Changements de vie pour Jessica 12

BÊTA PUBLIQUE

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Mon sexe saisit la banane et la serre. Je ne veux pas la laisser partir. Cependant, je dois me baiser avec et je dois la sortir et la rentrer encore cinq fois. Après l'avoir complètement retirée, je la fais glisser de long en large sur mes petites lèvres puis je la presse contre mon clitoris engorgé.

Le plaisir me frappe comme un marteau sur la tête et je tremble sur mes jambes. Je bascule presque au sol. Pour rester debout, je dois attraper le comptoir de la salle de café. Après avoir repris de grandes inspirations, je remets la banane à l'entrée de ma chatte et je la pousse à l'intérieur. Après quatre va-et-vient, des bruits humides accompagnent la banane. Le son est si fort que je crains que les employés des bureaux voisins entendent.

- Ooooohhhh...

Je n'ai finalement pas pu m'empêcher de gémir lorsque je pénètre une cinquième fois ma chatte avec le fruit.

Je suis trop excitée. Je ne peux plus me retenir. Je suis sur le point de perdre le contrôle. Il faut que j'en finisse avec ça ou je ne m'arrêterai pas avant d'avoir joui.

- OOOOOOHHHH...

Je gémis encore plus fort lors de la sixième poussée dans mon sexe.

La banane est dans ma chatte quand soudainement, Stephen, l'un des membres de l'équipe d'ORTEGA tourne au coin du couloir. Il se dirige vers la salle de café. Il va me remarquer d'une seconde à l'autre.

Son apparition soudaine me surprend tellement que je me redresse immédiatement et me fige sur place. Je lâche tout, jupe et banane. La jupe en cuir descend et recouvre ma chatte nue. Heureusement mon sexe apprécie tellement le fruit qu'il le serre fermement, refusant de le laisser partir.

Quelques secondes plus tard, Stephen passe devant Daniel et entre dans la pièce. Il me salue avant de tourner son attention vers la machine à café.

- Est-ce que vous venez de crier? J'ai entendu des gémissements ou quelque chose qui y ressemblait. Me demande-t-il.

Il a entendu mes gémissements! Je suis sur le point de me faire découvrir. Il faut que je trouve une excuse.

- Oh! Ce n'est rien, je me suis brûlé la langue avec le café chaud. C'est tout. Dis-je en essayant de ne rien laisser paraître de mon trouble.

Stephen a gobé mon excuse. Il me dit :

- Oui, je sais ce que vous voulez dire. Le café est toujours brûlant quand il sort de cette machine.

Debout comme une biche prise dans les phares d'une auto, je ne sais pas quoi faire. Tout ce que je sais, c'est que mon visage doit être rouge dans les tons les plus sombres. J'ai une banane fourrée dans ma chatte.

Stephen me parle en attendant son café. Tout ce temps, je serre les muscles de ma chatte aussi fort que je peux pour empêcher le fruit de tomber. Comment réagirait-il s'il voyait une banane tomber de dessous ma jupe?

Toutefois, il ne remarque pas ma posture in confortable. Au lieu de ça, ses yeux passent de mes boucles d'oreilles style latino à mes bracelets étincelants en argent et à mes ongles longs.

Il hausse un sourcil en remarquant mon changement de style, mais il ne dit rien. Ce n'est pas difficile pour moi de deviner ses pensées toutefois. Il doit croire que je panique à l'idée de rester célibataire à plus de trente ans et que je me maquille et m'habille comme une cougar désespérée à la recherche d'un homme. Que c'est embarrassant!

- Mle ADDAMS, je suis désolé de vous interrompre, mais nous devons nous dépêcher. Votre réunion commence bientôt. Dit Daniel pour me sauver de cette situation dangereuse.

- Désolé Stephen, je dois y aller.

Je profite de l'occasion pour m'excuser. L'homme acquiesce simplement et reporte son attention sur la machine à café. Derrière Daniel, je sors de la salle. Mais on ne peut pas dire que je marche. Avec la banane dans ma chatte, je suis plutôt chancelante, les jambes tordues. Mon cœur bat à tout rompre. A chaque pas, je crains que la banane glisse et tombe. Je suis ridicule à marcher dans le couloir et monter les escaliers les cuisses et genoux serrés.

