Bobbie Et Les Copains De Son Beau-fils

Informations sur Récit
Une jeune femme satisfait les copains de son beau-fils.
6.3k mots
4.41
54.6k
1
0
Récit n'a pas de balises
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
Coulybaca
Coulybaca
104 Admirateurs

Coulybaca / Black Demon

Note :

Cette histoire est une histoire en soi.

Toutefois, c'est aussi la suite de :

Bobbie prend soin d'un sans-abri (Raped young beauty II)

Madame Bobbie Wilson, ex Bobbie Thompson, avait maintenant 26 ans et était la femme d'un politicien renommé.

Mariée depuis maintenant pour deux ans au sénateur Brian Wilson, il semblait que son seul souci était de capter l'affection de son beau-fils John. Lorsqu'elle avait épousé Brian, son aîné de 20 ans, elle savait que son problème principal serait d'apprivoiser son beau-fils. Comme Brian et son ex-femme avait la garde conjointe de leur fils, Bobbie savait que ce serait difficile de capter sa confiance.

Son amour pour Brian l'avait déterminée à réussir.

Lorsqu'ils s'étaient mariés, John avait 14 ans il était à l'orée de l'adoles-cence.

C'était sa mère biologique, Anne qui avait décidé de l'inscrire dans une boite privée, mais, une fois divorcée, rien que pour contrarier Brian, elle l'avait inscrit au collège "Roosevelt", le collège publique local, qui avait une assez mauvaise réputation quant à la qualité de l'enseignement dis-pensé.

Brian tenta en vain de faire inscrire John dans un collège privé proche, principalement pour que son électorat sache que son succès électoral ne l'empêchait pas d'envoyer son fils dans une minable école publique.

Comme Brian lui accordait toute l'attention possible en fonction de ses disponibilités, Bobbie se sentait obligée d'accompagner John dans cer-taine de ses activités.

Elle repensa à l'équipe de base-ball dans laquelle jouait John les week-end où Brian en avait la garde. Brian avait dit à John d'inviter ses co-pains à la pizzeria proche pour fêter leur victoire. C'était la première fois qu'ils invitaient ses équipiers.

L'équipe était formée de jeunes de différentes nationalités, la plupart des joueurs faisaient partie des classes les plus basses de la société. A la table de John s'étaient assis deux jeunes noirs, deux mexicains et un asiatique.

On voyait clairement qu'ils n'étaient pas du même monde, ces jeunes que John présenta comme ses meilleurs copains semblaient bien plus matures que lui.

Alors qu'elle aidait à ravitailler les différentes tables, Bobbie ne se sentait pas à l'aise avec "les meilleurs amis de John", en particulier avec l'un d'eux nommé Jason, un athlétique jeune noir un jeune punk antipathi-que.

Lorsqu'elle s'était penchée pour poser le plateau sur la table, elle l'avait vu se pencher en avant jetant un oeil indiscret sous sa jupe.

Elle avait rougi d'embarras lorsqu'elle se recula et observa le rictus qu'af-fichait son visage.

Elle remarqua ensuite que John n'avait pas vu faire son ami, mais que les autres avaient remarqué son geste audacieux et que sa gêne les fai-sait glousser.

Cet incident s'était passé deux mois plus tôt, et depuis, Bobbie avait tou-jours trouvé une excuse ou une autre pour éviter d'assister aux parties de base-ball lorsque ses amis étaient là.

Depuis cet incident, elle ne parvenait pas à chasser l'image de ce gros-sier ado de son esprit.

Son expérience avec les noirs était très limitée, son dernier contact avec un noir remontait à quatre ans plus tôt, juste avant leur mariage, lors-qu'elle avait été agressée et violée par un vieux sans-abri noir. C'était advenu lors de l'anniversaire de la première année d'existence d'un foyer pour sans-abri où elle remplaçait Brian.

Elle en avait été si honteuse qu'elle n'avait rapporté cette triste expé-rience à personne de peur du scandale et de peur de voir Brian se dé-tourner d'elle.

Bobbie se remémorait ce funeste épisode et le chantage qui en avait ré-sulté, elle avait été forcée de subir les assauts de son violeur décrépit sous la menace de le voir mettre en circulation des photos d'elle nue et souillée.

Elle avait eut peur d'être sous l'emprise de cet infâme vieillard pour long-temps, mais la chance tourna une semaine après sa dernière soumis-sion.

