Bourgeoises Rééduquées : Partie 10

BÊTA PUBLIQUE

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Il me croit, je prends mon courage à deux mains et je lui demande si je peux lui poser une question. Quand il me donne son autorisation je m'agenouille et je le supplie.

— S'il vous plaît Monsieur, je vous supplie de me sodomiser. J'ai besoin de sentir votre bite dans mon cul, S'il vous plaît Monsieur...

— Ah! Ah! Tu veux échapper au plug! Non, pas tout de suite. Retourne te mettre en position! me répond-il.

Je suis au bord des larmes, je suis désappointé mais je me relève et je me remets en position. Monsieur Didier me tourne autour, il me caresse, un de ses doigts me frôle. Je frissonne. Puis soudain, il me dit :

— Embrasse-moi!

Prise au dépourvue, je ne sais pas comment réagir. Je prends confiance, puisqu'il me le demande, je veux lui offrir le meilleur baiser que je n'ai jamais offert à un homme. Je fonds littéralement quand je sens ses mains sur mes fesses. J'aimerai que ce baiser n'en finisse pas.

Il finit par reculer et aller s'asseoir sur le canapé.

— Je vais t'autoriser à jouir ce soir. Mais, je suis épuisée et je ne peux rien faire. Alors débrouille-toi avec ma bite!

A ces mots, je jubile, même si vais devoir m'appliquer. C'est merveilleux que Monsieur Didier m'autorise à prendre du plaisir sur son sexe.

A genoux devant lui, je sors sa queue pas encore tout à fait raide et je la lèche avant de la prendre dans ma bouche où je la sens durcir et grossir. Quand j'estime qu'elle est au maximum de son volume, je m'installe à genou, au-dessus du sexe raide. Je le guide en moi et mes mains sur les cuisses de Monsieur Didier, je monte et descends sur ce membre qui m'empale. Je suis trempée, cela coulisse tout seul. JE gémis quand il tire et tord mes tétons. Cela me fait un peu mal mais cela accroit aussi mon excitation. Je ferme les yeux et j'accélère. Je vais jouir. Je crie. Je le sens jouir en moi.

Je suis tremblante, jamais je n'ai joui avec cette intensité. Monsieur Didier me repousse doucement sur le canapé où je reste affalée quelques instants.

Je lui souris quand je m'agenouille pour le nettoyer. Je me délecte de ce mélange de son foutre et ma mouille. Monsieur Didier semble satisfait. Je suis comblée.

— Tu as aimé petite chienne?

— Oui Monsieur, Merci Monsieur!

— J'espère que tu en as profité, parce que tu ne sais pas quand tu auras le droit de jouir à nouveau. D'ailleurs, je veux qu'avant de mettre le plug le matin et après l'avoir enlevé le soir, tu te caresses et que tu arrêtes juste avant l'orgasme. Je veux que tu sois continuellement excitée. Compris?

— Oui Monsieur!

— Bon va rejoindre ton mari, il va s'inquiéter!

— Oui Monsieur!

Avant de partir, je me rappelle alors la nouvelle la plus importante de ces derniers jours, le départ de mon mari pour l'Arabie Saoudite. Nue, mes vêtements dans les bras, je me retourne vers Monsieur Didier pour le lui dire. Sa réponse laconique me trouble mais je n'en laisse rien paraître et je me rhabille rapidement en sentant le foutre de Monsieur Didier couler entre les cuisses.

Quand je rentre chez moi, François lève à peine la tête de son écran. Je me dirige dans la chambre où je me mets en pyjama. Je ne peux pas retourner prendre ma douche, mon mari serait surpris et se poserait sûrement des questions. Je vais devoir dormir avec la chatte pleine du sperme de Monsieur Didier.

Je m'endors vite et je ne me rends pas compte quand François s'allonge à côté de moi. C'est seulement au milieu de la nuit, quand je me lève pour aller aux toilettes que je sens sa présence.

Dans la salle de bain, je me caresse comme Monsieur Didier me l'a demandé, me stimuler jusqu'à la limite de la jouissance avant de mettre le plug dans mes fesses. Je remarque d'ailleurs de matin qu'il entre presque sans difficulté. Je ne grimace plus en le sentant passer. Ce matin, j'ose ne rien mettre sous la jupe pour aller travailler.

