Bourgeoises Rééduquées : Partie 06

Informations sur Récit
Nos deux amies se retrouvent à la campagne...
17.5k mots
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2

Partie 6 de la série de 12 pièces

Actualisé 06/13/2023
Créé 06/13/2020
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Cette histoire est le fruit d'une collaboration épistolaire avec Trouchard. Chaque personnage raconte son point de vue, de ce fait certaines peuvent être répétées selon le ressenti de chaque personnage.

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Week-End à la Campagne

Didier :

Le samedi, 14 heures, elle frappe à ma porte. Je la fais entrer. La première chose que je remarque c'est qu'elle sent bon, la deuxième c'est qu'elle est magnifique. Elle a dû passer chez le coiffeur, sa chevelure rousse ondule autour de son visage légèrement maquillé. Elle porte une grande robe fleurie qui est à la fois sage et qui met en valeur ses courbes. Je pourrais tomber amoureux si je n'étais pas aussi salaud.

Elle pose un sac de voyage près de la porte et va se mettre au milieu du salon pour commencer à se déshabiller. Je l'arrête immédiatement :

— Stop petite chienne!

Elle m'obéit et laisse ses bras tomber le long de son corps. Je passe derrière elle et soulève sa robe. Elle porte une jolie culotte en dentelle, sûrement un achat récent. Je réalise aussi que les marques de la badine n'apparaissent plus, j'ai du bien dosé mes coups. Je laisse tomber sa robe et je me place face à elle. Sa robe se boutonnant sur le devant, elle n'a laissé que le dernier bouton défait. J'en défais deux de plus pour ouvrir son décolleté sur un soutien-gorge pigeonnant assorti à sa culotte.

— Bon choix pour une salope! dis-je.

Elle rougit comme une pucelle. En prenant ses seins en coupe dans mes mains j'ajoute :

— Tu as une belle poitrine, il faut la montrer et la mettre en valeur. Donc tu laisses ta robe comme ça. Tu fais sexy sans être vulgaire. J'ai deux cadeaux pour toi, dont un qui va sublimer ton décolleté.

J'attrape sur la console à côté de nous un petit coffret et j'en sors une petite chaîne en or avec un pendentif. Je l'accroche autour du cou de Charlotte. Je lui dis qu'elle peut se regarder dans le miroir à l'entrée de mon appartement. Elle porte la main à son cou, en souriant de plaisir. Elle regarde son reflet et je vois son sourire se transformer en une grimace de frayeur. Elle crie immédiatement :

— Non, Monsieur Didier, je ne peux pas porter ça, c'est impossible!

Je la vois monter les mains derrière sa tête pour détacher le collier. Je prends alors ma voix autoritaire pour dire :

— STOP! Tu es ma chienne et tu m'obéiras! Tu viens de gagner une punition!

— Mais Monsieur Didier, c'est trop dégradant! Me dit-elle en me montrant le pendentif représentant une femme à genoux, les mains derrière la tête, un vrai symbole d'esclavage.

Je me contente alors de répondre :

— Cinq coups de plus!

Elle baisse la tête, vaincue.

— Bon, alors nous sommes d'accord, tu es ma chienne et tu m'obéis?

Elle hoche la tête et répond :

— Oui Monsieur!

— Bon! Passons au deuxième cadeau! Sais-tu ce que c'est que cet objet?

Charlotte regarde l'objet que je lui présente. Il s'agit d'un objet pointu en métal avec une base évasée.

— Non, Monsieur!

— C'est un plug anal. Je t'avais dit que j'entraînerais ton cul. Tu vas te pencher, soulever ta robe, baisser ta culotte et écarter les fesses.

En tremblant, elle m'obéit et j'ai accès à son cul. Je saisis un tube et mets du lubrifiant sur mon doigt. Puis je l'étale sur son petit œillet brun. Elle frissonne. Je commence à masser son petit trou et bientôt je pousse mon doigt sur l'entrée interdite qui cède soudainement. Charlotte gémit. Je ressors mon doigt pour le recouvrir de lubrifiant et je le remets dans son cul. Je le fais tourner et j'y ajoute un copain, cette fois-ci Charlotte gémit et grimace. Je retire les doigts et lubrifie le plug. Ensuite, je le place sur son anus déjà ouvert et je pousse. Bien sûr, le plug est plus large que mes deux doigts, mais il pénètre lentement dans le petit trou. Charlotte gémit encore plus et grimace de douleur.

