CFNM à l'université Chapitre 26

Chapitre 26

Journal de Stéphanie.

Marie-Dominique est arrivée au milieu de nos discussions de plans. Elle tenait Arno par le sexe et le tirait derrière elle. Arno avait un air frustré, elle était extatique, le visage d'une fille heureuse par un bon coup, le visage que j'ai sans doute presque tous les jours. Le visage de quelqu'un qui a fait le plein de DHEA.

— Nous t'avons entendue, lui a tout de suite dit Anne-Sophie.

— Je n'en ai pas honte. Mais je lui en veux de m'avoir donné un tel plaisir.

— Tu as raison, il va le payer, Virginie lui a annoncé.

— Je vais prendre une douche d'abord.

Elle est partie en nous laissant Arno.

— Alors, il parait que tu es un champion? Je lui ai demandé en me plaçant devant lui.

J'éprouvais un petit peu de jalousie, mon Arno qui donnait du plaisir à mon amie, mais après tout c'était de ma faute.

— Nous allons te rendre la pareille, je lui ai annoncé, toutes les six.

Il a paru un peu inquiet, mais il était quand même fort excité.

— Chacune à notre tour, Annick est venue aussi lui dire tout près.

Elle a placé sa main sur ses fesses. C'était toujours agréable de le caresser, c'était comme si nous étions des mecs vulgaires, toujours à toucher les culs des filles, et nous faisions un peu la même chose, sans que ce soit vulgaire ou inapproprié. C'était devenu normal. Arno était à bout, il n'en pouvait plus de cette excitation incessante depuis dimanche soir. Marie-Dominique est revenue en pleine forme de sa douche, elle chantait.

— Allons sur la terrasse, j'ai dit assez sèchement.

Il ne faisait pas trop chaud, nous avons mis des chandails et avons pris Arno jusqu'à la rambarde. Nous avions vue sur la Grand-Place et les étudiants qui commençaient à faire la fête. Quatre étages plus bas, ils ne nous voyaient pas, mais Arno avait peur.

— Que faites-vous? On va me voir.

— Et alors? Lui a répondu Anne-Sophie, tu es honteux d'être vu avec nous?

— Oh non, il a répondu, mais je suis tout... enfin, je ne peux pas être vu ainsi.

— Personne ne te verra, nous sommes trop haut.

— Nous sommes sur la terrasse pour te donner un peu de plaisir, lui ai-je dit.

Anne-Sophie a pris son sexe et a serré assez fort.

— Penche-toi un peu vers l'avant. Cela va faire un peu de crasses sans doute, il vaut mieux que nous soyons dehors.

— Et tends bien tes fesses, comme ça, j'ai dit en le plaçant et en le caressant.

— Et écarte les cuisses! Sandrine à dit.

Il avait donc les chevilles écartées d'un bon mètre, en extension, ce devait être assez douloureux. Sandrine et Annick ont pris ses bras, un peu tordus vers l'arrière, il s'était laissé faire et maintenant, il était en mauvaise posture, incapable de bouger, mais le mieux dans le futur sera de l'attacher, j'ai toujours adoré l'attacher, et j'ai une excellente place dans le loft, et notre lit est fait pour cela.

J'ai caressé ses fesses, pendant qu'Anne-Sophie tenait toujours son sexe, bien serré, à la limite de la grande douleur, il grimaçait d'ailleurs, sans oser dire quelque chose.

— Vas-y, j'ai dit à Anne-Sophie, tu es la première.

Elle l'a caressé doucement, c'était la première fois de la journée, il fallait durer. Il l'a senti passer. J'ai soudain frappé ses fesses le plus fort que j'ai pu, assez bas, où ça fait le plus mal. Il a été surpris et a poussé un cri.

— Tais-toi, lui a dit Marie-Dominique, tu fais trop bien l'amour, c'est ta récompense.

J'ai frappé, elle aussi. Virginie prenait des photos. Arno n'a pas tenu longtemps malgré la douleur, Anne-Sophie l'a fait éjaculer assez loin, par-delà la rambarde et c'est tombé quatre étages plus bas. Sur personne heureusement. Nous avons arrêté de frapper, Arno s'est détendu, c'était assez fort.

— A mon tour, a clamé Virginie.

— Arno, je lui ai dit, tu vas y passer six fois ce soir, chacune de nous. Ecarte encore les fesses!

J'ai attrapé ses testicules par derrière, il a gémi. Virginie l'a pris en main par devant, et automatiquement, il était près. Un jour, je l'avais attaché et je l'avais masturbé pendant des heures, il avait joui sept fois, mais les dernières, plus rien ne sortait et il avait eu un peu mal.

Anne-Sophie, Sylvie et moi lui avions fait le même coup, et cela avait été encore mieux, neuf fois en quelques heures, il s'était évanoui, et avait eu un mal terrible pendant deux jours, mais malgré cela, il bandait encore même si cela lui faisait mal. Il nous avait dit que nous étions trop sexy.

Ce soir, il a six filles, deux fois plus. Virginie le caresse doucement pendant que je continue de tirer sur ses testicules, Marie-Dominique le frappe, il sursaute et crie, je le tenais trop fermement.

— Laisse-toi faire!

— Ca fait mal...

— Je sais, mais en même temps Virginie te fait du bien, tu le voulais depuis si longtemps!

Il n'a plus rien dit parce que Marie-Dominique le frappait. Anne-Sophie est revenue les mains propres et a pris l'appareil photo.

C'était très érotique, Arno dans cette position très humiliante. J'étais excitée, et cela me donnait envie d'encore plus d'humiliation, les idées arrivaient sans arrêt.