La semaine suivante, la lecture des journaux lui appris que son ignoble maître chanteur avait été tué et que ses maigres possessions avaient été brûlées.

Elle ne s'était jamais sentie aussi heureuse que lorsqu'elle avait lu l'an-nonce de son décès.

Elle avait immédiatement appelé le directeur du foyer pour s'enquérir de l'accident, et avait appris que son corps avait brûlé dans un incendie vo-lontaire, de même que ses maigres avoirs, il n'avait été identifié que grâce à son empreinte dentaire.

Comme le seizième anniversaire de John aurait lieu le week-end où Brian avait la garde, il lui avait dit qu'il ferait une fête grandiose.

Brian tout excité lui avait dit d'inviter ses copains de base-ball et quel-ques filles pour danser autour de la piscine.

Bobbie n'aimait pas trop cette idée, d'autant plus que les meilleurs amis de John y participeraient et plus spécialement l'arrogant Jason.

En privé elle chercha à dissuader Brian d'organiser cette fête, lui disant que ses amis n'étaient pas du même monde que son fils et que cela pourrait entraîner des problèmes.

Mais Brian pensait à ses électeurs qui seraient ravis de voir des photos de l'anniversaire de son fils dans les journaux locaux, montrant que les amis de son fils faisaient partie des minorités.

En fait il avait loué les services d'un photographe professionnel pour tirer quelques clichés qui feraient sa promotion. Cela ferait bien dans sa pro-chaine brochure de campagne quand il briguerait le congrès.

Dans l'abri que John et ses amis utilisaient parfois comme vestiaire, les cinq meilleurs amis de John l'attendaient.

Pendant son absence, ils pouvaient librement faire des bons mots sur lui et sa famille.

Les plaisanteries de Jason étaient les plus applaudies, c'est lui qui les faisait le plus rire.

-"Mon Dieu, je ne peux pas oublier le physique de sa belle mère ....Les gars, j'aimerai tant lui ouvrir son corsage et lui mordre ses magnifiques nibards ..... Merde alors, je donnerai n'importe quoi pour me rouler avec elle dans ses draps!"

Juan, un des deux jeunes mexicains rit :

-"Bordel Jason, le jour où tu t'es penché pour regarder sous ses ju-pes, t'étais sur le point de l'agripper pour la violer sur la table!" ... Je ne peux pas dire que je te le reproche, moi aussi j'aimerai la voir enrouler ses longues jambes autour de mon torse!.... Jason elle t'aurait fusillé des yeux si elle avait pu ce jour là, depuis ce jour elle ne vient plus suivre les parties de base-ball!

Sam, l'asiatique grommela :

-"Eh merde ...... Depuis ce jour à la pizzeria, je jute en rêvant d'elle toutes les nuits! ... Ses lèvres sont si charmantes!.... Je rêve de les voir serrée autour se ma bite! ... Eh merde, si madame Wilson posait ses lèvres sur ma queue, j'éjaculerai sur le champ, lui arro-sant le visage de foutre."

Derek le second noir gloussa en ajoutant :

-" Moi je rêve de son étroit petit cul bien blanc ..... Les mecs Je la baiserai jusqu'à l'os et je la ferai jouir! ... Je parie qu'elle encore pucelle du trou du cul! ... Et quand je l'aurai enculé, je vous la donnerai à partouzer, ce serait un gang bang d'enfer! Et toi qu'en penses-tu José? ....."

José le second mexicain, descendit sa braguette, et sortit sa grosse bite pour se branler :

-"Hummmm, si je pouvais être seul avec elle, je lui écarterai ses longues jambes et je planterai ma langue dans sa fente, je la ren-drai folle, l'amenant à se tortiller et à gémir sous mes caresses!"

Fermant les yeux José grogna :

-"Ohhhhhhh ... madame Wilson Je te boufferai ... je te boufferai le gazon!..."

Sur ces mots, un jet de foutre jaillit de son méat s'étalant sur le sol de l'abri, ce qui fit éclater de rire ses compagnons.

Un moment plus tard, ils saluèrent l'arrivée de John lui disant qu'ils l'at-tendaient avec impatience.

C'est alors qu'il les invita à la petite fête que son père et sa belle mère donnaient pour ses seize ans.

John leur dit de ne pas se tracasser pour trouver sa maison, son père chargerait quelqu'un d'aller les chercher et de les ramener chez eux après la fête.

