C'était Inévitable

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Deux couples en voyage, et arriva ce qui devait arriver !
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Siham
Siham
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Nous étions deux couples, en camping-cars et voyagions ensemble sur les routes du Maroc. Elle, que j'appellerais Susanne, et lui qu'on appellera Arthur étaient du Jura, en France. La quarantaine passée, un couple ordinaire et autant Susanne était d'humeur changeante, frisant la bipolaire, Arthur, lui était plutôt taquin pour ne pas dire cochon. Le voyage s'effectuait sans encombre, à part quelques sautes d'humeur des français qui nous faisaient fuir, chaque couple vers son camping-car. Le soir, des verres de bierre ou de Ricard et, souvent, autour d'un feu de bivouac, nous veillons jusqu'à une heure tardive. Mon compagnon, plus calme et peu bavard, se contentait de diriger, sans le montrer, les programmes, veillant au moindre détail. Au fur et à mesure qu'on avalait les kilomètres, Arthur devenait de plus en plus entreprenant à mon égard, Sur un air de plaisanterie auquel tout le monde s'était habitué. Il passait pour la grande gueule, inoffensif et, peu intéressé pour aller au-delà des mots mais en apparence seulement. Dès que nous étions seuls, loin des regards, il osait, un compliment par ci, un attouchement par là. On pourrait même dire qu'il m'entreprenait à l'usure. Entre mon compagnon et moi, point de vue sexuel, tout se passait, bien mais dans l'intimité du camping-car. Avant de les rencontrer, cela me suffisait pour être heureuse sous les coups de reins de mon compagnon. Avec Arthur, ma féminité s'exacerbait au fil des tentatives, discrètes mais soutenues au point que parfois, je laissais sa main me caresser la hanche, faisant semblant de ne rien remarquer. Nous nous étions habitués à son langage cru, frisant parfois le vulgaire et l'impudeur. Une sorte d'ambiance qu'il entretenait à coups d'anecdotes ne tournant qu'autour du sexe. Une fois même, une histoire de cul nous fit éclater de rire et en débarrassant la table, lui et moi, pour emmener les assiettes et les couverts vers les éviers communs, à l'abri des regards. Sans autre lumières que celles des lampadaires, au loin. Nous nous retrouvâmes côte à côte en train de faire la vaisselle. Il riait encore en reprenant son anecdote de cul. Il se tourna vers moi et me toisa :

- Ça t'a plu, on dirait! Dit-il avec un regard qui en dit long sur ses intentions.

- Tu es incorrigible! Lui répondis-je en me tournant vers lui. Il riait, la tête rejetée en arrière et quelle fut ma surprise quand je remarquai qu'il avait un début d'érection sous son bermuda en lin fin.

- Quoi? Avoue que tu aimes les histoires grivoises! Me dit-il en me fixant. Il était vraiment sur le point de se jeter sur moi, n'attendant qu'un signe de moi. J'avoue m'être sentie tentée d'être consentante s'il avait osé mais comme je repris la vaisselle, il passa derrière moi pour prendre le flacon de lave-vaisselle et c'est là qu'il m'effleura les fesses, un peu par mégarde mais sûrement pour me tester. Il fit durer le contact en guettant ma réaction pour enfin me murmurer :

- Toi, ou tu vas finir par me faire faire une bêtise et tu ne m'en voudras pas, ou tu me rendras dingue en me torturant avec ton air de coquine qui fait semblant de s'ignorer.

- Arthur! T'as quel âge? Tu sais très bien que je suis en couple et j'aime mon compagnon?

- L'un n'empêche pas l'autre. On peut aimer les langoustines et les homards, en même temps.

- Je ne sais si tu me prends pour une langoustine ou un homard mais j'aime faire les choses comme il faut.

