Casinothérapie 03 : Dom

Casinotherapie chap 3 : Dom mérite bien son diminutif. Olivia en fait les frais.

Je n'ai pas de nouvelles d'Eva et laura et je commence à m'impatienter.

La dernière visite de laura a été épique et je ne serais pas contre une nouvelle confrontation avec ce petit bout de femme incroyable qui hante mes rêves les plus lubriques.

Tant pis, je craque la première. Je vais aller ce vendredi soir au casino ou je sais qu'elles ont leurs habitudes.

Je m'habille le plus sexy possible afin de mettre en valeur mes formes et qui sait de motiver laura.

Bingo. Elles sont là comme d'habitude elles jouent sur la même machine.

Mais alors que je m'approche d'elles je vois une apparition démoniaque sur la machine d'à côté.

Une magnifique jeune femme à la peau d'ébène semble illuminer toute la zone autour d'elle.

Plus grande que moi elle est mince mais arbore une paire de seins magnifiques qui semblent avoir du mal à être contenus par son teeshirt.

Son tour de poitrine affolant jure avec sa taille de guêpe.

J'ai du mal à la quitter des yeux pour aller vers mes amies.

Mon imagination s'enflamme et je vois cette magnifique femme avec les seins bondés à genoux devant moi. Je sens mon bas ventre devenir en feu.

Il faut que je détache mes yeux de cette succube à tout prix pour saluer les filles.

Celles-ci m'accueillent avec joie et la jeune black me regarde intensément. A-t-elle deviné mes pulsions?

- Olivia je te présente ma copine Dominique.

C'est laura qui a parlé et la grande black s'approche de moi et nous nous faisons la bise. Elle met sa main sur mon épaule en faisant ça et ça m'électrise. Je bafouille un vague

- ravie de te rencontrer.

Le casino est bondé et les machines libres sont rares. Eva me propose de jouer avec Dominique afin que nous soyons toutes les quatre ensembles.

Ça me va et Dominique me fait une place tout contre elle.

On commence à jouer et Dominique est littéralement collée contre moi.

Au début je pense que c'est le peu de place dont on dispose mais peu à peu je m'aperçois qu'elle me colle volontairement.

Elle met son bras autour de mon cou. Ça m'affole.

Je sens sa sueur et son parfum m'envahir et je suis complétement affolée.

J'ai le sexe complétement mouillé et j'ai l'impression qu'elle sait très bien ce qu'elle fait.

Elle approche sa bouche de mon oreille et susurre :

- Je préfère qu'on m'appelle Dom.

Son bras quitte mon cou et se colle littéralement à mes fesses.

Je veux reculer son bras et prend sa main mais elle me fait une tape discrète sur la main et j'abandonne l'idée de la mécontenter.

Enfin alors que je ne sais plus comment me comporter eva et laura nous disent qu'elles ont consommé leur budget du jour et elles nous proposent de boire un verre avant de partir.

Je suis sauvée. Nous nous dirigeons vers une table basse et nous installons.

Laura est à côté de moi et Dom me fait face avec un grand sourire carnassier.

J'ai l'impression d'être une souris devant un chat prêt à me dévorer.

Laura se penche vers moi et me dit à l'oreille :

- tu l'imagine sur mon bureau.

Elle fait allusion au jour où je l'ai découverte nue attachée les bras en l'air et les jambes écartelée sur le bureau d'eva.

Position qu'elle m'imposera quelques temps après.

Je ne réponds pas subjuguée par le regard perçant de Dom.

Nous buvons nos verres et eva dit à laura et Dom

- Aller les filles il est l'heure que je vous ramène à la maison.

Le regard de Dom s'intensifie et elle fronce légèrement les yeux en me fixant.

Sans comprendre pourquoi je dis :

- Si Dom veut encore jouer je pourrais la ramener chez elle j'ai ma voiture.

Le regard de Dom semble s'illuminer et elle dit :

- pourquoi pas du moment qu'on me ramène.

C'est entendu en me saluant laura me glisse :

- Attention! c'est une cannibale.

Je sourie mais c'est aussi l'impression que ça me donne.

Les filles sont à peine parties quand je propose à Dom de trouver une machine libre.

Elle me jette ce regard intense et me dit :

- je préférerais que tu me payes un verre chez toi.

