brooks quand elle savourait sa détresse et son humiliation. Elle savait parfaitement ce qui lui arriverait si elle échouait... Et c'était encore plus terrifiant.

-Par ici ma chérie.

Elle entendit la voix de sa maîtresse l'appeler alors qu'elle passait à côté de la grande chambre, à l'intérieur elle découvrit Maria et Annie en pleine discussion alors que Sofie patientait debout au milieu de la pièce.

Pour la première fois, Rose vit l'esclave debout.

Sofie était un peu plus grande qu'elle, avec ses mains placées derrière sa tête elle exposait complètement sa poitrine un peu plus petite que celle de Rose. Son bâillon métallique ornait toujours sa bouche et sa langue sortait telle celle d'un animal haletant. Un long filet de salve s'écoulait doucement sur son torse depuis sa langue pendue.

Loin de rester immobile, elle bougeait doucement son corps pour offrir le spectacle de ses seins et de sa chatte parfaitement rasée aux deux femmes.

-Enfin. Mets-toi à côté d'elle ma chérie. Et montre-nous ton minou.

-Oui maîtresse.

Dit Rose en se plaçant à côté de la chatte en chaleur. Doucement elle souleva sa jupe de dentelle pour exposer son entrejambe tanné à ses tortionnaires.

-Non pas comme ça. Ouvre la bouche.

Rose obtempéra alors que sa maîtresse lui plaçait sa jupe dans la bouche, faisant passer le tissu entre ses seins et retirant le bustier de la jeune soubrette, exposant complètement sa poitrine alors qu'elle serrait sa jupe entre ses dents.

Annie fit glisser ses doigts sur la peau nue de la jeune fille, la faisant frissonner de gène alors qu'elle frottait doucement ses tétons.

-Mhhhhh!

-Elle a la peau si douce.

Dis Annie en ignorant totalement le gémissement de protestation de Rose.

-Tu utilises des produits particuliers?

Marie sourit alors que Rose se faisait étudier sous tout les angles.

-Juste quelques huiles et une hygiène irréprochable. Tu aimes être propre pour ta maîtresse hein Rose?

-Mhhhoui.

Dis Rose en hochant la tête. Le pire c'est que c'était vrai. Elle avait toujours été très propre et à cheval sur l'hygiène.

-Très bien on peut commencer.

Maria sortit un grand flacon d'un des tiroirs et le présenta aux deux esclaves.

-Les règles sont très simples, cette petite merveille va agiter tous vos nerfs tout en vous rendant de plus en plus sensible. Tout ce qu'il suffit de faire pour gagner est de ne pas se masturber. La première à quitter la pose perd!

Annie s'approcha d'elle avec un flacon identique et commença à apposer l'huile sur le corps de la jeune fille. Bientôt ses seins furent luisants alors que de petites gouttes d'huile se formaient sur le bout de ses tétons.

-Et maintenant en dessous.

Elle sentit les doigts se poser sur sa chatte, recouvrant chaque centimètre de ses muqueuses, une sensation humide s'imposant alors que les doigts tournaient autour de son clitoris pour s'assurer qu'il soit bien recouvert.

Une fois leurs œuvres finies les deux femmes s'assirent dans deux confortables fauteuils, se préparant pour le spectacle a venir. Rose vit que Annie était recouverte d'huile de la même façon qu'elle. Leurs esclaves respectives étaient huilées de l'exacte même façon.

Au début Rose ne sentit rien, puis une sensation de chaleur envahit ses seins et son entrejambe. C'était doux et agréable, comme si elle était dans un sauna. Elle savoura cette étrange sensation de bien-être. Peut être qu'elle réagissait différemment au produit que le commun des mortels? Mais bientôt la sensation de chaleur changea. De petits points de sensation se formèrent sur sa peau, comme des îlots de gêne au milieu d'une mer chaude et douce.

Rapidement les points se multiplièrent pour finir par envahir complètement son corps. La torture commença à cet instant. Chaque parcelle de ses seins et de son entrejambe la grattait terriblement! C'était comme si des centaines d'insectes lui courait dessus et la piquait sans relâche.

-Mhhhhhhhhh!

Gémis elle de gêne alors que sa salive imprégnait de plus en plus sa jupe.

Elle serait le tissu rose de toutes ses forces alors que les sensations devenaient la seule chose à s'imposer a son esprit.

Ses tétons étaient comme deux morceaux de lave en fusion. Elle sentait chacun de ses pores s'enflammer, chacune de ses veines pulser dans le téton de chair, chaque battement de cœur lui donnait une envie toujours plus forte de se malaxer les seins! Bientôt c'est tout son corps qui tressautait de gêne pendant qu'elle gémissait de plus en plus fort pour le plaisir de son public.

