Billy Boy

BÊTA PUBLIQUE

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June se releva, entraînant la bouteille dans son mouvement. On distingua alors un pop sonore lorsque Reggie la lui retira.

Il dressa la bouteille, l'alignant sur son anus, et elle s'accroupit de nouveau, elle l'absorba le col entièrement, il appuya sur ses épaules, la bouteille s'enfonça encore dans son boyau, lui évasant exagérément le goulot, elle poussait des cris aigus. Eclatant de rire Il la laissa se relever.

- "Mon gars tu disposes maintenant d'une vraie salope, tu peux lui enfoncer ce que tu veux dans la chatte et le cul, elle accepte tout .....n'importe quand ... N'importe comment ....."

La scène prit fin, et la séance de baise reprit, je notais qu'il y avait trois nouveaux noirs, ils virent vers elle, ils semblaient frais, et très vicieux.

Ils la prirent un à la fois, puis deux et enfin tous les trois ensembles.

Cela dura environ une heure, puis une nouvelle équipe les relaya, ils étaient quatre cette fois.

Longtemps après, la lubricité des participants apaisée, la caméra s'attarda sur June étalée sur le lit, cuisses grandes écartées, du foutre s'écoulant de sa chatte gonflée.

- "Hey Billy, t'aimerais bien qu'elle nettoie tout ce foutre .... Sa petite chatte à servi de garages à bite à bien des queues noires cette nuit ... Ils se sont tous vidés les couilles dans son utérus ....Bon, c'est d'accord les gars, vous pouvez encore en profiter si vous en avez envie ......"

La cassette était finie, elle se rembobina.

Je la visionnais pour la troisième fois, j'étais honteux de sentir mon excitation monter en regardant la dégradation de ma femme.

Une chose me semblait flagrante, June avait largement apprécié ce qu'elle avait subi, tout au moins la plus grande partie, elle recommencerait rapidement à allumer les hommes!

June rentra à l'hôtel à trois heures du matin, je l'entendis frapper timidement à la porte, j'ouvris la porte et me trouva confrontée à une jeune femme crottée, sale, souillée, ne portant rien d'autre qu'un chiffon drapé sur ses hanches. Sa belle chevelure rousse était toute poisseuse, engluée de foutre sec et plus frais. Elle était couverte de foutre de la tête aux pieds.

Je lui tendis la main, mais elle hurla :

- - "Non ... Pas avant que je prenne une longue douche .....Pendant ce temps tu vas faire nos valises qu'on quitte ce putain de trou à rats au plus vite .....Je veux rentrer à la maison ...."

Il me semblait que June, ma jeune femme si policée avait acquis un langage cru et populaire que je ne lui connaissais pas, je m'attendais à ce que beaucoup de choses aient changé en elle.

Notre malheureux voyage de noce n'avait duré que trois semaines, nous n'en parlions plus.

Je voulus aborder le problème une paire de semaines plus tard, mais June se refusa à en parler, aussi ai-je cessé de lui proposer de voir un psychiatre, elle ne consentit qu'à faire des tests sanguins.

Apparemment ils ne lui avaient transmis ni maladies sexuelles ni SIDA, et à part quelques contusions, quelques muscles froissés ou élargis, elle s'en tirait bien.

J'avais l'impression que faire l'amour la dégoûtait aussi pris-je la décision d'attendre son bon vouloir, attendre le moment où elle penserait avoir suffisamment récupéré.

June travaillait au domicile, elle travaillait sur des programmes informatiques, elle reprit son travail, mais sans beaucoup d'enthousiasme, il semblait qu'elle le faisait uniquement parce qu'elle devait le faire, je n'utiliserai pas le terme de zombie, bien que son comportement s'en approcha.

En tout cas, elle se montrait particulièrement gentille avec moi, elle était très plaisante, elle recommença à m'embrasser, mais on ne se roulait plus de pelles lascives avec la langue.

Elle avait limité ses contacts avec ses amies, même avec sa meilleure amie, la gentille Tammy MacCall.

Tammy me demanda ce qui n'allait pas, mais je ne lui répondis pas, ce n'était pas à moi de lui dire quoi que ce soit.

Chaque jour j'espérais que tout redeviendrait normal, et chaque jour j'étais désappointé.

