CFNM à l'université Chapitre 22

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Les six filles ont réussi, Arno vit nu avec elles.
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Partie 23 de la série de 27 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 03/05/2018
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Chapitre 22

Journal de Stéphanie

Anne-Sophie est allée chercher Arno pour notre dernière phase. Elle entre enfin dans le salon, elle le tire nu derrière elle par le sexe. Virginie et moi sommes assises dans le salon.

— Allez Arno, la vaisselle, et ensuite tu vas me faire mon travail!

Il était complètement soumis, tétanisé, il ne pouvait plus réagir, cela devenait trop puissant pour lui. Arno a tout nettoyé, assez rapidement je dois dire, et Anne-Sophie l'a emmené à l'ordinateur.

— Regarde, lui dit-elle, je ne parviens pas à réaliser ce graphique.

Elle l'assied sur la chaise de bureau.

— Arno, lui demandé-je, avant de travailler pour Anne-Sophie, sers-nous un verre de vin.

— Oui Stéphanie.

Il se relève et va vers la cuisine. Marie-Dominique entre à son tour et vient près de nous.

— Anne-Sophie n'est pas très sympa, après toute une journée de travail, elle demande encore à Arno de lui faire son mémoire.

— Tu crois?

— En plus, il avait une réunion avec ses amis, elle le fait travailler.

— Arno, dis-je, viens ici.

— Oui Stéphanie, me répond-il depuis la cuisine.

Il vient tout de suite se mettre à genoux devant moi. Je souris de satisfaction, il fait ce que je lui demande sans se tromper, il a l'habitude, malgré le fait que nous soyons quatre.

— Arno, tu as une réunion avec tes amis?

— Oui Stéphanie.

— Pourquoi ne me l'as-tu pas dit?

— Je te l'ai dit lundi, Stéphanie.

— Tu aurais pu me le rappeler, non?

— Ce n'est pas la peine, Stéphanie.

— Pourquoi?

— Anne-Sophie a besoin de moi pour son mémoire.

— C'est vrai, mais tu pourrais le faire une autre fois.

— Non, ça va, je fais rester et le faire.

— Tu es très gentil. Je t'aime très fort.

Je me suis penchée pour l'embrasser.

— Tu es un garçon super. Va nous servir à boire.

Il s'est relevé, et est allé nous chercher une bouteille de vin pour faire le service. Anne-Sophie l'a ensuite pris par le sexe pour aller dans sa chambre, et Virginie l'a suivie. Annick et Sandrine sont arrivées.

— Il semble prêt.

— Oui, j'ai répondu, nous pouvons commencer à être toutes les six, ce soir, il nous sert le repas, et demain toute la journée.

— C'est fabuleux, répond Sandrine.

— Enfin! S'exclame Annick.

— Il m'a avoué qu'il adorait se retrouver tout nu devant nous, a dit Marie-Dominique.

— Je sais. Je ne sais pas pourquoi il te fait confiance.

Elles sont allées dans la chambre d'Anne-Sophie.

Récit d'Arno.

Anne-Sophie et Virginie m'emmènent hors de la pièce. Nous allons dans la salle de bains.

— Tu as encore oublié de la nettoyer aujourd'hui, me reproche Anne-Sophie, allez!

Il ne faut pas longtemps pour ranger, ce n'est pas tellement mouillé aujourd'hui. Mais elles s'amusent à me laisser à leurs pieds.

— Nu à nos pieds, c'est un plaisir pour lui, constate Virginie.

Quand je termine, elles me prennent dans leurs bras. Annick et Sandrine entrent dans le couloir et nous rejoignent devant la salle de bains, je suis à nouveau entre quatre filles. C'est trop excitant.

— Frédéric avait oublié de ranger la salle de bains, leur signale Anne-Sophie.

— Ne sois pas trop dure avec lui, il nous aide quand même bien dans les cours.

— Oui, mais il doit aussi nous aider dans l'appartement, et selon nos directives.

