Changements de vie pour Jessica 18

BÊTA PUBLIQUE

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Finalement Justin retire son membre pour me permettre de reprendre mon souffle. Mais seulement pour une courte période, car il empale de nouveau ma gorge avec son sexe. Il recommence le même jeu, il garde sa bite au fond de ma bouche jusqu'à ce que je recommence à me débattre. Cette fois, il reste plus longtemps, me laissant me secouer dans tous les sens. Les bracelets s'enfoncent profondément dans mes poignets alors que je me tortille sur la table comme une anguille hors de l'eau. Les autres stagiaires s'amusent de me voir aussi impuissante.

Justin montre ainsi son pouvoir dominant. Il a vraiment vite appris. Il a trouvé le moyen de me faire sentir comme son simple objet sexuel. Je m'étais attendue à ce que Matt prenne le contrôle dès qu'il est entré dans la salle. Mais c'est ce jeune lèche-bottes qui garde le commandement et se révèle un dominant capable.

J'essaie de rester calme. Je veux montrer aux stagiaires que je peux être une poupée de luxe. Cependant, plus la bite de Justin reste enfouie au fond de ma gorge, plus je suffoque et j'ai besoin de respirer. Donc finalement, je commence à me débattre avec force comme un poisson hors de l'eau. C'est épuisant pour moi, mais amusant pour les garçons. Et c'est tout ce qui compte, non ? Après tout, ici je suis leur jouet, non ?

Après avoir testé ma résistance, Justin commence finalement à baiser ma bouche, lentement, profondément et régulièrement. Encore et encore, il pilonne ma gorge serrée jusqu'à ce que son sexe chatouille mes amygdales et ses couilles reposent sur mon nez. Malgré mon entraînement d'hier, ses profondes pénétrations me font étouffer et cracher pitoyablement au rythme de ses poussées.

- Urggghhh... Urgggghhhh... Urgggghhhh...

Ma gorge réagit en produisant des quantités extrêmes de salive et de bave. Ça coule de ma bouche en torrents. Une fois de plus ma position n'arrange rien. La bave coule sur mon visage, sur mes joues et jusque dans mon nez.

Cependant, soudainement Justin s'arrête et retire sa bite de ma bouche. Il la tient directement au-dessus de ma tête et il me laisse la regarder. Puis il donne un coup sec à sa queue avec son doigt.

- Aiiiee ! Crié-je en me débattant une seconde plus tard.

La bave sur sa bite est tombée sur mon visage. Elle a frappé mes yeux ouverts et ça m'a piqué. Bon sang, qu'est-ce que ça fait mal ! Mais ma douleur, mon cri et ma grimace ne font qu'amuser encore plus les stagiaires.

Quand j'arrête de bouger, Justin donne un autre coup à sa bite. Mais cette fois, je suis préparée et je ferme rapidement les yeux. Cet enfoiré ne va pas me surprendre une nouvelle fois. Toutefois il n'est pas d'accord.

- AIIIIEEE ! Crié-je quand il donne une grosse claque sur mon sein droit.

La gifle a envoyé mon sein droit s'écraser sur mon sein gauche. Le coup est si brutal que je suis sûre qu'il a dû laisser la trace de sa main sur ma peau tendre. Comme je n'ouvre toujours pas les yeux, il gifle mon autre sein.

- AIIIEEE ! OUILLE ! Crié-je.

Je gémis de douleur alors que Justin fouette mes seins avec sa main de gauche à droite.

Il ne s'arrête pas avant que j'ouvre les yeux. Puis il donne un autre petit coup à sa bite chargée de ma bave.

- Aiiieeee !

Je pousse un nouveau cri alors que la bave tombe dans mon œil gauche.

Putain de merde, ça pique et ça fait mal ! Néanmoins je fais de mon mieux pour garder les yeux ouverts jusqu'à ce que Justin fasse tomber pour la troisième fois de la bave qui tombe cette fois-ci sur mon œil droit.

Mes yeux me brûlent, ma poitrine est en feu et je veux toujours continuer à servir ces salauds comme une poupée de luxe. C'est bien le comportement d'un animal de compagnie soumis non ?

Satisfait de ma soumission, Justin remet sa queue dans ma bouche et recommence à me baiser.

- Vas-y, frappe tes couilles contre sa tête vide ! Commente Matt pendant que les testicules de son copain frappent mon nez pendant qu'il me baise la bouche.