Prise au dépourvu je bafouille un vague :

- ok on y va.

Dans la voiture elle pose immédiatement sa main sur ma cuisse.

J'ai du mal à me concentrer tellement je suis fébrile. Pourtant je ne suis pas lesbienne même si je n'ai rien contre des coups d'un soir.

Arrivées chez moi elle se jette sur le canapé et me montre le tapis devant elle.

- Je préfère de voir en face de moi.

Sans comprendre pourquoi je fais ça je me mets à genou en face d'elle.

- Tu as l'air de baver devant mes seins. Tu veux les voir.

- C'est vrai que tu as des seins magnifiques ;

- Ils sont naturels. Regarde.

Elle enlève son teeshirt et ses seins jaillissent fièrement dressés semblant appeler mes mains et ma bouche.

Les aréoles sont parfaitement dessinées et les longues et larges pointes sont érigées, ajoutant une touche incroyable au tableau qui s'offre à moi.

Je reste bouche bée en voyant ce tableau. Mon imagination s'enflamme et je l'imagine attachée, les seins offerts et moi léchant ses splendeurs.

Mon rêve éveillé est interrompu par Dom.

- Ils te font envie?

- Ils sont magnifiques.

- Tu veux les toucher?

Je ne sais pas quoi répondre. J'ai bien envie de toucher ses obus qui me narguent mais je ne peux quand même pas lui dire oui je veux peloter tes gros seins.

Elle relance :

- Je peux te montrer le reste aussi.

Et elle commence à se déshabiller totalement.

Je reste bouche bée devant ce corps d'ébène avec sa taille minuscule et ses hanches galbées comme les ailes d'une voiture de sport.

Ses jambes interminables luisent et là ou elles se rejoignent un sexe parfaitement épilé aux lèvres gonflées semble m'appeler pour le toucher le lécher ou plutôt le bouffer comme une sauvage.

Elle sourit en voyant mon regard hébété. Puis reprend la parole.

- Et toi tu ne me montres pas comme tu es belle.

Je ne trouve rien à répondre mais je me déshabille aussi complétement.

Elle me regarde avec un regard de chat qui a acculé une souris dans un coin sans échappatoire.

Pour un peu je couinerai.

Elle reprend

- Approche que je te vois de près.

Toujours à genou je m'approche d'elle jusqu'à toucher ses jambes.

- Mes tes mains derrière le dos.

Je m'exécute et indépendamment de ma volonté je me cambre pour que mes seins soient bien exposés.

- Magnifique. Tu es vraiment très belle. Une belle pouliche blanche.

Comme une idiote je me cambre encore plus.

- Tu as des jouets?

Je ne comprends pas tout de suite puis voyant son regard féroce je comprends qu'il s'agit de jouets érotiques.

Je hoche la tête.

- Va les chercher.

Je me lève et je vais chercher le sac que laura a oublié la dernière fois qu'elle est venue.

Je reviens et je pose le sac à côté d'elle.

Je lui dis

- C'est peut-être un peu trop osé.

Elle regarde le contenu du sac. Un grand sourire lui barre le visage.

- Tourne-toi!

J'obéis et mes mains sont bloquées dans mon dos.

- Va te remettre à ta place.

Abasourdie je retourne m'agenouiller en face d'elle.

- J'ai les pieds en feu tu peux surement faire quelque chose.

Elle tend sa jambe fuselée vers moi.

Visiblement elle veut que je lui lèche les pieds. Il n'en est pas question. Je ne bouge pas et je dis :

- Ce n'est pas ma tasse de thé.

Elle me regarde intensément et s'approche avec un grand sourire.

Au moment où je m'y attends le moins elle me flaque une grande gifle sur la joue.

Je suis déséquilibrée et tombe sur le côté.

Avant que je ne réalise elle se jette sur moi et me flanque une deuxième gifle.

- Tu n'as pas compris. Ici c'est moi qui commande et toi tu fais ce que je te dis de faire.

J'ai le visage brulant et les larmes coulent en fontaine.

Elle profite de mon manque de réaction pour me passer un collier et une laisse qu'elle a puisé dans le sac de laura.

Elle tire la laisse et m'oblige à coller mon visage contre son pied.

