BlackPink : Jennie

BÊTA PUBLIQUE

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Au moment où le garçon avait forcé la moitié de son membre veineux à l'intérieur du cul de la fille, j'avais déjà joui une fois, enfonçant mon index dans mon anus et tourmentant mon clitoris engorgé sans aucune pitié. J'étais fascinée par le lent mouvement de sodomie à l'écran, je ne pouvais pas détacher mes yeux de la viande dure envahissant le petit trou étiré. Je bavais pratiquement alors que je m'attendais à voir toute la longueur de la bite du garçon enfouie dans le cul de l'actrice, mes oreilles bourdonnant et pleines de ses grognements de plaisir et des gémissements tendus de sa petite amie.

Mon esprit était sous le choc, submergé par l'érotisme inattendu de la sodomie dont j'étais témoin. La virilité déchaînée qui émanait du jeune homme, la dynamique dominant/soumise implicite dans l'acte de fourrer sa bite dans le minuscule trou interdit de sa petite amie, l'ultime transgression consistant à utiliser le « mauvais » orifice comme porte d'accès au plaisir, l'expression intense et illisible de la fille capturée par la caméra, cet inextricable mélange de douleur et d'extase peint sur son visage : tout cela était si enivrant, à tant de niveaux. À ma propre surprise, je me rendis compte que je n'avais jamais autant voulu échanger ma place avec celle d'une actrice qu'à ce moment-là.

Le garçon gémit et jeta sa tête en arrière, bougeant doucement, remuant à peine dans le cul de sa petite amie tandis qu'elle essayait de le traire avec ses muscles anaux serrés. Je regardai avec une légère déception la garçon approcher de son apogée. Cette sodomie toute en retenue n'était pas la chevauchée sauvage à laquelle j'avais souhaité assister, et encore mieux, participer, mais je voulais quand même jouir. J'avais maintenant deux doigts enfoncés dans mon cul, bien confortablement et je masturbais mon petit anus plus rapidement, branlant mon clitoris comme le garçon branlait celui de la fille, souhaitant jouir au moment où il viendrait dans le cul de sa copine.

C'était génial, et pourtant les épines agaçantes de la frustration me tenaillaient. J'avais espéré que je verrais la bite complètement enfoncée dans le sphincter dilaté de la fille, et j'imaginerais ainsi sa grosse viande se pressant profondément contre mon propre cul, jusqu'à ses couilles, savourant par procuration le frisson d'être sodomisée. Mais non, même ce petit plaisir dérivé, marginal, voyeur, devait m'être refusé.

Cela me fit penser que la fille à l'écran gaspillait ses incroyables chances d'être sale avec un mec, et d'agir comme une salope pour lui et de le laisser faire avec son corps, tout ce dont je fantasmais quotidiennement. De mon point de vue saturé de luxure, cette petite prude devrait déjà s'estimer heureuse d'avoir pu avoir des relations sexuelles époustouflantes avec un mec au physique aussi rêveur, mais au lieu de cela, elle n'avait même pas bu son sperme et elle n'allait même pas vivre quelque chose d'aussi délicieusement coquin que de se faire complètement sodomiser.

Encore une fois, mon amertume rendit mon plaisir perversement plus brillant, m'obligeant à frotter mon clitoris plus rapidement et à enfoncer mes doigts plus profondément dans mon petit trou du cul collant. J'étais prête à crier à cause de l'intensité de mon orgasme quand je vis finalement le corps musclé du jeune homme se raidir alors que sa grosse bite se contractait et commençait à se décharger dans les entrailles de la fille.

一 Ahhhh putain oui, je jouis! Ooohh ouais!

La vue d'une belle bite déchaînée et crachante glissant hors de son trou du cul béant me poussa à bout. Je jouis sur mes doigts en frottant mon clitoris et en pompant mon cul pendant que le garçon grognait et empoignait son membre palpitant, envoyant d'épaisses cordes de sperme éclabousser l'anneau rougi de sa petite amie, pulvérisant son cul souple, sa colonne vertébrale arquée, et même ses omoplates et son cou. Regarder la semence blanche nacrée couler sur les fesses de la fille alors qu'il dirigeait ses dernières giclées crémeuses directement dans son petit anus abusé m'amena à un nouvel orgasme. Je jouis si fort que je dus me mordre la lèvre inférieure jusqu'à ce que je sente du sang pour étouffer mes gémissements d'extase.

