Château Ragia Chapitre 02

Informations sur Récit
Première journée au château pour la soubrette.
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Partie 2 de la série de 34 pièces

Actualisé 03/26/2024
Créé 09/03/2020
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Château Ragia

Par koink

Chapitre 2

Rose se réveilla dans une petite chambre douillette, le soleil venait doucement de passer la ligne d'horizon alors que la matinée était à peine entamée. Un souffle d'air frais vint caresser sa peau nue la faisant frissonner. Pendant quelques minutes, elle resta sous ses draps, profitant de la douceur de ceux-ci en remémorant le rêve qu'elle venait de faire.

« Merci maîtresse mhhhhhhhh »

Le bruit avait résonné dans la petite pièce, la sortant de sa torpeur en sursaut.

« Je serais votre soubrette obéissante maîtresse »

Les yeux de Rose étaient encore ouateux de leur nuit de sommeil, il lui fallut quelques secondes pour appréhender son environnement.

La petite pièce était composée du large lit sur lequel elle reposait ainsi que de beaux meubles de bois et d'épaisses tentures couleur rouges qui réchauffaient la pièce. Un large placard ornait le côté droit juste à côté d'une porte qui menait à une petite salle de bain. Mais ce qui hypnotisait Rose était différent.

Deux grands écrans plasma ornaient les murs, diffusant en boucle des images de la nuit précédente. Elle ce vit habillé en soubrette, le regard rempli de désir alors qu'une femme enfonçait un large gode ceinture dans son entrejambe.

« Merci maîtresse! Merci maîtresse! Merciiiiii! »

D'un coup, tous les souvenirs de la nuit lui revinrent. Ce n'était pas un rêve! Elle avait bien été enlevée, dépouillée et torturée.

Elle était devenue en une nuit l'esclave de cette Maria, le collier sur son cou lui rappelant brutalement à quel point elle était à sa merci.

Devant elle, les images de sa punition défilaient, elle se voyait crier et se contorsionner sous les chatouilles, agitant ses seins dans son uniforme de servante, suppliant cette femme qu'elle appelait maîtresse.

Le règles ré apparurent dans son esprit, elle devait tout faire pour éviter d'être punie à nouveau avant de trouver un moyen de sortir d'ici.

Elle ce dirigeât vers la salle de bain et découvrit avec horreur un grand tableau couvrant une bonne moitié du mur.

Il accueillait une photo d'elle en haute résolution la représentant attachée au lit dans son costume de soubrette, le regard un peu déviant elle donnait quand même l'impression de la fixer droit dans les yeux. Rose osait à peine regarder la photo tant elle avait honte.

Elle prit une douche dans la grande cabine de verre, c'était un modèle de luxe dont les multiples jets caressaient son corps et elle devait bien le reconnaître, c'était extrêmement agréable. Une fois son corps parfaitement propre elle s'assit devant la coiffeuse et prépara ses cheveux. Elle ne donnerait aucune raison d'être punie!

Puis après une hésitation, elle fit descendre sa main vers son intimité, caressant son clitoris encore un peu enflé de la précédente nuit, gémissant doucement en savourant les ondes de plaisir qui pulsaient de son entrejambe.

« Phhhhihihihihi! »

Le tableau venait de s'animer alors qu'elle se masturbait, elle se trépignait sous les chatouilles de Maria, en gloussant sous son bâillon. À la sensation de plaisir s'associait maintenant un sentiment de honte en se revoyant ainsi.

Elle aurait bien voulu sortir de cette pièce, mais alors elle aurait dû recommencer du début ce qui l'exciterait encore plus. Elle continua donc sa masturbation, se caressant lentement et essayant d'en profiter à maximum, devant elle la vidéo du tableau continuait à la montrer bâillonné et gloussante comme une idiote.

Bientôt, elle fut prête à jouir, ses mouvements devenaient erratiques face au plaisir, ses jus coulant sur ses doigts alors que son entrejambe devenait brûlante.

Son collier sonna à cet instant, un petit son strident qui devait indiquer quelle avait atteint son objectif. Elle retira ses doigts d'un coup sec, caressant une dernière fois son clitoris au passage manquant jouir.

