Changements de vie pour Jessica 11

BÊTA PUBLIQUE

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Et comme je me suis rappelée à la dernière seconde de garder ma langue tirée, ma réponse devient inintelligible. Ça me fait paraître encore plus bête que je suis.

- Une simple fellation? c'est tout ce que tu as à m'offrir?

Le latino endurci renifle et dit :

- J'y suis depuis le début. Et j'ai passé mon temps à baiser et casser des putes. Tu dois faire beaucoup mieux qu'elles.

Mon esprit tremble. Je ne peux pas croire que ce gars méchant me fait supplier de le laisser m'utiliser comme il le désire. Je suis au-dessus de lui. Je fais partie des classes supérieures, non seulement en tant que femme d'affaire instruites mais aussi en tant que femme mure sexy. Et il refuse que je lui fasse une fellation.

Je ne peux pas supporter ça, mais je ne peux pas décevoir Daniel non plus. Il faut que j'arrive à convaincre ce voyou désagréable. Qu'a-t-il dit? Il a cassé des putes? Je dois prouver que je suis encore plus salope que celles qu'il a rencontrées.

- Zzzieeee vvvveee pllllllleee, léééézzzéééé mooooi eeevveeennnniiiirrrr aaaaa uuuuuttttee LLLLGGGéééSSSSe. Jeeeee zzeeeeerééééé aaaa ouuuu ééééé ouuuu ffffeeeeerrréééé ttooooo zzeeee qeeeee ooouuu ooouuuuudddrréééé.

Oh zut, je ne voulais pas me dégrader autant. c'est venu comme ça. Toutefois je pense que je voulais bien dire ces mots. J'ai un objectif, je dois faire plaisir à cet homme par tous les moyens.

Satisfait de mes supplications, Chico me répond :

- Tu veux être une sale pute pour moi? J'aime ton attitude de salope. Tu veux que ça soit vicieux? Tu vas l'avoir. Je vais commencer par vérifier si ta gorge est assez profonde pour prendre ma bite.

Il se met en action immédiatement et pousse deux doigts entre mes lèvres jusqu'à ma luette. Tout de suite, j'ai un réflexe nauséeux et je tousse et crache autour de ses doigts. Courageusement, je garde la bouche ouverte et la langue tirée du mieux que je peux.

Ce latino brutal ne se soucie pas du tout de mon inconfort. Il continue simplement à enfoncer ses deux doigts dans ma gorge. Il teste le fond en y trifouillant. Des larmes commencent à sortir de mes yeux et font couler mon mascara sur mes joues alors que je me sens étouffer autour de ses doigts.

A cause de mes réactions physiques, il me faut un certain temps avant que le goût des doigts de Chico me frappe. La saveur de l'huile de friture est imposante. Çà me fait presque vomir lorsqu'elle assaille mes sens et ça augmente mon inconfort par cent.

- Tu aimes vraiment ça n'est-ce pas?

Évidemment Chico adore les sons pitoyables de mon étouffement. Il ajoute!

- De toute façon tu ne peux pas parler. Maintenant enlève toute trace de graisse sur mes doigts sale pute! Rends-toi utile comme un rince-doigts, salope!

Un Rince-doigts? Beurk! C'est aussi humiliant que dégoûtant.

Ce violent latino utilise ma bouche pour nettoyer toute la crasse et la graisse qu'il a accumulé en faisant des frites et des tacos. Cette seule pensée me soulève le cœur mais le goût est bien pire.

- Eurgghhhh... eurghhhh... eurggghhh

Mes hauts le cœur se mêlent à mes cris d'horreur alors que le goût désagréable attaque mes sens. Les effluves de graisse me donnent la nausée et couvre ma peau de chair de poule. En bougeant ma tête de gauche à droite, j'essaie désespérément d'échapper aux doigts graisseux et puants. Mais Chico attrape mes cheveux châtains avec sa main libre et me maintient la tête en place.

Vague après vague, le dégoût déferle sur moi et je bouge mes genoux sur le béton. Je laisse tomber le cornet de frites et j'agite les mains comme si j'essayais d'évacuer la crasse. Tout mon corps tremble comme une feuille et mon œsophage commence à me faire mal car il n'est plus mouillé par ma salive.

Chico n'en a pas fini. Pour augmenter son amusement, il commence à varier le rythme de ses doigts dans ma bouche. De cette façon il s'amuse à changer mes bruits d'étouffement en une mélodie obscène.

