Château Ragia Chapitre 03

Château Ragia

Chapitre 3

Rose se réveilla parfaitement reposée. Malgré sa position elle devait admettre que cette pièce était une très belle cage dorée. Le lit était confortable, la douche au top de la technologie et le mobilier aussi luxueux que le reste du château. Bien sûr la première chose quelle vue fut la photo qui était réapparue sur le grand écran au moment où elle avait ouvert les yeux.

Elle jeta un coup d'œil à l'horloge de l'écran. Elle avait encore une bonne heure et demie avant d'aller réveiller sa maîtresse, elle en profita pour prendre une longue douche bien chaude, savourant chaque instant alors même qu'un film pornographique venait de se lancer dans un écran intégré dans la cabine.

Il s'agissait d'un porno japonais ou une soubrette à la poitrine énorme se masturbait en gémissant le plus fort possible. Mais Rose avait décidé que cette douche serait son endroit de détente rien qu'à elle et elle n'allait pas laisser un porno lui prendre ça.

Elle ressortit dans un véritable nuage de vapeur, les gouttelettes encore brûlantes se frayant un passage sur sa peau impeccablement entretenue. Elle arrangea ses cheveux et relança un regard à l'horloge.

Elle avait passé une pleine demi-heure sous la douche, elle devait y aller avant d'être en retard. Encore une fois elle glissa sa main vers son intimité et commença à gémir, elle se mena à sa limite alors que l'écran avait automatiquement lancé une vidéo de sa torture de chatouille. Ses dessous de bras la piquèrent à la vision de la scène tant son corps s'en souvenait. Le collier sonna et elle s'arrêta, frustrant son corps, mais satisfaisant sa maîtresse.

Cette fois il n'y avait pas de choix dans le placard. Elle supposa qu'il y avait un système qui remplissait et vidait le placard quand elle dormait. Cette fois sa maîtresse avait choisi pour elle. Un corset de tissu noir rempli de froufrou blanc qui se fermait a l'aide d'un lacet.

Le bustier avait spécialement été pensé pour s'arrêter niveau de ses tétons, les cachant à peine et les frottant constamment. La jupe était tombante et s'arrêtait un tout petit peut plus bas que ses fesses, un tablier était posé dessus, dans l'unique poche elle découvrit plusieurs objets déposés dans des rangements de tissus pour ne pas s'entrechoquer. Il y avait des œufs vibrants et de quoi les attacher, ainsi qu'un ensemble de petites pinces.

Le tout se complétait d'une paire de collants noir remontant jusqu'à mi-cuisse dont chaque extrémité était ornée d'une petite collerette blanche. Encore une fois elle se regarda dans le grand miroir avant de poser sa coiffe. C'était le plus complexe des uniformes qu'elle avait eu à mettre et elle se sentait toujours aussi honteuse et gênée.

Comment pouvait-on apprécier ce genre d'accoutrement ridicule?! Elle devra aussi la faire payer pour cela.

Le petit déjeuner fut rapide et elle se retrouva bientôt à trotter dans les couloirs avec son plateau pour aller s'occuper de sa maîtresse. Elle la trouva encore endormie et répéta l'opération de la journée précédente.

Léchant lentement l'entrejambe douce et sucrée, tentant de chasser de son esprit le fait qu'elle semblait apprécier le goût.

Sa maîtresse jouit encore une fois dans sa bouche, le jet fut plus violent et elle sentit une odeur d'urine. Elle ne put tout avaler d'un coup, quelques gouttes tombèrent sur les draps, Maria le remarqua immédiatement.

-Apporte-moi le plateau.

Rose se leva dans l'espoir que sa maîtresse n'ait pas vu son erreur. Elle déposa le plateau sur le lit en silence.

-Maintenant, monte ici.

Elle indiqua un point du lit en face d'elle. Le temps qu'elle s'y rende et s'y agenouille, Maria avait sorti une cravache et pointa l'entrejambe de la soubrette.

-Montre-moi ta chatte.

-Maîtresse, je suis désolé je vais nettoyer.

Un coup rapide vint s'écraser sur son sein, frappant directement son téton.

-Tu discutes?!

À contrecœur Rose souleva sa jupe de ses deux mains, présentant son intimité nue à sa maîtresse.