— C'est vrai. Mais il est d'accord, n'est-ce pas Arno?

— Oui, réponds-je dans un état second.

Quatre filles. C'est encore mieux que toute la journée avec trois. Cela n'a pas arrêté depuis ce matin, et comme un fou, je rêve qu'elles sont six. Je reste entre elles quatre, et j'ai envie de plus.

— Pourquoi n'es-tu pas allé voir tes amis? Me demande Virginie. Tu aurais pu nous le dire.

— Non, je préfère rester avec vous.

— C'est très gentil, répond Sandrine, nous aussi, nous adorons quand tu es avec nous.

— Surtout quand tu es ainsi tout nu, c'est très agréable, reprend Annick.

— Il adore être tout nu en notre compagnie, déclare Anne-Sophie, n'est-ce pas?

— Oui, réponds-je encore sans plus trop savoir ce que je raconte.

— Tu as l'air si sensible, me dit Virginie en passant sa main sur mon ventre, tu vas bien?

— Oui, réponds-je, je vais très bien. Je me sens si bien avec vous.

— Vraiment?

— Oui, pourrions-nous aller au salon?

— Pourquoi? Tu n'es pas bien ici?

— Oui, nous sommes bien, réponds-je, mais...

Je ne parviens pas à le dire.

— Je préfère rester avec vous dans l'appartement, je ne veux pas vous quitter.

— C'est très gentil, me dit Sandrine.

— Aucune de vous, aucune de vous six, ajouté-je.

— Mais nous sommes toutes dans l'appartement, me fait Annick en souriant. Que veux-tu de plus? Nous restons ici toute la journée.

— Oui, réponds-je. Je sais. C'est pour ça que je voudrais aller au salon.

— Pourquoi?

— Parce que les autres y sont.

— Ah? S'exclame Anne-Sophie, tu voudrais nous voir toutes les six en même temps?

Elles sourient, comme une victoire.

— Mais c'est très bien cela, s'exclame Virginie, attends ici.

Elle se retourne après m'avoir embrassé et

Journal de Stéphanie.

Plus tard, Virginie est revenue seule, ce n'était pas prévu.

— Vous savez quoi? Il a demandé à venir ici, et être devant nous six!

— C'est vrai? S'est exclamée Marie-Dominique.

— Je vous le dis, alors? Nous l'amenons?

— Oui, j'ai répondu. Il est enfin prêt. Je pensais attendre demain soir, mais autant en profiter tout de suite.

Nous nous sommes levées pour aller à la porte, Virginie est retournée. Arno était entouré des filles qui le tenaient et le caressaient, jouaient avec lui de leur féminité. Virginie a pris son sexe à la base et l'a serré, puis elle l'a tiré vers nous. Il n'en pouvait plus, il nous voyait, Marie-Dominique et moi, et il était entre toutes les autres. Il était choqué, comme s'il avait eu les yeux plus grands que le ventre, surpris, mal à l'aise, mais excité parce qu'il avait enfin ce qu'il voulait, sans doute autant que nous. Virginie le tirait, les autres le poussaient, nous nous sommes retrouvées autour de lui devant la porte, dans le living.

— Alors, lui a demandé Marie-Dominique, tu as enfin franchi le pas?

Elle l'a embrassé tendrement, il était comme tétanisé, incapable de parler.

— Et bien, ne sois pas si timide, nous apprécions vraiment que tu sois ainsi parmi nous, nous le voulions depuis si longtemps.

Arno était vraiment incapable de parler. C'était trop pour lui.

— Il a demandé à ce que nous soyons toutes les six avec lui, rappelle Virginie. Arno, elle a repris en caressant ses fesses, remets-toi!

Elle l'a aussi embrassé sur les joues. Nous l'avons poussé vers le salon.

— Va chercher d'autres verres, lui a ordonné Anne-Sophie.