Sa remarque ne fait qu'augmenter la situation humiliante dans laquelle je suis, et je grogne d'envie. Putain, je me perds complètement dans la luxure. Je suis concentrée sur mon plaisir. Matt a raison, ma tête est vide, toute pensée est bloquée. Tout ce qui compte c'est de servir ces jeunes stagiaires.

La bave m'a fait fermer les yeux et je ne peux plus rien voir. Maintes et maintes fois, je sens Justin retirer sa bite de ma gorge et étaler sur mon visage le flot de liquide épais qui sort de ma bouche. C'est aussi désagréable qu'humiliant. Mais ça rend le jeu amusant pour les gars non ?

Tout en me baisant la gorge, Justin attrape mes seins et commence à les tripoter avec rudesse. Attachée, je ne peux rien faire d'autre que de laisser me maltraiter. Mon visage recouvert de bave, ses coups de reins s'accompagnent de bruits humides qui se mélangent avec mes sons de suffocation.

Justin a pris possession de mon corps méthodiquement. Il m'a pris et me possède. J'ai l'impression que c'est exactement ce qu'il est censé faire. Je ne suis qu'un bout de viande pour le plaisir des stagiaires, pour qu'ils me baisent où et quand ils le veulent. Je sais que c'est ma place, dominée par Daniel et utilisée par les stagiaires.

- Je ne vois pas encore de rouge à lèvres sur mon entrejambe Miss BRATZ ! Me dit soudainement Justin.

Je n'en reviens pas. Avec mes yeux couverts de bave, je ne peux pas le voir non plus. Je suis obligée de le croire. Bien qu'il m'ait baisé la bouche avec vigueur, il n'avait pas entré complètement sa bite.

- Fais donc un petit effort pour réussir ton défi, salope ! m'encourage-t-il.

Et merde, je veux vraiment réussir. Après avoir chevauché le tableau, je veux montrer aux stagiaires que je suis un bon animal de bureau.

Justin garde sa bite à mi-chemin dans ma bouche, il veut que je fasse moi-même la dernière partie. Sans réfléchir davantage, je pousse mon visage vers le haut et je laisse glisser son membre plus profondément à l'intérieur.

Même si j'étouffe, je ne réussis pas encore à sentir la peau de son ventre contre mes lèvres. Encore une fois, je pousse vers le haut, et encore une fois ses couilles me frappent le visage. C'est tellement dégradant. Cette fois cependant, je sens mes lèvres et mon menton presser sa paroi abdominale.

- Oui, c'est ça, embrasse mon ventre avec tes lèvres de salope !

Justin me fait comprendre que j'ai réussi.

- Maintenant, tire la langue et chatouille mon ventre ! Ordonne-t-il.

J'arrive à peine à respirer. Pourtant je fais ce qu'il me dit et je pousse ma langue. Ça suffit à m'ouvrir encore plus la gorge et un autre torrent de bave jaillit et tombe sur mon visage déjà barbouillé.

C'est trop dégoûtant. Mon visage est enduit de bave et de bile.

Splash ! Splash ! Splash !

Justin frappe sa bite contre mes joues trempées de bave, provoquant des bruits mous et humides. Je comprends que mon visage doit être vraiment un gâchis. Comment vais-je pouvoir sortir de la pièce dans cet état.

- Hé hé, quels sons agréables ! Mais ça devrait être plus fort ! Fait remarquer Matt

- Arggghhh ! Gémis-je soudainement.

En réponse au commentaire de Matt, Justin vient de me cracher au visage ! Un gros mollard a atterri sur ma figure, s'ajoutant à la bave et me faisant sursauter de dégoût.

Splash ! Splash ! Splash !

Une fois de plus cet enfoiré gifle mes joues avec sa bite pour faire des bruits humides. Puis il remet sa bite dans ma bouche et me baise avec un bon rythme.

Splash ! Urghhhh ! Urggghhh ! Splash ! Urgghh ! Urgghhhh !

Il s'amuse avec mon visage. Il alterne entre me gifler avec son membre et m'étouffer pendant que mon corps se débat sur la table. La quatrième fois, il termine la séquence avec deux grosses claques bien appuyées sur chacun de mes seins. Je grimace, mais je sens une décharge dans ma chatte.