-N-Non maîtresse.

-Bien. Tu te souviens de ce que tu dois faire aujourd'hui?

Elle commença à lui tapoter l'entrejambe à un rythme régulier.

-Ou-Oui Maîtresse. J-j-je doit m-m'occup-per de l'invitée de madame.

-Qui est?

Rose souffrait le martyre. Les coups suivaient un rythme irrégulier rendant impossible pour elle de les anticiper, sa chatte se faisait martyriser de telle manière qu'elle avait déjà envie de jouir en aussi peu de temps.

-Ma-Madame Brooks.

-Et qu'est ce que tu dois faire avec elle?

-L-lui montrer que je suis une bonne soubrette obéissante.

-Et qu'est-ce qui se passera si tu fais mal ton travail?

Les coups devenaient de plus en plus forts, elle ne pourrait pas résister plus longtemps.

-Je serais punie et maîtresse me revendra a une maison de passe.

Les coups cessèrent la libérant de la tension, mais augmentant encore plus son envie de jouir. Elle descendit du lit en silence et attendant les instructions.

-Je veux le bureau impeccable. Fais la poussière et prépare les verres. Tu trouveras tout ce qu'il faut dans le bar du salon d'attente. Je veux que ce soit fini dans de passer à table.

Il fallut une bonne partie de la matinée pour finir de préparer le bureau, tous les meubles avaient eu besoin d'être nettoyés de fond en comble et Rose ne pouvait supporter de voir son reflet dans le miroir avec son plumeau.

Chaque fois qu'elle voyait son déguisement de soubrette, c'est comme si elle prenait un coup dans la face et elle détournait immédiatement le regard. Elle avait toujours détesté les déguisements ridicules qui faisaient fantasmer les garçons, elle les trouvait hideux et humiliants. Et voilà qu'elle était obligée d'en porter un tous les jours!

Pendant son ménage elle observa attentivement son environnement, espérant trouver le début d'une idée pour s'en sortir. Mais chaque fois le même constat revenait : ce fichu collier était son principal obstacle. Quand elle passait sa main dessus elle voyait bien qu'il était directement relié à sa peau, presque greffé. Si elle l'enlevait de force il serait probable qu'elle s'arracherait la peau en même temps.

Il fallait qu'elle trouve un autre moyen de s'en libérer.

Le repas fut rapidement pris et elle aida sa maîtresse à transporter dossier et fiches de présentation en attente de Madame Brooks. Maria était enjouée à l'idée d'enfin relancer le business familial, son visage affichait un large sourire alors qu'elle préparait son bureau. Rose ne s'en rendit pas compte, mais plusieurs fois elle stoppa son ménage pour l'observer.

Finalement l'interphone sonna et Maria appuya sur un bouton.

-Présente-toi à la porte et amène-la-moi dans le salon d'attente. Sois parfaite avec elle.

Elle réajusta le serre-tête de la jeune fille ainsi que son bustier avant de rajouter.

-Ne me déçoit pas.

Rose se rappelait très bien des menaces de la veille, elle en avait fait des cauchemars toute la nuit.

-Oui maîtresse.

La porte sonna quelques minutes plus tard. Rose prit une grande inspiration et ouvrit la porte. Elle avait pris sa décision. Peu importe ce qu'elle devrait faire, elle survivrait et mènera ses folles à la justice.

-Bienvenue au château Ragia Madame!

Elle avait parlé d'une voix forte et claire, accueillant son invité avec un grand sourire.

-Maîtresse vous attends.

Madame Brooks était une grande femme, elle dépassait la jeune fille d'au moins une tête. Rose estimât qu'elle avait une quarantaine d'années, mais elle n'était pas sûre. La femme avait de longs cheveux blonds tombant en cascade sur ses épaules, son visage était orné de petites lunettes rectangulaires qui rehaussaient son air strict. Rose remarqua également sa poitrine naturelle, ses seins étaient piégés dans un chemisier blanc crème qui semblait prêt à éclater sous la pression.

Elle sourit en voyant Rose l'inviter à entrer et emboîta le pas à la servante .

