Benoît, Bassim et Cassie

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Cassie est forcée à servir de remboursement. Forcée ?
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« Mais c'est pas vrai! T'es encore affalé dans le canapé comme un malheureux!! »

Cassie est déjà prête pour se mettre au lit, ses fines jambes légèrement musclée et couvertes de minuscules tâches de rousseurs s'exhibent fièrement sous le t-shirt à peine assez long qui lui sert de chemise de nuit. Elle s'assied, langoureuse, près de Benoît. Les tétons de ses petits seins se pressant vigoureusement contre son bras.

« Ça fait au moins trois semaines que ça dure! Je ne sais pas ce qui t'arrive, tu ne me dit rien ». Elle glisse rapidement sa main sous son short pour y trouver un pénis flasque.

« Et en plus tu ne me baises plus. On dirait que t'as plus envie. J'te plais plus, c'est ça?

— Mais non, ça n'a rien à voir, lui répond-il

— Bah on dirait pourtant! Sérieusement, j'en peux plus moi. Je suis excitée et frustrée tous les soirs. A tel point que je serais prête à te laisser me dépuceler le cul si ça pouvait t'aider. »

Mais la provocation de Cassie tombe à plat. Benoît fait une moue désespérée, comme si c'était au-dessus de ses forces et dit :

« C'est le boulot Cass', ça ne se passe pas du tout comme prévu et je suis très inquiet.

— Mais on va s'en sortir, je sais que t'as pas eu le contrat que t'espérais mais on n'est pas à la rue. Il ne faut pas sombrer au moindre souci.

— C'est plus grave que ça.

— Quoi? Tu vas être viré?

— Non mais le fait de rater ce contrat ça m'a aussi bloqué la promotion que je visais.

— Ce sera une prochaine fois, on a réussi sans cette promo jusque-là, on peut attendre.

— BAH NON, crie-t-il soudain, on ne peut pas attendre justement! Putain, je vais être obligé de te le dire.

— Quoi??

— J'ai fait une GROSSE connerie. Tu te rappelles, il y a six mois, lorsqu'on a emménagé ici?

— J'm'en rappelle même super bien : on débutait, l'appart' était super, t'avais acheté tout l'équipement pour la cuisine et des super meubles. J'étais tellement folle de ça qu'on baisait tout le temps et partout. Enfin, dans la mesure de tes capacités ...

— Oui bah justement. J'avais trop envie de t'impressionner et je savais que c'était pas avec ma queue que j'allais le faire. Alors l'aménagement de l'appart' et tous ces trucs bah il a fallu les payer. Et honnêtement j'avais pas tout ce pognon.

— Ah bon? Mais cette histoire de fric que tes parents avaient mis de côté pendant toute ta jeunesse ...

— ... c'était des conneries.

— Mais alors? Tu l'as trouvé où, l'argent?

— J'l'ai emprunté à un gars qui n'était pas trop regardant au niveau de mes revenus.

— Mais comment comptais-tu rembourser? »

L'inquiétude de Cassie commence à monter. Elle se redresse sur le canapé, ramène ses jambes contre elle et les entoure de ses bras. Elle pose son menton sur ses genoux et plisse ses yeux verts d'eau dans la crainte de la suite.

« L'idée c'était ce fameux contrat et la promotion qui devait aller avec. Quand j'ai vu que c'était foutu, je suis allé voir le gars pour lui expliquer le problème. Il s'est montré beaucoup moins compréhensif et m'a donné trois semaines pour régler mes dettes.

— Et si tu ne peux pas?

— Je ne sais pas. Je n'ai pas osé poser la question. Mais ce n'est pas un marrant. J'ai vraiment la trouille. »

Après cet échange le silence retomba. Benoît se sentait à la fois piteux et soulagé d'avoir vidé son sac. Cassie était furieuse mais ses semaines d'abstinence muaient sa colère en plaisir malsain à voir son "homme" craindre, en plus des représailles, sa propre réaction. Plutôt que de le réconforter, elle se lève, se met face à lui. Ses yeux jettent des éclairs et elle lui crie :

« T'es vraiment nul! Mais quel con! On pouvait se contenter de ce qu'on avait, mais non! Môssieur doit compenser sa petite bite avec d'autres moyens qu'il ne possède pas non plus. Et finalement, t'as pas de couilles non plus on dirait. Même pas capable de s'imposer et de ne pas se laisser marcher sur les pieds.