-

Le week-end suivant, Brian et Bobbie jouaient les chaperons pour l'anni-versaire de John.

Brian avait loué les services d'un surveillant de baignade en cette occa-sion, précaution utile quand les jeunes utiliseraient la piscine. Afin de ne pas déparer, Brian portait un short et une chemise, Bobbie avait enfilé une robe d'été sur un maillot une pièce.

Mais Bobbie n'avait pas réalisé à quel point la vue de ses longues jam-bes sexy remuerait les jeunes ados, nourrissant leur trique.

Pendant que John recevait ses invités, ses "meilleurs amis" discutaient ensemble dans la piscine lorgnant les longues jambes de madame Wil-son qui revenait vers la piscine bavardant avec des filles invitées à la pe-tite fête, Jason dit à ses copains :

-"Eh les mecs, je vais me rapprocher de ces jolies jambes blanches!.... "

Ils le regardèrent alors traverser la piscine pour se poster à quelques mètres de madame Wilson. Ils le voyaient yeux collés au spectacle qu'elle offrait, se pourléchant les babines de la langue.

Il leur sembla que Jason respirait difficilement alors qu'il déshabillait des yeux la ravissante femme toute proche de lui. Puis ils comprirent que Ja-son se branlait dans l'eau, rêvant que la délicieuse madame Wilson ver-rouillait ses chevilles sur son visage écartant en grand ses cuisses pour se faire baiser!

Lorsque ses yeux roulèrent dans leur orbite, et devinrent vitreux, et que sa tête tomba dans l'eau, ils surent que sa semence se mélangeait à l'eau de la piscine.

Alors les autres 4 "meilleurs amis" de John, rejoignirent Jason pour profi-ter eux aussi du ravissant point de vue et se branler.

Un somptueux repas sur le coté de la piscine s'ensuivit, les invités enfilè-rent les tenues de danse qu'ils avaient amenées dans des sacs. Puis le lourd tempo de la musique des ados envahit le salon de danse.

Brian et Bobbie aussi avaient revêtu des tenues plus appropriées, Brian avait enfilé un pantalon habillé sur une chemise de sport et Bobbie une très jolie robe d'été et des hauts talons blancs, elle avait programmé de danser quelques slows.

Un heure après le début des danses, il y eut du remue ménage à la porte d'entrée, on réclamait Brian, des incidents en ville. Il se précipita pour aller résoudre le problème. Bobbie anxieuse, réalisa qu'elle restait seule pour chaperonner ces jeunes ados excités.

C'était juste ce que craignait Bobbie, elle avait remarqué les regards concupiscents que lui avaient jetés toute la journée les "meilleurs amis" de John. Elle espérait que la soirée se déroulerait sans anicroche avec tous ces jeunes voyous invités par John, et elle priait pour que Brian re-vienne rapidement, avant la fin de la soirée.

Affairé, John dansait avec toutes les filles, elles voulaient toutes lui sou-haiter un bon anniversaire, Sam qui sortait de la cuisine où il s'était servi un verre d'eau fraîche, avait surpris les raisons du remue ménage à la porte, il informa les autres membres du gang que monsieur Wilson avait une sorte de problème politique qu'il était parti régler, et que vraisembla-blement, il serait absent toute la nuit.

Immédiatement Jason réunit ses troupes leur clamant :

-"Quelle coup de pot, on va pouvoir profiter de l'absence de mon-sieur Wilson, c'est notre nuit ... Je vais me glisser entre les cuisses de cette somptueuse salope ... Et maintenant écoutez ... Voilà ce que nous allons faire!...."

Lorsqu'ils virent madame Wilson accaparées par quelques filles, Jason et José se glissèrent dans la maison à la recherche de la chambre conju-gale. Ils trouvèrent rapidement la chambre éclairée par les lumières de la piscine, Jason inspecta la pièce. Puis ils revinrent vers les autres mem-bres du gang qui les attendaient impatiemment, Jason les avisa :

-"Eh les mecs .... Regardez ce que je vous ramène ...... Ca sent bon la femme ......"

Ils regardaient avec une certaine gêne une petite culotte blanche en dentelle que Jason avait trouvé dans un panier à linge sale.

Jason la porta à son nez humant à pleines narines les ensorcelantes fla-grances intimes, puis il la passa à son complice le plus proche de lui.

