Chantage à L'opticienne 02

Informations sur Récit
Chantage sur une mère et ses filles.
3.4k mots
4.09
31.6k
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Récit n'a pas de balises

Partie 2 de la série de 5 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 05/10/2017
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Caroline sortit de la pièce et me laissa seul avec Martine si fatiguée qu'elle avait du mal à se rhabiller

- S'il vous plaît maintenant que j'ai fait ce que vous vouliez ne touchez pas à mes filles!

- Crois-tu que tu as vraiment la possibilité de négocier ou de faire quoique ce soit?

- Les filles n'ont rien à voir là-dedans, mon mari est le seul responsable je suis prêt à payer pour ses fautes mais s'il vous plaît pas mes filles!

- Écoute-moi bien, tu vas rentrer à la boutique et expliquer à l'équipe que je suis désormais le patron. Dans quelques minutes tu vas recevoir un e-mail donnant des instructions très précises pour cette après-midi. Tu as intérêt à bien suivre les instructions afin que je puisse m'amuser. Je te préviens que tu es déjà dans la panade et en plus j'ai des photos de toi que nous venons de prendre à l'instant. Fais ce qu'on te dit et personne n'aura de problème ni toi ni tes filles.

Martine en rentrant à la boutique décida de prévenir sa fille Valérie ainsi que Mylène son employée de la situation.

- Où est ta sœur demanda Martine?

- Elle m'a téléphoné ce matin elle est partie à Rome deux jours avec son mari. Son couple est en difficulté, elle essaye de renouer avec lui, elle rentre demain.

- D'accord. Voilà, je vous convoque car je viens d'avoir un entretien avec l'expert-comptable. La situation de la société est très difficile. Très fragile pour ne pas dire inexistante. Nous avons des dettes, énormément de dettes. En accord avec lui nous avons décidé de changer les choses. L'expert-comptable a décidé de remettre de l'argent au sein de la société pour la renflouer et devient de fait, désormais le nouveau patron. Je sais que c'est difficile mais je vous demande de tenir j'ai confiance en lui, il sait gérer les comptes, nous allons repartir et regagner de l'argent comme avant. Il viendra tout à l'heure pour parler avec vous. Je vous demande de faire le maximum à fin de pouvoir l'aider.

- Mais maman tu ne peux pas passer la direction de la société comme ça d'un seul coup sur un coup de tête!

- Comme je te l'ai dit chérie la société est dans un état pitoyable. Il n'y a pas d'autres solutions. Crois-moi que j'ai pensé à toutes les possibilités mais vraiment pas de solution. Allez! Au boulot!

Martine rentra dans le bureau situé au fond de la boutique, un bureau insonorisé qui permettait à Louis de me parler en toute franchise et sans que personne puisse nous écouter. Installée dans le fauteuil Martine entendit une petite sonnerie arrivant de son ordinateur. Un mail était arrivé. Le mail. Elle cliqua dessus il avait pour objet instructions "pour Martine". Elle commença à lire et son visage se liquéfia. Elle se laissa tomber sur le dosseret. Elle comprit au fur et à mesure de la lecture de ce mail que cette après-midi ne sera pas une après-midi comme les autres pour elle et surtout pour sa fille.

- Caroline! C'est après-midi je vais t'offrir des lunettes de soleil. Nous passerons à la boutique de Louis. On va s'amuser un peu. Et tu vas en profiter pour choisir des montures. Je te les offre! C'est cadeau! Offert par le patron!

En début d'après-midi, nous arrivions à la boutique d'optique. Martine était venue nous accueillir. Elle me présenta tout d'abord la vendeuse. Elle s'appeler Mylène, je la connaissais déjà, toujours le même profil, jolie petit bout de femme forte poitrine habillée avec un chemisier et un pantalon, brune aux yeux noisettes elle avait un joli sourire. Joli corps. Une femme qu'on remarque dans la rue. Puis elle me présenta sa fille qui était déjà avec un couple de clients. Sa fille, comment dire je ne la connaissais pas trop, jolie gueule petite poitrine pas mal du tout, très élégante un gros cul mais un joli sourire. Elle me serra à la main.