Par chance, je ne rencontre aucun autre employé avant d'arriver à l'étage. Pendant tout ce temps, ma chatte a vraiment apprécié d'être remplie si bien que la montée des escaliers s'avère difficile. A chaque pas, mon sexe devient plus humide. Et lentement je perds mon emprise sur le fruit.

BOUM!

Au moment où j'atteins l'étage, ça arrive. Ma chatte est trop mouillée et je ne serre plus assez. La banane glisse et tombe au sol.

- Merde! Dis-je désespérée.

J'essaie de me pencher pour attraper le fruit, mais c'est trop tard. O'BANNON sort de son bureau.

Nonnnnnn! C'est pas possible! Ça ne peut pas arriver!

En voyant mon patron, je me redresse rapidement en laissant la banane par terre. Comme j'étais courbée, ma jupe en cuir noir était remontée. Je ne pouvais risquer que mon patron voit ma chatte nue. La banane brille sur le sol, mais je n'ose pas la ramasser avant que O'BANNON soit passé.

- Tout va bien? Me demande le PDG de la société en se rapprochant de moi.

Je réponds à la hâte :

- Oui Monsieur. Je viens juste de faire tomber mon déjeuner.

- Laissez-moi vous aider! Dit O'BANNON qui ne semble pas avoir pris conscience de ma tenue sexy et de mon visage tout rouge.

Avant d'avoir l'occasion de décliner son aide, il se baisse et attrape la banane. Elle est couverte du jus de ma chatte et il la touche. Pourtant ça ne semble pas le gêner. Il me donne le fruit et continue son chemin. Ça aurait été la chose la plus honteuse de ma vie s'il avait découvert que je l'avais mis dans mon sexe.

Mais le plus important maintenant c'est que je suis en sécurité. Poussant un long souffle de soulagement, je poursuis mon chemin vers mon bureau avec la banane à la main. Je prie encore que mon patron n'ait pas remarqué l'état du fruit, ou du moins, qu'il n'y pense plus.

J'ai complètement oublié que Daniel m'avait devancé à l'étage. Il se tient dans mon bureau, un sourire malin sur son visage.

- C'était amusant n'est-ce pas? Dit-il.

Avant que je ne puisse répondre non, il s'approche de moi et passe sa main sous ma jupe. Il touche grossièrement ma chatte pour sentir son humidité.

- On dirait que tu as aimé ça aussi salope! Ta chatte coule comme un ruisseau. Déclare-t-il.

Il met ses doigts mouillés et brillants devant mon visage avant de dire :

- Maintenant, sois une bonne petite chienne, lèche ton jus sur la banane.

Trop excitée pour discuter, j'obéis simplement à son ordre et je lève la banane à ma bouche. Après avoir passé ma langue de haut en bas tout autour du fruit, je le glisse entre mes lèvres et je le suce pendant cinq bonnes minutes.

Cet acte est suffisant pour augmenter les démangeaisons dans ma chatte. Je suis affamée de bites et plus désespérée que jamais. Et cependant, le défi avec le dé est loin d'être terminé.

L'heure suivant, j'ai l'impression de marcher sur des orties. A tout moment, je m'attends à avoir un nouveau message avec pièce jointe. Ma motivation pour lancer le dé et relever le défi est à son plus haut niveau. J'ai envie de prouver ma valeur à Daniel.

Toutefois, pendant plus d'une heure, je ne reçois aucun courrier électronique avec des pièces jointes. Pourtant je regarde plus ma messagerie que je ne fais un réel travail. Finalement, je reçois un document contenant certains calculs pour un projet de l'un de mes subordonnés. L'heure a sonné. J'envoie un message à Daniel.

« il est temps pour un nouveau défi »

« Enfin! Je commençais à penser que tu te foutais de moi. Amène ton cul ici salope et apporte le dé » Me répond mon stagiaire

Ce voyou latino ne veut pas venir à mon bureau. Il veut que je le rejoigne au bureau des stagiaires et que je jette le dé sous les yeux des autres. C'est vraiment plus humiliant! Et tellement plus dangereux!

Malgré tout je n'hésite pas et je sors immédiatement de mon bureau avec le dé dans la main. Je rejoins le bureau des stagiaires en essayant d'avoir l'air confiant malgré la boule dans ma gorge. De toute façon, tous les stagiaires ont vu ma tenue donc je n'ai pas à la cacher.

Seuls Daniel et Taylor sont dans le bureau. Le joueur de football noir est le plus timide des stagiaires. Il n'ose même pas me regarder comme les autres le font quand j'entre dans le bureau. C'est un bon début pour mon défi.