Rose la menât au travers du château en sentant la femme la dévorer du regard, elle savait que le simple fait de marcher dans ce costume laissait ses fesses exposées à chaque pas. Elle sentait presque les yeux de la femme sur son postérieur. Il y a quelques jours elle aurait giflé quelqu'un qui aurait fait cela dans la rue, mais maintenant elle faisait en sorte que ses enjambées montrent un maximum de son cul pour plaire à l'invitée d'une femme qu'elle devait appeler maîtresse.

-Aurore! ça fait tellement plaisir de te revoir! Si tu savais comme je suis contente que tu sois là.

Maria les attendait dans le petit salon. Immédiatement les deux tombèrent dans les bras l'une de l'autre.

-Ma petite Maria c'est moi qui te remercie. Si tu savais depuis combien de temps j'attends ça.

Rose s'était décalée sur le côté de la pièce et tentait de se faire la plus discrète possible.

-Heureuse de rendre service. Tu veux boire quelque chose?

-Juste une limonade ma chérie.

-Rose.

La soubrette s'activa et commença à préparer la boisson sous le regard des deux femmes.

-Ta servante est encore plus mignonne que sur les photos. Tu l'as bien choisi. Et ce petit regard gêné qu'elle à sur la vidéo que tu m'as envoyée! juste parfait!

-Merci, je travaille encore dessus, mais elle est sur la bonne voie.

Rose le savait déjà, mais entendre que ces photos et vidéos d'elle circulaient en dehors de cet endroit était une terrible humiliation.

Elle servit le verre en silence, mais sa laisse la retenue. Madame Brooks n'en avait pas fini avec elle.

-J'aime beaucoup quand tu dis que tu es une soubrette qui aime se masturber devant sa maîtresse. C'est vrai?

Rose était de nouveau rouge pivoine. Elle avait passé toute la journée à se dire qu'elle endurerait tout sans rien dire et voilà qu'elle commençait déjà à flancher à la première humiliation.

-Oui madame c'est vrai.

-Et dit moi je suis curieuse. Comment est-ce que ta maîtresse à fait de toi sa gentille soubrette? Je me demande vraiment comment elle à obtenu ce résultat en aussi peu de temps.

Elle se crispa quand elle sentit une sensation froide sur son sein droit. Madame Brooks avait pris un des glaçons et le faisait voyager sur sa poitrine, rendant ses tétons immédiatement durs sous la fine couche de tissus.

-Raconte-moi en détail petite soubrette.

La voix était suave, mais autoritaire, à côté Maria profitait du spectacle.

-M-Maitresse m'a punie pour être une vilaine fille.

-Oh! Et comment elle t'a punie?

Le glaçon fondait de plus en plus, faisant luire sa poitrine.

-Maîtresse ma chatouillé jusqu'as ce que j'ai compris ma leçon.

Un petit rire sortit des lèvres de la grande blonde.

-Chatouillé? C'est tout? Tu est chatouilleuse ma petite?

-Oui madame, très chatouilleuse.

Elle vus une lumière s'allumer dans les yeux da la femme. Une lueur inquiétante.

-Il y a évidement des petits secrets de production, mais crois-moi ça été une nuit très intéressante.

Dit Maria, libérant sa servante de l'attention de Madame brooks.

-J'imagine!

S'exclama-t-elle en riant alors que Rose essuyait sa poitrine.

-Tu vois c'est pour ça que je suis content que tu aies décidé de relancer l'affaire. Le marché a besoin de produit bien travaillé, en subtilité, du savoir-faire en fait. Depuis quelque temps les esclaves de qualité sont de plus en plus difficiles à trouver. Les vendeurs les brisent trop violemment et trop tôt, y as aucun charme, aucune spécificité, la plupart ne savent même plus leur nom et veulent juste baiser autant que possible.

-Et moi je te remercie de laisser sa chance à mon projet. C'est vraiment gentil.

-Ne joue pas la carte des sentiments avec moi ma chérie. Je sais parfaitement que ce que tu vises c'est mon carnet d'adresses.

Dit-elle en riant.

-C'est pas faux en effet.

Admit Maria en souriant.

-Tu veux commencer?

-Fais-moi rêver.

Les trois femmes pénétrèrent dans le bureau et Maria prit place dans son large fauteuil de cuir, alors que Madame brooks s'installait dans une confortable chaise..

-Rose.

-Oui Maîtresse.