-"Je m'suis déjà fait des chattes blanches, mais laissez moi vous dire les gars .... C'est le morceau le plus classieux que j'ai jamais vu!...... A coté d'elle toutes les autres blanches sont des cageots!..... " grommelait Jason alors qu'à son tour José respirait à plein nez les parfums enivrants de la petite culotte.

-"Toutes les blanches pleurent lorsque je leur fourre ma mons-trueuse bite dans la fente ... Je dois les bâillonner pour les empê-cher de hurler à la mort lorsque je les bourre!...... Les mecs elle sent le propre, la chatte entretenue .... Nous saurons bientôt à quel point la chatte de madame Wilson semblera propre, et bien entre-tenue avec ma grosse bite plantée dedans ... Avez vous remarqué comme elle a frissonné quand je lui ai serré la main en arrivant ... Eh bien elle va frissonner encore bien plus tout à l'heure! ..." écla-ta-t-il de rire.

Pour mettre son plan en place, Jason avait besoin de danser avec la sul-fureuse Jenny, une jeune fille pour laquelle John en pinçait. Il savait que madame Wilson n'aimait pas cette jeune salope, elle la considérait comme une garce blanche.

Jason connaissait la faiblesse de Jenny, son goût immodéré des bites noires depuis qu'il l'avait dépucelée un an plus tôt.

Jenny faisait tout pour lui, tout ce qu'il lui demandait juste pour se faire baiser à nouveau. Tout en dansant, il lui dit qu'il avait besoin qu'elle lui rende un petit service, il fallait qu'elle capte l'attention de John le reste de la nuit, qu'il ne se soucie plus d'autre chose qu'elle.

Bobbie faisait sa ronde autour de la piscine, elle filmant quelques scènes avec sa caméra vidéo, tout en s'assurant que tout allait bien, qu'il n'y avait pas de problèmes.

C'est alors que José se rua affolé vers elle, le souffle court il lui dit :

-"Madame Wilson .... Madame Wilson .... Il y a un problème avec Jason ..... S'il vous plait .....Venez voir ...... Il a ingurgité un cocktail de médicaments pour se droguer il y a un quart d'heure et mainte-nant il tremble comme une feuille en délirant ..... On l'a allongé alors qu'il vacillait dans la maison."

Affolée, Bobbie le suivit rapidement jusqu'à sa chambre. Bobbie était si inquiète qu'elle ne fit pas se demanda comment ni pourquoi il avaient pris le chemin de cette salle là!

Le commutateur dans le couloir allumait deux appliques à la tête du lit, ce qui donnait peu de lumière, mais assez cependant pour que Bobbie voie Jason étendu sur son lit, son corps tressautait convulsivement alors que ses yeux roulaient dans ses orbites.

Totalement paniquée, Bobbie se pencha sur l'ado qui convulsait, lui col-lant des gifles, l'appelant , apparemment il faisait une overdose.

-"Oh mon Dieu ..... Ca ne peut pas m'arriver!..... Appelle le 911 .... Dis leur de nous envoyer une ambulance ..... " hurla-t-elle à José qui se relavait de son chevet.

Giflant le visage de l'adolescent noir qui paraissait drogué, ne l'entendant pas répondre, elle se tourna vers lui et vit qu'apparemment la panique figeait José, il n'avait pas fait un mouvement pour appeler le 911.

-"José .... Secoue toi ...... Appelle le 911 qu'on ait de l'aide ...... " hurlait Bobbie au jeune mexicain qui écarquillait les yeux.

Finalement le message parut parvenir à l'esprit de José qui se dirigea vers le téléphone, mais à, son grand étonnement l'ado ferma la porte de la chambre au verrou.

Soudain une large se posa sur ses lèvres, elle vit le jeune mexicain rire en tendant le bras vers la caméra qu'elle avait posée sur une chaise en entrant, ce n'est qu'alors que José se mettait à filmer qu'elle comprit que le piège se refermait sur elle, qu'il était tombée dans un traquenard.

Les cris étouffés de Bobbie se perdaient dans les bruits et la musique de le fête, les autres invités ne risquaient pas de les entendre. Elle chercha à se débattre, mais les jeunes qui la violentaient avaient une force in-croyable pour leur âge

C'est alors qu'elle entendit Jason lui dire :

-"C'était très gentil de ta part de nous inviter tous pour fêter l'anni-versaire de John ..... Je veux juste t'en remercier personnellement ... Et te montrer à quel point j'apprécie ce geste ....."