- Bonjour, très heureuse de vous rencontrer. Maman m'a expliquée la situation. Je tiens à vous remercier de ce que vous faites pour nous. Je suis désolé pour l'absence de ma sœur Laurence qui est en voyage à l'étranger, elle rentrera demain

- Mais je vous en prie c'est la moindre des choses, je fais cela pour votre papa, je lui dois beaucoup. Martine pouvons-nous passer au bureau s'il vous plaît?

Pendant ce temps-là Caroline regardait les montures sur les différents présentoirs. Elle essayait évidemment les plus chères. Et elle se regardait dans le miroir en faisant des commentaires à haute voix, sous le regard méprisant de Valérie la fille de Martine.

Martine m'ouvrit la porte du bureau, je verrouillais la porte et me rapprocha d'elle

Sans rien dire, je lui malaxais ses seins à travers son chemiser, elle poussa un petit cri, puis avec la main droite, je soulevais sous jupe afin de lui caressais la chatte.

- Alors grosse pute tu as bien lu ton mail?

- Oui mais je vous en prie! Ce que vous me demandez est impossible! C'est ignoble! Je ne peux pas faire ça! Répondit elle haletante.

- Mais bien sûr que tu peux le faire! Tu es dans la merde! Alors tu vas bouger ton gros cul et tu vas commencer à suivre les instructions, d'accord?

- Dépitée, elle me répondit : d'accord. Tout ce que vous voudrez.

- Bien. Alors on va commencer.

- Suce-moi!

- Elle s'agenouilla entre mes jambes puis commença ma fellation

- Dis-moi elle a l'air mimi la vendeuse?

- Mmmmmm...! Me répondit-elle tout en gardant ma bite dans sa bouche

- Elle est mimi ou pas?

- Mmmmmm...! Me répondit-elle tout en me levant son pouce de la main droite

- Tu crois qu'elle suce bien?

- Mmmmmm...! Elle leva son pouce tout en continuant de sucer

- Elle a certainement de beaux nichons?

- Mmmmmm...! Elle leva son pouce.

- Tu crois qu'elle a de gros tétons?

- Mmmmmm...! Elle leva son pouce une nouvelle fois

- Elle a un joli cul non? Tu crois que je pourrais l'enculer?

- Mmmmmm...! Elle leva son pouce une nouvelle fois

- Je ne sais pourquoi, j'ai une envie d'enculer cette après-midi! Branle-moi avec tes nichons, tu pourras parler ainsi.

- Elle dégrafa son soutient gorge afin de libérer ses gros seins et commença la cravate de notaire.

- Crache sur ma bite! Voilà! Comme cela!

- Alors tu crois qu'elle suce la Mylène?

- Oui certainement, Monsieur, mon mari l'avait embauché pour sa plastique. La vitesse de ma branlette vous convient?

- Oui garde le rythme!

- Et ton mari, il l'a baisée?

- Je ne sais pas, Monsieur, j'ai eu des doutes mais jamais de preuves. Je suis à votre disposition Monsieur.. Ou voulez-vous jouir Monsieur? Ma bouche, mes seins, mon visage?

- Ta bouche! Comme ce matin. Je dois rester propre.

- D'accord Monsieur, je suis votre pute. Monsieur, je peux vous demander une faveur? Me dit-elle en continuant ma branlette avec ses gros seins.

- Tout dépendra de ta demande

- Ne soyez pas violent avec ma fille, elle est plutôt douce elle se confie souvent à moi, sa vie sexuelle est plutôt triste mais elle n'aime ni la violence, ni la vulgarité.

- On verra en attendant, prends ma bite dans ta bouche et avale.

- Elle rentra entièrement ma bite dans sa bouche et avala tout mon sperme. Cela devenait une habitude.

- Va me chercher ta fille maintenant

Elle se rhabilla et croisa Caroline qui me rejoignit dans le bureau.

- Ça y est j'ai trouvé patron! Je prends celle-ci, plus celle-ci, plus celle-ci! La classe non? C'est génial! Tu as vu la fille, Valérie, elle se la pète grave, non? La connasse je ne l'aime pas. Petite morveuse bourrée de fric.

- On frappa la porte.

- Entrez!

- Vous avez demandé à me voir questionna Valérie?

- Oui bien sûr! Je voulais avoir un entretien avec vous. Martine restez avec nous, nous allons avoir besoin de vous. J'ai besoin de connaître mon équipe, donc j'ai besoin de vous connaître vous. Pouvez-vous vous présenter?

- Oui bien sûr, vous me connaissez un peu, je crois. Je travaille ici depuis quelques années.