J'haletais, affalée lourdement contre le canapé, mes doigts allant et venant toujours lentement dans mon trou du cul collant alors que l'écran devenait noir.

Alors que je touchais paresseusement mon clitoris, je sortis mon autre main de mon tendre bouton de rose. En massant mon petit trou, je me demandai ce que ça ferait de sentir un homme éjaculer dans ce minuscule orifice plissé, de remplir mes entrailles de sa semence chaude, de sentir son sperme m'éclabousser au plus profond de mon cul.

一 Non, pas n'importe quel homme » murmurai-je, des images de Greg se formant dans mon esprit alors que je travaillais lentement mon clitoris et mon trou du cul avec mes doigts, m'amenant lentement mais sûrement vers un nouvel orgasme solitaire. « Je l'aurais, je l'aurais » grommelai-je, me torturant davantage, renforçant l'injustice de la situation, la piqûre de l'envie faisant monter mon plaisir.

Désespérée d'anesthésier ma déception par l'oubli masturbatoire, je fis ce que j'avais fait toutes les nuits ces dernières semaines : j'attrapais le vibromasseur que les filles m'avaient offert pendant que la scène suivante commençait

Soupirant, tremblant d'un désir inextinguible, j'attaquai mon nœud palpitant avec le jouet et enfonçais mes doigts plus profondément dans mon cul, attendant avec impatience un orgasme, juste un orgasme de plus pour me détendre et apaiser mon besoin douloureux de sexe, en attendant que l'heure de travail de Greg commence, et avec elle, la phase finale de mon plan...

一 一 一 一 一 一 一

*Greg*

Gangnam. Le quartier le plus huppé de toute la ville de Séoul. On y trouve des grands magasins de luxe, des discothèques branchées, des immeubles élégants, des apparts hors de prix, des avenues bondées et... moi.

Travailler en tant que réceptionniste de nuit dans un gratte-ciel chic de la capitale coréenne était un travail de rêve pour un étudiant de passage. J'avais la vie incroyablement facile comparé à mes camarades de promo obligés de trimer au McDo ou dans un bar à servir du soju à des ivrognes jusqu'à des heures interminables. Il n'y avait globalement que deux règles que les locataires d'ici devaient respecter et ils les suivaient tous à la lettre : avoir sa clé, et ne pas faire trop de bruit. Après le début de mon heure de travail, personne n'entrait sans sa clé et il n'y avait jamais le moindre drame.

J'étais venu faire un semestre académique en Corée pour mes études d'ingénieur. Comme j'avais des cours pendant toute la journée, l'ennui et la solitude qui accompagnaient ma garde le soir étaient bien venus, car ils me donnaient tout le loisir de faire mes devoirs.Les portiques verrouillés signifiaient que j'étais toujours bien à l'abri; et puis de toute façon il n'y avait que très peu d'insécurité dans ce pays. Bref, c'était une vraie solution de flemmard pour toucher un peu d'argent sans mettre mes études en péril durant mon séjour au pays du matin frais.

Non, vraiment, la partie la plus pénible de mon job étudiant était sans nulle doute la vieille du sixième étage qui pouvait m'appeler à tous moments pour me poser des questions que je comprenais à peine, le plus souvent sur la météo pour le reste de la semaine; mais les autres habitants étaient justes merveilleux. Le reste du temps, donc, je faisais mes devoirs ennuyeux et vivais ma vie banale d'étudiant en échange.

Enfin, pas si banale que ça en fait : figurez-vous qu'une des locataires n'était nulle autre que Jennie Kim, du groupe BlackPink!

J'avais complètement halluciné la première fois où j'avais vu son nom sur la liste des occupants. J'avais trouvé ça absolument incroyable, me persuadant que c'était un homonyme, ça aurait été trop beau pour être vrai!

Et puis non, je l'avais bel et bien vue en chair et en os lors de mon premier jour de travail. Je lui avais même fait timidement signe. Chose incroyable : elle s'était présentée et m'avait souri! Elle m'avait demandé comment je m'appelais, et d'où je venais. Elle m'avait demandé si je ne m'ennuyais pas trop. Elle était évidemment monstrueusement riche, d'ailleurs elle vivait dans l'appartement le plus cher du bâtiment, et elle était la plus jeune locataire. Elle était très polie et courtoise,et parfois, elle descendait même le soir pour discuter un peu avec moi. Sans doute que je lui faisais vaguement pitié, tout seul derrière ma table de l'accueil avec mes bouquins de maths et une pizza pour seule compagnie...