- Hé hé, bravo ! Tu as trouvé une utilisation parfaite pour cette chienne. Sa tête est aussi creuse qu'un tambour de toute façon. Ricane Matt.

- Ouais, c'est ce qu'on dit, ce sont les contenants creux qui font le plus de bruits. Laisse échapper Justin.

J'ai l'impression que les deux jouent au jeu de savoir qui pourra le plus se moquer de leur animal de bureau stupide. Ils ne se soucient pas de mes gémissements ou de mes petits cris en réponse à leurs moqueries. Justin continue à utiliser mon visage comme il le désire.

Splash ! Urghhhh ! Urggghhh ! Splash ! Urgghh ! Urgghhhh !

CLAC ! CLAC !

Cette fois, Justin gifle deux fois ma chatte pour terminer la séquence. Ces claques inattendues me font mal, mais me font aussi presque jouir de suite. Se penchant en avant, il enfouit son sexe au fond de ma gorge et il commence à éjaculer. Sentant les jets de foutre, je n'ai même pas à avaler, ça tombe directement dans mon estomac. Après quatre giclées, Justin retire son sexe de ma bouche et me laisse respirer. Ma gorge est grande ouverte et j'ai l'impression qu'elle ne se refermera plus.

- Ohhhhh ! Crié-je soudainement de surprise.

Je ne peux toujours rien voir, car mes yeux sont fermés sous la couche de bave qui les recouvre. Pourtant je sens une sorte de matière lisse et douce glisser sur mon visage. Je comprends que Justin a dû prendre mon chemisier en satin pour essuyer mon visage.

- Non ! Arrête ! Crié-je en me débattant dans mes chaînes.

Il utilise mon chemisier comme un chiffon de nettoyage. Il ruine ma tenue en la recouvrant de bave et de bile. Comment pourrais-je continuer à la porter le reste de la journée ?

Bien sûr, Justin ne m'écoute pas. Il continue à essuyer mon visage avec le chemisier jusqu'à ce qu'il trouve que je suis propre. Maintenant, je peux ouvrir les yeux de nouveau. Mais je n'aime pas ce que je vois.

Il jette mon chemisier en satin sur le sol et remonte son pantalon, puis il détache mes poignets et mes chevilles. Enfin il quitte la pièce après Matt et Taylor.

Je suis seule et je peux bouger de nouveau. La position que j'avais sur la table était plus qu'inconfortable. Je dois étirer mes jambes pour retrouver un peu de sensation. Il me faut plusieurs minutes avant d'être prête à descendre de la table.

Je m'approche de mes vêtements et je ramasse mon chemisier pour l'inspecter. Le tissu est complètement trempé. De grandes taches sombres recouvrent le tissu et d'épais brins de bave s'y accrochent. Même après avoir utilisé du papier pour essuyer la bave, les taches humides restent en évidence sur le chemisier. Je ne peux plus le porter ! C'est foutu pour la journée ! Une conséquence désagréable du défi du rouge à lèvres !

Mon visage rouge de honte, j'ouvre la porte de la salle de photocopie et je jette un coup d'œil. Je viens de fourrer mon chemisier souillé dans mon sac à main et j'ai remis ma veste en cuir bordeaux. Même si j'ai fermé tous les boutons, je me sens nue. Sans le chemisier, la veste couvre les deux tiers de mes seins, mais c'est tout. Mon décolleté descend jusqu'à la courbe inférieure de mes seins.

Heureusement le couloir est vide alors je me faufile jusqu'à mon bureau aussi vite que possible. Avec le corset sans bonnets poussant ma poitrine vers le haut, j'ai l'impression que mes nichons vont sortir de ma veste à chaque fois.

Merde, je ne peux pas rencontrer mes subordonnés comme ça ! Ma multitude de bijoux fait que tous les gars du bureau me regardent longuement. Et s'ils regardent de plus près, ils verront que je ne porte rien en dessous.

Il me faut une pause. J'ai besoin de me vider la tête. J'ai besoin de revenir en mode travail. Tout ça devient incontrôlable. Mon excitation constante affecte ma capacité à travailler et diminue mes performances. Pire encore, ça me fait perdre tout intérêt pour mon boulot. Et au contraire, ça me fait fantasmer sur des jeux plus coquins. J'ai le sentiment que ça ne finira pas bien.