La journée se passe tranquillement, les clients habituels qui veulent des rabais, les prestataires à convaincre de baisser leurs tarifs en leur faisant miroiter plus de client. Rien de très excitant, rien ne sort de la routine.

Soudain en fin d'après-midi, je vois la porte de mon bureau s'ouvrir brutalement, Monsieur Didier entre. Je me lève et tandis que je commence à déboutonner ma robe, il m'arrête. Il me retourne et trousse ma robe. Il vérifie que le plug est bien en place.

Il me demande simplement si je me suis bien caressée et si je suis excitée.

— Oui Monsieur Didier, très!

— As-tu envie de ma bite?

— Oui Monsieur Didier, s'il vous plaît Monsieur Didier!

Oui je veux le sentir en moi, jouir sur son sexe, qu'il se vide dans mon ventre, dans ma bouche, dans mon cul, sur moi. Où il veut, je veux son plaisir et le mien.

Mais sa réponse me détruit.

— Pas maintenant, je viens de bien baiser une salope et je suis fatiguée.

Qui a-t-il baisé? Rachel, elle est en cours. Justine? elle est encore en classe. La Générale? peut-être, mais je n'y crois pas trop cela ne semble pas être son style de femme. Une autre, mais qui?

Adeline entre alors et elle voit mon trouble. Elle ose alors me prendre dans ses bras, c'est une familiarité que je n'aurais jamais acceptée si je n'étais pas dans un tel état de trouble. Elle remarque des larmes dans mes yeux.

— Cet homme, ce n'est pas un client?

— Non Adeline... Ce n'est pas un client... Mais, promets-moi de ne rien dire!

— Je te le promets Charlotte... Tu peux tout me dire. Mais, je crois que j'ai deviné. C'est ton amant!

Je n'ai pas besoin de lui répondre, je hoche juste ma tête. Elle me passe sa main dans les cheveux et je m'effondre en larmes.

— Allez, fermons l'agence, de toute manière, on ne va plus avoir de clients maintenant. Je t'emmène prendre une bière avec Carole... on va profiter de l'happy-hour entre filles.

Je me laisse entrainer par Adeline dans ce bar du Marais, où la communauté homosexuelle se rencontre. Nous y passons deux bonnes heures, les deux amantes me changent les idées et je finis par rentrer chez moi un peu requinquer.

François ne remarque rien et quand après avoir mis les enfants au lit, je vais me coucher, il me fait juste un grognement pour me dire qu'il va arriver. Je le repousse quand il vient me prendre dans ses bras. Je n'ai pas envie de lui. Je veux Monsieur Didier.

Le mercredi matin, je me prépare du mieux possible. Je veux être prête au cas mon amant déboule dans mon bureau. Aujourd'hui encore, je ne mets pas de culotte sous ma jupe. J'espère toute la journée un message ou sa visite, mais rien.

Il a trouvé mieux que moi. Ce n'est pas possible!

Je passe une mauvaise nuit, je ne trouve pas le sommeil. Les ronflements de François m'agacent. Quand je me regarde dans le miroir ce jeudi matin, j'ai des valises sous les yeux. J'ai du mal à les cacher.

Quand je sors avec les enfants, ce matin, Albert me remet une enveloppe. Monsieur Didier ne m'a pas oubliée. Je la glisse dans mon sac à main, je l'ouvrirai au bureau, je veux profiter de cet instant tranquille.

Je lis : "Je t'attends à 18h45!".

Je suis toute excitée. J'envoie un message à Natacha pour lui dire que je ne pourrais pas venir à la salle ce soir. Sa réponse ne tarde pas. Elle aussi sera occupée, elle vient de s'apercevoir qu'elle a un rendez-vous qu'elle ne peut pas reporter.

******

Natacha :

C'est décidé, il est hors de question que cette histoire avec Didier et Alain continue. Je suis dans cet état d'esprit quand je rentre de l'école après y avoir déposé les enfants. Arrivée devant la porte de mon immeuble, j'entends une voix derrière moi :

— Bonjour petite salope!

Je me retourne surprise d'être interpellée de la sorte. Je vois Didier et Alain derrière moi, ils me sourient vicieusement, je suis affolée. Mais quand Didier me dit de les inviter et de dire au père Sylvain que je ne pourrai pas venir au presbytère car Baptiste est malade, je lui obéis et je les fais entrer chez moi.