- Euurrrkkk... Euuurkkk Eurrrkkk... Eeuuurrrkkk...! Euuurkkk Eurrrkkk

Méthodiquement , il passe deux doigts sur ma luette et tape ma gorge en rythme. Puis il les retire, vérifie s'ils sont propres et essuie la bave visqueuse de ma gorge sur mes joues pour la mélanger avec mon mascara qui coule avec mes larmes. Puis il continue avec deux autres doigts, nettoyant sa main droite puis sa main gauche et enfin chaque pouce individuellement.

- Tu es vraiment dégueulasse, sale pute! Dit Chico en faisant un pas en arrière et en me détaillant de la tête aux pieds.

Il a sûrement raison. J'ai beaucoup bavé sur mes seins et mon visage doit être couvert d'un mélange de coulis de mascara et de bave visqueuse. Je marmonne alors avec la langue toujours dehors :

- jeee zzzuuiiii éééézzzoollléééé mmoonnnzzziieee. Uuuoooiii jjjeeee pppeeeee fffffèèèrrrr oooouuurrr zaaa?

- laisse-moi t'aider à te nettoyer salope! Me dit alors Chico.

Il s'approche des poubelles sur mon côté droit et il attrape un vieux carton appuyé contre la poubelle sale. Il le déplie rapidement et il le jette sur le béton juste devant moi.

- Nettoie tes gros nichons et ta figure dessus jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de bave, sale pute! Et tu peux rentrer ta langue. Commande-t-il.

QUOI? Est-ce que j'ai mal entendu? Putain non, je ferai pas ça! Dieu seul sait depuis combien de temps ce carton traîne dans cette décharge dégueulasse de cette cour arrière. Il a l'air trempée et sale.

Je voudrais envoyer se faire foutre ce bâtard, mais je reste silencieuse tout en rentrant ma langue et avalant. ma salive qui a un goût d'huile de friteuse. Je ne bouge pas non plus et reste dans ma posture de soumise.

- Qu'est-ce que tu m'as dit? Tu ne veux pas être différente des autres putes de gang? C'était juste du vent? J'ai perdu mon temps avec toi.

Chico me rappelle mes arguments. Ça fait mal! Je sais que je l'avais supplié de me transformer en la meilleure pute possible pour les « LGZ ». Mais c'était dans le feu de l'action et je ne l'avais pas vraiment pensé. Toutefois l'homme me rappelle mes paroles maintenant.

Et je lui avais déjà permis d'utiliser sa bouche pour nettoyer ses doigts non? Ce n'est pas tellement pire n'est-ce pas? Et je veux bien faire, c'est mon premier jour en tant que pute officielle des « LGZ »

Je vais le faire. d'où qu'elle vienne, l'envie de réussir est trop forte. Alors je me mets à quatre pattes. En regardant le latino, je me glisse vers le carton. Quand mes genoux atteignent le bord, je m'assure de placer mes mains sur le béton de chaque côté. De cette façon, mes lourds nichons pendent et planent juste au-dessus du carton détrempé.

Sans le toucher je l'inspecte de près. Il est humide, avec des bords en lambeaux et plusieurs tâches sombres sont disséminées dessus. Dieu seul sait d'où il vient. Il a l'air si peu attrayant qu'il me donne la chair de poule.

Je suis une femme d'affaires puissante qui peut se payer une femme de ménage et un jardinier. Personne ne peut trouver quelque chose d'aussi sale chez moi. Et personne ne me verra la toucher non plus. J'ai toujours détesté faire les tâches ménagères. Dès que j'ai gagné assez d'argent j'ai engagé une femme de ménage. Et depuis je n'ai jamais touché un chiffon. Et aujourd'hui, je suis sur le point de frotter mes seins et mon visage sur une poubelle.

- Çà devient ennuyeux sale pute. Tu vas le faire ou non? Tu vas respecter ta parole ou non? s'impatiente Chico.

Je n'arrive pas à réprimer un gémissement de dégoût quand je me baisse lentement. Mon miaulement devient plus fort jusqu'à être un cri aigu au moment où mes mamelons durcis ont touché le carton sale.

Tout en me retenant de me redresser, j'appuie mes gros nichons mous et sensibles sur le carton. Quand je sens l'humidité, j'ai des frissons dans le dos. Je voudrais me relever, mais je continue à presser mes seins couverts de bave jusqu'à ce que ma chair sensible s'écrase et gonfle sur les côtés.