De retour à mon bureau, j'invente une réunion avec un client imaginaire. Je n'ai jamais fait ça et j'ai toujours respecté mon travail. Cependant il est très important de faire attention à ne pas voir certains collègues. Je suis absolument certaine que je vais me perdre dans l'excitation et la luxure si les stagiaires commencent un autre tour avec le jeu du rouge à lèvres.

Je n'ose pas rester dans mon bureau, mais je ne sais pas où aller. Alors j'attrape mon ordinateur et je me faufile avec précaution hors du bâtiment. Je vais dans un café assez loin pour qu'aucun de mes collègues ne me voit.

J'y reste quelques heures. Même si je reçois des messages sur mon téléphone, je ne les regarde pas. J'essaie plutôt de me concentrer sur le projet que je dois livrer demain. Mais malgré tous mes efforts pour accomplir cette tâche, mon esprit continue à vagabonder sur le défi du rouge à lèvres et sur la tentative de Matt de faire virer Daniel.

Assis à la terrasse au soleil, je remarque un groupe d'hommes s'arrêtant pour me regarder. Il y a même un groupe de jeunes qui me sifflent et m'apostrophent en passant. Ça me fait sourire et je me penche en avant pour attraper ma tasse de café et leur donner une bonne vue sur mon décolleté profond. Leur attention me réjouit et me fait sentir belle. Mais comme le tatoueur de ce matin, ils ne peuvent s'imaginer que je suis une directrice d'entreprise n'est-ce pas ?

Finalement, je me dis que je dois retourner au bureau pour assurer mes collègues de ma présence. Je regarde mon téléphone et je vois que j'ai reçu quatre SMS de Daniel. Il me cherche et n'est pas trop content que je ne réponde pas. Je lui envoie donc un rapide message lui disant que je viens d'assister à une réunion importante et que je rentre.

A mon arrivée au bureau, je reçois un autre message de Daniel. Il me dit de venir les voir dans la salle de détente des stagiaires. J'ai l'impression que les gars attendent avec impatience leur animal de bureau pour commencer un nouveau tout du défi du rouge à lèvres. En entrant dans la salle, je vois les quatre gars se prélasser sur les canapés. Des sandwichs traînent sur la table.

- Nous t'attendions pour que tu déjeunes avec nous. Nous avons même reporté notre pause déjeuner. Mais tu nous as fait attendre si longtemps que nous avons partagé ton sandwich. Dommage ! Me dit Daniel.

- Mais par contre, tu peux nous divertir pendant notre pause. Après tout, c'est pour cela que nous gardons un animal de compagnie au travail non ? Intervient Matt.

Puis il continue :

- Pourquoi ne pas utiliser ce moment pour mon tour ? De toute façon tu es impatiente que ce soit moi n'est-ce pas Miss BRATZ ?

Je ne réagis pas à ses paroles, mais Matt ne s'y attendait pas de toute façon. Pendant que les autres stagiaires prennent leurs sandwichs et commence à manger, il se lève du canapé et se dirige vers moi.

Je reste complètement immobile pendant qu'il commence à enlever les boutons de ma veste en cuir bordeaux. Il la fait glisser de mes épaules et la laisse tomber au sol. Puis il remonte ma jupe sur mes hanches. Il a fallu moins de trois minutes avant que je me retrouve au milieu de la salle de détente avec mes seins et ma chatte à l'air.

Je suis tellement nerveuse que j'ai du mal à rester immobile tandis que ce salaud arrogant fait le tour de mon corps. A chaque instant qui passe, je m'attends à ce qu'il me gifle ou me pince, ou trouve une humiliation perverse.

De toute évidence Matt apprécie la situation. Il savoure pleinement le pouvoir qu'il a sur moi. Très lentement, il passe doucement ses mains sur mes seins et effleure mes mamelons. Encore plus lentement il fait courir ses mains sur mes cuisses et mon monticule pubien. De temps en temps il feint de me gifler. Il me fait alors sursauter et me contracter.

Ce suspense me rend folle. Je suis sur le point de le supplier de gifler ma poitrine ou de pincer mon clitoris. Tout sera mieux que cette attente insupportable.

Mais soudainement il attrape ma chevelure châtain et me pousse en avant sur la table basse. Saisissant mes hanches il me soulève facilement et me retourne pour que je sois allongée sur le dos sur la table.

- Ces attaches sont très bien faites. Ce serait dommage que nous ne les utilisions pas n'est-ce pas Miss BRATZ ? Me demande-t-il tout en sachant que je n'aime pas être attachée.