- Et votre situation familiale?

- Je suis mariée. Mon mari travaille dans le secteur de la menuiserie. Mais sa société est en grande difficulté. Ça ne marche pas beaucoup.

- Dis-moi Martine, grosse pute. Tu crois que c'est une tenue pour être devant son patron? Questionna Caroline.

- Mais...mais...comment vous parler à ma mère? Ça ne va pas non? Vous vous prenez pour qui, morveuse?

- Laisse ma chérie. Elle a raison, répondit Martine. Ta mère doit obéir.

- Comment ça elle a raison? Mais qu'est-ce que tu fais! Obéir à quoi, à qui? Mais je rêve!

- Martine commença à ouvrir son chemisier, laissant apparaître son soutien-gorge laissant apparaitre sa forte poitrine. Délicatement elle sortit ses seins du soutien-gorge, l'un après l'autre. Une mécanique bien rodée désormais. Elle enleva sa jupe. Et sa culotte. Elle attendit tête baissée.

- Écoute-moi bien. Ta mère a déjà tout compris de la situation. Elle est devenue notre esclave sexuelle. Vous êtes à deux doigts de la prison. Tu as intérêt à m'obéir, sinon cela va aller très mal pour toi. Et ta sœur aussi. Maintenant présente toi, je veux tout savoir de toi au niveau cul avec ton mec.

- Mais cela ne va pas. Vous êtes complètement dingue! Répondit Valérie.

- Alors Martine prit la parole :

- Je vous présente ma fille qui est une salope et qui va devenir une putain grâce à vous.

- Mais maman qu'est-ce que tu racontes! Tu es devenue folle! Mais ça ne va pas!

- Ma fille est une pute. Elle fait un 90B. Avec des seins en forme de poire. Comme vous pouvez le constater elle a un gros cul depuis son plus jeune âge. Elle a du mal à le cacher. Je pense qu'elle ne s'est jamais fait enculer. Elle a une chatte bien touffue devant. Elle a aussi du mal à sucer, elle n'aime pas cela. Mais je pense que vous allez la convaincre autrement!

- Je regardais Caroline avec un grand sourire, Martine suivait les instructions à la lettre.

- Mais maman tu es devenu complètement folle mais qu'est-ce que c'est que cette histoire! Mais où suis-je? Quelle vulgarité!

- Ta gueule salope répondit sa mère. Maintenant tu vas écouter ce que te dit Monsieur. C'est désormais lui le patron. Tu obéiras à tout ce qu'il te dira.

Carole se leva, s'approcha de la fille de Martine elle lui claqua une gifle d'une telle violence qui fit tourner la tête avec une trace rouge bien en évidence. Elle cria, puis se caressa le visage à l'endroit de la gifle.

- Et voilà petite pute, cela t'apprendra à résister! Cria Caroline

- Que voulez-vous implora Valérie.

- Déshabille toi comme moi répondit Martine, nichons dehors sur le soutif et sans culotte.

Valérie commença de se déshabiller encore sonnée par la gifle de Caroline. Elle ouvrit son chemisier lentement puis l'enleva. Puis elle commença enlever son pantalon et sa culotte en s'accrochant au bureau, vaincue la tête baissée.

- C'est bien ma chérie! Répondit Martine

- Alors comme ça tu n'aimes pas sucer? Mais tu vas devoir t'y mettre! A genoux devant moi et commence à sortir ma bite.

- Je n'aime pas cela, mon mari me demande de faire des choses sales. Je ne veux pas.

- Mais tu vas faire cela avec moi!

- Bien Monsieur répondit Valérie avec une toute petite voix.

- Martine, je compte sur toi pour donner des instructions à ta fille et l'encourager?

- Bien monsieur répondu Martine.

- Valérie regarda sa mère avec curiosité ne comprenant pas.

- Allez mets-toi bien à genoux Valérie! Entre ses jambes. Ouvre-lui sa braguette! Tu sors sa bite. Commence à masser doucement Valérie. Voilà, voilà c'est bien. Et dès qu'elle devient toute dure tu commenceras à rentrer sa bite dans ta bouche...recommanda Martine! Vas-y! Vas-y! Un peu plus dans ta bouche Valérie! Vas-y! Vas-y un peu plus dans ta bouche. Soutient le rythme! Soutient le rythme! La cadence un peu plus dans ta bouche un peu plus dans ta bouche Valérie! Un peu plus dans ta bouche! Continue! Continue. Maintenant sans les mains! Enlève ton soutien-gorge ma fille! Caresse tes seins! suce le plus vite! Suce le plus vite! Plus rapidement! Allez! Allez! Allez! Ma chérie! Allez oui comme ça Valérie! Oui comme ça! Comme ça! Continue! Continue! Continue! Continue...

