CFNM à l'université Chapitre 03

Chapitre 3

Journal de Stéphanie.

J'avais arrêté Anne-Sophie plusieurs fois.

— Je suis certaine qu'elle est avec lui.

— Laisse la revenir, pas deux filles à la fois, nous l'avions bien spécifié.

Virginie est enfin revenue, Près d'une heure plus tard. Enchantée, avec son album rouge très privé.

— Vous n'allez pas me croire, elle a dit.

— Tu es allée dans la salle de bains? A râlé Anne-Sophie.

— Non. Quand je suis arrivée dans le couloir, il y était, tout nu. Je lui ai demandé de m'aider, il est venu tout nu dans ma chambre, et je l'ai fait monter sur un tabouret, puis il a pris chaque album un par un, ce n'était jamais le bon, alors je me suis « souvenue » qu'il était sur ma penderie. Debout sur un tabouret devant moi, tout nu avec son gros sexe en érection. J'étais chaque fois contre lui, ma main sur ses fesses. Il m'a donné le livre, puis je lui ai demandé de remettre les albums. Il est monté sur le tabouret, mais j'ai fait semblant de rien. Je l'ai juste regardé en souriant. Et bien il a remonté chaque album tout seul et je l'ai embrassé en me serrant contre lui. Il était tout ému, rouge de confusion. Je l'ai accompagné dans la salle de bains, et lui ai promis un massage ou que je lui donne le bain, il a été encore plus rouge.

Nous avons apprécié l'histoire.

— Cela commence bien, a dit Marie-Dominique, toute excitée. Il semble ouvert. Il est venu tout nu.

— Oui, j'ai dit. Une fois qu'il est nu, il ne sait rien refuser. Il faut juste qu'il soit tout nu.

— Bon et ces photos? A demandé Annick.

Virginie a posé l'album et l'a ouvert. C'était un album de photos consacré à Arno nu. Toutes les photos qui étaient trop intimes pour être montrées. De nombreuses séances de photos, elle avait Arno complètement nu. Mais il y avait aussi des photos volées depuis notre première année, parfois personne ne s'était rendu compte qu'elle les prenait. Une photo d'Arno tout nu sur les genoux d'Anne-Sophie, occupé à recevoir une fessée, a vraiment mis tout le monde en émoi, il fallait presque des copies immédiates.

— Tu nous as caché cela, lui a reproché Marie-Dominique.

— Tu peux parler, tu as un mec.

— Ouais... Je pense plutôt que je vais le plaquer et me consacrer à notre nouveau projet.

Nous avons ri. Nous admirions Arno.

— Bon, je vais y aller, sinon il sera ressorti, a dit Anne-Sophie en se levant.

Elle est allée le retrouver pendant que nous examinions toutes les photos.

Il y avait des centaines de photos de lui, complètement nu, nous ne savions même pas qu'il y avait des photos de son test de première, quand il a dû défiler devant nous. C'était un excellent souvenir.

— Qui sera la prochaine? A demandé Sandrine.

Il fallait trouver une excuse, et elles voulaient le plus tôt possible. Nous avions décidé d'y aller lentement, mais c'était tellement excitant que nous voulions avancer.

— Demain, j'ai proposé, je vais lui dire de s'entrainer tout nu sur la terrasse. Il faudrait que quelqu'un soit dans la cuisine quand il rentre.

— Il revient toujours par votre fenêtre, Virginie est intervenue en connaissance de cause.

— Cette nuit, je verrouillerai, et je lui ordonnerai de passer par le living. Alors? Qui?

— Moi, a tranché Marie-Dominique. Je vais lui demander de me faire du café et puis je lui demanderai un service dans ma chambre, il ne pourra refuser.

— Surtout que nous ferons du bruit, il aura peur de se retrouver nu dans le living.

— Et nous? A demandé Annick.

— Dès qu'Arno est chez Marie-Dominique, j'ai dit, vous faites du bruit, vous sortez de votre chambre. Nous devons durer le plus longtemps possible. Arno n'osera sortir que quand il sera certain de pouvoir aller dans sa chambre sans voir personne.

— Et combien de temps?

— Laissez-moi une heure, a demandé Marie-Dominique. C'est un minimum.

Il fallait encore trouver pour Annick et Sandrine. Nous avions déjà plein de plans pour la suite, mais nous voulions en profiter le plus possible.

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Récit d'Arno.

Je finis de prendre ma douche, je me calme à peine. Je n'en reviens pas que je suis resté tout nu pendant une heure avec Virginie. C'était très fort. Je n'aime pas le dire, mais j'adore. Et en plus elle m'a touché, elle m'a serré dans ses bras, m'a caressé les fesses. Wow. Elle a trouvé cela normal, enfin, j'ai été nu des heures en face d'elle, mais cette fois, c'était vraiment différent. Je devrai absolument trouver un moyen de recommencer. Je suis trop excité. Je commence à me caresser un peu. Virginie a mentionné les services que je pouvais lui rendre. Que veut-elle? Elle n'a plus de travaux, elle a son diplôme. Ou alors, elle veut que je l'aide à classer ses photos. J'en viens à rêver que je suis avec elle tout nu dans sa chambre, avec des milliers de photos à classer.