Encore une fois, je choisis de l'ignorer bien que ses mots font battre mon cœur plus vite de nervosité. De toute façon, ce salaud n'attend pas de réponse et il se met immédiatement en action. Il attrape mes jambes et les soulève jusqu'à ce que mes genoux soient de chaque côté de mes seins et mes pieds en l'air. Puis il prend mes bras et les lève jusqu'à mes chevilles.

CLIC ! CLIC !

A l'aide des attaches, il accroche mes bracelets de poignets aux bracelets de cheville et à la table. Une fois encore mon bras droit est attaché à ma jambe droite et mon bras gauche à ma jambe gauche. Toutefois, ils sont cette fois-ci attachés au-dessus de ma tête. Je suis enchaînée comme un cochon à un poteau.

Dans cette position, avec mes jambes à côté de ma tête, ma chatte est complètement ouverte et exposée. Quoi que Matt veuille faire de moi, je suis à sa merci et il le sait. Mais il ne fait rien. Il rejoint les autres sur les canapés et commence à manger son sandwich.

Les quatre stagiaires sont contents de déjeuner et ils discutent du prochain grand matche de football tout en me laissant attachée sur la table basse. Tous mes trous sont facilement accessibles à tous et pourtant ils m'ignorent complètement.

Ils préfèrent leurs sandwichs à moi ! c'est pire que n'importe quel acte sexuel pervers que Matt puisse imaginer. Même ramper sous une table pour lécher du ketchup sur leur bite vaut mieux que d'être ignorée ainsi.

Justin est le premier à terminer son déjeuner. Il se lève du canapé et passe devant la table basse. En passant il crache nonchalamment sur ma chatte ouverte. Mais il ne me regarde même pas.

Tandis que son crachat coule lentement sur la chair rose de ma chatte, Taylor finit de déjeuner. Quand il passe devant moi, il pince rapidement mes deux mamelons avant de se diriger vers la porte.

Il ne reste que Daniel et Matt. Ils se positionnent chacun d'un côté de la table basse, faisant battre mon cœur plus rapidement. Enfin ça va commencer. Ils sont sur le point de m'utiliser. Mais je me réjouis trop tôt.

Les deux gars ont d'autres plans. Daniel approche sa main entre mes jambes alors que Matt tend la main vers mon visage. Le latino gifle mon clitoris en même temps que l'autre salaud me donne une gifle sur la joue. Je me débats alors sur la table. Mais Daniel donne une autre claque à ma chatte tandis que Matt frappe mon autre joue. Je ressens de la douleur, mais c'est mieux que rien. Pourtant c'est tout ce que j'obtiendrai pour le moment.

- C'était pour nous avoir fait attendre salope ! Me dit Daniel sévèrement.

- Maintenant c'est à ton tour de nous attendre petite pute ! Ajoute Matt.

Puis ils se détournent tous les deux et quittent la pièce.

Ils s'en vont vraiment. Je n'arrive pas à le croire. Je reste seule dans la salle de détente des stagiaires allongée sur le dos sur une table basse, les jambes et les bras attachés au-dessus de ma tête, ma chatte bien exposée.

Je suis leur animal de compagnie. Je suis leur poupée de luxe avec laquelle ils jouent comme ils le veulent. Pourtant ils viennent de me mettre de côté. Ils me jettent comme un objet inutile dont on a plus l'utilité.

Je passe la prochaine demi-heure dans cette position. Je reste immobile sur la table basse et j'écoute tous les bruits du sous-sol. Chaque fois que j'entends quelque chose, mon cœur se met à battre plus rapidement et j'espère que ce sont les stagiaires qui reviennent.

Je n'ai jamais autant désiré être baisée. Je n'ai jamais autant rêvé de servir ces salauds. L'attente me rend folle.

Finalement la porte s'ouvre et je crie presque de joie quand je vois Justin et Matt entrer dans la pièce. Le moment est venu pour continuer le défi du rouge à lèvres. C'est trop vicieux, pourtant je l'attends comme un enfant la veille de Noël.

Matt s'approche de moi tandis que Justin reste à l'arrière-plan pour observer la scène. Quand ce salaud sort le rouge à lèvres, je comprends que le défi commence. Je lève la tête et le regarde dans l'expectative. Où va-t-il le mettre ? Que va-t-il faire ?

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