Château Ragia Chapitre 05

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Rose se réveille dans les bras de sa maitresse.
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Partie 5 de la série de 34 pièces

Actualisé 03/26/2024
Créé 09/03/2020
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Rose c'était levé plus tard qu'as son habitude à cause de la fatigue. Elle déplaça le bras de sa maîtresse le plus délicatement possible. Il fallait qu'elle aille se laver et se changer avant qu'elle ne se réveille.

Elle jeta un regard au corps endormi en repensant avec dégoût à la manière dont elle s'était offerte à elle. C'était la faute de cette démone de Madame Brooks et son foutu lait qui l'avait forcé à faire ça! Elle se vengerait! Elle les enverra toutes pourrir en prison à se faire violer dans les douches! Se dit-elle en ce dirigeant vers la porte.

-Va chercher à manger.

La voix fatiguée la figeât sur place, elle c'était réveillé!

-Ou-oui maîtresse.

Répondit-elle en sursautant. Alors que Maria replongeait dans ses draps.

Rose se mordit la lèvre de rage. Elle n'allait même pas pouvoir prendre sa douche. C'était son seul petit plaisir quotidien depuis qu'elle était arrivée.

En passant devant un miroir, elle put revoir son uniforme, elle allait devoir passer la journée là-dedans?!

Le fin tissu du buste était fendu au niveau de chaque sein, laissant ses tétons à l'air libre, en plus de petits nœuds en frou-frou étaient cousus juste en dessous de manière à frotter régulièrement contre l'extrémité du sein. La jupe s'arrêtait à mi-fesse, même pas assez bas pour commencer à couvrir son vagin. C'était le plus ouvert de tous les uniformes qu'elle avait portés!

Rose se reprit en espérant que la journée serait calme. Avec un peu de chance, Maria était fatiguée et elle passerait la journée à se reposer.

Elle se fit une petite collation avant de placer le repas de sa maîtresse sur un plateau d'argent. Elle poussa la porte de la chambre pour surprendre Maria au téléphone.

-Passe à la maison cet après-midi, la piscine a été finie la semaine dernière, elle a besoin d'une inauguration.

Elle fit signe à Rose de déposer le plateau sur le lit en finissant sa conversation

-Mais oui elle peut venir ne t'inquiète pas, à tout à l'heure.

Maria posa le téléphone sur la table de nuit et s'étira laissant Rose voir sa poitrine parfaitement formée.

-à genoux sur le lit. Tout de suite.

Elle avait parlé d'une voix calme qui terrifia la jeune fille.

-Oui Maîtresse

répondit elle d'une vois apeuré en prenant place là ou elle avait été torturée son premier jour.

-écarte les bras, un pilier dans chaque main.

Rose compris ce qui allait lui arriver et obtempéra. Prenant place face à la femme qui sortait la petite télécommande qui contrôlait la machinerie du lit. Les rotors sortirent et vinrent se placer sous ses aisselles.

-M-Mais,pourquoi Maîtresse?

Demanda Rose en mendiant des yeux.

-Tu as été une très bonne fille et je suis très satisfaite de la manière dont tu t'es occupé d'Aurore. Mais j'ai établi des règles et tout leur principe est qu'elles doivent être respectées. Tu ne t'es pas masturbé ce matin et tu ne m'as pas réveillé comme je te l'ai demandé. Tu dois donc être punie.

Rose n'en revenait pas qu'après ce qu'elle avait fait la nuit précédente, qu'on lui reproche un écart de cette nature!

-M,-,mais maîtresse, je phhhhhhhhhh!

Les rotors avaient commencé leur travail alors que Maria admirait le trémoussement gêné et les gloussements de son esclave .

-Je sais, je sais. Tu as des circonstances atténuantes je te l'accorde. C'est pour ça que je ne te punirais qu'un peu.

-Ghnnnnnnhihihihihi!

Gloussa Rose dont les tétons étaient devenus instantanément durs. Elle tentait de trouver une position ou elle se ferait un peu moins chatouiller, mais c'était peine perdue.

-On dit merci maîtresse quand on est bien élevée.

Dit-elle d'un ton plus autoritaire.

-Merchihihi maîtresse!

Gloussa Rose en tenant toujours fermement les piliers, chaque rotor la caressait avec des centaines de poils de tailles différentes, c'était comme si une armée de doigts l'attaquait, une armée qui la rendait folle!