- Qui te dit que tu ne feras pas les 2 comme il faut? Dit-il en s'approchant jusqu'à presque me coller en passant la casserole qu'il lavait, sous le robinet. Le contact de sa bite sur ma hanche, j'avoue, me fit frémir et je restai immobile. Il prit l'absence de réaction de ma part pour un consentement. Il passa sa main libre autour de ma taille et m'attira vers lui appuyant ma hanche sur son érection :

- Tu sens l'effet que tu me fais? Craignant d'être surprise par mon compagnon, je le repoussai et il recula en riant.

- Au moins tu sais et je sais. On finira bien par trouver un terrain d'entente et passer du bon temps sans que cela se sache, non?

- Tu as le droit de rêver tant que tu le gardes pour toi. En ramassant les ustensiles et partis en me déhanchant, sentant son regard sur mes fesses.

Les jours et les kilomètres se succédèrent non sans être entachés par ses insinuations, ses regards et sa manière de vouloir profiter de la moindre occasion pour me signifier son envie folle de me voir lui céder.

Au cours d'un périple, dans la chaleur du Sud marocain, la chaleur étouffante nous obligea à presque rien porter tant le soleil transformait nos camping-cars en véritables fours. Nous nous arrêtâmes au bord d'un cours d'eau qui alimentait un grand lac, pour nous rafraichir. Je portais un maillot deux pièces. Suzanne détestait se mettre en maillot, sûrement à cause de vergetures héritées de sa dernière grossesse. Mon compagnon, lui, décida de tenter de pécher quelques carpes et s'éloigna pour éviter de voir les poissons fuir quand Arthur et moi, pénétrâmes dans l'eau. Des arbustes et des joncs faisaient de notre coin, un espace en dehors du champ de vision de nos compagnons. Je plongeai dans l'eau et profitais de cette fraîcheur quand je sentis quelque chose me frôler la cuisse. Je sursautai en poussant un cri quand Arthur émergea tout près de moi!

- Arthur! Tu m'as fait une de ces peurs! J'ai cru un serpent! Lui criai-je, en colère. Il éclata de rire et replongea. L'eau avait cette couleur beige des cours d'eau qui transportaient des limons et peu transparente, on ne pouvait plus rien voir à quelques centimètres de la surface. Je plongeai mes cheveux pour les ressortir et les essorer quand je sentis une main me prendre la cuisse. "Sacré Arthur, me dis-je, un vrai gamin!" Je plongeai ma main dans l'eau, cherchai sa tête et la poussa vers le bas comme pour la maintenir sous l'eau. Il prit ma main, toujours sous l'eau, avec force et quelle fut ma surprise quand je sentis qu'il la glissa sous son maillot. Une bite, une sensation, un choc quand il émerge, de nouveau, tout près de moi, l'eau jusqu'à la moitié du tronc. Ma main retenue par la sienne sous son maillot et sa queue, devenue très dure. Il ne riait plus et avait plutôt un regard décidé à tenter le tout pour le tout. Nous nous fixâmes un instant, comme si nous devions décider de ce qui allait suivre. Il lâcha ma main comme pour me signifier que je pouvais la retirer si cela ne me plaisait pas. J'avais toujours sa queue dans la main et, le risque comme le contact, firent que l'excitation était si irrésistible que j'ai serré plusieurs fois qu'il sourit et se mit à reculer, doucement, pour aller s'adosser au gros rocher, m'entrainant, avec lui comme pour nous cacher. Je fis un pas vers lui. Il rejeta sa tête en arrière, ferma les et plongea ses mains dans l'eau pour baisser son maillot.