— Détends-toi si tu veux avoir moins mal et faciliter son introduction.

Elle souffle et se détend. Le plug finit d'entrer, ne laissant que la base, une sorte de petit diamant bleu, à l'extérieur pour pouvoir le retirer. J'essuie l'excédent de lubrifiant sur les fesses blanches et je dis à Charlotte :

— Remonte ta culotte et baisse ta robe, nous devons y aller. Je te donne le lubrifiant afin que tu puisses l'utiliser si tu dois enlever et remettre le plug!

Elle m'obéit et se redresse en grimaçant. Elle fait quelques pas mal assurés. Mais bientôt elle me suit pour aller prendre ma voiture.

Après un peu plus d'une heure trente de routes de campagne, nous arrivons dans la cour du manoir imposant d'Alain. Celui-ci vient aussitôt à notre rencontre, suivi d'un grand noir costaud. Je donne une accolade à mon ami et serre la main du noir. Alors qu'Alain dit bonjour à Charlotte, je demande :

— Bonjour, Georges, comment vas-tu?

— Très bien Monsieur Didier, je vais prendre vos bagages et les emmener à votre chambre, vous avez la bleue comme d'habitude.

Alain a à son service une famille originaire du Congo. Cette famille vit au manoir et l'entretient. Elle est composée de Rosie, la mère, cuisinière hors pair, et de ses trois enfants, les jumeaux Georges et Jacques, armoires à glace imposantes et leur sœur Rosalinde.

— Les autres sont arrivés? Demandé-je à Alain.

— Marc est déjà dans la cuisine en train de faire enrager Rosie. Tu les connais tous les deux, toujours en train de se chamailler pour les recettes. Et tu vois là-bas Éric et Pierre qui boivent une bière, Philippe n'est pas arrivé et j'attends encore six couples.

C'est alors qu'un coupé sport entre dans la cour du manoir en klaxonnant. Je vois Alain pâlir. Une femme dans la soixantaine sort de la voiture. Habillée avec du grand couturier, elle a une poitrine d'enfer. Elle avance rapidement vers Alain et elle le serre dans ses bras, un peu plus longtemps que normal. Je regarde mon ami, il est blanc comme un linge.

— Bonjour Alain. Je n'ai pas répondu à votre invitation. C'est idiot, mais je ne l'ai pas reçue. Vous organisez bien un barbecue. Je vous remercie de m'avoir invitée. Vous permettez, je rentre, il faut que je me rafraîchisse.

— Bonjour Madame la Générale! Faites...

Mais la femme est déjà loin. Alain est apeuré, j'ai l'impression qu'il va s'évanouir.

— Qu'est-ce qui t'arrive Alain?

— C'est cette femme. Il faut que je t'explique, mais laisse-moi m'asseoir.

Je le regarde poser son cul sur un muret en pierre et je dis :

— En tout cas elle est bien conservée.

Alain me répond alors :

— Oh! C'est normal, elle est très active. C'est la femme d'un vieux collègue que j'ai eu il y a dix ans quand nous étions à la caserne de Gaulle. Il était général et j'étais son second. Le pauvre est mort aujourd'hui, elle a dû l'épuiser. C'est une vraie nymphomane. À ce que je sais, tout le régiment lui était passé dessus. J'ai eu le malheur de répondre à ses avances une fois et je l'ai regretté mille fois. Elle me harcelait, je n'en pouvais plus. Soit à un détour de couloir elle se jetait sur ma braguette, soit le soir elle rentrait dans ma chambre et s'empalait direct sur ma bite. J'ai compris après pourquoi son mari demandait à partir souvent en opération. C'est une mante religieuse cette femme. J'essaie de l'éviter, mais elle s'impose toujours. Aide-moi Didier, donne de ta personne et sauve-moi.

— Euhhh! Après que tu m'as dit, ce n'est pas vraiment un cadeau. Je suppose que tu ne peux pas te permettre de la froisser?

— Eh oui, elle a encore beaucoup de contacts au ministère. Mais elle va nous gâcher la soirée si elle reste. Et là, tel que je la vois elle est hyper excitée, il lui faut de l'homme.

Je réfléchis un moment et demande :

— Elle est difficile point de vue partenaire?

— Non pas du tout, du moment qu'il a une bite à lui offrir.

— J'ai peut-être une idée!