Après avoir marché jusqu'au bureau de Daniel, je lance le dé et fait un cinq en premier. Je regarde le dé avec incrédulité. Eh bien pas de chance, je dois aller dans le bureau d'ORTEGA. Je dois pénétrer dans le bureau de mon rival pour la tête de la société et y réaliser un acte obscène.

Perdu dans mes idées, je lance le dé encore deux fois. Je fais un 3 et un 2. Je dois donc frotter mon clitoris quatre fois avec un objet trouvé dans le bureau d'ORTEGA. Je me dis que ça va être très dur, le bureau d'ORTEGA étant le lieu que je voulais éviter.

La peur prend le dessus, mais ne me fait pas douter de ma détermination. En sortant du bureau des stagiaires, je ne vais pas directement au bureau d'ORTEGA. Je dois être intelligente. Donc je retourne à mon bureau et je laisse la porte ouverte. De cette façon, je peux voir le bureau de mon rival situé en face du mien.

Près d'une demi-heure s'écoule avant qu'ORTEGA quitte son bureau. Je ne sais pas pendant combien de temps il va être parti, mais je dois prendre le risque. Une autre opportunité ne se présentera pas peut-être.

Les jambes tremblantes, je me précipite vers le bureau en face du mien. J'ouvre la porte et je me glisse à l'intérieur.

Waouhhhh, que c'est excitant!

Prenant une grande respiration, je regarde partout. Je dois trouver quelque chose à frotter sur mon clitoris. Je suis excitée à cette seule pensée. Mais que puis-je utiliser?

Le bureau d'ORTEGA est bien rangé. Il n'y a pas beaucoup de choses sur son bureau. Et je ne peux pas simplement utiliser un stylo, c'est trop simple. Daniel sera déçu de mon manque de créativité.

Je dois trouver quelque de spécial. Mais quoi? Je perds du temps! A tout moment Ortega peut revenir. Il n'y a rien d'utile sur son bureau. Je dois trouver autre chose.

Tournant sur moi-même mes yeux se posent sur la porte. Je deviens désespérée. Rien ne joue en ma faveur.

Perdue, j'ai une idée idiote. Sur mes bottes en cuir à hauts talons, je retourne à la porte. Je me retourne et je me penche. Puis je tends la main pour relever ma jupe noire. Ensuite j'attrape mes petites lèvres avec mes deux mains. En les tenant entre l'index et le pouce j'ouvre ma chatte. Puis je pousse mes hanches.

- UUUUHHHH!

Je laisse échapper un soupir lorsque je sens la poignée de porte en laiton froid se poser contre ma chatte sensible. Mais je n'arrête pas mon action. Je pousse fermement mon sexe contre le bouton rond tout en me levant sur la pointe des pieds. Je fais glisser ma chatte jusqu'à ce que je sente le métal froid contre mon précieux petit clitoris.

- Oooooohhhh! Gémis-je.

Une décharge électrique explose dans mes reins quand mon clito est touché. C'est tellement bon. Tous mes désirs reviennent avec force. Et à ce moment, je suis déçu de n'avoir fait qu'un 2 pour le nombre de fois. Je ne peux que frotter quatre fois mon clitoris sur la poignée de la porte-bébé

C'est complètement fou n'est-ce pas? Je me tiens dans le bureau de mon rival, penchée sur la pointe des pieds avec mes mains derrière mon cul tenant ma chatte ouverte. C'est une position extrêmement vulnérable. Pourtant je ne me soucie plus du danger pour le moment. Tout ce qui m'importe c'est mon excitation qui endort ma conscience.

- ohhh... Mmmm... Mmmmm!

J'essaie d'étouffer mes gémissements, mais je ne peux les empêcher. Plusieurs s'échappent de mes lèvres. Les quatre frottements demandés sont vite finis. Après le dernier je peux sentir un orgasme enfler dans mon ventre. Je m'en rapproche très près. Mon corps a besoin d'être libéré.

Je ne peux pas m'arrêter! Je ne peux tout simplement pas m'arrêter bien que mon esprit dise le contraire. Ça ne suffit pas. Alors je continue à frotter mon clitoris sur la poignée de la porte. Une cinquième fois. Une sixième. Je vais jouir!

Soudain je sens une poussée sur la porte. Elle commence à s'ouvrir. Je suis poussée en avant.