-Ghaaahhaaaaa!

À coté d'elle Sofie n'en s'en sortait pas mieux. Elle agitait ses seins dans tous les sens comme si elle espérerait que l'air la gratterait et la libérerait de la gêne. Les mouvements de son corps faisant s'agiter la queue fichée dans son cul, sa langue pendue s'agitait tout autant, couvrant encore plus son menton et la base de son cou de salive.

Mais le pire était encore à venir. Son entrejambe semblait quelque peut épargné ou en tout cas moins sensible que sa poitrine. Mais rapidement la réalité prit le dessus et les milliers de pics de feu s'enfoncèrent sans pitié dans toutes ses muqueuses.

-Mhnnnnnooooooon!

Gémis-elle au travers du tissu alors qu'elle perdait toute sensation a l'extérieur et l'intérieur de sa chatte. Tout n'était que chair mise à vif et sensation de gêne! Ses jambes flagellaient de plus en plus alors que les deux sensations se mélangeaient!

Maria et Annie les regardaient avec attention, trop concentrée sur leur esclave respective pour même parler. Rose vit cependant que les deux femmes avaient commencé à se masturber doucement face à leur spectacle.

Annie tremblotait maintenant de tout son corps alors que des larmes coulaient de ses yeux. Rose ne put observer plus. Chaque souffle rendait ses tétons plus durs et bientôt ils furent telles deux billes de métal chauffé à blanc! Son entrejambe était dans le même états! Elle devait absolument se gratter ou elle deviendrait folle

!

Elle allait baisser les bras et saisir ses tétons et sa chatte quand la vision de madame brooks et de ses seins s'imposât dans son esprit! Puis ce fut celle de sa maîtresse avec sa cravache! Puis celle de la machine à chatouille et des jeux pervers de Maria!

Elle ne pouvait pas perdre! Une idée vint s'imposer à elle. Elle ne savait pas si cela allait marcher, mais elle devait absolument faire quelque chose pour contrer la sensation qui envahissait son cerveau. En se concentrant de toutes ses forces elle contracta son bas ventre.

-Mhhhhhhhhhhhh!!!!!!

-Oh!

S'exclama Annie alors que Maria souriait en voyant le jet d'urine se projeter sur le sol. Rose pissait devant ses maîtresses avec force, le jet chaud nettoyant un peu sa chatte et effaçant une partie des sensations qui la hantait.

Elle avait terriblement honte, mais au moins elle était libérée d'une partie de sa gêne, même si ses seins souffraient toujours le martyre!

Mais soudain le visage d'Annie se décomposa.

-Non!

-Ghaaaaaaa! mhhhhhhh!

Sofie avait craqué et se malaxait les seins avec force tout en tentant de plonger ses doigts dans sa chatte. Finissant par ramper sur le sol pour frotter ses seins contre la douce moquette tout en plongeant avidement ses doigts dans son entrejambe surchauffé.

Maria se leva lentement et doucement retira la jupe de la bouche de la jeune fille.

-Bravo Rose!

S'exclama sa maîtresse en se jetant sur son esclave et la couvrant de baisers.

-M-m-m merci-i-i-i Ma-ma-madame. Es-est ce que je-e pe-eut me ma-ma-masturber s'il vou-ou plaît?

Rose tremblait sous l'effet du produit. Elle ne parvenait même plus à parler correctement.

-De quoi tu parles? Tu as gagné, tu as bien le droit à une récompense. Annie!

Annie se leva d'un bon sous le ton autoritaire.

-Ou-oui? Tu sais ce pari c'était juste pour.

-Déshabille-toi tout de suite! il est treize heures et le soleil se couche aux alentours de vingt et une heures trente jusqu'à ce moment-là je ne veux rien entendre d'autre que « oui maîtresse » c'est bien compris? Sinon tu peux dire adieux à tes accès aux châteaux

Annie tenta de protester, mais au moment où Maria énonça qu'elle pouvait l'expulser de ce monde de plaisir charnel que composait les différents châteaux de la région. Elle obtempéra en faisant la moue, regrettant immédiatement son pari stupide.

-Oui maîtresse.

Dit-elle en faisant tomber sa robe, dévoilant un corps d'une blancheur diaphane, uniquement émaillé de quelques taches de rousseur. Elle était tellement blanche que ses tétons rose pâle de ses deux seins ronds ressortaient comme deux tâches sombre.

-Rose aurait besoin que tu la débarrasses de cette huile. Rose?

-O-ou-oui?

La jeune soubrette tremblait maintenant de tout son corps, elle avait l'impression qu'elle allait bientôt tourner de l'œil.