— Enfin, tu ne connais pas Bassim!

— Non mais j'en connais les effets! J'me tapais déjà sans doute la plus petite queue de la ville. Maintenant elle est toujours molle et si le Bassim en question te démoli j'aurais plus rien du tout! »

Benoît s'enfonce dans le canapé, il n'ose même pas lever la tête. Il n'aperçoit pas l'air narquois qui apparaît sur le visage encadré de mèches rousses de Cassie. Mais il ne devine pas non plus les picotements internes et la lubrification débutante qui parcourent son vagin. Elle-même ne comprend pas cet état de fureur mêlé à ce plaisir de domination. Ou serait-ce d'humiliation? C'est vrai qu'elle a toujours apprécié le mettre un peu mal à l'aise en se moquant de sa "taille". Mais elle n'avait encore jamais pensé qu'en allant plus loin, le plaisir augmenterait. Ce jeu est dangereux car les promesses de ces nouvelles sensations donnent envie de pousser encore son avantage. Il est déjà 23h mais elle n'a plus du tout envie d'aller se coucher.

Leurs pensées respectives sont soudain interrompues par des coups sourds à la porte. L'ambiance devient glaciale. Benoît est livide et Cassie beaucoup moins sûre d'elle tout à coup. A cette heure-là, quelqu'un ne déniant même pas se servir de la sonnette. Ils pensent tous les deux qu'il s'agit de Bassim. Aucun ne bouge. Cassie fini par dire sèchement : « Il faut que tu assumes maintenant, lève-toi et vas ouvrir! »

Benoît se dresse, tremblant. Il semble flotter dans son short et son t-shirt mal ajusté. Il se dirige vers la porte, la déverrouille et celle-ci s'ouvre violemment d'un coup, manquant de le flanquer par terre. Cassie se réfugie dans un coin de la pièce et tente de se faire discrète.

Apparaît alors dans l'embrasure, un noir impressionnant. Il doit approcher d'1 m 90 - en tout cas Benoît lui arrive péniblement à l'épaule. Il est presque aussi large que la porte. Il semble fort comme un taureau. Ses bras sont de la taille des cuisses de Cassie mais d'un noir mat. Il a le poitrail large et un ventre imposant mais ferme. Le t-shirt dans lequel il est moulé semble sur le point de craquer. Il porte un vieux jean à boutons, sans ceinture.

A peine entré, il regarde furieusement Benoît et dit d'une voix d'un grave profond : « C'est jour de paye. File-moi mon fric. »

Benoît s'est reculé. Après avoir mis trente seconde à reprendre ses esprits il murmure, à la limite du bégaiement :

« T-tu veux t'asseoir? Et boire un coup?

— NON! J'veux mon fric.

— Écoute Bassim, tu sais que ...

— C'est qui ça? dit-il en apercevant Cassie, debout, tirant maladroitement sur ce satané "t-shirt de nuit"

— C'est Cassie, ma copine.

— J'savais pas que t'avais une copine. Bon mon fric? » répète-t-il en détaillant d'un coup d'œil obscène la petite rouquine qu'on lui avait cachée.

Cassie se sent presque à poil sous ce regard pénétrant. Ses jambes sont visibles jusqu'en haut des cuisses. Un tout petit peu plus haut sa culotte de dentelle est à peine cachée par le t-shirt. Et plus elle tire dessus pour la cacher, plus il lui moule les seins dont l'excitation n'est pas encore retombée et qui transparaissent tels deux piques prêtes à jaillir.

« J'suis désolé Bassim. J'ai fait tout ce que j'ai pu mais je l'ai pas ton fric. »

Bassim fait un pas dans l'appartement, referme la porte derrière lui et dit en le toisant :

« On fait quoi alors? Moi j'peux plus t'accorder de délai. J'vais être obligé de te casser de tous les côtés.

— Attend! répond Benoît terrifié, on peut surement s'arranger. Regarde, j'peux te filer l'écran mortel que je me suis acheté. Et puis y'a aussi le canapé si tu veux. Soit tu le prends directement soit je le revends. Qu'est-ce que t'en dis?