Elle se débattit encore cherchant à s'éloigner alors que le jeune ado la clouait sur le lit et se glissait sur elle.

Dans sa lutte pour se libérer et s'enfuir, elle perdit ses hauts talons, puis on l'extraya de sa robe d'été, la déchirant en lambeaux avant d'en jeter les débris au sol.

Uniquement vêtue de son soutien-gorge et de sa petite culotte, Bobbie rampa sur le lit cherchant à s'enfuir, soudain des grosses mains l'agrip-pèrent, la retournèrent et lui placèrent les bras au dessus de la tête, ses petites mains perdues dans la large patte d'un des ados.

Au moment où elle allait hurler, ils lui bourrèrent un vêtement soyeux dans la bouche, la petite culotte qu'ils avaient dérobé plus tôt dans sa commode.

Son agresseur l'épinglait sur le lit se nichant entre ses cuisses grandes écartées.

Puis elle sentit Jason se penchait sur elle et lui arracher son soutien-gorge. Elle se recroquevilla et hurla lorsque des dents, s'empara de son téton gauche le titillant d'une langue raidie.

Elle sanglota, des larmes perlèrent eux coins de ses paupières, son corps tremblait alors qu'elle s'efforçait de repousser tout plaisir. Toute-fois, elle ne put empêcher que d'indésirables frémissements parcouru-rent sa colonne vertébrale ses muscles vaginaux se crispèrent sur sa bite.

-"Vous ne me croirez pas, mais la propre et prude madame Wilson n'aime pas les individus comme moi, du moins si j'en crois ses tressaillements et son dégoût la dernière fois qu'elle a du me serrer la main.... On va voir si tu vas tressaillir et soupirer de dégoût quand je vais te faire sentir quelque chose de spécial!.... " ricana Jason.

Sur ces mots, il glissa sa main entre leurs deux corps et d'une brusque secousse lui arracha sa petite culotte l'agitant en l'air en témoignage de sa totale défaite

Puis il se pencha en avant, la bite tâtonnant à l'orée de sa foufoune, se réjouissant de l'éclair d'horreur, puis il appliqua sa main sur la culotte lui garnissant la bouche.

-"Mmmmmmffffffff ....... Mmmmfffffffff ........Mmmmmfffffffff!....." ces sons étouffés émanaient de la gorge de Bobbie qui sentait la virilité de l'ado la pénétrer impitoyablement.

Cuisses grandes ouvertes sur son lit conjugal, elle ne parvenait pas à croire ce mal qu'on lui faisait, elle ne comprenait pas comment un jeune ado pouvait s'avérer si déterminé.

-"Mmmmmmmffffffffff ...... Mmmmmfffffffff!........." tentait-elle de hur-ler alors que le pervers ado forait son chemin dans son étroite pe-tite chatte.

-"Oh mon Dieu .... Mon Dieu ..... Il est tellement pus gros que Brian!...." réalisait-elle affolée.

Jason s'exclama :

-"Ahhh, madame Wilson, tu es si bonne à baiser .....Awww ouiiii ..... Enserre ma bite ...... Continue de l'étreindre comme ça ...... Ohhhh ouiiiiii ....... madame Wilson ... Ca te change de te faire baiser par une vraie bite d'homme!...... Je vais faire un demi frère ou une demi-soeur à John ... je suis un bon géniteur madame Wilson ...... J'ai déjà engrossé trois petites salopes blanches au collège .....Tétais la suivante sur ma liste madame Wilson ......" se vantait-il.

Jason commença alors à aller et venir dans la chatte de la sanglotante beauté, ajoutant :

-"Je vais enlever ma main de ta bouche et je vais t'enlever la petite culotte qui te bâillonne madame Wilson ..... Crie si tu veux, tout le monde viendra voir pourquoi tu cries ... Fais leur voir à quoi res-semble une future femme de représentant au congrès avec une grosse bite d'ado noir dans la foufoune ...... Ca fera bien dans les journaux lorsque nous leur dirons comment tu nous a invités à visi-ter ton lit pour s'y amuser avec toi, comment tu as voulu goûter à de jeunes queues noires!....... penses-tu que John te respecteras encore quand il lira que tu as invité ses "meilleurs amis" pour te faire ta fête dans ton lit? ......"

Coulybaca
Coulybaca
104 Admirateurs
12