C'est tellement inattendu que je trébuche et tombe la face en avant. A la dernière seconde, je pose une main sur le sol pour rester sur mes jambes. La porte est à moitié ouverte et ma jupe est encore retroussée autour de mes hanches. La panique me saisit. Frénétiquement je baisse ma jupe, juste à temps avant qu'ORTEGA entre dans le bureau.

Je lui fait face, les joues cramoisies. Il n'a pas vu mon cul hein? Je ne crois pas, car il me regarde simplement surpris. Il ne s'attendait pas à ce qu'il y ait quelqu'un dans son bureau.

- Qu'est-ce que... Qu'est-ce qui se passe ici Mle ADDAMS? Demande-t-il pris de court.

Puis il répète, sa voix devenant plus aiguë :

- Quel est le problème? Que faites-vous dans mon bureau?

ORTEGA n'a jamais essayé de cacher son aversion pour moi. Il n'aime certainement pas que je sois dans son bureau. Il doit penser que j'essaie de trouver des informations que je pourrais utiliser contre lui.

- Je... Je... Je cherchais des informations sur un de vos vieux projets. Bégayé-je.

Je commence à devenir bonne à trouver des excuses idiotes.

- J'en ai besoin de toute urgence. Et vous n'étiez pas là, alors je l'ai cherché moi-même. Je veux juste ce dossier et je m'en vais. Ok! Ajouté-je d'une voix que je force à être plus ferme.

Je n'ai pas de respect pour ce connard. Je suis plus intelligente. J'apporte de meilleurs projets. Je fais rentrer plus d'argent. Je mérite de devenir la prochaine PDG de cette entreprise. Peu importe comment je m'habille pour le travail.

Avant que nous nous lancions dans une discussion houleuse, je saisis un dossier au hasard et je sors rapidement du bureau. Cette petite dispute a étouffé mon excitation pour de bon. Mais j'ai fait le boulot demandé par ce deuxième groupe de lancer de dé.

A l'heure du déjeuner, je suis de nouveau sur des charbons ardents. Presque étourdie par le désir, j'espère que chaque nouveau courrier électronique aura une pièce jointe. Mais aux cours des heures qui suivent, je n'en reçois pas. Il se fait tard.

BIP.

Ce son annonce un nouvel email. Un document y est joint. Je saute presque de mon fauteuil. Est-ce la nervosité ou de l'excitation? Je ne peux pas le dire. Toutes mes sensations se fondent un sentiment de besoin unique et accablant.

Une fois encore, j'envoie un message à Daniel et, munie du dé, je descends au bureau des stagiaires. Cette fois-ci ils sont tous présents. Ce n'est pas bon.

Matt et Justin s'arrêtent immédiatement de travailler lorsque j'entre dans le bureau. Contrairement à Taylor, ils détaillent largement mon corps. Bon sang, je suis tentée de rouler du cul tout en me déplaçant vers le bureau de Daniel.

Essayant d'agir aussi discrètement que possible, je demande au jeune latino quels sont ses progrès dans son projet. Pendant ce temps, je lance le dé trois fois. Je fais 2 , 5 et 4. Je dois accomplir ce défi dans le bureau des stagiaires alors qu'ils sont tous présents! Et je dois pousser un objet dans mon petit trou du cul serré! Et je dois le faire huit fois.

Je jette un coup d'œil inquiet à Daniel. Veut-il vraiment que je remplisse ce défi avec les autres stagiaires présents? Ce n'est plus un défi, c'est mission impossible.

Je réfléchis et je me dis que je pourrais leur donner des ordres et travaux à faire pour qu'ils quittent le bureau. Toutefois, le signe de tête sévère de Daniel anéantit mes espoirs. Je dois m'exécuter tout de suite.

Ma nervosité est au plus haut niveau, mais mon enthousiasme n'est pas loin derrière. Je ne peux rester immobile, je tremble d'anticipation comme une feuille. Je ne me suis jamais sentie aussi vicieuse.

Mais au moins les trois autres jeunes sont assis de l'autre côté de la salle. Tans qu'ils restent assis, ils ne peuvent voir que mon visage. Le reste de mon corps est caché derrière les demi-cloisons du petit bureau. Quelles sont les chances qu'ils se lèvent?

Mon cœur bat rapidement, je cherche un objet à utiliser. Il n'y a pas d'objets utilisables sur le bureau de Daniel. Je peux difficilement utiliser la souris d'ordinateur, non?