Je prenais franchement sa queue. Il ouvrit les yeux, admira mes seins à demi nus. La scène me parut comme une invitation irrésistible. Il tendit une main et me pelota le sein. Cela me chatouilla et sans réfléchir, je plongeai ma tête pour descendre jusqu' à cette queue qui durcissait dans ma main. Je la pris à deux mains comme pour mieux l'estimer. Je le sentis retenir son souffle. Une queue énorme et malgré la fraîcheur de l'eau, elle était si dure que je ne pus résister et approchai mes lèvres du gland. Les yeux fermés, je sentis Arthur contracter sa queue et sa main plongea dans mes cheveux sous l'eau. Une légère pression et sa queue pénétra ma bouche presque toute entière. Je refis plusieurs la manoeuvre et à chaque pénétration, c'est un peu comme si elle devenait plus dure, plus grande dans ma bouche. Tout à coup, sa main tira sur mes cheveux comme pour cesser cette fellation improvisée sous l'eau. Tout en me tirant vers la surface, il me poussait comme pour m'éloigner. Je compris qu'il y avait danger. Sans émerger de l'eau, je me retournai, fis quelques brasses pour aller sortir à plusieurs mètres plus loin. Quand je sortis ma tête hors de l'eau, je vis arriver mon compagnon, brandissant, fier, quelques carpes de taille moyenne. Arthur faisait semblant de se laver les cheveux.

- On a le diner! Dit mon compagnon en arrivant au bord de l'eau. Il déposa son butin et continua en s'adressant à moi comme à Athure, moi, je les ai péchées, à vous de les vider et les laver. Je sortis la première, pris les poissons et en passant prendre un couteau et un panier, je trouvai Suzanne, endormie dans son hamac. Un livre ouvert sur son visage. J'allais aux éviers communs et me mis à nettoyer les poissons. Arthur arriva et sans dire un mot, il se colla à moi, toujours en maillot deux pièces. Il bandait comme un cheval.

- Attention! Lui dis-je en le repoussant d'un coup de bassin. Il me retint par les hanches et revint la charge!

- Ne t'inquiètes pas, il fait quelques brasses dans le lac et Susanne dort à points fermés, me dit-il en baissant mon maillot et le sien. Je sentis sa queue raide glisser entre mes fesses. Ce nouveau contact réveilla en moi, tout le désir qu'un pareil risque pouvait déclencher et je me cambrai en prenant appui sur le bord de l'évier.

Sa queue s'enfonça entre mes cuisses pour venir écarter les lèvres de ma chatte. Je me soulevai sur la pointe des pieds, sa queue me pénétra délicieusement. Il était en moi et ses mains remontèrent jusqu'à mes seins qu'il écrasa. Il avait hâte d'expulser toute cette envie que j'avais provoquée sous l'eau, quelques minutes plus tôt. Il se hâtait non pour finir le plus vite possible mais par cette rage folle de jouir!

Effectivement, en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, je sentis sa queue se raidir et un flot de chaleur inonda mon vagin. Il éjacula plusieurs fois et comme vaincu par cette copulation inopinée, il se détendit en me collant. Sa queue toujours en moi et mes deux seins écrasés sous ses mains.

- Arthur! Lâche-moi! Il me libéra en reculant. Je relevais mon maillot et courus vers les toilettes, histoire de retrouver mes esprits. J'avais, pour la première fois trompé mon compagnon. C'est à la fois, comme un relent de culpabilité mais surtout, des palpitations, celles du plaisir consommé! Je pris mon temps et quand je revins à l'évier, Mon compagnon et Arthur discutaient en nettoyant les poissons.

- Qui se charge de la cuisson? Demandai-je en m'arrêtant à côté d'eux.

- Je m'en charge! De toute façon, on ne va que les frire! Dit mon compagnon.

- Je vais aller chercher du pain et si je trouve du dessert. Dis-je. Arthur se retourna et me demanda s'il voulait m'accompagner.

- Tu n'es pas obligé. Lui dis-je en pensant qu'il exagère. Il venait de me faire l'amour et il pensait déjà à remettre ça, encore une fois.

- Non, j'y tiens, dit-il en se lavant les mains, décidé, et d'ajouter : Tu peux faire une mauvaise rencontre et d'ailleurs je dois aussi acheter des bières. Les femmes, chez vous, ne sont pas censées boire de l'alcool.