Le grand placard contenait sans surprise une collection d'uniformes. De toute taille et de tout type, chacun avait de quoi faire rougir la jeune fille.

Rose mit un moment avant de choisir un ensemble composé d'un corset faisant ressortir sa poitrine, mais complété par un tissu blanc uniquement uni au reste par un scratch qui cacherait ses seins. La robe, elle, était à l'image de celle des ballerines et entourait sa taille comme une collerette, laissant son intimité totalement visible pour les autres, mais pas pour elle.

Au moins, elle se sentait un peu couverte. Devant le miroir elle plaça son serre-tête orné de la collerette blanche des soubrettes.

Son visage devint rouge pivoine une fois encore en regardant le résultat. Elle était ridicule ce dit elle en ce dirigeant vers la porte.

Le château était grand, mais elle parvint rapidement à trouver la cuisine au rez-de-chaussée, équipée de tout le confort moderne les placards et frigidaires regorgeaient de nourriture, elle prépara un petit déjeuner à base de pain grillé, d'un verre de jus de fruit et de confiture.

Sa maîtresse ne lui avait fait part d'aucune règle spécifique concernant son alimentation, mais elle réfrénant son envie de se préparer un plat pour elle.

Aucun doute que Maria prendrait mal que son esclave mange avant elle.

La robe tressautait à chacun de ses pas et elle n'osait jeter un œil au nombreux miroir de la demeure de peur de mourir de honte.

La chambre n'avait pas changé depuis la précédente nuit, le soleil entrait doucement par la grande baie vitrée, caressant les pieds du grand lit à baldaquin. Rose frissonna en repensant à son calvaire de la nuit précédente. Elle avait décidé de tout faire pour de ne jamais avoir à revivre ça.

Elle vérifiât l'heure sur une pendule et déposa le plateau sur un des meubles avant de ce rapprocher du lit.

Elle était là, allongée sous des draps de soie laissant deviner chacune de ses formes parfaites. Elle la haïssait tant! Mais qu'elle était belle! L'idée de lui sauter dessus lui traversa l'esprit, après tout elle était bien plus forte qu'elle, et elle n'aurait aucun mal à la maîtriser. Mais le collier enserrant son cou lui rappela qu'elle ne pouvait prendre un tel risque. Un système de sécurité était sans doute prévu pour ce genre de situation.

Rose se glissa sous le drap le plus délicatement possible et ce fraya un chemin jusqu'as l'entrejambe de sa maîtresse. Finalement son objectif apparut sans qu'elle eût l'impression d'avoir réveillé la femme. L'odeur était douce et enivrante, Rose tenta de ne pas paraître trop enjouée et lécha lentement la fente.

Elle fit ressortir le clitoris d'un coup de lange et l'embrassa, goûtant les fluides de sa maîtresse comme on goûte un grand vin. Les gémissements s'échappant de l'autre côté des draps lui indiquèrent qu'elle venait de se réveiller, les jambes se refermèrent sur son cou lui signalant qu'elle avait encore du travail. Redoublant d'ardeur elle plongea sa langue profondément dans l'entrejambe de sa maîtresse.

-Mhhhhhhhh oui, continue, bonne fille.

La pression s'accentua à mesure que Maria se rapprochait de l'orgasme. Rose ouvrit la bouche en grand et enfonça sa langue le plus loin possible pour en finir rapidement. Elle n'avait pas envie de continuer à donner du plaisir à cette femme.

-Parfait , Mhhhhhh, Oh oui!

Le flot qui s'échappa de l'entrejambe de sa maîtresse se projeta directement dans sa gorge, la forçant à immédiatement l'avaler pour ne pas s'étouffer.

Lui maintenant la tête collée à son entrejambe elle releva les draps pour observer Rose la bouche avalant son entrejambe, la gorge pleine de ses fluides les yeux rivés sur les siens. Elle caressa la collerette qui ornait sa tête.

-Pas une goutte sur les draps petite soubrette.

Rose compris et aspira tous les fluides qu'elle put en retirant lentement sa langue, au final pas une goutte ne tomba sur les draps de sa maîtresse.

Elle se releva alors que Maria s'adossait dans son lit, sans un mot elle lui apporta son petit déjeuner.

-Merci.

Dit-elle en voyant apparaître la collation.