Ce n'est pas grave, c'est très bien qu'ils soient là, tous les deux. Je n'aurais à dire qu'une seule fois que je ne veux plus continuer. Je couche Baptiste et décidée, je retourne au salon pour les affronter.

— Écoutez-moi s'il vous plaît, tout ce qui s'est passé n'aurait pas dû se produire. J'aime mon mari et je n'aurai jamais dû le tromper.

Je m'arrête quelques secondes en voyant leurs regards se figer. Puis, je reprends.

— Euhhh... Je vous remercie... J'ai apprécié l'attention que vous m'avez porté... Mais je ne peux pas continuer...

— C'est vraiment ce que tu veux? Tu as oublié notre discussion? Il faut que je te remontre les photos que tu nous as envoyées? Je parierais ma fortune sur une chose : Je suis sûr que depuis que tu nous as vus ce matin tu mouilles, ce n'est pas vrai? me dit Monsieur Didier

Je ne dis rien, je suis déstabilisée. Ce regard ferme, ce ton autoritaire m'excite, il a raison

— Voilà ce que l'on va faire. Soit tu nous dis de sortir tout de suite, soit tu te déshabilles!

Il me faut quelques minutes pour prendre ma décision. J'hésite. Si je me mets nue, dans quoi vais-je m'engager? Mais si je leur dis de sortir, vais-je supporter de retrouver ma petite vie tranquille et morne de femme mariée, mère de famille?

Je prends ma décision. Je retire mes chaussures puis mon pull et mon pantalon. Je les regarde. Ils restent silencieux. Je dégrafe mon soutien-gorge que je laisse tomber sur les autres vêtements avant de retirer ma culotte. Dans un dernier sursaut de pudeur, je me couvre les seins et le bas-ventre.

— Mains sur la tête! Jambes écartées! Tête haute! Ordonne Monsieur Didier.

En retenant mes larmes, je prends la position exigée, pendant que Monsieur Didier reprend.

— Tu as fait le bon choix, Natacha. Mais, nous devons te punir pour ton manque de respect vis à vis d'Alain et ton manque d'obéissance. C'est Monsieur Alain quand vous êtes en privé. Compris?

— Oui Monsieur Didier! Excusez-moi Monsieur Alain.

Je les vois se lever. Ils tournent autour de moi. Ils commentent crûment mon corps mes formes. Je me sens comme un simple objet sous leurs regards. Puis Alain introduit brutalement deux doigts dans ma chatte. Je gémis et je me raidis. Il m'a fait mal mais il ressort ses doigts et me les passe sous le nez. Je les vois enduits de ma mouille.

— Tu vois que j'avais raison petite salope, tu mouilles donc je suppose que tu aimes ce traitement, dit Monsieur Didier.

Je pleure, humiliée. Je voudrais disparaitre sous un meuble.

— REPONDS!

— Euhh... oui Monsieur Didier!

— Bien, lèche les doigts d'Alain!

Je le lèche jusqu'o ce que ses doigts n'aient plus aucun goût ce qui semble amuser les deux hommes.

— Bon! Passons aux choses sérieuses. Tu sais que tu dois être punie. Je n'ai pas amené ma badine, donc nous allons te fouetter avec nos ceintures, cinq coups pour ton manque de respect envers Alain et cinq coups pour ta désobéissance. Est-ce que ça te paraît correct petite chienne?

— Oui, Monsieur Didier.

Je suis affolée, je n'ai jamais été punie, même mes parents ne me punissaient pas physiquement.

— Tu compteras chaque coup et nous remercieras. Je veux que tu restes debout. Si tu t'écroules, je doublerai le nombre de coups. Compris?

— Oui, Monsieur Didier!

Soudain, je sens un premier coup de ceinture sur mes fesses. Alain vient de me frapper. Je crie et sursaute pour échapper au coup. Mais je me ressaisis pour les remercier, en larmes. Puis c'est au tour de Monsieur Didier de donner son premier coup, sur le devant de mes cuisses. Je les remercie à nouveau.

Les coups se succèdent, Alain derrière, Alain devant. Je suis en larmes, je renifle. Il ne reste plus qu'un coup, le dernier de Monsieur Didier. Il abat sa ceinture sur ma poitrine. Je hurle. Je suis au bord de l'évanouissement. Comment vais-je cacher ces marques à Pierre-Henri?