- C'est pas trop mal pour une connasse qui n'aime pas sucer répondit Caroline! Mais maintenant mon avis ce qui serait préférable pour une femme comme! Serait de se faire baiser sur le bureau comme une chienne à quatre pattes.

- Tu entends ce qu'on te dit Valérie répondu Martine? Penche toi sur le bureau à quatre pattes Monsieur va te baiser comme une chienne. Voilà! Monsieur! Elle est prête elle est à vous.

- Merci Martine, répondis-je

- Allez Valérie. Tu vas te faire baiser par le maître je veux t'entendre jouir je veux t'entendre crier demanda sa mère

Et j'ai commencé à baiser Valérie sous les regards de sa mère qui s'approcha de moi, je la pilonnais et mes cuisses claquaient contre ses cuisses des oui, oui, encore, sortaient de la bouche de Valérie tandis que sa mère Martine se rapprocha de moi avec l'aide de Caroline pour m'offrir ses seins que je malaxais avec un grand plaisir elle s'approcha de moi et me murmura dans l'oreille

- Je vous offre ma fille comme pute, comme esclave. Je crois que c'est un beau cadeau ne m'en demandez pas plus s'il vous plaît.

- On verra grosse pute tout dépend du travail de ta fille!

- Et pendant que je continuais à baiser Valérie sur le bureau Caroline s'approcha de Martine la poussa légèrement dans le dos afin de se permettre de lui mettre un doigt dans le cul en lui précisant que ce n'était que le début et que c'était encore loin d'être fini

- Non. Non. Arrêtez! Répondit Valérie

- Continue Valérie, continue à faire plaisir un notre maître continue, continue, oh oui le doigt dans le cul, doigt dans le cul, continuez, continuez, c'est trop bon, c'est trop bon!

- Vas-y salope!, gueule, gueule!, ta pute de mère est à côté de moi espèce de salope, la grosse pute qui a un doigt dans le cul et qui te donne des instructions a sa fille, c'est ta mère! C'est le monde à l'envers, vas-y salope, vas-y salope.

- Martine, suce-moi la bite avant que j'encule ta fille!

- C'est le grand jour cria Martine qui se positionna devant le visage de Valérie pour se faire lécher la chatte et lui tenir les bras.

- Non! S'il vous plait! Non! Je ne l'ai jamais fait!

- Y a un début à toute petite!

Ma bite rentra difficilement au début mais les crachats de sa mère sur son trou du cul permettaient une meilleure pénétration. Elle cria de douleur, j'ai rentré entièrement ma bite sans trop de difficultés et le ramonage commença pendant de longues minutes.

- Quand je te le dirais tu te retourneras et tu te mettras à genoux devant moi.

- Valérie s'exécuta et se mit à genoux devant moi, pendant ce temps sa mère Martine s'approcha de moi pour me branler afin que je puisse jouir sur le visage de sa fille. Caroline elle se contenta de mieux lui ouvrir la bouche avec ses mains.

- Allez-y Monsieur! Allez-y m'encouragea Martine, jutez sur ma fille! Jutez sur ma salope de fille! Nous sommes vos putes!

- Puis au bout de quelques secondes mon sperme gicla abondamment.

- Le visage et la bouche de Valérie étaient remplis de sperme sous le regard de sa mère.

- Dis merci à Monsieur Valérie.

- Merci Monsieur répondit Valérie, à la fois choquée et apeurée.

- C'est bien les putes! Répondis-je, c'est pas mal pour une première fois ensemble. Maintenant retournez dans la boutique! Caroline repartie au bureau me laissant seul à fin que je puisse consulter les derniers comptes sur l'ordinateur.

Quelques minutes après on frappa à la porte du bureau. C'était Mylène la vendeuse.

- Puis-je rentrer, monsieur?

- Bien sûr Mylène, que puis-je faire pour vous?