-Bien dormie? Tu aimes ta chambre?

Rose lui aurait bien dit que les écrans et l'immense photo de la salle de bain la mettaient mal à l'aise, mais elle se doutait que cela n'était pas la bonne réponse.

-Très bien maîtresse, la chambre est très jolie.

-Je sais, je me suis beaucoup amusé à l'agencer après que tu sois évanouie. Je pense encore faire quelques changements.

Rose eut quelques flashes de la nuit précédente pendant que Maria finissait son repas. Jamais elle ne s'était offerte comme cela à quelqu'un, les vidéos de sa chambre lui donnaient l'impression de voir une autre personne tant elle ne se reconnaissait pas dans cette créature mendiant pour un orgasme.

Rose se tint à côté de sa maîtresse pendant son repas, son estomac commençant à la faire souffrir malgré son « en-cas » liquide.

-Ce matin je te fais la visite de la maison, pour le sol c'est déjà automatisé, tu devras principalement faire les poussières

-Oui maîtresse.

-Ensuite je t'expliquerais ton travail avec, il faudra...

Un gargouillement retentit du ventre de Rose, la prenant totalement au dépourvu et interrompant la femme.

-Désolé Maitresse!

S'écria Rose espérant de toutes ses forces ne pas se faire punir.

-Tu n'as pas mangé?

-Non madame.

-C'est pour ça que tu lèves une heure avant moi pourtant. Tu attendras jusqu'a ce midi, je ne décale pas mon programme pour toi.

Rose se maudit pour s'être empêchée de manger plus tôt.

Elle habilla sa maîtresse, puis celle-ci accrocha une laisse de cuir à son collier et la mena dans les couloirs du château, la plupart des pièces étaient des salons ou des chambres, elle compta également un grand nombre de salles de bain, de boudoirs et même une grande bibliothèque, un jardin d'intérieur empli de lumière ainsi une petite serre.

-Je me suis installé récemment, je n'ai pas encore décidé de ce que je vais faire de certaine pièce donc pas besoin de t'en occuper. Pour l'instant, concentre-toi sur l'aile principale d'accord?

-Oui maîtresse.

Rose n'en revenait pas de la taille du château, trois ailes complètes et chacune plus belle que l'autre, le tout s'étendant sur un domaine dont Rose ne parvenait même pas à voir la limite. Mais en effet, la plupart des salles en dehors de l'aile principale semblaient inutilisées depuis un certain temps.

La visite dura toute la matinée, à la fin son ventre la faisait tant souffrir qu'elle en avait oublié le picotement constant de son entrejambe excité par sa masturbation matinale.

Elles revinrent dans l'aile principale par l'un des passages qui reliait les bâtiments et sa maîtresse lui montra le bureau. Il occupait tout un étage et était composé d'une grande salle aux murs de bois sombre couvert de livres. Il y avait aussi une salle d'attente avec de profonds canapés, un bar et de nombreux écrans. Rose avait l'impression de pénétrer dans une capsule temporelle tant elle se serait crus dans un bureau royal.

-Tu t'occuperas des invités ici. Tu me les amèneras dès que je sonnerai la cloche.

Rose vit la petite clochette dont elle parlait.

-Et si je ne l'entends pas Maîtresse?

-Aucune chance. Regarde.

Elle agita la petite cloche qui tinta et Rose reçut un choc électrique par son collier. La jeune fille sursauta sous la surprise.

-Aïe!

Sa maîtresse sourit.

-Tu vois.

-Ou-oui maîtresse.

-Très bien.

Elle tira sur la laisse, menant la soubrette dans le bureau, s'asseyant sur le lourd fauteuil de cuir noir du bureau laissant Rose au milieu de la pièce.

-Écarte les jambes, montre-moi bien ta chatte.

Rose cambra son ventre pour faire ressortir son sexe. Elle détourna les yeux de gêne ce que sa maîtresse remarquât immédiatement.

-J'adore ce petit côté prude chez toi, qui aurait cru qu'une fille de foyer serait si fleure bleue. C'est très mignon de voir ma soubrette toute gênée de montrer sa chatte à sa maîtresse.