-Tu veux qu'elle te nettoie les seins ou la chatte en premier?

Rose aurait bien voulu se jeter sous la douche à la place, mais elle répondit dans la seconde.

-La chahahte M-Maitres-sse.

Bégayât-elle alors que la sensation de répits apporter par l'urine disparaissait.

-Annie, lèche la chatte de la soubrette.

La rousse maintenant totalement résignée se mit à genoux.

-Oui maîtresse.

-Bonne fille.

Lui dit Maria en lui tapotant la tête.

Annie sortit sa langue et commença à doucement lécher la chatte surchauffée. Donnant de petits coups de langue à contrecœur.

À peine Rose sentit les premiers contacts qu'elle perdit le contrôle. Elle voulait qu'on la gratte! Qu'on fasse disparaître ce feu!

Elle saisit la tête d'Annie et l'appuya de toutes ses forces contre sa chatte, surprenant la femme qui enfonçât sa langue profondément dans l'entrejambe de la jeune fille.

-Mhouiiiiiii! plus fort!

Gémit-elle en sentant la sensation de géne être remplacée par un plaisir pur alors que la femme entre ses jambes avalait l'huile qui la torturait.

-Oui! oui! ouiiiii!

Elle jouit immédiatement dans la bouche d'Annie. Pissant a son tour dans la gorge de la femme l'urine qui lui restait dans le corps.

Elle continua à presser ses lèvres brunes contre le visage d'Annie, malaxant ses seins en tremblant de plaisir alors que la rousse la faisait jouir une nouvelle fois. À côté d'elle, Sofie les avait complètement oubliés et se masturbait avec force alors que sa maîtresse devenait esclave pour l'après-midi.

-Tu es très belle avec le visage enfoncé dans la chatte d'une autre.

Dis Maria qui s'était absentée quelques instants. Annie ne put que grogner de désaccord alors que sa langue continuait de faire jouir la soubrette.

-Attention, on écarte bien les fesses.

-Mhhhhhhhhh!!!!

Cria-t-elle au travers de l'entrejambe de Rose alors que Maria lui enfonçait un plug dans l'anus. Celui-ci se terminant par une longue queue brune dressée qui s'agitât bientôt sur le rythme des mouvements de la rouquine.

Maria lui fixât ensuite un serre-tête similaire a celui de son esclave, sauf que c'était deux petites oreilles de chien que s'en échappait. Puis elle lui plaça un collier de cuir rouge, complétant son attirail d'esclave.

D'un cou sec elle tira sur sa laisse, l'arrachant à l'entrejambe maintenant trempé de Rose.

-Te voila une petite chienne maintenant. Wouf wouf.

Annie était rouge pivoine, la couleur de la honte tranchant fortement avec la blancheur de sa peau.

-Oui maîtresse...

-Non, non, non. Une chienne dit wouf wouf. Compris?

Annie se mordit la langue, mais fini par lâcher

-Wouf, Wouf.

-Bonne fille. Maintenant fini de nettoyer la gentille soubrette. Toi aussi petite chatte.

Sofie ce masturbait toujours, mais elle obéit instantanément et vint ce mettre à genoux a coté de sa maîtresse.

-Rose?

-Oui maîtresse?

La jeune fille se remettait de ses orgasmes, mais ses seins souffraient toujours le martyre. Elle était tombée dans l'un des profonds canapés et se malaxait en vain la poitrine avec force.

-Occupe-toi de ces deux-là, je vais me changer. Je reviens.

-Ou-oui madame.

Rose ne savait absolument pas quoi faire. Elle voulait juste que cette horrible sensation de feu sur ses seins disparaisse!

Sa maîtresse disparut dans la salle de bain et elle se retrouva seule avec les deux femmes. Sofie fut la première à s'approcher sans qu'elle puisse se relever. La chatte ouvrit en grand la bouche et attrapa son téton droit avec ferveur avant de le lécher et de le mordiller.

-Att-attendez je, Mhhhhhhhhhh!

Elle ne put finir sa phrase tant le plaisir mêlé à la sensation de bien être qui remplaçait la gêne fut fort. Elle avait l'impression de jouir des seins!

Bientôt son sein gauche subit le même sort alors qu'Annie la chienne se mettait à la sucer. Avec le poids des deux femmes sur elle, la soubrette ne pouvait plus bouger. Elle sentit bientôt des doigts se plonger dans sa chatte alors que ses seins se faisaient lécher.

-Mhhhhhhh , ouiiiii.

Elle jouit une première fois sous les assauts des deux femmes. À chaque tressautement de plaisir Sofie se tortillait de plaisir comme si elle était heureuse de faire jouir une inconnue, de son côté Annie avait un regard de défis que Rose ne parvenait pas à identifier.