— J'en ai rien à foutre de tes merdes. J'veux mon pognon.

— Mais j'l'ai pas. Qu'est-ce que je pourrais te donner pour que tu m'laisses encore du temps?

— Ta meuf. Elle a l'air bonne. Et ça m'donne envie d'la baiser. »

Et l'atmosphère se chargea d'électricité. Ces paroles ont été prononcées calmement, d'une voix profonde. De la voix d'un homme auquel on ne refuse rien. Cassie ressentie autant les vibrations produites par ces cordes vocales lui parcourir le corps que le sens des mots. Son cœur s'accélère, elle est pétrifiée. Elle se voit déjà malmenée, peut-être violée par cette force de la nature. Et pourtant, sa culotte se mouille rapidement. Elle redoute le moment où tout le monde pourra voir la première goutte lui couler à l'intérieur d'une jambe. Benoît en hoquette d'incrédulité. On sent le tiraillement intérieur. Une porte de secours vient de s'ouvrir mais il faudrait qu'il sacrifie Cassie. Il ne sait pas quoi dire. Il tourne la tête vers elle d'un air à la fois penaud et interrogateur. Cassie n'en revient pas :

« Quoi? Tu n'essayes même pas de protester? Le premier mec qui rentre et qui veut me baiser, toi ça te va? T'as plus peur pour ta gueule que pour mon cul c'est ça?

— Mais non Cass'! J'veux avoir ton avis. C'est un moyen de s'en sortir mais si tu veux pas on va trouver autre chose.

— Tu t'fous d'ma gueule? Un moyen de s'en sortir? De T'en sortir plutôt.

— Pas d'autre arrangement. Soit je la baise soit j't'explose tout de suite.

— C'est bon connard, dit Cassie à Benoît, j'vais le faire. C'est toi qui déconne mais c'est moi qui dois assumer. Je te préviens tu vas m'être terriblement redevable pour ça.

— Je suis désolé Cassie. Je ferais tout ce que tu veux.

— Bon on arrête de parler maintenant, j'ai un p'tit cul de blanche à me faire moi.

— Y'a une condition Bassim dit Cassie.

— Quoi encore?

— Benoît reste là et regarde dit-elle en fixant Benoît dans les yeux avec regard pervers.

— OK » dit Bassim en déboutonnant son jean, maintenant au boulot.

Cassie s'approche nonchalamment de lui sans lâcher Benoît du regard. Celui-ci ne sait plus où se mettre. Il la regarde, si belle, si fine, se diriger vers la masse inquiétante de Bassim qui a déjà retiré son pantalon sous lequel son caleçon semble bien rempli. Cass' est au comble de l'excitation, le frottement de ses cuisses lorsqu'elle marche la fait frissonner. Elle s'agenouille devant Bassim et sans plus de cérémonie, attrape sa queue au travers du caleçon. Elle sent une grosse bite, pas encore dure, qui lui remplit complètement la main, elle la masse vigoureusement, lui caresse les couilles puis enlève ce caleçon encombrant. Elle découvre alors une queue encore au repos plus grosse que celle de Benoît en érection. Elle est d'un noir ébène jusqu'au gland. Elle lui attrape à la base, elle arrive à peine à fermer sa main dessus, et elle commence à lécher avidement la moitié de la bite encore pendante qui dépasse. Sa langue insiste sur le frein, l'odeur de musc de cette queue envahi ses narines. Elle la prend alors dans sa bouche mais peine à engloutir plus que l'énorme gland. Les petits mouvements de va-et-vient qu'elle exécute sur sa queue, associés aux coups de langue et à la succion commencent à produire leurs effets. La bite de Bassim durcie, se gonfle. La main de Cassie ne suffit plus à en faire le tour et elle sent sa bouche se remplir dangereusement à se demander si elle va encore pouvoir respirer. Elle salive un maximum, elle ne peut plus bouger la langue mais en respirant par le nez elle peut encore faire glisser sa queue presque jusqu'au fond de sa gorge. L'excitation est terrible, elle n'en revient pas de sucer une telle bite. Il faut qu'elle la voit! Elle recule la tête pour admirer ce gros serpent noir, pas loin de la vingtaine de centimètre probablement mais surtout d'une épaisseur ahurissante. Elle dit à Benoît :

« Wow! T'as vu cette bite? Approche-toi.