-Cet après-midi j'ai une amie qui vient. Purement social, mais il est possible que l'on parle travail. Tu devras bien t'occuper d'elle. Compris?

-Ouihihihi!

Maria finit rapidement son petit déjeuner accompagné par la musique des gloussements de son esclave.

Elle coupa les rotors alors que Rose trépignait nerveusement sous les chatouilles. Immédiatement, elle lâcha les piliers pour plaquer ses bras contre son corps.

-Tu vois? À peine cinq minutes. Ce n'était pas si horrible?

Rose avait eu l'impression que tout cela avait duré bien plus que cinq minutes! Mais elle essuya les larmes qui avaient commencé à couler sur son visage en hochant la tête.

-N-non, maîtresse.

Maria la regarda en silence comme si elle attendait quelque chose de plus d'elle.

Rose ce rappela de la règle et descendit précipitamment, elle attrapa les bords de la minuscule jupe de son uniforme et fit une révérence.

-Merci de m'avoir punie maîtresse.

-De rien ma petite. Maintenant, suis-moi.

Maria attrapa sa laisse et la menât dans une pièce similaire à la salle de bain de la jeune fille, exception faite que la présente salle de bain était au moins trois fois plus grande. Elle la menant dans une grande cabine de douche.

-Déshabille-toi et mets-toi contre le mur.

Rose obtempéra alors que Maria se dénudait.

-Non. Garde-le.

Lui dit-elle quand elle tenta de retirer son serre-tête à collerette. De tous les éléments de se stupide costume c'était celui qu'elle trouvait le plus ridicule.

Une fois complètement nue elle se plaça contre la faïence . Maria lui saisit les poignets et les leva au-dessus de la tête de la jeune fille tout en l'embrassant tendrement. Rose surprise comme à chaque geste de tendresse de sa maîtresse le lui rendit sans trop savoir pourquoi. Un petit cliquetis vint après quelques secondes mettre fin à leur étreinte.

Rose ne s'en était même pas rendu compte, mais elle se retrouvait maintenant attachée au mur de la douche, ses pieds subirent le même sort avant même qu'elle puisse penser à tenter quelque chose

-Maîtresse?

Demanda-t-elle en ne comprenant pas ce qui arrivait, L'eau chaude vint s'écraser sur son corps alors que sa maîtresse s'approchait langoureusement d'elle.

-Tu croyais que j'allais te laisser accueillir mes invités dans cet état? Regarde-toi tu es toute sale.

Elle posa sa main sur l'entrejambe sans défense, Rose frémit en sentant les doigts coller à sa peau à cause des fluides de la nuit dernière.

Les gestes étaient doux et Rose gémit rapidement alors que les doigts se baladaient sur son corps encore sensible.

-Ta maîtresse va te laver. Et si tu es sage, tu auras même droit à un massage.

Rose sentait avec plaisir l'eau chaude couler sur elle alors que la femme qui l'avait enlevée lui parlait avec plus de tendresse que n'importe qui d'autre dans sa vie.

Elle ne savait pas quoi répondre alors que la femme se saisissait d'un gel douche qui valait probablement le prix d'un mois de salaire, lentement elle en enduit sa soubrette qui tressautait sous les caresses.

-Mhhhhhhhhh.

Elle gémit quand les caresses atteignirent ses seins. Sa maîtresse s'attardant sur ses tétons en les mordillant. Chaque mouvement était plus doux que le précédent, elle sentait les mains parcourir son corps et le purifier. Elle avait beau être attachée, c'était comme si un ange la lavait. Elle jouit même sans s'en rendre compte quand sa maîtresse lavât son entrejambe, chaque parcelle de son intimité sentit le passage délicat de la main chaude de Maria alors que Rose gémissait d'un plaisir non dissimulé. C'était tellement bon!

-Dis-moi Rose.

-Oui maîtresse? Mhhhhh.

Les gestes étaient d'une tendresse! Rose sentait chaque caresse, chaque petite impulsion lui donnait envie de jouir une nouvelle fois . Surtout quand Maria lui savonna les seins où elle jouit tellement fort que seuls ses membres attachés lui permirent de ne pas tomber. Elle ne savait même pas qu'elle pouvait ressentir du plaisir de cette manière.

-Tu aimes ton travail?