Mais la porte qui s'ouvre brusquement me sort de mon fantasme. J'étais occupé de me caresser, je me tourne rapidement et prétend me rincer avec la douche. Anne-Sophie entre dans la pièce.

— Tu aurais pu frapper, lui reproché-je.

— Et manquer te voir tout nu? Non, je préfère entrer et te regarder.

Elle m'intimide encore, d'autant plus que je suis en érection.

— Il y avait longtemps.

Je suis confus et je sens que je tremble.

— Je me rappelle encore ce dimanche de novembre, tu avais demandé à Stéphanie de faire tout le nettoyage tout nu sous ma supervision.

Elle confond, mais cela me gêne encore plus, je ne sais plus où me mettre.

— Euh... ce n'est pas...

— C'était génial. Et nous n'avons jamais recommencé.

— Euh oui Anne-Sophie, mais...

— Tu ne voudrais pas recommencer?

— Je ne sais pas... Ce n'est pas bien.

— Pourquoi? Nous avons eu tous les deux du plaisir.

— Oui mais c'est bizarre.

— Mais non pourquoi?

— Parce que ça ne se fait pas.

— Mais si, la preuve nous l'avons fait.

— Tu connais beaucoup de gens qui font cela?

— Stéphanie.

— Oui, et à part ça?

— Tu sais, il n'y a pas besoin de connaitre plein de monde, nous pouvons le faire à nous deux, même à trois avec Stéphanie. Rien que nous, cela nous rend heureux. Mais si tu veux, je vais demander à toutes mes amies si elles l'ont fait ou si elles aimeraient bien, et je te le dirai.

— Non, m'écrié-je. Après elles vont deviner que tu l'as fait.

— Et alors?

— Fréquentes-tu un autre garçon?

— C'est vrai, je n'aime que toi comme mec sinon ce sont des filles. Tant pis. Je peux aussi demander aux autres, si tu veux je les appelle.

— Non, m'écrié-je.

— Bon après tout cela n'a pas d'importance. Pourtant, tu n'as pas arrêté de nous dire que tu voulais nous aider, et nettoyer ma chambre en étant tout nu, cela m'aiderait et me ferait très plaisir.

— Je veux bien t'aider, mais pas tout nu.

Je sors de l'eau et elle me donne une serviette. Je m'essuie devant elle. Elle m'intimide et je repense à notre dimanche et aux autres au loft avec Stéphanie. Elle regarde mon érection que je ne parviens pas à dissimuler.

— Tu aimais bien, n'est-ce pas?

Je rougis.

— Tu peux me le dire. Stéphanie me l'a dit, tu lui as dit que tu avais adoré.

Ça y est Stéphanie a encore parlé.

— Elle ne peut garder notre intimité, pesté-je.

— Mais elle dit la vérité. Alors, j'ai envie de l'entendre de ta bouche.

Elle reprend ma serviette au moment où je finis de me sécher, et elle la pend à un crochet.

— Alors? J'attends.

— Je ne sais pas.

— Si tu sais, je peux attendre longtemps, j'ai tout mon temps.

— C'est bon, oui j'ai aimé.

— A la bonne heure

Elle me prend dans ses bras et m'embrasse.

— C'est bien de l'avouer. Je trouve cela super ce que nous avons fait, je ne regrette rien. Et cela reste entre nous. Enfin, Stéphanie est au courant. Mais moi je ne dirai jamais rien.

Anne-Sophie me trouble encore. Elle est complètement collée à moi et mon sexe tendu et nu pousse contre son ventre. Ce soir, elles sont toutes très sexy, et elles portent leurs escarpins, alors qu'elles se plaignent souvent de devoir marcher des heures ainsi.

Elle se détache de moi, je ne sais que faire. Je finis par me tourner vers le lavabo et me laver les dents. Anne-Sophie approche et place sa main sur mes fesses. Quand je termine, elle est devant la porte.

— Euh, tu me laisses passer?

— Tu viens dans ma chambre?

— Non, je vais dans la mienne.

— Dans ce cas, je ne bouge pas.

Je la regarde, elle me défie. Je n'ose la toucher en étant tout nu. Je ne sais que faire.

— Allez, viens dans ma chambre.

Elle ouvre la porte et me prend la main, comme un automate, je la suis jusque dans sa chambre. Elle me pousse à l'intérieur et ferme la porte. Une deuxième fois ce soir!

Il y a pas mal de bordel, des choses qui trainent partout et le lit n'est pas fait. Elle est très ordonnée d'habitude.

Je suis debout au milieu. Elle vient m'embrasser.

— Tu vois, tu pourras quand même m'aider comme je te le demandais, tu peux ranger ma chambre.

Je ne bouge pas.

— Allons, tu meurs d'envie de le faire. Juste pour m'aider, je ne ferai rien d'autre que de te regarder.