Rose sortit immédiatement d'un chariot un service à thé en porcelaine et servit deux tasses aux femmes avant de se placer à côté du grand écran qui occupait tout le coin gauche de la pièce.

-Alors pour commencer je vais avoir besoin que tu me dises ce que tu veux pour que je puisse commencer à sélectionner un peu. On commence par le basique donc : Genre, Race, Âge.

Madame Brooks savait parfaitement ce qu'elle voulait.

-Un garçon et une fille, blanc d'une vingtaine d'années.

Maria nota les indications sur une tablette avant de continuer.

-Tu veux être livré rapidement ou qu'ils soient complètement entraînés?

-Plutôt rapidement, ça fait longtemps que je n'ai eu personne à la maison et ça me manque.

-Très bien. Maintenant le plus important. Qu'est ce que tu veux comme type? Très soumis? Pas encore brisé? Résistant? Vicieux? Sadomaso?

Brooks réfléchis un instant.

-Pour la fille je voudrais une très soumisse, mais vicieuse. Elle obéirait fidèlement, mais saurait aussi prendre de l'initiative au besoin.

Maria nota.

-Pour le garçon, c'est plus spécial, je ne sais pas si tu vas pouvoir.

Maria sourit, c'était ça le vrai challenge. Si elle réussissait à satisfaire cette exigence, elle serait sûre que les clients afflueraient.

-Je voudrais que ce soit un soumis qui résiste, mais qu'il résiste de toutes ses forces à la soumission tout en refusant d'admettre qu'il aime ça. Plutôt faible physiquement si possible, mais avec de beaux attributs et enfin il faudrait qu'il soit mauvais élève.

Marie nota toutes les spécificités. Le défi était de taille, mais elle pourrait y arriver

-Très bien. Je vais te laisser quelques heures. Rose fait lui visiter le château et occupe-toi d'elle pendant que je fais une première sélection.

-Oui Maîtresse.

Répondit-elle alors que la femme quittait le bureau pour la suivre.

Rose connaissait encore mal le château, mais tenta de faire une visite correcte. Madame Brooks resta étrangement silencieuse alors qu'elle visitait le château. Au bout d'une heure de visite, elle la coupa.

-Montre-moi ta chambre.

-Pardon Madame?

La femme la surplombait en la regardant comme on étudie un animal.

-Je souhaite voir comment Maria traite ses esclaves, je pourrais peut-être m'en inspirer.

-Bien madame.

Répondit-elle d'une petite voix en la menant vers la partie résidentielle du château.

-Dit moi. Tu aimes être une servante?

Demanda-t-elle. Sur le chemin.

« Quelle question idiote! » se dit Rose. Évidemment qu'elle détestait ça.

-Oui madame. J'aime beaucoup.

-Petite menteuse.

Répondit la femme en lui mettant une petite claque sur les fesses.

-Pourtant tu es très mignonne dans ton uniforme. C'est comme si tu hurlais au monde que tu adorais servir et exciter les gens. Je suis sûr que tu mouilles rien qu'en te regardant dans une glace.

Rose ne dit rien alors qu'encore une fois son uniforme semblait peser des tonnes. Une fois que tout cela serait fini, elle brûlerait ces foutus costumes!

-Oui madame.

Dit-elle en ouvrant la porte de sa chambre. Madame brooks entra en admirant la richesse du mobilier.

-Waouh. Effectivement elle prend soin de toi.

Elle palpa le lit, admira les photos humiliantes de Rose alors que celle-ci se tenait au milieu de la pièce. Elle observa l'écran et les différents menus à la disposition de la jeune fille.

-Interressant.

Chuchota-t-elle en observant tout les coin et recoin de la pièce. Elle découvrit même la collection de godes et sex toys qui remplissait certains tiroirs. Finalement après avoir soigneusement détaillé la pièce elle déclara.

-C'est vraiment joli. Mais ça manque un peu d'amour. Il faudrait que tu personnalises un peu le tout . Viens là, je vais t'aider.

Elle alluma la fonction enregistrement de l'écran et s'assit sur le lit.

-Je vais te donner de bons souvenirs ici.