- Oui, vas-y! C'est vrai, tu as raison! Dit mon compagnon sans se retourner.

C'est ainis que nous nous retrouvâmes, tous les deux, sur le chemin de la ville, à plus d'un kilomètre du centre-ville. Dans une allée ombragée, bordée de vieux platanes, entre deux bosquets, Arthur me prit la main et me poussa derrière les feuillages et, adossée à un tronc, invisible de la route, il se mit à m'embrasser, me caresser en me murmurant :

- Une vraie garce! Tu me fais perdre la tête! Il avait déboutonné ma chemise en tremblant et se mit à me dévorer les seins. Gagnée par une sorte de vertige, je me laissai faire poussant le culot jusqu'à lui caresser la queue sous le bermuda en toile fine. Il prit ma main et la glissa sous le boxer et je pus, encore une fois, aller au contact de cette queue qui, dès qu'elle était dans ma main, s'étirait, durcissait en communiquant à son propriétaire, cette folie qui transforme l'humain en animal. Il voulut me faire tourner pour me prendre mais j'ai résisté en prétextant :

- Doucement Athur! Il nous faut faire attention! Je le repoussai, remit de l'ordre dans mes vêtements et nous sortîmes du bosquet, moi, les joues roses, en chaleur. Lui, la queue encore raide dont le renflement était visible à des kilomètres.

Au retour, entre Arthur et moi flottait une complicité invisible, faite de sous entendus, de regards du coin de l'oeil et d'effleurements. Mon compagnon semblait ne rien remarquer jusqu'à cette nuit où, en me pénétrant comme il aime à le faire, en doggy. Lui à genoux derrière moi et moi, à quatre pattes devant lui. Il adorait tant, avoir le spectacle de ma croupe offerte que le choix entre la chatte et l'anus pour jouir en moi avec cette fine sauvagerie qui lui était particulière. Il avait éjaculé et plié sur moi en me prenant les seins, il me retint dans cette position quand je voulus me coucher et je l'entendis me murmurer à l'oreille :

- Tu couches avec Arthur depuis quand? La question était si abrupte que j'eux le souffle coupé. Mon Coeur augmenta de rythme au point que j'eus comme une envie de vomir :

- Quoi? Dis-je interloquée, partagée entre tout nier ou jouer la prudence car, les hommes peuvent parfois se faire des confidences tant pour se vanter que pour flatter leur ego. "Et si Arthur lui avait-il tout dit?" Pensai-je.

- Ne songe pas à me mentir, je le sais! Dit-il en se retirant pour s'étendre sur le lit. Il regardait le plafond, comme dégoutté par ma trahison et, au bout d'un moment, Il se tourna sur le côté, en me tournant le dos et s'endormit. Je restai figée, ne sachant que faire. Pour un moment de faiblesse, j'avais, semble-t-il, détruit une relation qui n'avait été, jusque-là que belle! Je mis ma robe de chambre chinoise, en satin, à mi-cuisses-cuisses et sortis dehors pour aller m'assoir à la table de camping entre les deux camping-cars. J'étais plongée dans mes pensées, à la fois triste et en colère, quand j'entendis une porte grincer, celle du camion d'Arthur. Il était en caleçon, torse nu et arrivait en se frottant les yeux. Quand je le vis, je me suis levée pour m'éloigner, vers la petite plage qui donnait sur le lac. Je m'assis et m'adossai sur un gros rocher. La tête en ébullition. Je fermai les yeux, la tête rejetée en arrière, pour mieux me concentrer sur ce qui devait arriver. Je ne voulais pas perdre mon compagnon surtout pour, ce qui à mes yeux, n'était qu'une passade sans lendemain. Je sentis des lèvres venir écraser les miennes. Le temps d'une pensée heureuse, je crus que c'était mon compagnon mais quand j'ouvris les yeux, c'était Arthur qui à genoux devant moi, m'embrassait. Colère ou étonnement, je ne sais, toujours est-il que le baiser surprise me calma et je refermai les yeux. Après tout, j'avais été prise à mon jeu et je n'ai que ce que je méritais. Sa main glissa sous ma robe de chambre et se mit à me caresser les seins me couvrant le cou, les épaules, de baisers. Il me coucha sur le sable et ouvrit la robe. Il était comme ébahi en me découvrant toute nue. Il se colla à moi et tout en se débarrassant de son caleçon, sa jambe glissa entre les miennes, sa cuisse me taquina la chatte, quand une voix familière nous fit sursauter :