- Tu lèche ou je te remets une paire de claques. Tu as trois secondes.

J'ai tellement mal que je fais immédiatement ce qu'elle me demande afin de ne pas recevoir de coup.

- Bien maintenant quand je t'ordonne tu fais immédiatement et sans réfléchir ou je me fâche.

Je ne réponds pas.

- Tu as compris?

- Oui.

- Bien maintenant tu m'appelle déesse Dom.

- J'attends!

- Oui déesse Dom

Je lèche ses pieds pendant quelques minutes.

Au bout d'un moment elle me saisit la tête par les cheveux et la tire jusqu'à l'entrée de son sexe parfaitement épilé.

- Fais-moi du bien.

Je sens la puissante odeur musquée de son entrejambe et je plonge la langue la première.

Je sens qu'elle apprécie car elle ne tarde pas à gigoter et ahaner sous mes caresses.

Elle me tient la tête à deux mains et part dans un orgasme puissant et bruyant.

- Recommence chienne!

Je ne me pose pas la question de qui elle appelle chienne et je me remets à l'ouvrage.

Le temps semble infini et j'ai la langue qui commence à se crisper.

Enfin après un nième orgasme elle me dit de retourner à ma place.

Je me recule un peu. J'ai le visage ruisselant entre ma salive et sa mouille.

Je me tiens devant elle qui me toise en silence.

- Va me chercher à boire!

Je vais pour me lever.

- Tu ne penses pas à te lever devant ta maitresse!

Je pars en prenant soin de bien rester à genou.

Arrivée dans la cuisine je me relève Je prépare un verre. Du whisky coca car c'est ce qu'elle a pris au casino.

Je prends le verre entre mes mains dans mon dos.

Prenant garde de ne rien renverser je me remets à genou et je m'approche de Dom arrivée à son niveau je me retourne et lui tends autant que je peux le verre.

Je remarque que pendant mon absence elle a fouillé le sac de laura.

Elle prend le verre et le pose à côté d'elle.

- A toi de prendre du plaisir!

Elle sort un gode ventouse qu'elle pose sur le carrelage que le tapis ne couvre pas.

- Allez ma petite chienne vient t'empaler sur ton jouet.

J'hésite.

Elle me tire par la laisse jusqu'à l'endroit du gode et je m'évertue à me positionner dessus et à l'insères dans ma chatte ruisselante. Je m'aperçois qu'à ma plus grande surprise je suis profondément excitée par cette soirée. Je ne pense qu'à plaire à cette diablesse d'ébène qui pourtant me traite comme la dernière des chiennes.

Après quelques efforts et contorsions j'y parviens.

- Aller je veux te voir bouger.

Elle active la télécommande et je suis envahie pas les vibrations de l'engin.

Je regarde devant moi et commence à monter et descendre.

- He là tu me regarde quand tu te baises.

Je me tourne vers elle et je continue mes va et vient.

Elle s'amuse à changer l'intensité du vibro.

Je suis d'abord gênée de me montrer dans cette position à ce regard qui me crucifie.

Puis peu à peu je sens que je perds pied et je finis par jouir comme une malade sous ses yeux.

- Ça suffit! au pied!

Je me retire du gode et m'approche jusqu'à ces pieds.

- Baisse la tête.

Je baisse un peu la tête et elle me met le pied dessus et me force jusqu'à ce que ma tête touche le sol.

- Voilà! c'est comme ça que je veux que tu sois quand je n'ai rien à te faire faire.

Je ne bouge pas mais je commence à me rebeller intérieurement. Dès que j'aurais les mains libres je la fous dehors.

- Bon je suis fatiguée. Tu vas me laver!

Elle me détache et me remet les menottes devant.

- Montre-moi la salle de bains.

Toujours à genou Je l'escorte jusqu'à la salle de bains.

- Qu'est-ce que tu attends?

Je mets la douche en route et je l'accompagne. Elle met ses mains derrière sa nuque et attend.

Son geste propulse ses seins en avant et ceux-ci sont à quelques centimètres de mon visage.

Mon dieu qu'ils sont beaux. J'ai envie de les peloter.

Néanmoins je prends l'éponge et savonne consciencieusement Dom qui se laisse frotter comme une chatte.

Sa peau d'ébène est lisse comme du marbre et semble faite pour être caressée.