J'étais toujours à la fois flatté et un peu mal à l'aise dans ces moments là. D'une part, pouvoir croiser au quotidien une de mes stars favorites était génial. De l'autre, merde mais, c'était Jennie Kim! Je me sentais tout petit!

Elle ne ramenait jamais personne quand elle rentrait le soir, et je m'étais toujours demandé pourquoi. Il y avait bien la clause de « no dating» comme dans les contrats d'idoles K-pop mais peut-être voyait-elle un amant dans un love hotel de Séoul, à l'abri des regards indiscrets? En tout cas, une chose était sûre : elle était toujours en pleine forme et surexcitée quand elle rentrait. Je n'avais jamais osé l'interroger sur sa vie privée parce que cela m'aurait semblé trop indiscret, surtout quand j'étais juste censé lui tenir la porte ouverte.

一 Hé, Greg?

Je levais les yeux de mon livre d'équation différentielles et vis Jennie dans l'embrasure de l'ascenseur, qui avançait vers moi.

Ces derniers temps, quand elle redescendait me tenir compagnie elle portait un court peignoir noir. C'était à la fois un peu gênant de la regarder et en même temps difficile de détourner les yeux. Le peignoir était incroyablement court, descendant à peine à mi-cuisse. Il était en soie, avec une bordure en dentelle noire, y compris le long de l'encolure. Ou du moins j'étais à peu près sûr que c'était le cas, car tout ce que je voyais en le regardant était le renflement de ses petits seins sous le tissu.

Je jurais qu'à chaque fois que je la voyais dedans, il était attaché un peu plus lâchement. Là encore, peut-être que c'était juste moi qui regardais juste ses seins avec plus d'attention. En tout cas, une chose était certaine : ils étaient sacrément bien mis en valeur ce soir, et alors que mes yeux continuaient à s'attarder là où ils n'auraient pas dû, je pouvais deviner un soupçon de peau blanche et...

一 Greg? » répéta Jennie. « Tu m'écoutes?

一 Oh, désolé » répondis-je, arrachant mon regard de sa poitrine, et espérant qu'elle n'ait pas remarqué que je la reluquais.

Je sentis mon estomac se retourner quand je levais les yeux vers elle. Jennie me regardait avec un air un peu étrange. Mon estomac se noua encore davantage alors qu'elle baissait les yeux sur ses seins, là où les miens venaient de se poser. Saisissant la ceinture du peignoir, elle la resserra. Cependant, elle n'avait pas fermé le haut, et en tirant sur la ceinture elle le fit s'ouvrir encore un peu plus. Dans un mouvement basé sur un pur instinct de préservation, mes yeux retournèrent immédiatement vers son visage.

一 Je t'ai demandé ce que tu faisais.

一 Oh, euuuuh, des maths.

一 Encore? A cette heure-ci? » Faisant le tour du bureau, Jennie se pencha derrière moi contre le dossier et regarda le livre par dessus mon épaule. « Mais ça a l'air totalement incompréhensible! Tu vas vraiment faire ça toute la soirée?

Je haussai les épaules.

一 Je sais que tu es un jeune homme ambitieux et tout,» Jennie me fit une petite secousse amicale sur l'épaule pour souligner sa remarque. Contaaaaact! «Mais tu travailles beaucoup trop, tu devrais te reposer un peu de temps en temps.

一 Ouais je sais.

Alors que je répondais, je me sentais irrésistiblement attiré par la main de Jennie sur mon épaule. Je portais un t-shirt et ses longs ongles peints en noir allaient sacrément bien avec le tissu assez pâle. Laissant mon regard parcourir son bras mince, mes yeux s'écarquillèrent lorsque je vis que son peignoir se défaisait et que ses seins débordaient presque. Je détournais le regard, mais pas avant d'avoir aperçu ses mamelons roses. Je pris conscience de ma bite remuant entre mes jambes. Bon sang Greg! Calme toi! C'est Jennie! Jennie Kim!

一 Eh bien, ne reste pas à faire ça trop longtemps Greg, tu as l'air crevé.

一 Ok, je te le promets.