En me déplaçant vers les bureaux inoccupés à la recherche d'un objet approprié, je les trouve aussi vide que celui du latino. Seuls quelques dossiers, claviers et souris traînent par-ci par-là. Finalement mes yeux tombent sur un porte-crayon. Un stylo ira très bien après tout. Le problème est qu'il se trouve sur le bureau de Taylor.

- Taylor s'il vous plaît, pourriez-vous me donner un stylo? J'ai besoin de prendre des notes. Demandé-je au jeune homme noir en affichant un grand sourire.

Sans hésiter, il attrape un stylo. Mais ce n'est pas un stylo à bille, il s'agit plutôt d'un gros feutre style marqueur. Son manche est beaucoup plus épais qu'un stylo ordinaire. Il n'est vraiment pas facile ce défi n'est-ce pas?

Tout en remerciant Taylor, j'attrape le feutre et je retourne au bureau de Daniel. Je sens les yeux de tous les stagiaires collés à mon cul.

- Vous avez fait toutes les copies? Demandé-je à Daniel pour rester discrète.

- Oui c'est fait!

Le jeune latino joue le jeu en restant dans son rôle de stagiaire. Toutefois il ne le fait qu'en paroles. Car tout en me parlant, il passe sa main sous ma jupe et commence à me pétrir les fesses. Je ne peux pas lui claquer la main sans attirer l'attention. Je ne peux qu'être reconnaissante que mon cul soit caché derrière les demi-cloisons.

- Oh! Haleté-je quand je sens sa main sur mon cul nu.

Immédiatement j'essaie d'étouffer le son, mais c'est trop tard. L'attention des trois autres est de nouveau sur moi.

- Oh! Vous avez fait un excellent travail! Dis-je pour essayer de me sortir de cette situation gênante.

Je peux sentir le danger arriver. A tout moment, nous pouvons être vus. C'est une situation complètement indécente. La puissante directrice laisse un stagiaire lui peloter le cul. Mais je vais y arriver!

Je dois terminer ce défi le plus rapidement possible. Alors je tends ma main en arrière et je commence à mettre le feutre entre mes fesses. Mais Daniel gifle ma main. Il m'indique de lui donner l'objet.

Avec hésitation, je lui donne le marqueur. Sans dire un mot il le tient devant moi. C'est ahurissant de savoir exactement ce que ce voyou macho veut me faire faire par ce simple geste. Il n'a même plus besoin de mots pour me faire comprendre ce qu'il veut.

Il tient le feutre au-dessus de son bureau. En me baissant, j'amène ma tête au niveau de l'objet et j'ouvre la bouche. Je suis sur le point de sucer un feutre alors que tous les stagiaires sont là. Quelle salope!

Sachant que l'objet doit rentrer dans mon cul, il faut que je le mouille bien pour le rendre plus glissant. Mon cul est difficile à prendre sans lubrifiant. Avec un frisson dans le dos, je pose mes lèvres sur le marqueur et je commence à le sucer. Je travaille dur sur le stylo, essayant d'avoir beaucoup de salive dans la bouche pour qu'il soit bien mouillé. Je fais une bonne fellation à un crayon.

Daniel laisse glisser mes lèvres de haut en bas du feutre huit fois avant de le retirer. Exactement le nombre que j'avais tiré. J'aurais aimé qu'il me laisse plus de temps pour me préparer. Mais au moins le marqueur est bien humide maintenant.

Le macho arrogant ne me donne toujours pas le stylo. Au lieu de cela, il tend la main et le tient derrière mes fesses. Une fois encore je comprends ses intentions. Je me penche plus, collant mes seins sur le bureau, et je remonte ma jupe en cuir noir pour dévoiler mon cul nu. Ensuite je me cambre et j'écarte mes fesses pour présenter mon trou du cul serré.

Je suis vraiment vulnérable dans cette position. Mais même si je suis consciente du fait que n'importe quel stagiaire peut voir mon cul et ma position de soumission s'il se lève, je n'hésite pas.

Daniel commence à faire courir le marqueur de haut en bas le long de ma raie des fesses, me faisant trembler et frissonner. Il se rapproche de ma chatte sensible et de mon clitoris engorgé. Mon excitation me fait passer d'un pied sur l'autre pendant que mon cul commence à tourner en rond.