Lui demanda-t-elle en se frottant à elle, utilisant tout son corps comme une savonnette, leurs seins se pressant l'un l'autre alors que le visage de Maria était à peine à quelques centimètres de celui de Rose.

La jeune fille ne savait pas quoi répondre. Elle aurait aimé dire non, mais elle craignait la punition.

-Je, Je , je ne sais pas Maîtresse. Gnhhhhh!

Gémit-elle sous les caresses.

-Pourtant, regarde-toi. Tu n'aimes pas vivre dans le luxe? Avoir les plus belles femmes qui s'occupent de toi, ne plus avoir à te soucier de rien.

-Mhouiiiiii Maîtresse.

Dit-elle en jouissant sous les douces caresses 

-Je trouve que tu as parfaitement ta place ici. Tu es belle, sensible, à la fois assez timide pour être charmante, mais pas assez pour nier que tu aimes un peu ce que tu fais tout de même. Tu ne penses pas que ce travail est fait pour toi?

Le corps de Rose était un temple dédié à un doux plaisir délicat en cet instant, mais les mots pénétrèrent en elle avec une grande facilité.

Est-ce que c'était l'impression qu'elle donnait? d'apprécier cet enfer?! C'est vrais que le décor était charmeur et la vie luxueuse, mais, mais... Elle n'aimait pas ça! Elle n'aimait pas être punie, elle n'aimait pas que cette femme la fasse jouir!

-Je vais jouir! Maîtresse est-ce que je peux jouir s'il vous plait?

Pourquoi avait-elle dit ça?! était-ce devenu un tel réflexe qu'elle ne s'en rendait même plus compte?!

-Mais oui tu peux jouir.

Dit Maria en passant son doigt droit sur son clitoris huilé par les produits de bain. La jeune fille à la peau tannée se cabra immédiatement quand elle sentit l'orgasme traverser son corps.

-Aurore t'a adoré hier. Je suis très fier de toi. Tu as aimé la servir?

Le corps de Rose était désormais brillant d'une huile que lui appliquait sa maîtresse. Elle était encore sur le point de jouir, elle ne voulait pas que cela s'arrête. C'était trop bon, trop doux. Elle répondit en gémissant.

-Oui Maîtresse, Mhhhhh c'était bon. Merci maîtresse Mhhhhh.

-Tu vois je t'avais dit, c'est une très bonne fille.

Rose reconnut la voix et son visage devint blanc alors que de la vapeur de la douche surgissait le corps nu d'Aurore. Qu'est-ce qu'elle faisait là?!

La grand femme blonde s'approcha d'eux alors que Maria finissait de l'enduire d'huile.

-Aurore est restée dormir à la maison. Tu repars quand d'ailleurs?

Madame brooks se savonna devant Rose qui tentait maintenant de s'empêcher de jouir devant cette femme monstrueuse.

-Je me douche et j'y vais j'ai plein de choses à préparer.

-Tu restes pour le petit déjeuner?

Demanda Maria alors que Rose se trémoussait sous ses doigts.

-Non ça ira merci. Mais si tu veux, je peux le lui donner.

Maria sourit en rinçant ses cheveux.

-Très bonne idée, Rose ma chérie, rejoint moi dans le bureau quand ce sera fini.

Rose ne put retenir quelques larmes alors sa maîtresse sortait de la grande cabine. La laissant attachée avec son pire cauchemar.

-Tu es très belle avec toute cette huile ma petite.

Dit elle en se rapprochant d'elle avec un sourire mauvais.

-Pitié...

Sanglota Rose en tentant vainement de se débattre. Mais en vain. Bientôt Madame brooks plaquât son corps contre le sien.

-Pitié? Tu ne veux pas que tata Aurore te donne la tétée? Pourtant tu avais l'air d'aimer la dernière fois.

Rose vira au rouge en se souvenant de la journée précédente.

-Non, s'il vous plaît madame je ferrais tout ce que vous voulez!

Mendia la jeune fille alors qu'elle sentait les mains de la femme caresser son intimité.

-Tout?

Demanda-t-elle en rentrant un doigt, fouillant dans son entrejambe déjà surchauffé.

-Mhhhhhoui! S'il vous plaiiiit.

Elle tenta de l'amadouer par des gémissements forts et intenses, bougeant son corps autour du doigt pour satisfaire sa tortionnaire tout en suppliant.