Une nuit, alors que June s'était couchée, je mettais une des cassettes dans le magnétoscope et je m'asseyais dans le noir pour la regarder. C'était la second bande, je passais les images au ralenti, je voulais voir le moment où ils l'avaient frappée avec la spatule en bois, je n'avais pas mis de son, mais je l'avais assez regardée pour avoir la bande son en tête, les claquements bruyants de la spatule heurtant son clito, et les couinements, les plaintes de ma femme.

En passant la bande au ralenti, je distinguai clairement sa vulve enfler sous les coups, je me branlais lentement en regardant les grosses bites violer tous ses orifices.

- "Tu te comportes comme un fils de pute! ..." dit la voix de June dans mon dos.

Humilié, je rangeais ma bite dans mon caleçon, elle contourna le sofa etr s'assit à mes cotés.

- "Je pensais que tu avais détruit ces cassettes? .."

Cette question déguisée m'embarrassait fort, effectivement je lui avais dit que j'allais les détruire, et j'en avais vraiment l'intention, mais au moment crucial, je n'avais pas pu le faire.

Lorsque j'avais reçu ces cassettes, je n'acceptais pas la fatalité et je voulais ne jamais oublier ce que j'avais vu, ce qu'elle avait subi.

Au moins j'avais essayé de les détruire, mais je savais maintenant que les avoir conservée changeait tout.

La cassette se terminait.

- "Les as-tu toutes prises avec toi? ...." je hochai la tête, incapable d'émettre un son.

- "Je ne me rappelle plus clairement leur contenu! ...Peux tu me les repasser?...."

Je me relevais et substituait la troisième cassette à celle terminée. Je ne savais pas si c'était bien ou mal, mais je ne voyais pas d'échappatoire. Peut-être que ce serait une bonne thérapie, peut-être que cela l'aiderait à récupérer.

June regarda la cassette très calmement, silencieusement, puis soudain, elle se mit à nommer les acteurs.

- "Celui là, c'est Charles "murmura-t-elle identifiant un noir qui la prenait en levrette. Elle citait leurs noms alors qu'ils la baisaient jusqu'à l'os : Travis, Jack, George, Thomas, Clinton et bien sûr Reggie. Elle ne connaissait pas le nom des derniers venus.

Apparemment, Travis était un sinistre bâtard sadique, c'était lui qui lui avait étiré si douloureusement les tétons, c'était aussi lui qui lui avait asséné des coups de spatule sur le clito.

- "Travis a été le premier à m'enculer " me dit-elle calmement, sans même hausser le ton, elle retrouvait le langage coloré qu'elle employait juste après son viol.

- "Au moins il avait consenti à me lubrifier l'anus avant de me casser le cul! ..."

Nous la regardâmes se faire prendre en sandwich par deux hommes, puis embrochée par ses trois trous, et toute les vicieuses combinaisons qu'ils avaient inventées à son intention.

Je regardais fixement June, cherchant à déterminer l'impact de ces images qui pouvaient la perturber gravement. Elle restait très calme, même sereine.

- "Bandes-tu?" me demanda-t-elle soudain.

Je ne savais pas très bien comment répondre à sa question, aussi hochai-je la tête de bas en haut.

- "Cela t'excites donc de me voir baisée par ces salauds de nègres! ..."

Honteux, Je hochais à nouveau la tête. Ma réponse muette ne sembla pas la perturber outre mesure.

- "Alors viens coucher, et montre moi à quel point t'es excité!....."

Nous nous ruâmes dans le lit, les préliminaires étaient inutiles, nous avions tellement envie de baiser!

Je l'avais à peine pénétrée que déjà June jouissait, elle rebondit d'orgasme en orgasme avant que je ne me vide en elle. Je n'avais jamais femme aussi chaude que June, je pensais que cela allait prendre la nuit pour apaiser sa lubricité. Heureusement je bandais à nouveau, nous avons baisé comme des bêtes.

Puis pour la dernière fois, nous avons vraiment fait l'amour, doucement, tendrement, nous nous endormîmes enlacés dans les bras de l'autre. Je savais maintenant que les choses se régularisaient entre June et moi.

Je savais cependant que je tuerai avec joie ce salaud qui m'avait 'appelé Billy, mon p'tit gars....

*

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avec l'aimable autorisation de

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