Le fait était que j'étais plus que crevé, j'étais complètement d'épuisé. L'enseignement en Corée était super dur et il fallait que je m'accroche si je voulais valider mon semestre à l'international.

一 Et bien tu sais quoi » répondit Jennie me sortant à nouveau de mes pensées. « quand tu auras fini, tu n'auras qu'à passer me voir. Je crois qu'on aurait bien besoin de se détendre un peu tous les deux.

一 Hein? Tu es sûre?

一 Oui! Oh allez, s'il te plaît s'il te plaît, ce sera sympa. On n'a qu'à se mater un film!

J'allais en dire plus, mais levant sa main vers mon menton, elle tourna ma tête pour que je sois face à elle et m'embrassa sur la joue. Enfin, en théorie. Le baiser n'était pas au milieu de ma joue, mais si près de ma bouche qu'elle attrapa le bord de mes lèvres. J'étais en état de choc. Chose encore plus incroyable : Jennie tourna sa joue pour qu'elle soit pressée contre la mienne. Elle venait de sortir de la douche et je pouvais sentir ses longs cheveux mouillés sur mon épaule. Encore plus distrayant était le parfum agréable de son gel douche à la fraise. Fermant les yeux, je pris une profonde inspiration et m'oubliant momentanément, je frottais ma joue contre sa peau douce.

J'ouvris les yeux et regardai sa main sur mon bras. Encore une fois, je me retrouvais à contempler ses doigts fins avec ces ongles parfaitement manucurés. Ils étaient incroyablement beaux et élégants, mais ils étaient loin d'être aussi beaux que s'ils étaient enroulés autour de ma b... cette pensée s'estompa et fut remplacée par un sentiment d'alarme lorsque je réalisais que j'étais vraiment dur maintenant. Le pantalon que je portais ne faisait pas grand-chose pour dissimuler ce fait et espérant qu'elle ne regardait pas, je laissai tomber mon bras sur mon entre-jambe.

一 Hé! » s'exclama Jennie en s'éloignant de moi, et je sentis mon coeur rater un battement. « Tu piques!

一 Oh » dis-je, un sentiment de soulagement m'envahissant. « Pardon.

一 Un petit conseil Greg : les filles ont la peau douces et elles n'aiment pas quand les mecs ont la peau qui gratte.

一 Ok, je m'en souviendrais.» Je hochais la tête, me remémorant à quel point sa peau était vraiment douce.

一 Ouais, ces moustaches sont pas très agréables contre nos lèvres. » Elle me fit un clin d'œil. « Même contre celles d'en haut.

一 Q... t'as dit quoi là?

Jennie me regarda un instant avec ses grands yeux sensuels et rit.

一 C'était une blague ; ne me dis pas qu'ils ne racontent pas des truc comme ça à SNU!

一 Ouais mais...» J'eus une vision instantanée dans laquelle j'étais en train embrasser les lèvres de Jennie et pas celles sur son vi...

一 Greg, tu rougis! » s'exclama Jennie en tapant des mains. « Oh c'est trop mignon!

J'allais lui dire d'arrêter de se moquer de moi, mais à la place je me retrouvais à lui sourire. Avec la vie qu'elle avait, les haters, les commentaires incessant sur son physique, toute cette pression, c'était vraiment bon de la voir rire et s'amuser. Sans parler du fait qu'elle avait un magnifique sourire. Mais, entre nous, qu'y aura t-il pu avoir de laid chez Jennie Kim?

Alors qu'elle riait, elle secoua la tête en envoyant ses longs cheveux mouillés voler loin de son cou. Je fixai sa peau lisse et me rappelai comment j'avais passé de nombreuses soirées à me demander ce que ça ferait de l'embrasser à cet endroit.

一 Enfin bref, promets-moi de ne pas rester à faire des maths trop longtemps ce soir.

一 Promis.

一 Et promets moi que tu viendras me tenir compagnie quand tu auras fini.» Elle secoua la tête. « Je ne comprend pas pourquoi tu es si gêné à ce sujet, ce n'est pas comme si je mordais ou quoi que ce soit.

En vrai ça ne me dérangerait pas songeai-je, mais je dis à haute voix :

一 Avec ta clause de no dating, je ne voudrais pas lancer des rumeurs et nuire à ta réputation.

一 Tu parles, tout le monde dort à cette heure-là, personne n'en saura rien. En plus, » ajouta-t-elle avec un sourire narquois, « quand je verrais les filles, je pourrais leur dire que j'ai passé la soirée avec un mec super canon, et elles seront vertes de jalousie!