-Je, Je peut vous sucer si vous voulez! Ou vous pouvez me baiser içi! Je serais gentille, je vous jure. Mhhhhh , S'il vous plaiiiiit Madame!

Mais celle-ci le retira d'un coup sec .

-Très bien!

Elle posa son doigt sur son bas ventre huilé, exactement là où se trouvait sa vessie. Rose se rendit compte à cet instant qu'elle n'était toujours pas allée aux toilettes depuis sa première tétée .

-Une grande fille, ça ne se fait pas pipi dessus n'est-ce pas. Sois une grande fille pendant dix minutes et je ne te donnerais pas la tétée.

Avant que Rose ait pus protester, elle sentit ses aisselles huilées être stimulées et rapidement les chatouilles envahirent son esprit alors qu'elle se trémoussait de rire.

-hihihihihihihi!

-Qu'elle est mignonne cette petite fille qui veut jouer eu grande. Mais est-ce qu'elle pourra s'empêcher de faire pipi?

-ouihhihihihi!

Répondit Rose qui sentait déjà l'urine se frayer un passage malgré tous ses efforts.

-Tu veux éviter la tété hein? Tu crois que tata Aurore n'a pas compris ton petit manège? Hein? vilaine petite fille.

Rose gloussait nerveusement alors que son corps était à la totale merci de la cruelle femme. L'huile sur sa peau la rendait encore plus sensible que d'habitude, elle avait l'impression que c'était des milliers de doigts qui la parcouraient.

-Tu as juste envie de te faire punir n'est ce pas? Tu adore quand les grandes personnes te rappelle quelle vilaine fille? Oh oui elle est vilaine cette petite qui ne veut pas téter.

Rose secoua la tête dans une vive protestation, mais ses gloussements l'empêchaient de parler.

-Les vilaines filles comme toi ont besoin d'éducation. Même s'il faut tout reprendre du début. Maria est trop gentille ave toi, mais heureusement que je suis là pour t'apprendre les bonne manière hein?

-Nohohohohon, areheheheteer!

Gloussa Rose sous la torture alors que sa tortionnaire savourais son humiliation.

-Non, non, non.

dit madame brooks en enfonçant ses doigts profondément sous se aisselles.

-Une vilaine fille doit apprendre à assumer.

-Phihihihtiééééé!

Elle sentait que son urine était a deux doigts de sortir, elle tremblait de tout son corps dans un bruit huileux.

Aurore reprit son ton maternaliste

-Aller, aller, on fait pipi. Guili guili guili.

Le visage d'Aurore était fixé devant celui de Rose et c'est en la regardant droit dans les yeux d'un regard suppliant qu'elle craquât.

-Phnohonhonhon!

Gloussa-t-elle les yeux remplis de larmes alors qu'un large jet d'urine s'écrasait sur le sol de la douche.

Elle eut l'impression de jouir tant elle s'était retenue. Madame Brooks continua de la chatouiller en riant, la forçant à s'agiter et projetant son urine partout autour d'elle.

Finalement elle lui présenta ses seins.

-Qui c'est qui va avoir une bonne tétée?

Rose était encore haletante et détourna la tête, se refusant a de nouveau subir l'humiliation.

Le ton de madame Brooks se fit plus dur.

-À moins que cette vilaine fille veuille être encore plus punie?

Rose ne pouvait même pas baisser les bras, mais elle ne pouvait plus endurer plus.

-N,non.

Dit elle d'un petit souffle, refusant de croiser le regard de la femme.

-Non quoi?

-Non je ne veux plus être punie.

Dit-elle alors que Madame Brooks la forçait à la regarder.

-Toute une éducation à refaire décidément...

Elle la gifla.

-On s'adresse à ses supérieurs autrement! avec Madame ou Maîtresse!

Rose corrigea son erreur.

-Je,je ne veux plus être punie madame.

-Très bien maintenant que tu as fait ta petite crise tu dois manger.

-Ou-Oui Maitresse.

La mort dans l'âme Rose ouvrit la bouche et commençât à de nouveau mordiller le téton qui durcit rapidement.

-Très bien, bonne petite.

Bientôt elle se retrouva de nouveau à sucer le sein pour en faire sortir le lait.

-Ne t'inquiète pas, cette fois pas d'aphrodisiaque. Juste le bon lait de ta Tata. Mhoui!