Cela l'a sorti de sa léthargie et il est allé chercher ce qu'elle lui demandait. Il est revenu avec les verres, et il s'est mis à genoux au milieu de nous pour remplir les verres. Il tremblait tellement qu'il cognait les verres. Il s'est relevé pour aller chercher une deuxième bouteille.

— Nous allons bien nous amuser, a dit Anne-Sophie. Dimanche, il vient ici pour une séance SM.

— Cela entamera bien notre semaine, a repris sa sœur, il y a la venue de Sophie pour le travail.

— Sans compter Laetitia, j'ai dit. Elle devrait venir lundi. Mais elle n'est pas encore au courant.

Arno est revenu avec la bouteille et tout de suite à genoux, il a servi les verres qui restaient, et nous les a donnés.

— A quoi buvons-nous? Demande Annick.

— A Arno, qui nous a fait passer une journée mémorable, propose Virginie.

— Ca, pour mémorable, elle l'est, a dit Marie-Dominique.

— La journée n'est pas terminée, a coupé Annick, il n'est que 16h. Nous devons bien profiter.

— Et toi? Qu'en penses-tu? Je lui ai demandé.

Il ne pouvait parler. Presque tétanisé. Il était vraiment au milieu de nous, à genoux. Il n'en pouvait plus, il n'osait nous regarder, mais en même temps, il le faisait sans doute pour graver ce moment à jamais dans sa mémoire.

— Réponds, je lui ai demandé gentiment en prenant son visage.

— Oui, il a balbutié.

— Oui quoi? J'ai poursuivi.

— Oui, c'est une journée mémorable.

— Tu aimes être tout nu avec nous?

— Oui, il a répondu en s'excitant sans doute encore plus.

— Les filles, Arno est timide avec nous, a commencé Marie-Dominique, mais nous l'aimons. Il m'a avoué qu'il adorait se retrouver tout nu devant nous, nous l'avions deviné à voir son sexe en perpétuelle érection.

— C'est vrai, a dit Virginie, moi j'adore le voir comme ça, il est beau et génial, s'il aime se montrer tout nu, je propose qu'il puisse rester nu.

— Oui, tu ne dois pas avoir peur de le demander. Nous aimons que tu sois nu, Annick a complété.

Il n'en revenait pas, mort de honte de se retrouver là. Mais en même temps tellement excité de se retrouver devant toutes les six. Nous avions enfin ce que nous voulions.

— Alors, Arno, nous sommes tes amies, tu dois nous le dire.

— Dire quoi?

— Que tu aimes être nu avec nous six.

C'était trop, mais je l'ai forcé.

— Tu dois être honnête, et même si nous le savons, tu dois le dire!

— J'aime être nu devant vous, il a enfin osé dire.

Nous l'avons remercié et lui avons demandé de continuer, de nous offrir encore des journées pareilles.

— Alors, lui a finalement demandé triomphalement Anne-Sophie, tu acceptes?

— Je dois accepter quoi?

— De te montrer tout nu, Arno, lui répond Sandrine à sa place. Nous adorons cela et nous voulons que tu nous promettes de le faire souvent.

— Oui, il a répondu en tremblant encore, je vous le promets.

— Attendez, Marie-Dominique est intervenue, moi je ne veux pas souvent, je veux tout le temps. Tu dois nous promettre d'être tout le temps nu ici, en tout cas, moi je ne veux plus te voir avec des vêtements ici.

— Oui Marie-Dominique, il a répondu.

— Et tu dois continuer comme cette semaine, tu as dit que tu voulais nous aider, tu dois le faire tout le temps, Virginie a poursuivi.

— Oui, tu feras tous le travail de cet appartement, Anne-Sophie a complété.

— Et je m'attends à avoir toutes les attentions habituelles, lui a encore dit Sandrine, j'adore quand tu me mets mes chaussures, que tu me masses les pieds, que tu ranges ma chambre...

— Oui, il a promis, je continuerai à faire cela.

Il a accepté, il était à bout. Il n'est pas allé à sa réunion. Il n'a plus parlé de réunion.