- Eurrggggg! Dégueulasse! Dégoûtant! Commencé-je à me plaindre doucement.

Malgré tout, je commence à bouger les épaules d'avant en arrière pour frotter ma poitrine écrasée sur le carton. Je sens chaque centimètre du carton humide et immonde glisser sur la chair de mes seins. Et je gémis de protestation de plus en plus.

- Héhéhé! On dirait que j'entends des gémissements. Tu apprécies salope? Allez continue de te nettoyer pour moi. Rigole Chico.

Avec mon visage si près du carton sale, l'odeur atteint mes narines. Elle me pique le nez. La puanteur du moisi est si forte que ça me fait pleurer au grand amusement de la brute latino.!

- Beurkkk! Ça pue tellement!

Je me plains et je me lamente.

- Beurkk! Sil vous plaît puis-je arrêter Monsieur?

- Ah non salope! Et tes joues?

Chico aime trop mes gémissements pour me laisser aller.

- Eurgghhhh... Nonnnn... dégueulasse... c'est ignoble... beurkkkk...

Mes gémissements remontent d'un cran lorsque je pose ma joue droite sur le carton détrempé.

Serre les dents et vas-y! Je me rappelle ma devise lorsque je commence à frotter mon visage sur le carton pourri. l'écœurement me gagne et me fait tourner la tête. Portant je ne peux pas m'arrêter de frotter. Et je dois démontrer mon dégoût pour faire plaisir à Chico.

Tout en me regardant, celui-ci se place devant moi et ouvre calmement son pantalon. En agitant sa bite devant mon visage il rigole quand il voit que mon regarde de colère se change en regard de désir. Sa queue est belle à voir. Elle est bien raide et assez longue. Mais le plus frappant est son épaisseur. Elle est plus épaisse que mon poignet. Sa queue allait bien étirer ma chatte et me combler.

Il suffit d'une belle bite bien dure pour faire disparaître ma colère et me rendre à nouveau malléable. Quelle salope! En quelques secondes je regarde avec impatience la bite devant moi et j'aimerai la toucher tout en continuant de frotter ma chair sur le carton. Enfin quelque chose qui peut me faire plaisir. Après toute cette humiliation et les mauvais traitements, je suis plus que prête pour une queue.

Mais le brutal latino s'éloigne derrière et passe sa main à l'intérieur de mes cuisses. Il s'écrie brusquement :

- Hé hé regardez-moi ça!

Ma chatte est tellement dégoulinante que mon jus coule le long de mes jambes. Tout en faisant la pire chose dont je puisse rêver! Quelle dégradation!

- La pute commence à faire des bêtises. Je parie que tu veux que je le dise à Daniel? Se moque Chico.

Tout en me posant la question, il passe ses doigts le long de ma fente inondée. Je veux crier « non » mais seuls des gémissements reconnaissants sortent de mes lèvres. La vue de sa belle queue m'a vraiment excitée.

- AAIIIIIIEEEE : Crié-je soudainement quand Chico pousse son majeur dans mon trou du cul serré.

Il m'a prise complètement au dépourvu et a forcé mon petit trou sensible sans se soucier de mon confort.

- hé que faites-vous?

Je commence à protester mais mes plaintes restent dans ma gorge quand je comprends ses intentions.

Il commence à pousser son doigt ce qui me laisse que deux options : Soit je le laisse agrandir douloureusement mon trou du cul, soit je suis ses mouvements et je le laisse guider mon corps sur le carton.

Je sens l'homme lever son doigt vers le haut jusqu'à ce que mon sphincter commence à se déformer dans la même direction. En tendant mon cul, je le laisse me guider. Il me met un deuxième doigt dans le cul et l'étire davantage. Ça lui donne une prise ferme sur mon corps. Et il commence à me pousser à droite et à gauche.

- hé hé hé, c'est comme si je maniais une serpillière. Tu aimes être ma serpillière? Remarque Chico.

- Hein? Une serpillière? Gémis-je de l'humiliation.

Et je me plains :

- Non! C'est vraiment horrible! Je suis votre pute, pas votre serpillière Monsieur!

- Hé hé , oui je suis méchant. Déclare le latino.