Le lait envahit de nouveau la bouche de Rose, elle avala de nombreuses gorgées de l'épais liquide crémeux alors que Madame Brooks semblait jouir sur place. Elle avait les deux mains plongées dans son entrejambe et se masturbait avec force.

-Oh oui comme ça! Bonne fille! Tête fort le bon lait! Oui!

Elle jouit et écrasa encore plus le sein sur le visage de Rose qui crut étouffer sous l'afflux de lait. Quand enfin le mamelon se retira un peu elle put voir que Madame Brooks l'observait droit dans les yeux alors qu'elle tétait toujours le sein qui semblait ne jamais baisser de volume.

-Tu sais, j'ai tellement hâte qu'il arrive.

Lui dit-elle lui caressant le visage.

-Je vais le ré éduquer comme toi.

Rose comprit qu'elle parlait du garçon qu'elle avait choisi.

-J'ais déjà une belle chaise de gynéco où je pourrais le punir, le chatouiller tout en le branlant lentement. Sentir sa bite s'agiter en essayant d'échapper à mes doigts. le voir essayer de ne pas jouir alors qu'il est à ma merci. L'obliger a s'humilier tout les jours devants moi. Mhhhh j'ai hâte!

Rose sentit de nouveau les mains sur ses aisselles, elles se mirent à la chatouiller lentement alors qu'elle était toujours forcée a boire.

-Mhihihihhhhiihih.

Gémis-elle en gloussant, manquât de s'étouffer avec le lait. Alors que Madame Brooks continuait de prendre son temps pour lui expliquer ses plans pervers

-Je vais le torturer lentement pendant des jours et des jours, le forcer a jouir sur commande pour moi, a tété pendant que je le branlerais. J'en ferais ma petite chose tremblante.

Rose était horrifiée par ce qu'elle entendait. Alors que la femme parlait aussi lentement qu'elle la chatouillait.

-Et chaque fois qu'il me suppliera, qu'il m'implorera, qu'il pleurera pour implorer ma pitié je lui dirais que ce n'est pas moi qui l'aie choisi. C'est une petite soubrette perverse du nom de Rose. Quand il me suppliera de le faire jouir, ou quand je badigeonnerais avec son propre sperme je ferais bien attention à mentionner ton petit nom.

Rose regardait avec horreur le visage hilare de la femme alors que le lait s'engouffrait toujours dans sa bouche alors que les doigts la faisaient gigoter de gène.

-Je me demande comment il réagira quand vous vous rencontrerez.

Dit-elle en souriant alors que le visage de Rose se décomposait.

-Peut-être que vous prendrez la tétée à deux qui sait?

Rose ne voulait pas ça! Elle ne voulait pas que ce pauvre garçon se fasse torturer à cause d'elle! c'était trop injuste! Comment cette femme pouvait être aussi cruelle!

Finalement après ce qui semblât être une éternité le sein se retira de sa bouche alors qu'elle avait l'impression qu'elle vomirait si elle en avalait une goûte de plus.

Les liens se détachèrent et elle s'effondra au sol. Puis dans un moment presque irréel Madame brooks la lavât intégralement avec beaucoup de soin. Nettoyant tout son corps encore sensible, la séchant et la menant en dehors de la douche.

Là un uniforme attendait Rose, il était rose et blanc et deux ronds dans le bustier laissait passer les tétons alors que les épaules étaient bouffantes et ses mains enfilées dans de longs gants de soie blanche. La jupe descendait suffisamment bas pour cacher son entrejambe et de longs collants blanc et rose se remontaient jusqu'en haut des cuisses.

-Adorable!

Dis Madame Brooks avant de réajuster le serre-tête, tout en lui faisant deux couettes maintenues par des chouchous roses.

-Regarde comme tu es mignonne! Tu vas faire plaisir à ta maîtresse habillée comme ça!

Rose se regarda dans le miroir et répondit d'une petite voix.

-Oui Madame. Je suis mignonne dans cet uniforme.

Elle se retenait pour ne pas lui sauter dessus et lui fracasser le crâne. Mais sa survie personnelle était trop importante pour se permettre un tel risque.

Madame Brooks s'habilla à son tour avant de lui mettre une petite claque aux fesses.

-Je t'ai laissé un petit cadeau dans ta chambre ma petite.

Elle lui posa un baiser sur le front tout en titillant ses tétons découverts, faisant frémir la jeune fille.

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