Rose fut encore plus embarrassée, à force de devoir montrer une figure forte au foyer elle n'avait jamais vraiment eu de relation. Juste quelques garçons avec qui elle n'avait souvent passé qu'une nuit durant les quelques vacances qu'ils avaient parfois.

-Tu es embarrassée devant moi?

Rose n'avait pas envie de répondre, mais elle avait trop peur de ce que la punition pourrait être.

-Ou-Oui maîtresse.

Bafouilla-t-elle, ses origines lui offrait une peau suffisamment claire pour parfaitement voir sa gène, on pouvait voir son visage devenir complètement rouge à chaque fois que sa situation lui était rappelée. Maria semblait savourer sa gêne, la boire comme une vampire.

-Masturbe-toi pendant que je t'explique ton travail. Attention à ne pas jouir.

-Oui maîtresse.

Dit Rose en commençant à malaxer son entrejambe qui lui rappela immédiatement à quel point sa masturbation précédente l'avait excitée.

Sa main frottait contre sa jupe faisant bruisser le tout à chaque mouvement.

-Ton travail avec moi consistera à me ramener, dossier, collation et plaisir à chaque fois que j'en aurais besoin, je te veut à porter de voix dès l'instant où tu travailles ici. Compris?

-Oui Maitressssse.

Répondit-elle en gémissant sans le vouloir.

-Et évidement tu m'aideras dans le choix des candidats et tu veilleras à ce que chaque client puisse admirer à quel point tu es une bonne esclave. Compris?

Rose hocha la tête alors que le plaisir inondait son corps.

-Oui Maîtresse, je mmmmmontrerais que je suis une bonne esclave.

Elle avait envie de lui sauter dessus pour lui avoir fait dire ça, mais elle n'avait pas le choix.

-C'est mon arrière-grand-mère qui à fait la fortune de la famille. Mes parents et grands-parents n'ont jamais eu à travailler de leur vie, mais moi je n'ai pas envie de rester à ne rien faire au bord d'une piscine à parler de ragot. Mes parents sont morts il y a trois ans. Un accident d'avion, me faisant seule héritière des propriétés familiale. Je me suis dit que ça serait bête de ne pas en profiter et j'ai relancé le business familial, j'ai revendu tout ce qui ne servait à rien, fait restaurer le château et maintenant j'ai toutes les ressources et les contacts dont j'ai besoin pour commencer à vendre.

Rose gémissait de plus en plus fort, cependant elle ne perdait pas une miette des informations. Une fois libre cela lui servirait pour la faire tomber.

-Tu sais ce que je vends ici?

Lui demanda elle.

-Mhnnnnoooon Maitresse.

Dit elle alors que ses jambes commençaient à flageoler sous la tension, elle tentait de se masturber plus lentement pour gagner du temps, mais cela l'excitait encore plus.

-Eh bien toi.

-Quoi?

S'écria-t-elle, manquant de jouir sous la surprise.

-Pas toi spécialement, mais des gens comme toi.

Répondit Maria en riant.

-J'épluche tous les registres nationaux et internationaux pour trouver des jeunes filles ou jeunes hommes dont la disparition n'éveillera aucun soupçon, puis je les entraîne et je les vends au plus offrant. C'est très lucratif. Certain veulent des individus particuliers, d'autre des formations spéciales d'autres veulent être surpris, il y à tout un marché. Et toi tu seras ma vitrine. Une belle petite soubrette prête à servir sa maîtresse et ses invités avec le sourire.

Rose manqua de tomber à genoux sous le choc, à la fois de la révélation, mais aussi de la masturbation. Elle allait aider à plonger d'autre personne dans cet enfer!? Non! Elle ne pouvait pas! C'était mal!

Pourtant elle répondit quand même en haletant.

-Oui Maîtresse!

-Très bien. Tu peux arrêter.

Rose souffla en retirant sa main de son entrejambe, la frustration était absolument horrible!

Sa maîtresse se leva et reprit sa laisse, lui laissant à peine le temps de se remettre sur ses jambes.

-À table.

Rose se tenait debout devant sa maîtresse en train de manger. Maria lui avait demandé de lui préparer un repas, mais elle était loin d'être un cordon bleu. Elle espérait que cela ne signifierait pas une nouvelle punition. Au moins elle en avait profité pour remplir son ventre.