— Je suis désolée pour ta réunion et tes amis, je lui ai dit en l'embrassant.

— Ce n'est rien, vraiment.

— Tu me le promets?

— Oui, je te le promets, je préfère de loin rester ici avec vous. Il n'y a rien de mieux que ce moment.

J'étais ravie. J'adorais qu'il dise ses sentiments. Il partageait tout avec moi, mais ça, c'était une situation difficile, surtout le dire devant nous toutes. C'était comme s'il était enfin satisfait de pouvoir être avec nous six ensemble.

— Puis-je me lever? Il a demandé? Je voudrais continuer le travail d'Anne-Sophie.

Et en plus, il demandait la permission.

— Oui a répondu Marie-Dominique, va donc poursuivre ton travail, et fais le correctement!

Elle a terminé d'une manière très sèche. Nous étions étonnées et ravies des réactions d'Arno. Il était nu et complètement soumis. Ce que je voulais! Mon fantasme depuis si longtemps, avoir mon fiancé soumis et nu au milieu de mes amies. Je ne sais comment est venu ce fantasme, mais j'adore!

Il s'est levé et est allé au bureau pour continuer le travail d'Anne-Sophie. Nous avons discuté entre nous

— C'est génial, a dit Annick, il travaille et nous laisse nous amuser.

— Demain, nous avons toute la journée, mais nous n'avions pas planifié comme ça.

— Ce n'est pas grave, nous avons quand même pas mal de choses à faire, nous ne pouvons tout le temps être six. Il aura un aperçu de sa nouvelle vie.

— Il faut veiller à ce qu'il ne s'habille pas, a dit Virginie.

— Il ne le fera pas, j'ai certifié. Vous verrez, il ne l'a jamais fait quand il en avait l'occasion, et il ne le fera plus. Demain matin, il sera nu.

— C'est génial.

Nous avons ri et parlé un bon moment, en planifiant d'autres moments entre nous et Arno tout nu. Nous avions désormais notre nouveau mode de vie, et aucune de nous ne voyait comment nous pourrions retourner à un ancien mode de vie.

Elles ne voulaient plus le voir avec des vêtements dans l'appartement.

— Ils ne lui servent à rien, a dit Annick. Il a été nu toute la semaine, à part les quelques minutes avant que je ne détruise ses vêtements.

— C'est vrai, il faudrait organiser une semaine complète, dimanche soir au vendredi.

Elles étaient très vindicatives. Elles ne toléraient plus les vêtements pour Arno dans cet appartement, et elles disaient qu'elles seraient très fâchées s'il osait s'habiller.

— D'ailleurs, il vient d'avouer qu'il adorait cela, nous aussi, nous n'allons pas changer.

— Cela devient donc une règle, a tranché Marie-Dominique. Arno vivra tout le temps nu ici, et nous le punirons s'il ose s'habiller.

Je ne crois pas qu'il entendait nos paroles depuis le petit bureau avec son ordinateur.

— Et bien sûr, il continuera à nous servir comme il nous l'a proposé, Virginie a ensuite continué, je ne veux plus rien faire ici.

Nous avons donc organisé son emploi du temps et son partage. Parfois nous l'appelions pour qu'il nous serve un verre ou qu'il ramasse quelque chose tombé par terre.

— J'adore son corps, a encore dit Marie-Dominique d'un air extasié. Regardez cela, c'est presque un crime de le couvrir, il est si doux, si lisse, et ses muscles sont si bien dessinés.

— Ses muscles abdominaux sont fantastiques, a confirmé Virginie. Je n'en avais jamais vu de pareils avant lui, et je ne rencontre jamais un gars comme lui.

— Tu n'as pas l'expérience de Donatienne, Annick s'est moquée.

— Non, mais n'oublie pas que nous avons aussi habité en face de la piscine pendant deux ans, il y avait en permanence les étudiants en sport. Des dizaines de types canon.

— C'est bien, les garçons commencent à bien prendre soin d'eux.