Elle écarte les cuisses afin que je m'occupe de son sexe elle se tortille quand je frotte avec l'éponge et retenant ma main elle me dit

- Ça c'est avec ta bouche.

Je m'agenouille sous la douche et lui lèche consciencieusement le sexe.

Je ne me fais pas prier car j'adore être à genou face à cette déesse.

Je sens mon propre sexe gonflé et si j'avais les mains libres je me caresserais comme une malade.

Enfin je la sèche avec une serviette et la conduis jusqu'à ma chambre.

Là elle me menotte encore une fois par derrière et attache ma laisse au pied du lit.

Tu dormiras là! comme une petite chienne.

Ce qu'elle ne sait pas c'est que j'ai profité de l'accompagner vers la douche pour prendre un double de la clé des menottes en passant près du sac.

Elle s'endort rapidement et j'attends un peu avant de me détacher.

Je déverrouille les menottes et j'enlève le collier.

Je me lève prudemment et je peux la voir. Elle est vraiment belle. Ses seins libres semblent me regarder et appeler mes mains et ma bouche. J'ai aussi envie d'embrasser son nombril. Tout chez cette fille est un appel au sexe.

Je prépare les menottes. J'ai l'intention de lui menotter les poignets avant qu'elle réalise ce qui se passe.

Je m'approche furtivement et au dernier moment je vois qu'elle a les yeux ouverts et me fixe méchamment.

Je tente ma chance et bondis sur elle.

Elle accuse le coup et j'ai le temps de cliquer une menotte sur un poignet.

Malheureusement elle saisit ma main et vive comme l'éclair elle me fait une clé de bras ( ça on me l'expliquera plus trad). Elle me tord le bras et la douleur est intenable.

Je gémis

- Stop! stop! tu vas me casser le bras.

Elle me retourne come une crêpe et se met à califourchon sur moi.

- Donne-moi la clé!

Je lui tends.

Elle déverrouille la menotte et en quelques secondes je me retrouve menottée.

- Je crois que tu n'as pas compris qui commande ici.

Elle me donne deux paires de claques qui font siffler mes oreilles.

- Ne bouge pas d'ici.

Je ne bouge pas d'un poil alors qu'elle quitte la chambre.

Elle revient quelques instants après et je n'ai pas bougé d'un pouce.

Ce coup-ci elle me ligote comme un rôti.

Je suis debout les bras accrochés à la tringle a rideaux. Je pense que si je tire fort je peux la casser mais je n'oserai pas après ce qu'elle m'a montré comme talents de lutteuse.

Mes jambes sont écartées et attachées l'une au radiateur et l'autre au pied du lit.

Elle me met un bâillon boule et des pinces à seins.

Je retrouve mon collier de chienne et elle m'enfile un vibromasseur dans la chatte et le manche du martinet de laura dans le cul.

Les lanières du martinet doivent donner l'impression que j'ai une queue de cheval.

Elle me souhaite bonne nuit.

Je ne dors pas de la nuit. Le matin son téléphone la réveille.

- Allo salut laura.

- Oui je vais bien on a passé une bonne soirée et Olivia m'a gentiment hébergée.

- D'ailleurs elle t'invite à prendre le petit dej avec nous à condition que tu amènes les croissants.

- Ok à tout de suite.

Dom le regarde enfin et me dit :

- Tu vas préparer le café.

- Après ça tu te mettras à ta place et tu attendras.

Je ne réponds rien.

- Je n'ai rien entendu!

- Oui déesse dom.

Elle a dormi nue et elle se lève pour me détacher.

- Maintenant viens bouffer la chatte de ta maitresse.

- Tu feras ce que je t'ai dit après ça.

Elle se rallonge sur le lit et écarte les jambes.

Je m'approche d'elle et je mets ma tête entre ses jambes et commence à la lécher.

Quand elle a suffisamment joui elle me tapote la tête pour que j'arrête.

- Bien, la journée s'annonce superbe.

- Aller va faire ce que je t'ai dit.

Elle me fait quitter la chambre avec une claque sur les fesses.

Je passe rapidement dans la salle de bains et je me dépêche de faire le café.

Dom sort de la chambre et passe dans la salle de bains.