C'était comme chacun de ses orgasmes était une victoire obtenue contre un adversaire. Les deux paires de mains malaxèrent chacune les parties charnues de son corps dans un long massage entrecoupé par les petits cris de plaisir de la soubrette.

Rose n'avait jamais ressenti cela, elle était confortablement allongée et sentait son entrejambe être gentiment massée et pénétré alors que deux femmes léchaient ses seins. Deux esclaves dédiées à son plaisir personnel qui la léchait, la mordillait et la doigtait sans qu'elle ait autre chose à faire que profiter et gémir de plaisir.

-Mhhhhh, oui, oui! encore!

Sofie était la plus motivée, elle goûtait chaque parcelle de la peau de la jeune fille, faisant glisser sa langue sur son ventre et entre ses seins alors que Rose soufflait de plus en plus fort dans son uniforme. Elle ronronnait de plaisir à chaque orgasme de la soubrette et souriait doucement au travers de son bâillon en faisant de lents vas et viens dans l'entrejambe trempé de la jeune fille.

-Ghhhhhh!

Rose sera les dents en jouissant quand elle sentit la langue d'Annie sur son clitoris. L'invité aux oreilles de chienne mordillait le petit bout de chair tout en pinçant un des tétons de la soubrette. Ses yeux fixaient le visage couvert de sueur de la soubrette. Rose expérimentait tant de sensation en même temps qu'elle ne parvenait même plus à penser correctement.

Elle tentait vainement de cacher son ses gémissements et cris de jouissance. Elle ne voulait pas donner l'impression d'apprécier la situation dans laquelle elle était forcée de vivre. Mais chaque instant était désormais une ode au plaisir le plus doux et intense qu'elle ait connue.

-Mhoui! lèche plus fort! oui, oui ,oui!

Sa voix tremblait sous l'afflux de jouissance. C'était comme si elle sanglotait de plaisir. Un orgasme plus fort que les autres traversa finalement son corps, la faisant se cabrer violemment en l'air alors que les doigts de Sofie étaient toujours plongé dans son entrejambe.

Quand le blanc qui avait envahi son esprit se dissipât, elle remarqua que Maria était revenue ; elle portait désormais une tenue de cuir faite de lanière et d'un bustier ouvert. Elle tenait une cravache et admirait le corps haletant et trempé de la soubrette.

-Je suis fière de toi Rose. Elles se sont bien occupées de toi? Cette petite chienne a été obéissante.

Dit-elle en tapotant la tête d'Annie qui toujours rouge de honte et couverte des fluides de la jeune fille ne put que baisser la tête alors qu'on lui caressait la tête.

-Ou-oui maîtresse. Elles se sont très bien occupées de moi.

Maria mit un petit coup de cravache sur les fesses d'Annie qui réprima un cri de surprise.

-Et la chienne?

-Elle a été très obéissante maîtresse. Une bonne chienne.

Rose savoura ses mots. Elle ne pourrait peut-être pas s'enfuir avant longtemps, mais humilier cette femme qui lui avait pissé dessus lui avait apporté une sensation de satisfaction inconnue jusqu'alors.

Maria sourit alors que la soubrette se remettait debout et tentait de remettre tant bien que mal son uniforme rose.

-C'est une bonne chienne ça. Elle ne voulait pas être punie hein?

Dit-elle en forçant Annie à la regarder dans les yeux.

-Wouf ....

Répondit la rousse d'une petite voix. Maria jubilait, Rose pouvait le sentir. Elle savourait son contrôle comme on savoure un grand vin.

-Je vais dresser cette petite chienne. Va donc t'amuser avec sa chatte.

Marie lui tendit la laisse de Sofie qui s'était remise à quatre pattes et se frottait désormais contre la jambe de la soubrette. Le teint d'Annie était lui devenus encore plus blanc qu'as l'accoutumée.

-Nos invitées nous quitteront ce soir, profitent en bien. Soit de retour avant le coucher du soleil pour préparer le repas.

-Oui maîtresse.

-Aller, aller va t'amuser.

Lui dit-elle d'un ton rieur en lui donnant de petites fessées avec sa cravache.

Rose s'en allât en tirant la laisse d'Annie alors que la porte se refermait sur le regard terrifié d'Annie dans ce début d'après midi. Rose frissonnait en imaginant ce qu'allait subir cette femme.

Mais elle l'avait bien mérité après tout.

Elle savait parfaitement ce qu'elle allait faire et tirait doucement sur la laisse de Sofie, les deux femmes se dirigeant vers le grand parc du château.