— Non c'est bon, lui répond-il penaud, je l'ai vue.

— Je m'en doute, vue la taille, que tu l'as vue. Je t'ai demandé de te rapprocher. Avec ce que je fais pour toi, t'as plutôt intérêt à être coopératif. »

Benoît s'exécute et, une fois à proximité, Cassie lui dit :

« Baisse ton froc, j'veux pouvoir comparer.

— Cassie, s'te plait ...

—BAISSE TON FROC! » hurle-t-elle en tirant sans ménagement sur le short de Benoît.

Le short et le caleçon au niveau des genoux, Benoît est obligé d'exhiber un pénis pâle et recroquevillé de cinq centimètres surmontant des couilles ratatinées. Bassim, le sourire aux lèvres, laisse échapper un "Oh!" de surprise tandis que Cassie s'esclaffe : « Même en bandant tu n'aurais pas tes chances, mais là c'est carrément ridicule ». Benoît s'apprête à remonter son short quand Cassie le lui interdit : « C'est hors de question, je veux que tu me regardes me faire baiser avec la bite à l'air. » Elle chope alors Bassim par les couilles, se fourre sa bite dans la bouche et recommence à le pomper goulûment. De sa main libre, elle écarte sa culotte et commence à se frotter frénétiquement le clito. Sa chatte est déjà toute trempée, ses doigts s'enfoncent dedans sans effort, lui arrachant des hoquets étouffés de plaisirs. Désormais, Bassim a pris le relais : il lui baise littéralement la bouche, sa grosse queue allant et venant. Parfois son gland va un peu loin, le fond du gosier, Cassie manque de s'étouffer mais elle s'abandonne à son bon vouloir. On entend un grondement sourd s'échapper du poitrail du grand noir.

Soudain, il retire sa bite, relève Cassie, lui enlève son "t-shirt de nuit" découvrant ainsi de petits seins tout fermes, pointes tendues, aréoles durcies par l'excitation et le tout moucheté de taches de rousseur. Ses mains rêches parcourent en râpant, ce corps doux et délicats. L'une s'arrêtant sur un téton pour le pincer sans ménagement tandis que l'autre s'aventure, intrusive, dans la moiteur rouge de son entrejambe.

« Apparemment t'es prête » lui dit-il de sa voix de basse. Il soulève Cassie en la tenant à la fois sous les aisselles avec un bras et par deux doigts plongés dans sa chatte. Elle pousse un cri de surprise, puis il la dépose, le cul au bord du plan de travail de la cuisine. Cassie se retrouve semi-allongée, en appui sur les coudes avec la tête penchée vers l'avant à cause du meuble haut de la cuisine (payé par Benoît avec l'argent de Bassim).

Bassim saisi sa queue et la dirige vers le con de Cassie. Son énorme gourdin est tendu au maximum, il le positionne à l'entrée du vagin et se fraie un passage en un seul coup. Cassie sent sa chatte se dilater, elle en a le souffle coupé. Elle se sent pleine et n'a même pas le temps de jeter un œil à Benoît que Bassim commence un pilonnage intense. Sa bite est en mouvement perpétuel, elle remplit tout l'espace, Cassie peut en sentir toutes les nervures et même le sang qui la fait palpiter. A chaque poussée, elle peine à respirer. Le rythme s'accélère et elle halète comme un petit chien. Elle s'abandonne complètement aux coups de boutoirs, rapides, violents, dévastateurs. Elle remarque à peine que Bassim lui fait sucer ses doigts et que de son autre main, il lui malmène alternativement le clitoris et les tétons. Des vagues de plaisirs déferlent sur elles, puis elle explose dans un orgasme puissant. Son vagin se contracte pendant plusieurs secondes autours du membre noir, sa tête bascule en arrière et se heurte au meuble. Elle est au bord de l'évanouissement. Son corps est parcouru de soubresauts, elle tente de reprendre le contrôle mais Bassim continue inlassablement à la labourer. Elle n'a plus la force de de sucer les doigts de Bassim, elle lui laisse la bouche ouverte, la salive lui dégouline sur le menton. Tel un métronome, Bassim lui martèle le fond du con. Et elle jouit. Elle jouit en permanence, elle hurle de plaisir. Elle passe du râle bas d'abandon total au plaisir aux hurlements aigus des orgasmes.