C'était un rien plus long, mais les claques sur les fesses et la masturbation à deux mains de Virginie, l'ont encore fait jouir. Un même jet au-dessus de la rambarde. Cette fois c'est tombé sur quelqu'un, une fille qui ne l'a même pas remarqué. C'est amusant, le sperme reste collé pendant la chute, il ne se disperse pas en gouttes.

— A mon tour, a clamé Sandrine, qui prend son bras.

Anne-Sophie est venue et l'a bien calé.

— La prochaine fois, tu auras des menottes. Tu aimes que je t'attache? Tu verras dimanche.

— Oh oui, dimanche, a dit Virginie, j'aimerais tant le voir.

— J'ai de belles surprises, autres que vestimentaires.

Il était à nouveau bien tenu. Ses fesses étaient rouges, il en avait les larmes aux yeux.

Annick a changé avec Marie-Dominique, et elle a donné la fessée pendant que Sandrine s'occupait de son sexe, il n'a pas été prêt aussi vite que la deuxième fois, mais la présence de six filles autour de lui rendait la chose facile. Il grognait de plaisir et de douleur.

— Tes fesses sont bien rouges, lui disait Annick, c'est très beau, très sexy.

Virginie est venue lui attraper les testicules pour les tirer comme je le faisais, il a été surpris, il a crié.

— Tu as de la chance, aujourd'hui, nous te frappons à la main, imagine quand ce sera une cravache.

— Ou une planche, a dit Marie-Dominique.

— Ce sera très sexy, son petit cul est très beau tout rouge.

— Ca fait mal, il a dit, rouge de honte.

Nous sommes ainsi restées toutes les six, Marie-Dominique a été la dernière à le masturber, il a supplié, mais il était quand même encore en érection. Je suis certaine que nous aurions pu continuer, mais nous avions dit une fois chacune.

Arno était épuisé.

— Va prendre une douche, lui a dit Anne-Sophie.

Ce qui était dingue, c'était que nous voulions le dominer et être sévère avec lui, et en même temps, nous voulions le cajoler, nous adorions cela aussi, surtout les filles. Il en titubait le pauvre, elles l'ont soutenu jusqu'à la salle de bains, et elles l'ont lavé, se sont presque disputées pour s'occuper de lui.

Puis, nous l'avons mis au lit, il s'est endormi pratiquement tout de suite.

— C'est trop génial, a dit Sandrine lorsque nous nous sommes retrouvées au salon un peu après minuit. Quelle soirée! J'adore jouer ainsi, enfin, ce n'est pas un jeu.

— C'est un jeu érotique, lui a dit Anne-Sophie.

— Oui, et à partir de demain, il devra être chaste. Il ne pourra plus jouir avant la semaine prochaine, mais dimanche soir par exemple et tous les jours de la semaine prochaine, nous allons l'attacher et le torturer, l'exciter sans lui permettre de jouir.

— Tu es très perverse, Stéphanie, m'a dit Marie-Dominique, mais ce sera génial.

Nous avons déterminé ce que nous devions apporter la semaine prochaine, et ce que nous devions acheter pour rendre cela encore plus amusant. Deux semaines avant les vacances de Pâques.

Arno dormait profondément lorsque je l'ai rejoint au lit. Je me suis blottie dans ses bras et il a eu une réaction inconsciente. Il était incroyable. Et comme j'avais envie de lui après une telle journée, même si nous avions fait l'amour pendant des heures, je me suis assise sur lui, je l'ai placé au fond de moi, il n'était pas aussi dur que d'habitude, mais c'était suffisant. Il dormait, ou du moins le prétendait-il, et je l'ai ainsi chevauché jusqu'à atteindre un orgasme pas trop fort, mais au moins, j'ai pu m'endormir.

Quand je me suis réveillée, j'étais seule. Il était tôt, j'ai regardé par la fenêtre et il était occupé de s'entrainer sur la terrasse. J'ai ouvert la fenêtre, le temps semblait plus doux aujourd'hui.

— Il faudra que tu me laisses m'habiller le matin, je voudrais courir.

— T'habiller? Quelle horreur, j'ai plaisanté.

— Si je ne vais pas courir, je deviendrai gras et tu n'aimeras plus me voir tout nu.

— C'est vrai. Tu peux aller courir. Pour rien au monde je ne veux gâcher ton corps superbe. Tu aimais bien hier soir?

— J'en ai encore mal aux fesses, et ma bite est irritée.

— Ce n'est pas la réponse à ma question.

— C'était inattendu, surtout Marie-Dominique.

— Mais tu aimais bien la terrasse?

— Oui, il a dit. Vous allez me rendre fou! Vous devenez une sorte de drogue, je ne pourrai jamais me détacher de vous. Enfin, toi, tu es ma fiancée, nous allons nous marier et passer notre vie ensemble. Mais c'est comme si elles allaient me manquer, comme si nous étions réellement mariés tous les sept.

J'aimais sa réaction. Je l'ai regardé s'entrainer. Il est venu devant moi, pour me montrer ses muscles comme j'aime bien.

— Tu es content pour dimanche? Je lui ai demandé quand il a eu terminé une série d'exercices.

— Oui. Mais cela me gêne que tout le monde soit au courant.

— Tu ne dois pas être gêné, nous nous disons tout.

— Oui, mais quand même, dire à tout le monde que je viens dimanche pour un truc SM, c'est...

— Je ne vois pas pourquoi tu t'en fais, tu aimes cela, Anne-Sophie aussi, et moi également, ainsi que les autres qui veulent essayer. Tu devrais arrêter de t'en faire avec nous. D'accord?

— D'accord Stéphanie.

Il a repris des exercices abdominaux, c'était sexy et je l'ai regardé jusqu'à la fin.