Brigitte: Bourgeoise de Province Ch. 02

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L'initiation à la soumission.
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Chapitre 2

Rappel: Brigitte belle et vraie bourgeoise de province avoue avoir un penchant pour la soumission et les rapports musclés à l'occasion d'un Quizz. François, son amant décide de passer à l 'acte et lui faire vivre ses fantasmes

« Va te mettre contre le poteau en attendant, bras en arrière, interdit de te frotter les fesses. » lui ordonnais-je

Je reviens chargé de tout les accessoires que j'avais acheté : menottes pinces à seins, martinet, cravache

« Tourne toi petite vicieuse, montre moi ton cul »

Brigitte, docile, un petit sourire au coin des lèvres, obéit

« Non mieux que cela, cambre toi comme si tu voulais qu'on te prenne d'ailleurs c'est ce qui va t'arriver mais avant tu mérites une petite correction »

Tu n'es pas sage pour une belle bourgeoise, tu caches bien ton jeu, en fait tu es une petite trainée délurée qui rêve de se faire malmenée par des hommes virils »

Avoue!

« Oui » murmure t elle

« Je n'ai pas entendu, plus fort « j'aime être prise par des hommes virils» allez répète plus fort »

« J'aime être prise par des hommes virils » répète t elle

Et à ce moment le premier coup de martinet s'abat sur ses fesses

Elle sursaute mais aucun son de sort de sa bouche

Répète, lui ordonne ais je : » j'aime quand tu me baises et que tu m'encules »

« J'aime quand tu me baises » dit-elle distinctement

Clac le deuxième coup fit rosir son fessier

« Non répète toute la phase »

« J'aime quand tu me baises et que tu m'encules » répète elle docilement.

Clac!!! Le martinet s'abat un peu plus fort

« Petite vicieuse tu mérites de te faire baiser et enculer »

Clac, Clac : ses fesses rosissent, elle reçoit les coups de martinet sans manifester une quelconque douleur

« Compte » lui dis je

« Quatre clac Cinq » murmure t-elle

« Encore » lui demandais, » tu aimes petite trainée? »

« Oui »dit elle encore........

« C'est bien »lui répondis je tout en la cinglant de plus en plus fort cherchant la limite entre le plaisir et la douleur.

Les marques des lanières étaient maintenant bien visibles sur son postérieur rebondi ; je bandais dur.

« Tend bien ton cul » continuais je, « écarte tes jambes que je puisse fouetter ta chatte de petite bourgeoise vicieuse. »

Les coups se firent plus doux sur cette région si sensible, le martinet, peu pratique pour atteindre son but fut remplacé avantageusement par la cravache qui alternait des petits coups sur le sexe et l'extérieur des fesses, le postérieur étant déjà bien rouge

Elle recevait sa correction sans broncher, j'imaginais qu'elle y prenait du plaisir.

La savoir soumise, attachée, la fouetter me procurait un plaisir immense et j'imaginais déjà plus.

Je saisis le vibro qui lui procurait tant de jouissance et lui appliquais sur le clitoris.

En peu de temps, elle se mit à se tordre de plaisir

J'arrêtais à chaque fois que je sentais sa jouissance arriver puis je reprenais soit en la doigtant soit avec le vibro.

« Je t'interdit de jouir sans mon autorisation petite trainée, sinon tu seras punie »

Je lui mis les pinces à seins sans qu'elle émette le moindre refus malgré la grande sensibilité de ses tétons qui s'érigèrent immédiatement.

Elle était dans un état d'excitation avancé sa chatte luisait, ses seins entraient durs ; elle se trémoussait sous les stimulations diverses que je lui imposait et se retenait de jouir malgré tous les signes d'un état d'orgasme quasi permanent.

C'était le moment de lui faire passer une marche de plus

Je la détachais, attrapait la guêpière , le la lui mis tout en continuant de la doigter pour ne pas faire redescendre la tension sexuelle qui l'animait

Sa chatte était liquide, je pouvais enfoncer un gros god à fond sans aucune difficulté ; ce que je fis après l'avoir mis en mode vibrations.

J'en profitais pour palper son cul et enfoncer un doigt.... En attendant plus Son petit anneau se laissa forcer assez facilement ; c'était de bon augure.

Elle avait avoué lors du questionnaire son penchant exhibitionniste ; et bien c'était le bon moment d'aller faire un petit tour en voiture... uniquement vêtue de la guêpière.

« Viens on va faire un tour »lui dis je.

Aucune protestation

Je me remémore sa réponse au questionnaire du jeu des vacances

« Bien chauffée, je suis prête à faire tout ce que tu me demandes »

Je pensais qu'elle s'était un peu trop avancée... je me trompais.

Je la poussais dehors non sans m'être muni du vibro question de ne pas laisser retomber sa tension sexuelle

Elle se laissait guider, docile.

Le tableau était digne de la dernière des putes de bois de Boulogne, je ne pouvais m'empêcher d'admirer le tableau ; la bourgeoise « bien sous tout rapport » nue en guêpière, dehors visibles de nos plus proches voisins, prête à se promener en pleine nuit dans cette tenue.

J'avais l'intention de l'emmener sur un site de Dogging pour lui faire vivre sa première expérience de pluralité et d'exhibitionnisme rapproche.

Je l'installais sur le siège passager de la voiture, lui tendis le vibro

« Branle toi! pendant que je conduis » lui dis je.

Le trajet fut court car, prise d'une envie de vomir, je dus m'arrêter non loin de chez nous après lui avoir enlever son masque pour qu'elle puisse regarder la route

Nous nous sommes garé sur un petit parking mal éclairé, j'ai enlevé la guêpière qui la serrait et attendu qu'elle aille mieux

Après quelque temps, les couleurs sont revenues sur ses joues, un sourire a éclairé son visage.

J'ai remis le vibromasseur en route et, la magie opérant, elle est de nouveau devenue réceptive

Quelques voitures passaient en phare mais avec peu de chance de l'apercevoir assise sur le siège passager.

Je la fis alors descendre de la voiture et, nue, je l'appliquais contre la portière pour la baiser en levrette.

Là nous étions beaucoup plus visible de la route et je comptais les conducteurs qui avaient la chance d'éclairer de leurs phares la scène me disant que, peut-être, des voisins étaient parmi ces chanceux.

Au bout du sixième, et sans avoir éjaculé, je quittais sa chatte poisseuse, la retournais pour exposer son côté face aux phare des voitures

Je comptais jusqu'à six voitures de plus puis lui enjoignit de monter pour rejoindre le lieu de Dogging bien connu ou se rassemblent les pervers voyeurs de toute nature en manque de femmes.

Bri58
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