J'appelle Éric et Pierre. Ils nous rejoignent rapidement. Et après les salutations d'usage, Pierre lorgnant le décolleté de Charlotte, je dis :

— Dis-moi Éric, pour tes gros chantiers tu fais toujours venir des Roumains que tu loges sur place?

— Oui c'est beaucoup plus pratique. Je les loge dans des baraques que je peux déplacer.

— Tu n'as pas un chantier près d'ici avec des Roumains?

— Si dans la ville d'à côté, une grosse résidence de 300 logements. J'ai une vingtaine de Roumains qui vivent sur place.

— Vingt c'est suffisant? Demandé-je à Alain.

Il ouvre de grands yeux en comprenant ce que je veux faire. Puis il se met à sourire et me dit :

— C'est parfait!

— Bon Éric, on a une mission : sauver le soldat Alain. Une tigresse va réapparaître et on va la livrer à tes ouvriers, ça leur fera plaisir. Tu peux les contacter?

— Je vais appeler le contremaître. Il s'appelle Bobesco et il comprend vite.

— Bien, je prends ma voiture et nous l'emmenons, ça va nous prendre une demi-heure en gros pour l'aller-retour.

Alain sourit, il est soulagé. Je me tourne vers Pierre et lui dit :

— Alain va être occupé pour recevoir ses invités et je n'ai que toi mon ami Pierre pour t'occuper de Charlotte en mon absence. Tu peux peut-être lui faire visiter le parc et le manoir. Mais attention, pas touche!

Pierre me regarde et me sourit. Il pose sa main dans le bas du dos de Charlotte et la dirige vers le parc. Elle me regarde un peu effrayée, mais je lui fais un signe de tête pour lui faire comprendre que tout va bien. Je sais que Pierre est un fieffé coquin, mais je sais aussi que c'est un vrai ami et qu'il ne fera rien pouvant me contrarier. C'est un gros avantage que nous avons tous les six. Nous sommes beaucoup plus que des amis, nous sommes des frères et toujours prêts à nous entraider.

C'est alors que la femme du général revient et dit :

— Fiou! Qu'il fait chaud! Je vois que vous avez invité beaucoup d'hommes, Alain!

C'est alors que je prends la parole :

— Madame la générale, Alain va devoir s'excuser, il a beaucoup de choses à préparer. Il nous laisse le soin à Éric et moi, de vous tenir compagnie.

La femme nous regarde comme un chien regarde une saucisse. J'ai l'impression qu'elle va se jeter sur nous et nous violer sur place. Je continue :

— Mon ami Éric voulait me montrer un de ses chantiers pas loin d'ici. Vous pourriez peut-être nous accompagner en attendant que tout soit prêt ici.

— Ben oui pourquoi pas cher ami!

Nous partons tous les trois pour le chantier, Éric et moi devant, la générale, derrière, qui en profite pour refaire son maquillage. Quand nous arrivons, nous voyons un homme bronzé, petite moustache qui nous attend. Éric me dit que c'est son contremaître. Il lui a téléphoné plus tôt et lui a expliqué ce que nous voulions faire.

Nous descendons de voiture et Éric dit à notre passagère :

— Madame la générale, vous voulez peut-être vous rafraîchir, il fait si chaud.

— Volontiers mon ami!

— Mr Bobesco va vous montrer où vous pouvez le faire.

La générale suit le contremaître avec joie. Éric et moi nous adossons à la voiture. Nous attendons cinq minutes, puis dix. Nous décidons alors d'aller voir ce qui se passe. Par la fenêtre d'un baraquement, nous voyons la générale à genoux, son chemisier Chanel ouvert, ses gros seins ont l'air malaxés par plusieurs mains. Elle a une bite dans la bouche et une dans chaque main pour les branler. Sur son visage s'affiche une intense satisfaction.

Le contremaître s'approche de nous. Éric lui dit :

— Bobesco, il faut que tu la gardes toute la nuit, nous reviendrons la chercher demain. Mais il ne faut pas la casser. S'il y a un problème, tu m'appelles. Compris?

— Compris Monsieur Éric! Femme contente, ouvriers contents, femme jouir beaucoup, ouvriers tous jouir, tout le monde content! Ah ah ah!

J'ajoute alors :

— Si tu pouvais faire un film et nous l'envoyer à cette adresse, ça serait très bien.

— Oui Monsieur, ça sera fait, vous contents!

Nous rigolons tous les trois avant qu'Éric et moi ne retournions à la voiture. Nous repartons heureux et soulagés pour Alain.