Pendant ce temps, il échange son majeur avec l'index de sa main gauche et écarte les doigts pour ouvrir mon cul serré. Et il dit :

- Tu as été très utile comme nettoyeuse de mes doigts et comme serpillière. Maintenant vérifions tes trous de baise!

- OUUUUUHHHHHHH AIEEEEEE!

J'ai à peine compris ses mots qu'il a plongé sa grosse bite dans mon cul.

Comme son engin de chair est plus épais que mon poignet, il me coupe le souffle en m'enculant. J'ai l'impression d'être empalée par un tronc d'arbre. Mes plaintes sont immédiatement remplacées par des hurlements. Je cris comme une folle alors que mes fesses sont écartelées au-delà de leur capacité. La grosse bite de Chico étire avec force mon pauvre petit trou du cul et élargit mon conduit anal.

- AIEEEEEE! Trop grossss! OUUUUHHHHH! Mon cul est trop serré.

J'arrive à me plaindre entre mes cris.

- Non! Quand j'aurai terminé sale pute! Se contente de dire mon bourreau tandis qu'il enfouit son sexe entre mes fesses.

Quand il a fini de plonger son énorme bite dans mon tunnel anal, j'ai l'impression qu'il a touché ma colonne vertébrale. Je ne peux même pas bouger. Mes fesses sont si étirées que je peux sentir chaque veine sur sa queue.

Mais ensuite il se retire et il commence à baiser mon cul. Son attaque anale prend une toute autre tournure.

Il m'encule avec de violentes poussées qui font trembler tout mon corps. Il ne me martèle pas rapidement comme un animal en rut, mais il enfonce sa bite méthodiquement avec des coups profonds et plein de vigueur. Pour augmenter sa pénétration, il attrape mes deux bras et les tire dans mon dos, me laissant ainsi complètement à la merci de son énorme queue. Tout ce que je peux faire c'est de crier et de subir.

Cette sodomie violente me fait même oublier le carton dégoûtant. Mais ça me revient lorsque je comprends de nouveau les intentions de Chico. Il utilise sa queue pour me pousser sur le carton. Il me guide avec sa bite.

Être agenouillées sur un carton sale dans une cour dégoûtante remplie de poubelles et de bennes à ordures et me faire enculer fait crépiter ma chatte. Je veux désespérément toucher mon sexe et frotte mon clito.

A chaque coup puissant exercé sur mon cul, mes épaules sont poussées vers l'avant et ma poitrine et mes joues frottent le carton trempé et dégueulasse.

- Ouillllle.... Oohhhhh... Ouiiiillle.... Ohhhhh!

J'alterne cris et gémissements.

En me tenant les bras dans le dos, le brutal latino enfonce et retire violemment son membre de mon cul jusqu'au moment où mes seins atteignent le bord du carton. Il a réussi à faire glisser mon corps sur tout le carton simplement en m'enculant.

Avec un gros « plop », il retire sa bite de mon pauvre cul. Mon sphincter est si ouvert que j'ai peur qu'il ne se referme plus jamais. L'homme change de position. Il se retourne et chevauche mes fesses tout en me faisant face. Il plonge son gros outil dans mon trou du cul.

- AARRRRGGGHHHHH! Crié-je.

Ce nouvel angle d'introduction distend mon trou du cul dans une autre direction et l'élargit encore plus. Chico utilise des coups de rein puissants et méthodiques pour pousser mon corps en arrière. Lentement mes seins reculent sur le carton détrempé.

Quelques instants avant que mes gros nichons écrasés atteignent l'autre bout, je sens le sexe de l'homme commencer à palpiter.

- S'il te plaît bébé, ne jouis pas tout de suite. Mets ta bite dans ma chatte. Tu veux bien baiser ma chatte n'est-ce pas? Demandé-je, avide.

Maintenant qu'il a sorti sa queue, je ne veux pas qu'il parte sans fourrer ma chatte. J'ai besoin de sa bite profondément dans mon sexe.

- Tu es une pute gourmande! Tu es vraiment une grosse cochonne n'est-ce pas salope? Crie Chico en réponse.

Puis il ajoute :

- Dommage, mais je suis prêt à me vider les couilles. Allez salope : tu es une pute! Alors regarde ma bite. Branle-moi sur ton visage! Travaille pour avoir une récompense.