-Demain doit être parfait. Je compte sur toi pour donner le meilleur de toi-même. Madame Brooks est une vieille amie de la famille, elle est très connue dans le milieu. Si elle nous approuve, on aura de quoi partir sur de bonne base de clients.

-Oui Madame.

Répondit Rose en appréhendant le lendemain. Elle n'osait imaginer quel genre de personne était cette madame Brooks.

-Approche.

Dit Maria en posant ses couverts.

Rose obtempéra, sa jupe de ballerine sautillant à chacun de ses pas.

Sa maîtresse attrapa sa laisse et l'obligea à baisser la tête pour la regarder alors que sa main se posait sur la chatte de la soubrette, commençant à la malaxer avec des gestes experts qui firent s'agiter les jambes de la jeune fille.

-Mhhhhhhhhh, maîtresse? Ooooh!

Rose n'atteignait jamais ce plaisir quand elle se masturbait, Maria semblait connaître à l'avance ses points sensibles, elle en découvrait même de nouveaux, inconnus de la jeune fille. Les doigts caressaient, titillaient et pinçaient avec délicatesse l'entrejambe brûlante de la soubrette.

-Si tu fais le moindre écart, si j'entends la moindre forme de protestation, si tu t'occupes mal de notre invité ou qu'elle à la moindre critique à te faire. Je passerais les prochaines semaines à te faire subir ta punition d'hier. Encore, encore et encore jusqu'à ce que ton petit esprit soit complètement brisé, puis je te vendrais au premier bordel de bas étage que je trouverais. Tu comprends?

Rose résistait contre son envie de jouir, ses jambes s'agitaient en tentant de la maintenir debout alors qu'elle gémissait de plus en plus sous le doigté de Maria. La tirade de sa maîtresse l'avait terrifié et elle s'imaginait déjà enfermée dans une cage, enchaînant les passes, réduites à l'état d'animal.

-Tu t'es très bien comportée aujourd'hui. Tu as suivi toutes les règles et tu as été très obéissante. Continue comme ça demain et je te récompenserais.

Rose se mordait la lèvre tant la tension dans son corps était forte.

-Tu veux jouir?

Elle hocha la tête violemment implorant sa maîtresse du regard.

D'une torsion du poignet elle agrippa son clitoris et le tordit délicatement.

-Jouis.

Rose explosa, la jouissance traversant son corps dans un puissant orgasme qui aspergea la main de sa maîtresse. Ses jambes lâchèrent et elle tomba à genoux devant Maria.

-Continue, tu peux jouir autant que tu veux.

Rose était partagée entre l'envie d'obtenir plus de plaisir qui battait dans son esprit et et celle d'éviter l'humiliation de se masturber devant cette femme. Craignant la punition elle écarta les jambes et ses deux mains commencèrent à malaxer son entrejambe, la menant rapidement à gémir de plaisir alors qu'un nouvel orgasme ce préparait.

-Nettoie ça.

Dit Maria en lui tendant sa main encore couverte de ses fluides. Tressautant de plaisir Rose lécha la main, goûtant ses propres liquides tout en gémissant de plaisir alors qu'un nouvel orgasme traversait son corps.

Une fois finis Maria attrapa le tissu blanc qui cachait la poitrine de la soubrette, laissant apparaître les seins ronds et fermes de la jeune fille. En souriant, elle attrapa un téton dans chaque main et commença à les malaxer. Rose n'avait pas d'autre choix que de la regarder dans les yeux alors que le plaisir augmentait.

-Ils sont tout dur.

Dit-elle en riant.

-Tu es une soubrette qui aime se masturber devant sa maîtresse?

Rose s'était tant retenue depuis le début de la matinée que malgré l'humiliation elle ne voulait pas arrêter de jouir.

-Oui Mhhhhh maîtresse.

Elle tordit ses tétons d'un coup de poignet.

-Oui quoi?

Rose se reprit.

-Je, Je suis une soubrette qui aime se masturber devant sa maîtresse!

Elle avait presque crié en jouissant. Toute la frustration qu'elle avait accumulée sembla s'échapper de son entrejambe en même temps que ses fluides. Un immense sentiment de calme commença à la remplir, elle se sentait épuisée, mais satisfaite.

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