Ils me demandent alors de les sucer. Je m'agenouille et je sors leurs queues des pantalons pour leur offrir la meilleure fellation dont je suis capable. Pendant que j'en suce un, je branle l'autre. Je sens que mes caresses leur font de l'effet.

Monsieur Didier va alors s'assoir sur le canapé et m'invite à venir le chevaucher. Je viens à califourchon au-dessus de lui et je m'empale sur son membre. Alors que je commence à vouloir monter et descendre sus son sexe quand il me plaque contre son torse. Je suis étonnée, car je ne peux plus bouger. C'est alors que je sens le pieu d'Alain se poser sur mon anus. Ils vont me prendre ensemble, un dans la chatte, un dans le cul. Je grimace, je me sens vraiment comme une poupée de plaisir.

Je pousse un petit couinement de douleur quand son gland force l'entrée puis peu à peu le plaisir prend le dessus. Cette sensation d'être remplie des deux côtés est incroyable. Je ne résiste plus et je me laisse aller.

Je jouis en criant comme jamais je ne le fais et je m'effondre sur Monsieur Didier épuisée. Ils continuent de me baiser en rythme me faisant jouir à nouveau trois ou quatre fois.

Ils finissent par jouir en moi. Inerte, je reprends mon souffle, je sais plus où j'en suis. Il me faut du temps pour récupérer. Mais, quand ils me demandent de les nettoyer, je tombe à genou devant et les lèchent tour à tour, même le sexe d'Alain qui sort de mon cul, ne me dégoute pas.

A leur demande, je me rends dans la cuisine pour leur préparer de quoi manger. Mon corps est un mélange de douleur et de plaisirs, j'en tremble encore.

Soudain alors que je prépare les sandwichs, Alain vient dans mon dos et sans rien dire, il me pénètre et me tenant par les seins il me baise sauvagement. Je suis à nouveau submergée par un orgasme. Et je dois me cramponner pour ne pas m'effondrer.

Alain me demande de le nettoyer à nouveau, je lui obéis avant de retourner à leurs sandwichs.

Quand je les leur apporte, je les entends discuter. Je reste debout, attendant ce qu'ils vont me demander. Je suis presque surprise d'entendre Monsieur Didier me dire :

— Suce-nous!

Sans un mot, je m'agenouille et m'applique sur leur queue. Une nouvelle fois je les reçois dans ma bouche et avale leur sperme.

Quand ils sont prêts à partir, alors que je suis toujours nue, Monsieur Didier sort un collier de sa poche avec une inscription, la même que celle du message qu'il avait envoyé avec la photo : "S : Salope, suceuse, soumise".

Je baisse la tête sans un mot, malgré la colère qui est en moi.

Dès leur départ, je me précipite dans la salle de bain pour prendre un long bain chaud pour me laver. Je me sens sale, souillée. Je ne veux plus continuer mais cela a été plus fort que moi. Je n'ai pas pu résister.

Dans la baignoire, sous l'eau je glisse une main entre mes cuisses et je me fais jouir une nouvelle fois.

Ce sont les pleurs de Baptiste qui réclame sa tétée qui me sortent de ma léthargie.

Le soir, à la surprise de Pierre-Henri, je me change dans la salle de bain et vient dans le lit en pyjama. Je me refuse à lui en prétextant une migraine. Les marques de ceinture sont encore bien visibles.

Ce mercredi matin, je suis au presbytère pour le catéchisme des enfants. A mon arrivée, le père Sylvain m'a dit qu'il souhaitait me voir après la séance pour un petit problème de secrétariat.

Quand j'arrive dans son bureau, je suis horrifiée. Monsieur Didier est là, debout à côté de lui.

— Bonjour, suceuse... Où est le cadeau que je t'ai fait hier?

—L..... Là! Monsieur Didier, dis-je en sortant précipitamment le collier gravé de mon sac à main.

— Pourquoi n'est-il pas autour de ton cou?

— Je ne pensais pas vous voir, Monsieur Didier.

Paniquée, tremblante je me dépêche de le mettre. Dans ma panique, j'ai du mal avec le fermoir mais je finis par l'attacher. Monsieur Didier sourit.

— Bien, maintenant nue, et en position!

Je regarde le père Sylvain, je cherche du secours dans son regard mais il est comme celui de Monsieur Didier, fermé et dur.

— Didier m'a dit que tu avais fauté, Natacha... Tu dois te racheter, tu le sais!

— Oui Père, dis-je comprenant soudain qu'il est de connivence avec Monsieur Didier.