- Eh bien voilà monsieur, depuis quelques semaines j'ai observé que des montures de lunettes de marque disparaissaient de nos présentoirs. Nos caméras de sécurité étaient en panne et nous ne pouvions rien faire. J'ai un ami qui est passé dans la semaine discrètement à la boutique et qui a réparé les caméras. Si vous voulez je vais vous montrer quelque chose sur l'ordinateur les caméras ont filmé quelque chose de très intéressant.

Elle cliqua sur un programme puis je vis une vidéo en noir et blanc avec une femme qui essayait des paires de lunettes de soleil et qui les volas par la suite, en les mettant dans sa blouse

- Qui est cette femme? Questionnais-je

- Autilia, notre femme de ménage. J'avais des soupçons depuis pas mal de temps mais je n'avais aucune preuve. Je ne n'ai parlé à personne, je vous attendais pour en parler.

- Mylène dès qu'elle arrivera ce soir pour commencer le ménage vous me l'amènerait dans le bureau afin que je puisse dialoguer avec elle. D'accord?

- Avec plaisir Monsieur. Merci.

- Cela fait combien de temps que vous êtes ici Mylène vous vous y plaisez?

- Oh depuis pas mal d'années monsieur, savez-vous qu'à part Monsieur Louis, je suis la seule à avoir un diplôme d'optique. Toutes les autres, c'est à dire ses filles ont été pistonnées par leur papa. Personne n'a le diplôme ici, sauf moi. Et la vie est plutôt difficile surtout avec les filles de Monsieur Louis qui me font vivre un enfer.

- Comment ça un enfer?

- D'abord elles font ce qu'elles veulent dans le magasin, elles ont les horaires qu'elles souhaitent, elles peuvent venir un jour, ne pas venir un autre jour, mais moi je suis toujours là du matin au soir à faire tout le boulot! Elles se servent dans la caisse très souvent afin de pouvoir s'acheter des fringues. Ce qui fait des trous dans la comptabilité. Parfois elles me prennent à la fin du mois les primes que j'ai gagnées en prétextant que je n'ai pas assez travaillé pour avoir ses primes. Le contexte est très difficile pour moi. J'ai prévenu Martine, mais elle m'a demandé de me taire.

- Ne vous inquiétez pas pour cela Mylène, je vais tout arranger

- Merci monsieur.

- Mais c'est moi qui vous remercie Mylène...

En fin de journée arriva à la femme de ménage Autilia. Dès son arrivée Mylène la conduisit dans le bureau. Une brune aux yeux bleus, assez jeune, jolie, la trentaine, avec une très forte poitrine comme toutes les portugaises mais un cul tout à fait normal un joli sourire, on sent la femme qui a travaillée toute sa vie

- Bonjour Madame, savez-vous qui je suis?

- Oui monsieur, vous êtes le nouveau patron.

- Venez ici, j'ai quelque chose à vous montrer sur l'ordinateur.

- Puis j'ai cliqué sur la vidéo et là, je vis le visage de la femme de ménage se décomposer.

- Je pense que vous êtes une femme intelligente, et que vous avez compris. J'ai deux solutions qui s'offrent à vous. Soit j'appelle la police je porte plainte et vous partez en prison. Soit je passe à marcher avec vous

- S'il vous plaît monsieur non pas la police, je suis seule avec ma fille je ne gagne pas beaucoup d'argent, c'est pour cette raison que je fais le ménage et je pensais que voler quelques paires de lunettes pourrait me permettre de gagner un peu plus d'argent. S'il vous plaît pas la police. Je suis une honnête femme. Proposez-moi ce que vous voulez.

- Est bien d'accord à mon domicile ma femme et moi avons besoin d'une femme de ménage. Voici l'adresse je t'attends demain matin à 8h chez moi à mon domicile. Mais je te préviens il n'y aura pas que des ménage à faire. Je vais te demander beaucoup plus.

- Attendez je ne suis pas celle que vous croyez! je ne joue pas de ce jeu-là.

- Tu n'as le choix et en plus tu vas avoir l'honneur de connaitre ma femme...et tu ne connais pas ma femme. A demain Autilia!

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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 7 ans

Beaucoup de possibilités pour les suites, j'ai hâte.

Rudy

trouchardtrouchardil y a presque 7 ans

J'aime bien ce texte.

Mais il me semble l'avoir lu ailleurs ? Où l'as-tu publié auparavant ?

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