Je rougis à ces ordres. Il fait travailler une femme d'affaires distinguée pour avoir la récompense d'un soin du visage avec du sperme. C'est totalement humiliant mais ça stimule ma soumission. Doucement, je me redresse sur mes genoux. Je saisis la grosse bite de Chico et je la branle. En ouvrant grand la bouche, je tire la langue pour qu'il ait une cible pour son foutre.

Mais je ne peux plus attendre ma libération. Ma main gauche étant libre, je la descends sur mon clitoris. Il est tellement gorgé de sang. De simplement l'effleurer provoque une décharge électrique d'extase dans ma tête.

- Ooooohhhhh... Gémis-je de déception quand Chico gifle ma main sur ma chatte.

- Est-ce que je t'ai permis de te toucher Pute de gang? Les deux mains sur ma bite salope! Grogne-t-il.

J'obéis et je pose mes deux mains sur son gros gourdin bien dur. Mes faux ongles fraîchement manucurés brillent dans le noir pendant que je branle le latino. Après quelques instants, il crie de triomphe et son sexe explose. Je tiens fermement sa bite palpitante pendant qu'il vomit trois giclées de sperme épais et blanc sur mon visage. Le premier jet vole droit sur mes longs cheveux châtains, le second est vaporisé sur mes joues et mon nez et finalement, le troisième jet atterrit sur ma langue.

- Génial! Se réjouit Chico.

Il me fait lui-même lui taper dans la main alors que je suis encore à genoux. Encore une autre humiliation, c'est tellement dégradant pour moi de féliciter ce voyou qui vient d'inonder mon visage et ma langue de son foutre.

- Montre-moi mon sperme! Me demande-t-il.

- Maintenant, crache-le sur les frites! Ordonne-t-il après avoir inspecté la masse gluante couvrant ma langue.

Puis il ajoute, hilare :

- C'est du ketchup pour salope. Tu ne veux pas gaspiller les frites que je t'ai apportées hein?

Ses mots me font grimacer. Je ne veux pas enduire les frites de son sperme. Merde, je ne veux pas manger les frites. Elles doivent être froides maintenant. Mon air dégoûté ne me vaut qu'un grognement dérisoire.

- Fais le sale pute! Ne me fais pas attendre! Me menace Chico.

Gémissante, j'attrape le cornet de frites qui traîne sur le béton sale. J'ouvre la bouche et je laisse le mélange de sperme et de salive couler sur les frites. Quand tout le foutre a quitté ma bouche, je prends quelques frites enrobées de sperme avec mes doigts tremblants et je les soulève.

En les tenant devant mon visage, je ne peux me résoudre à les mettre dans ma bouche. Le foutre blanc et gluant les colle entre elles. Ce n'est vraiment pas appétissant. C'est répugnant.

- OHHHHHH! Crié-je soudainement de surprise.

Chico est devenu impatient. Il a attrapé mes cheveux avec sa main droite. Tirant ma tête en arrière, il me fait le regarder droit dans les yeux. Saisissant le cornet de frites de mes mains, il le porte à mon visage. Je sais ce qu'il va arriver et je me tortille sur place. Mais c'est inévitable alors j'ouvre la bouche en grand.

Avec un sourire diabolique, le rude latino verse un paquet de frites dans ma bouche. La plupart des frites enrobées de sperme y tombe tandis que quelques-unes me heurtent le menton et les joues. Ces frites froides et gluantes me font étouffer, mais je les garde dans la bouche.

- Tu ne veux pas que je dise à Daniel que tu as rejeté mon cadeau n'est-ce pas? Me demande Chico tout en gardant mes cheveux bien serrés dans sa main.

- S'il découvre que tu n'es pas obéissante, il pourrait bien te faire dormir sur ce carton pendant une semaine. C'est ce que je ferais.

Putain non, je ne veux pas ça. Cette seule pensée m'effraie alors je commence à mâcher les frites. Le mélange de graisse froide et de sperme gluant est horrible. Je dois m'y reprendre à plusieurs fois pour avaler et réduire la quantité dans ma bouche. Ça descend dans ma gorge aussi bien que des morceaux de pierre.

Pouahhh! C'est dégueulasse. Je voudrais boire quelque chose pour me nettoyer la bouche. Mais à la place, j'ouvre docilement la bouche et la présente, complètement vide à Chico. Une fois de plus, cette brute verse encore quelques frites. Et il dit :

- Montre-moi à quel point tu apprécies mon cadeau, petite pute de gang. Montre-moi avec tes lèvres que tu adores ça!