Puis Bassim se retire, la laissant chancelante.

« T'aime ça ma petite salope on dirait? lui dit-il. Mais je crois que j'ai bien bossé, on va changer un peu. Descend de là et mets-toi à quatre pattes par terre. »

Cassie obéit docilement, elle a les jambes qui tremblent mais cet intermède lui permet de reprendre ses esprits. Elle aperçoit alors Benoît qui la regarde. Il tient sa queue dans la main et se branle.

« Ça t'excite Benoît? Tu me vois me faire troncher par un autre et ça te fait bander? Enfin bander, on se comprend! Je t'interdis de te branler alors que je me fais baiser par un autre à cause de toit petite bite. Enlève tes mains de là, mets les derrière ton dos.

— ça va Cassie n'exagère pas...

— Ah mais je n'exagère pas. Si tu retouches une seule fois ta queue, j'arrête de baiser et je te laisse régler tes comptes avec Bassim tout seul. Maintenant viens te mettre debout devant moi que je te surveille. »

Benoît, soumis, se déplace pathétiquement, le caleçon au niveau des genoux, les mains derrière le dos et sa queue dressée, gorgée de sang, luisante au bout.

Cassie se mets à quatre pattes et, tout le fixant, passe sa main entre ses jambes pour aller attraper le monstre de Bassim qui l'attend derrière et se le fourrer dans la chatte. Elle pousse un soupir d'extase en retrouvant cette sensation de plénitude. Elle attend les coups de reins mais Bassim lui indique en posant ses énormes mains dans le creux de son dos que s'est son tour d'être active. Elle s'empale donc consciencieusement, régulièrement sur le manche qui l'écartèle. Le plaisir et la transe qui l'amène la pousse à accélérer le rythme. Elle ne s'entend pas hurler, elle ne se rend pas compte de que son corps se déchaîne et cogne à tout rompre sur Bassim qui grogne de plaisir. Les vagues d'orgasmes se succèdent, la secouant dans tous les sens faisant ballotter ses seins qui pendent comme des mamelles folles pendant qu'elle se jette avec fureur sur ce pieu qui la ravage. Elle crie à l'attention de Benoît : « CA C'EST UNE BITE, PUTAIN! »

Soudain Bassim la saisie fermement par les hanches et la bloque contre lui. Son sexe se gonfle en elle et est saisi de gros spasmes. Elle sent son sperme jaillir et gicler dans son vagin. Il expire bruyamment de satisfaction, puis s'affale quelques secondes sur elle. Son énorme masse l'écrasant complètement. Il se retire dans un bruit de succion éloquent, l'attrape par les cheveux pour la mettre à genoux, se place devant elle et lui fourre sa queue dégoulinante dans la bouche. « Nettoie-moi, je dois y aller.»

Obéissante et désorientée, Cassie suce avec application cette bite aux goûts mêlés de sperme épicé et de sa propre chatte. Elle jette un œil à Benoît. Il a complètement débandé, il semble mal à l'aise. Un dernier coup de langue et Bassim se rhabille.

« Ok, dit-il, à demain alors!

— C-comment ça "à demain"? demande Benoît. Tu m'avais promis un délai en échange. Tu ne me laisses que 24 h? T-tu dois me laisser plus.

— Je te laisse autant de temps que tu voudras, t'inquiète. Toi tu prends ton temps, moi j'prends ta meuf. A demain. »

Et il s'en va en claquant la porte.

Cassie, restée à genoux, se rend compte qu'elle dégouline sur le sol. Elle se lève et dit : « Je vais me doucher et me coucher, je te laisse nettoyer tout ça. »

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Anonymous
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3 Commentaires
Plaisirs54Plaisirs54il y a 11 mois

Belle ambiance, entretenue par un écrit sympa, où la « victime » semble ne pas être celle que l’on croit...

AnonymousAnonymeil y a presque 3 ans

Oui une suite j'espère - Aurailiens

AnonymousAnonymeil y a presque 3 ans

Vivement une suite !

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