- Ne vous gênez surtout pas! Nous levâmes les yeux pour découvrir, sous la faible lumière des étoiles et de la lune, mon compagnon, le coude sur le rocher. Depuis quand était-il là? Il vient devant nous, toujours étendus et nus sur le sable.

- Ça vous dit un bain de minuit à trois? Dit-il en baissant son boxer et il se mit à courir, tout nu vers le lac. Arthur et moi, nous sommes restés figés tant par la surprise que par l'invitation. Comme une explosion de joie, nous éclatâmes de rire. Arthur se leva, me tendit la main pour m'aider à me relever et nous courûmes vers le lac, tout nus. Mon compagnon, dans l'eau jusqu'au cou nous regardait arriver puis doucement, nous nageâmes vers lui. Je me suis presque jetée dans les bras de mon compagnon et Arthur a complété le trio en se collant à moi.

- Quand il y a pour deux, il y en a pour trois!

- Quand il y a pour un, il y en pour deux! Reprit Arthur, en glissant sa queue entre mes cuisses. Je ne sais quoi dire sauf peut-être, aider l'un comme l'autre, à faire que chacun ait son propre plaisir et j'étais au centre de l'univers du sexe, de la jouissance charnelle. Une deuxième queue vint me taquiner le pubis.

- Tu dois régler la circulation, chérie. Me dit mon compagnon en me prenant les lèvres. Chacun son tour ou les deux, ensemble, mais surtout pas d'embouteillage! Ajouta-t-il. Pour satisfaire l'un sans frustrer l'autre, de ma main gauche je dirigeai sa queue vers mon anus et de la main gauche, je plaçai celle de mon compagnon à l'entrée de chatte.

- Ça vous va comme ça? Dis-je en bombant le torse tout en me cambrant. Offrant à l'un, mes seins et à l'autre, mes fesses. Comme des enfants, ils me pénétrèrent en même temps, me soulevèrent et me firent jouir des centaines, des milliers de fois, tellement cette séance à trois, mon corps en sandwich entre deux mecs fougueux et attentifs, resterait inoubliable.

Et Susanne? Se demandera-t-on, elle n'en saura jamais rien de nos escapades de minuit pour la simple raison qu'elle avait la fâcheuse habitude d'être addicte au somnifère! Parfois, nous devions attendre une demi-heure pour qu'elle s'endorme pour nous faufiler, sans faire de bruit, vers nos ébats sexuels et aquatiques, parfois, mon compagnon et moi, prenions les devants, après tout, Arthur, Susanne, c'était son handicap. A lui de l'assumer. Parfois, Arthur trouvait l'occasion pour m'isoler et me prendre tout à son aise. Au final, c'était devenu plus un voyage sexuel que touristique et bien sûr, au final, mon compagnon et moi, avions mis un terme à une relation dont on n'avait prévue la forme et après le départ d'Arthur et Susanne, ce n'était plus qu'une histoire de plus à écrire pour "Liberotica!

Siham
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Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 3 mois

J'aime bien.

Rudy

TamokinkTamokinkil y a 3 mois

Encore un texte magnifiquement rédigé! Excitant sans être vulgaire, un cadre trés joliment posé et qui fais voyager.. j'ai adoré!

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