一 Ouais ouai c'est ça.» Je haussai les épaules avec nonchalance, bien qu'une partie de moi ait ressenti un frisson de folie lorsqu'elle prononça cette phrase. C'est Jennie, elle essaye juste de plaisanter, rien de plus, m'admonesta mon côté sain d'esprit.

一 Je vais laisser ma porte déverouillée, pour que tu puisses rentrer, d'accord?

一 D'accord.

一 A tout à l'heure Greg.

一 一 一 一 一 一 一 一 一 一 一 一

*Jennie*

Ouvrant la porte de mon dressing-room, je sortis de la pièce et, me tournant immédiatement légèrement sur le côté, je me déhanchais, bombais un peu le torse pour faire ressortir ma poitrine et chuchotais à mon miroir d'une voix séduisante :

一 Alors Greg, tu aimes ce que tu vois?

En tout cas j'étais sûre qu'il avait clairement apprécié le petit spectacle tout à l'heure! Au début, j'avais un peu paniqué avec mon peignoir, mais au moins, si j'avais encore quelques doutes sur l'effet que je lui faisais, le renflement dans son pantalon les avait totalement dissipés. J'aurais pu lui sauter dessus immédiatement, mais j'avais eu peur de l'effrayer.

Non, il est un peu timide, j'ai pris la bonne décision.

Je portais une petite robe noir sexy qui moulait monstrueusement bien mes courbes et qui était si courte qu'elle montrait toute la longueur de mes longues jambes galbées et pâles. Et en plus, si je me penchais complètement, je donnerais à quiconque se trouverait derrière moi un sacré spectacle, car tout ce qui était en dessous, c'était le petit string en dentelle noire que j'avais acheté la semaine dernière en vue d'un soir comme celui-là, et qui laissait mes fesses totalement dénudées.

Bien sûr, mes jambes ne pouvaient être remarquées que si Greg commençait par le bas, parce que j'étais presque sûre que dès qu'il aurait jeté un coup d'œil à mon petit décolleté, il allait perdre toute envie de regarder ailleurs. Enfin c'était ce que j'espérais en tout cas. En ce moment cependant, le seul public que j'avais était le miroir devant lequel je posais. Avec un soupir, je me penchais, mettant mes mains sur mes cuisses et rapprochant mes bras, poussant mes seins plus loin tout en mettant mes lèvres douces et pulpeuses dans une moue,et chuchotai :

一 Oh s'il te plait Greg, tu sais que tu en as envie!

En riant nerveusement, j'arrêtais de jouer et me dirigeais vers ma petite table pour m'asseoir et, après avoir réarrangé mes longs cheveux noirs pour la énième fois, je pris mon fard à paupières et commençais à l'appliquer légèrement. Où plutôt, j'essayais. Je dus m'arrêter deux fois et me donner une minute pour que mes mains cessent de trembler. J'étais terriblement nerveuse.

Après y avoir pensé, en avoir rêvé, l'avoir méticuleusement préparé, et bien sûr m'être masturbée dessus pendant des mois, j'allais enfin me lancer. Ce soir serait le grand soir, la nuit où j'allais me jeter à l'eau et faire l'amour pour la première fois à Greg. Je suppose que toutes les filles sont nerveuses quand elles se préparent à un rendez-vous, mais pour ma défense, je pense que je l'étais peut-être un peu plus parce que Greg me plaisait vraiment énormément.

Alors que je posais le tube, je soufflais un baiser en direction du miroir pour voir à quoi ressemblaient mes lèvres et je me demandais ce qu'il penserait quand il verrait mon maquillage. Honnêtement, je soupçonnais que la petite robe et mes jolis seins attireraient son attention un peu plus que mon fard à paupières. En rangeant mon rouge à lèvres, je sentis mon cœur battre plus vite alors que je m'imaginais descendre et, après m'être assise à côté de Greg sur le canapé, essayer de l'intéresser, peut-être même lui donner envie de faire le premier pas. Sinon, je devrais le séduire. Je n'avais pas vraiment d'expérience avec ça mais les filles m'avaient toujours dit qu'aucun garçon ne pouvait me résister quand je faisais la moue. Eh bien, nous verrons ce qu'il pensera de mes lèvres quand elles seront resserrées autour de sa...