De retour au manoir, je me mets immédiatement à la recherche de Charlotte. Elle est assise à une table près de la piscine avec Pierre, elle se trémousse sur son siège, à cause du plug sûrement. D'autres couples sont arrivés et certains profitent même de la piscine. Je rejoins mon ami et ma petite chienne. Je suis devant à leur table quand quelqu'un arrive en courant et me saute dessus pour m'embrasser fortement sur les deux joues. Il s'agit d'une petite femme enrobée et très joyeuse.

— Bonjour, mon Didier, je suis trop contente de te voir!

Surpris, et très heureux moi aussi je réponds :

— Virginie ma douce, je suis trop content que tu sois là.

Je la serre fort dans mes bras. Cette femme complète notre groupe avec les six gars. Depuis notre enfance, elle a toujours été avec nous et nous a souvent empêchés de faire des bêtises. Elle est psychologue et vit dans le sud de la France avec son second mari qui est artiste-peintre. Elle vient de subir une grave maladie, mais elle va beaucoup mieux.

— Picasso est par là? Demandé-je.

C'est le surnom que nous six donnons à son mari. Nous l'aimons bien, car il rend heureuse notre Virginie.

— Tu sais comme il est! Il fait le tour du manoir et du parc pour trouver un bon endroit pour peindre. Il a même demandé à Rosalinde si elle ne voulait pas poser nue pour lui, il a eu droit à son regard meurtrier.

Pendant tout cet échange, Charlotte reste bouche bée. Je dis alors à Virginie en la désignant :

— Il faut que je te présente Charlotte une amie qui va avaler des mouches si elle reste bouche ouverte.

Bien sûr, aussitôt Charlotte ferme la bouche. Les deux femmes se saluent. Virginie voit tout de suite le pendentif autour du cou de Charlotte. Elle se tourne vers moi et me dit :

— Tu ne changeras jamais Didier! Bon je vais chercher Picasso!

Je hausse les épaules en souriant alors que Charlotte nous fait le bonheur de prendre un beau rouge écarlate.

— Et si nous allions nous changer pour profiter de la piscine? dis-je en tendant la main à Charlotte.

Elle la prend et je l'emmène dans notre chambre. Pendant le trajet, elle me chuchote :

— Monsieur, s'il vous plaît, pourrai-je enlever le plug?

— Pas de problème, cinq coups!

Elle réfléchit et pèse le pour et le contre, puis me répond :

— D'accord Monsieur!

Arrivée dans la chambre, elle est impressionnée par le luxe. Mais elle se rue dans la salle de bain pour retirer le plug. Alors que j'enlève les vêtements, je l'entends gémir en sortant l'objet de son cul. Je la rejoins alors qu'elle lave l'objet. Je lui ordonne de se retourner et de se baisser. Son cul est béant, mais il reviendra bientôt à la normale. Je bande.

— À genoux! Mains sur la tête! Ouvre la bouche!

Docilement elle s'exécute. Je glisse mon sexe bien dur dans sa bouche ouverte. Elle commence à me sucer, un air de satisfaction sur le visage. Elle essaie de s'appliquer du mieux qu'elle peut en bougeant sa langue sur mon membre. Je la laisse faire et admire son visage de bourgeoise, si fière, essayer de faire jouir un homme autre que son mari. Bientôt j'éjacule dans sa bouche et elle s'empresse d'avaler. Puis elle lèche consciencieusement ma bite pour la nettoyer.

Nous prenons nos maillots de bain. Charlotte enfile un une-pièce noir qui moule son corps de façon exquise. Je crois qu'elle va faire tourner des têtes. Nous rejoignons les invités qui profitent de la piscine. L'après-midi se termine lentement. Nous nous amusons et discutons tranquillement. J'ai droit à une autre fellation quand nous retournons nous changer. Charlotte commence à devenir une experte.

Je n'oublie pas ma mission avec Natacha. J'attends le moment propice. J'ai demandé à Pierre et Philippe qu'ils s'occupent du mari. À la fin de la soirée il devrait être raide ivre et ne plus se soucier de sa femme.

À la fin du repas, je laisse Charlotte discuter avec Éric et je me dirige vers Natacha, assise seule sur une chaise et qui regarde son mari rire bruyamment avec mes deux compères.

— Le bébé est couché? Lui demandé-je.

Elle sursaute et me répond :

— Oui et il dort profondément, sûrement l'air de la campagne.