Rose s'approcha ne sachant quoi faire alors que la femme défaisait son chemisier pour laisser s'échapper deux énormes mamelons aux tétons roses. L'énorme poitrine était bien ferme et semblait douce au touché.

-Viens téter.

Rose se figea. Et ne put réprimer une exclamation de surprise.

-Pardon?!

Le son de sa voix montant sans qu'elle le veuille. Madame brooks tendait ses seins vers elle en souriant.

-Maria ne te donne pas assez d'amour et j'en ai à revendre. Donc tata Aurore va s'occuper un peu de toi.

-Mais... Mais...

Rose bafouillait. Elle s'attendait à être prise par cette femme ça oui. Mais pas à ça!

-Tu désobéis?

-Je.. heu.. Je.

Rose ne savait pas du tout comme réagir et restait à bégayer sans arriver à prendre de décision. Le regard de Madame Aurore se fit plus dur.

-Très bien! à genoux! Maintenant!

Rose se réveilla. Et se projeta à genoux.

-Désolé Madame je-j'était surprise c'est tout!

La gifle la fit taire en manquant de la projeter au sol.

-Tais-toi!

Rose était pétrifiée de peur. Si cette femme se plaignait à Maria elle était bon pour finir sa vie dans un lupanar crasseux à être traitée comme une bête!

-Les mains derrière la tête. Tout de suite.

Rose obtempéra. Levant les bras, exposant ses aisselles à la femme.

-Retourne-toi, face à l'écran.

Le grand écran enregistrait toujours et Rose se voyait en miroir. Elle avait l'air terrifiée, mais était forcée de regarder l'écran sans détourner les yeux. Elle sentit son corset perdre de la tension et descendre de quelques centimètres. Juste de quoi révéler l'entièreté de ses seins à la caméra.

Dans le reflet elle voyait Aurore tapoter quelque chose sur son portable. Elle espérait de toute ses forces que ce ne soit pas un message à sa maîtresse.

-Lis ça.

Un texte défila sur l'écran. Rose lut chaque mot bien distinctement.

-Je m'appelle Rose et je suis une vilaine soubrette qui a refusé une tétée de la part de sa maîtresse. C'est très mal et je suis désolée. Pour me punir, elle va me chatouiller jusqu'à ce qu'elle me propose à nouveau la tétée.

Rose était horrifiée par ce qu'elle lisait.

-Si tu baisses les bras ou tentes quoi que ce soit je dirais à ta maîtresse à quel point tu es une mauvaise fille.

Rose fermât les yeux dans l'attente des chatouilles, mais une nouvelle gifle vint à la place.

-Ouvert les yeux! Je veux que tu te regardes bien en train de te faire punir.

-Oui mahahahahahahahdame!

Les doigts commencèrent à courir sur sa peau, visant tous ses points sensibles et activant tous les nerfs de la jeune fille. Elle avait l'impression d'être encore plus chatouilleuse que lors la précédente punition.

-Tu es vraiment chatouilleuse en fait.

-Ouhihihihihi madahahame. Je suis chahatouileuuuse!

Elle n'arrivait absolument pas à se contrôler, les doigts étaient plus gros que ceux de sa maîtresse et traçait des lignes de feux sur son corps. Sur l'écran elle put voir que visiblement sa tortionnaire adorait le résultat.

-Redis-moi pourquoi je te punis?

Le buste de la jeune fille s'agitait en tout les sens.

-Pahahar ce que jehehehe suis une mohohovaise soubrette!

Aurore redoubla d'efforts alors que des larmes coulaient du visage de la jeune fille. Attaquant la base de ses seins tout en léchant ses aisselles afin de les rendre plus sensibles.

-Je croyais que tu aimais pourtant être une soubrette? Non?

-Ouhihihihihi! Je-j'aime être une soubrette! Pitihihiéééé!

-Tu aimes donc cet uniforme sexy? Tu aimes servir tes maîtres et maîtresses accoutrés de cette manière?

-Phouhihi j'ahahadore ça!

Le corps de Rose était en feu, elle avait de plus en plus de mal à maintenir ses mains. Chaque seconde était une lutte contre l'envie de baisser les bras pour éviter les chatouilles.

-Regarde-toi! À te faire chatouiller comme une mauvaise fille dans ton uniforme. Tu crois qu'une bonne soubrette se comporte comme ça?