— Oui, avant ils ne comptaient que sur leurs biceps, mais un beau torse, tout glabre, c'est trop sexy, Sandrine a conclu.

Arno a terminé le travail demandé en quelques temps. Heureusement, il était bientôt l'heure du dîner.

Il a appelé Anne-Sophie qui s'est levée pour aller voir.

— C'est excellent, Arno, tu es un champion. Merci beaucoup.

Elle l'a embrassé en le serrant contre elle. Elle en a profité ensuite pour caressé son ventre, en lui demandant de bien bander ses muscles. Elle qui était plus attirée par les filles que par les garçons semblait adorer vraiment le corps masculin. Elle l'a libéré et il a éteint son ordinateur.

Anne-Sophie l'a ramené près de nous par le sexe qu'elle avait pris soin de remettre au garde-à-vous.

— Et voilà, lui a dit Marie-Dominique, tu es enfin avec nous toutes, tu es content?

— Oui, il a soufflé.

Nous nous sommes levées et nous l'avons entouré. Toutes posaient ses mains sur lui. Il tremblait, comme s'il avait peur.

— Et nous sommes ravies, lui a dit Virginie, maintenant, tu es avec nous. Nous voulions tellement te voir ainsi et te faire plaisir.

— Tu vas aller préparer le dîner, lui a dit Marie-Dominique, mais nous devons te donner certaines règles.

— Oui Marie-Dominique, il a répondu d'une voix très faible.

— D'abord, nous avons décidé que puisque tu aimes tellement cela, tu vas vivre nu dans cet appartement. Nous y sommes habituées.

— Oui, Marie-Dominique, il a répondu en s'étranglant encore, mais si...

— Pas de si, elle l'a tout de suite coupé, Tu vas vivre tout nu avec nous, tu aimes cela, et nous aussi.

Il se sentait tellement humilié qu'elle annonce cela devant les autres. Mais il ne savait bouger car ses bras étaient tenus.

— Arno, lui a dit Anne-Sophie qui se trouvait derrière lui, c'est mieux dorénavant que lorsque nous te parlons ainsi, que nous te donnons des instructions, tu écoutes à genoux.

— Tu as raison, j'ai dit en frappant ses fesses, à genoux!

Il a obtempéré tout de suite et s'est retrouvé à genoux entre nous. C'était une première, il était complètement nu à nos pieds. Sa tête arrivait à hauteur de nos ventres et nous avons toutes placé nos mains sur lui. Sa tête et ses épaules étaient recouverts.

— Comme tu nous l'as proposé, a poursuivi Marie-Dominique, nous avons accepté ton aide. Nous nous sommes rendu compte que c'était très important, et comme tu as beaucoup de temps libre, tu nous aideras donc en permanence.

— Mais attention, Sandrine a dit, tu dois nous aider pour que cela fonctionne pour nous, tu dois faire ce que nous voulons et pas ce que toi tu veux.

— Tu as compris? Lui a demandé Annick en pinçant son oreille.

— Oui, il a répondu. Je ferai tout ce que vous voulez.

Il était complètement perdu ainsi entre nous.

— J'espère que tu ne me feras pas honte, j'ai conclu. Je veux que tu sois très obéissant avec toutes les filles.

Il acceptait tout, il ne pouvait dire non. Il aurait accepté n'importe quoi, mais nous avions assez avec notre petite démonstration. Nous lui avons donné l'ordre de se lever et d'aller nous préparer le dîner. Mais nous l'appelions sans cesse pour nous servir quelque chose.

Il avait bien compris, il n'y avait que six couverts sur la table. Il est venu nous avertir que le repas était prêt, et il nous a servies comme des reines, d'abord en reculant la chaise pour chacune de nous, ensuite il a servi les plats, toujours à genoux, toujours prompt à répondre à nos exigences. Pendant que nous parlions au salon, il a débarrassé et fait la vaisselle. Il n'a presque pas mangé. Je suis allée le trouver et je l'ai enlacé.

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