Je me déshabille en larmes. Monsieur Didier me demande de me tourner, de montrer les traces de ma punition.

— Qu'en pensez-vous, Père?

— Une femme pècheresse doit être punie par ou elle a fauté, vous avez très bien fait... Mais vous avez dite "suceuse" que voulez-vous dire par là?

Monsieur Didier me regarde, en me disant :

— Montre tes talents au Père Sylvain...

Je suis tétanisée, je ne peux plus bouger, comment ce prêtre peut-il agir comme cela? ce n'est pas possible. Je vois Monsieur Didier commencer à retirer son ceinturon. Aussitôt je m'agenouille devant le Père Sylvain et je sors son sexe de son pantalon.

Il a un sexe noir, énorme, même au repos. Jamais je ne pourrais le prendre dans ma bouche. Je commence à le lécher, à sucer son gland, à le téter. Je sens des mains sur mat tête pour me forcer à le prendre plus en moi. Je suffoque, je manque de vomir. Je bave. Je pleure.

Soudain, je sens ma bouche se remplir de sperme, le père Sylvain vient de jouir, un foutre épais abondant. Je suis obligée d'avaler.

Monsieur Didier me tire les cheveux en arrière pour que je leur montre ma bouche vide. Je suis en larmes.

— Alors qu'en pensez-vous?

— C'est bien, elle commence à se repentir mais il faudra que je la vois plus souvent en confession.

Je ne sais plus où me mettre, je suis toujours nue à genoux et je vois le sexe du père Sylvain se redresser.

— Salope! Je pense que le père Sylvain a encore envie! Chevauche-le comme tu sais si bien le faire...

Comme un robot, je me lève et enjambe le ventre du père Sylvain, il guide son sexe monstrueux dans ma chatte. Il me remplit et il commence à remuer.

— Ouvre tes fesses à Monsieur Didier, tu as fauté par la aussi...

Encore plus honteuse, je pose mes mains sur mes fesses et les écarte. Aussitôt, je sens le sexe de Monsieur Didier forcer mon petit trou.

Je pleure, je couine, je gémis mais comme hier, le plaisir prend le dessus sur la douleur et la honte et je finis par jouir alors qu'il me pilonne. Ils se vident en moi.

Je le nettoie et quand ils sont propres, ils me congédient.

De retour chez moi, je tente de faire bonne figure devant les enfants. Mais j'aurais voulu prendre une douche. Me laver de ce sperme qui est encore ne moi et qui coule dans ma culotte.

Que suis-je en train de devenir?

Je passe la nuit à repenser à ces évènements, à ce que Monsieur Didier me fait subir. A côté de moi, mon mari dort paisiblement. Je voudrais pouvoir lui dire mais c'est impossible, je suis complètement piégée. Je ne peux en parler à personne.

Quand le jeudi matin, je reçois un message de Monsieur Didier me disant qu'il m'attend à 19 h chez lui, je lui réponds "Oui Monsieur Didier, je serai là".

*****

Didier :

Ce mercredi matin, Je vais voir le père Sylvain. J'ai longuement parlé avec Albert son cou-sin. Celui-ci m'a dit que son cousin avait dû souvent changer de paroisses pour des aventures avec certaines bigotes. Au moins, en voilà un qui préfère les femmes consentantes plutôt que des petits enfants de cœur innocents. Il me plaît ce curé.

Après avoir discuté avec ce charmant prêtre et lui avoir expliqué ce que je voulais faire, nous attendons tranquillement que le cours de catéchisme se termine. Le père Sylvain avait auparavant convoqué Natacha.

Quand elle arrive dans le bureau de l'ecclésiastique, elle a un mouvement de recul dès qu'elle me voit. Je décide de la mettre dans le bain tout de suite en lui disant :

— Bonjour, suceuse... Où est le cadeau que je t'ai fait hier?

Elle est complètement décontenancée. En panique elle accroche le collier que je lui ai offert autour de son cou. En pleurant, elle comprend très vite que le père Sylvain est de connivence avec moi. Elle est effarée, mais elle nous obéit. Elle se déshabille honteuse. Je lui demande de sucer le curé. Elle hésite, mais quand je fais mine de retirer mon ceinturon, elle se jette à genoux devant lui. Elle sort son sexe et écarquille les yeux. Elle n'a jamais dû voir de sexe aussi énorme.