Lorsqu'elle sort je suis à genou les mains dans le dos face au canapé au même endroit qu'hier.

Elle a lis un de mes teeshirt qui est déformé par son imposante poitrine.

Elle s'assoit face à moi et tend son pied que je me mets aussitôt à lécher.

J'ai abandonné toute idée de me révolter.

- Bon on va te mettre en bonne position pour la visite de ta copine.

Dom se lève et avec la laisse me tire vers la table basse du salon.

- Allonge-toi là-dessus!

Elle me fait m'allonger sur la table dans la plus petite longueur. Elle ligote mes genoux aux pieds de la table. Celle-ci mesure prêt d'un mètre et mes genoux sont écartés à l'extrême.

Mon bassin est écrasé sur la table.

Heureusement au dernier moment elle a été chercher un oreiller dans mon lit et la posé sur la table. Couchée dessus je peux supporter un peu mieux la position.

Mes seins dépassent juste de la table et elle ligote mes mains aux pieds de la table. Encore une fois je suis écartelée et je dois m'appuyer sur la bras pour supporter le haut de mon corps.

Ma tête est quasiment sur le canapé.

- On va tester notre travail ;

Elle s'assoie sur le canapé en enjambant ma tête et en écartant les jambes elle a son sexe en contact avec ma bouche.

- Qu'est-ce que tu attends?

Je me mets à lécher la chatte bien humide.

Malgré moi cette position vulnérable me fait mouiller et je lèche sans retenue son sexe qui m'excite profondément comme tout le reste de son corps.

- Bien tu deviens meilleure à chaque fois. Je sens que je vais te garder longtemps à ma disposition.

- Elle se relève me laissant la figure trempée.

Contente de son travail elle décide de compléter le tableau avec des accessoires.

Elle commence par me mettre un bâillon boule. puis un bandeau sur les yeux me met dans le noir et je sens soudainement un liquide froid s'étaler entre mes fesses.

Puis elle me dit

- Détends-toi j'ai un cadeau pour ton cul.

Je me crispe plutôt mais je sens un gros objet qui est poussé contre mon cul.

Je gémis mais rien à faire. J'essaye de me décontracter au fur et à mesure que la pression se fait plus forte.

Enfin d'un seul coup le gode anal passe mes limites et s'enfonce profondément dans mon ventre. J'ai l'impression d'être remplie et prête à exploser.

- Bien tu es magnifique comme ça.

- Maintenant un cadeau pour ta chatte.

Je sens quelques secondes plus tard un gode se faufiler entre mes lèvres et investir profondément mon vagin.

- Impeccable. Tu es présentable et tu ne me feras pas honte.

- Juste pour te prévenir. Si tu n'exécutes pas immédiatement tous les ordres que je vais te donner devant ta copine tu vas prendre la raclée de ta vie.

Le ton qu'elle a employé me fait peur et je me concentre pour être la plus obéissante possible.

Elle ôte le bâillon boule en me répétant de ne pas parler tant qu'elle ne me l'aura pas ordonné.

On frappe à la porte Dom dit

- Entre c'est ouvert.

Laura entre et s'immobilise sur le pas de la porte.

- Salut. Finalement on a fait connaissance Olivia et moi et on a trouvé chacune notre place.

Laura est époustouflée.

- Effectivement il me semble que vous êtes devenues intimes.

- Oui on est devenue bonnes copines.

- Vient t'assoir je vais faire le café.

- Au fait si tu veux profiter tu t'assieds là et elle fera le reste.

- Merci. Je veux bien essayer ton sextoy.

J'entends dom qui se déplace vers la cuisine et laura se positionne sur le canapé comme dom tout à l'heure.

- Je savais qu'un jour je me vengerai.

- j'ai l'impression que tu n'as pas le droit de parler.

- Dominique t'a bien dressée. Rien qu'à te voir j'en suis toute excitée.

Pendant qu'elle parle je lui bouffe la chatte avec vigueur. Elle m'excite encore plus en parlant.

Dom revient et sourit en voyant laura qui profite de ma langue.

- Tu as raison. Il faut lui donner à bouffer. Elle adore ça.

- Et puis ce soir j'ai une soirée avec quelques copines. Je compte bien l'amener avec moi. Je suis sûre que je vais être la vedette de la soirée.