— Puis-je vous proposer une promenade dans le parc? Il y a tout au bout une petite tonnelle magnifique.

Elle hésite. Je pense qu'elle se demande si elle peut avec son mari tout près. Elle le regarde et quand elle voit qu'il l'ignore et qu'il enfile verre sur verre, elle se lève. Nous nous éloignons sous le regard curieux, furieux et peut-être jaloux de Charlotte.

Nous discutons de tout et de rien jusqu'au fond du parc. Puis je la fais asseoir sur un banc. Je prends ma voix charismatique et je lui dis :

— Vous allez m'écouter attentivement Natacha. Vous avez cinq enfants, un mari souvent absent, une vie morne. Comment voyez-vous le reste de votre vie? À l'occuper à élever tous les mômes que vous aura faits votre mari lorsqu'il rentrera de mission? Je me doute que vous êtes amoureuse de votre mari et qu'il vous fait bien jouir. Mais combien de fois par an? Une, deux peut-être trois fois l'année. Et le reste du temps, vous mouillez parce que votre bébé tète votre sein. Ne niez pas, je l'ai vu. Vous voulez une vie sans plaisir, sans pouvoir vous épanouir en tant que femme? Mais vous pouvez aimer votre mari tout en vous faisant plaisir. Vous êtes encore désirable alors profitez-en! C'est ce soir que tout se décide, il n'y aura pas de retour en arrière. Donne-moi ta culotte Natacha!

Pendant tout mon discours, je vois tous ses sentiments s'afficher sur son visage : la curiosité suivie de l'introspection, la colère, l'incrédulité, la honte et l'envie de m'envoyer paître. Elle se lève. C'est le moment crucial, soit elle s'enfuit, soit elle obéit. Je la vois réfléchir intensément puis relever sa robe, retirer rapidement sa culotte et me la tendre en rougissant tête baissée.

- Mais tu es rasée, c'est très bien!

Elle rougit et baisse la tête. Je lui mets la main aux fesses et la pousse vers le manoir en disant :

—Tu ne le regretteras pas Natacha. Je vais te donner un premier défi. Tu vas aller voir mon ami Alain et tu lui diras que tu vas faire tout ce qu'il veut.

— Mais mon mari?

— Je m'en occupe. À l'heure qu'il est, je pense qu'il doit être complètement ivre. Nous allons l'aider à se coucher. Vis ta vie Natacha!

— Bien Monsieur.

Nous rejoignons les convives. Certains sont déjà partis, d'autres rejoignent leur chambre. Charlotte me regarde revenir avec Natacha et elle voit son amie se diriger vers Alain et lui parler. Je rejoins Pierre et Philippe, et ensemble nous nous chargeons de porter Pierre-Henri Rivière dans la chambre attribuée au couple pour le mettre dans son lit. Quand nous le laissons, il ronfle comme un bienheureux. Rosalinde a pris le bébé avec elle pour la nuit.

Je retourne auprès de Charlotte. Elle semble heureuse de me voir, ça ne va pas durer. La voyant bâiller, je lui propose d'aller nous coucher. Elle me suit alors que nous regagnons notre chambre. À peine la porte refermée, j'ordonne :

— Déshabille-toi!

Elle m'obéit un peu anxieuse. Elle doit se demander ce qu'il va se passer. Une fois qu'elle est nue, j'appuie sur un bouton caché et un pan de mur tourne pour découvrir un passage secret.

— Suis-moi! Dis-je simplement

Elle m'obéit et nous descendons des escaliers en bois jusqu'à une porte verrouillée par un code électronique. Je connais le code bien sûr, cette pièce étant une de celles dont j'ai supervisé l'emménagement.

Je laisse passer Charlotte devant moi. Elle se fige au milieu de la pièce. Elle voit différents meubles bizarres ainsi que toute une série d'accessoires inquiétants accrochés au mur. Je la tire par le bras jusqu'à un pilori modifié par mes soins. Il est plus bas que la moyenne et possède une barre d'écartement en retrait. Je soulève la planche supérieure et demande à Charlotte de mettre ses poignets et sa tête dans les trous dont les contours sont recouverts d'une épaisse couche de mousse puis je rabats la planche. Elle est prise au piège. Ensuite j'attache chacune de ses chevilles à chacun des bouts de la barre d'écartement. Elle se retrouve donc pliée à la taille, les seins pendants, la tête et les mains prises en étaux, le cul bien présenté, les jambes largement écartées.

Verdu
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