Beau-Fils, Ou Beau-Fils?

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Ma femme ne peut pas choisir entre ses deux beaux-fils.
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En anglais, on différencie les deux. Mais en français, ils se valent... Le gendre est l'époux de la fille, le beau-fils est le fils d'un premier mariage du mari. Ce dernier parle donc de la deuxième femme de son père comme de sa "marâtre". Les relations entre eux sont souvent cordiales, mais elles peuvent très vite devenir froides, voire hostiles.

Lorsque je me suis remarié, mon fils avait 10 ans. J'avais engrossé sa mère alors qu'elle avait à peine 18 ans, et très vite je me suis aperçu qu'il avait un taux de testostérone au-dessus de la moyenne. À l'âge où les autres garçons jouaient encore aux billes (il n'y avait pas encore de jeux vidéo), lui regardait sa propre maman avec des yeux gourmands. Il faut dire que cette salope se promenait volontiers à poil dans la maison, et son 95 D attirait tous les regards, surtout celui de son propre fils. Sans doute devait-il se souvenir de l'époque où il tétait ses deux bidons de lait en les pelotant.

Après avoir eu la certitude que j'étais cocu, et je n'aimais pas ça à l'époque, nous avons divorcé lorsque Stéphane avait 5 ans. Lorsqu'il a eu 12 ans, nous avons, ma deuxième épouse et moi, décidé de le prendre chez nous car sa mère passait son temps à se faire sauter par tout ce qui se présentait. Il a donc habité avec nous pendant 6 ans avant de prendre son envol. Entretemps, sa (demi) sœur était née et elle a elle-aussi grandi. Lorsqu'elle fut en âge de se marier, elle le fit avec un garçon qui a très vite conquis toute la famille grâce à son charme mais aussi son intelligence et sa culture.

Les années ont passé. Mon fils a maintenant 40 ans et mon gendre en a 30. Ma deuxième épouse, elle, en a 55 mais en paraît physiquement 10 de moins. Quand je l'ai connue, celle qui allait devenir ma femme a résisté pendant des mois avant de céder à mes avances plus que pressantes. Nous étions jeunes tous les deux, et ma testostérone se heurtait à sa pruderie.

La première fois, c'était un 7 août, jour anniversaire d'Hiroshima. Lorsque j'ai ouvert les vannes, c'est un champignon atomique qui a défoncé le col de son utérus. À partir de ce jour-là, je l'ai grimpée trois fois par jour en moyenne. Partout, tout le temps, dans toutes les positions. En quelques mois, elle est devenue un vrai sac à bites, pour moi mais aussi pour un nombre incalculable d'autres.

Je me suis en effet très vite aperçu que celle que je chéris le plus au monde avait un appétit inextinguible pour les hommes, quel que soit leur âge. Devant mon impuissance à assouvir cette faim dévorante, nous avons convenu que je serai présent lors de chacune des "séances" au cours desquelles elle met son corps, tout son corps, au service du plaisir de celui ou ceux qui ont la chance de l'utiliser. J'ai donc cessé de compter le nombre de ses inséminateurs lorsque celui-ci a dû s'écrire avec trois chiffres.

J'ai dû aussi me résoudre à me rendre compte qu'elle ne laissait pas mon fils indifférent le jour où j'ai trouvé dans la chambre de celui-ci un string de mon épouse chérie, bien lourd et collant. Ce n'était pas à cause de sécrétions féminines, mais bien du sperme, séché ou frais, qui l'engluait. J'eus alors une conversation avec lui, sitôt après qu'il fut rentré du lycée : "Je crois comprendre que tu te branles dans les culottes de ma femme", commencé-je. "Évidemment, puisque je ne peux pas me branler dans sa chatte", me répondit-il. Devant mon air ébahi, il poursuivit : "Tu préfèrerais que je la saute, ta femme?"

Je quittai sa chambre sans répondre, puis une fois seul je réfléchis à sa question. Après tout, pourquoi ne pas arranger une rencontre sexuelle entre eux? Ils n'ont aucun lien de parenté, alors qui pourrait s'en offusquer? Et puis, connaissant mon épouse, ça valait le coup d'essayer.

La rencontre dont je rêvais est arrivée sans que je n'y sois pour rien. De plus, même dans mes fantasmes les plus illégaux, je n'aurais pu mettre sur pied le scénario qui s'est offert à mes yeux quelques semaines plus tard. J'étais parti le matin pour aller couper du bois dans le terrain que nous avions acheté pour y passer des moments agréables à l'abri des regards. Je rentrai vers 16 heures, épuisé, en sueur, et avec l'envie de prendre une douche et de me reposer avant le repas du soir. Je fus un peu surpris de trouver devant la maison les voitures de mon fils et de mon gendre. Ils n'avaient pas l'habitude de nous rendre visite simultanément car ils ne s'entendaient pas très bien entre eux. En effet, si mon fils plaisantait volontiers sur n'importe quel sujet, mon gendre était très, trop peut-être, sérieux et ne comprenait pas ce besoin de rire de tout.

Après avoir rangé la remorque pleine de bois dans le hangar derrière la maison, je revenais vers l'entrée et passai donc sous notre chambre. En cette saison, la fenêtre était ouverte et j'ai entendu mon épouse appeler mon fils : "Stéphane, viens, viens, viens,..." Je bondis alors jusqu'à l'entrée, pensant qu'elle s'était fait mal dans sa chambre ou était victime d'un malaise. Il ne me fallut que quelques secondes pour être devant la porte de la chambre, qui était grande ouverte. Je marquai un temps d'arrêt, puis me dissimulai de côté tout en conservant un angle de vue suffisant sur l'intérieur de notre chambre.

Des chaussettes, des slips, des pantalons d'homme étaient dispersés au sol, et le lit était encombré par trois corps nus incroyablement entremêlés. Je reconnus d'abord le dos de mon gendre, puis ce que vis sous ses fesses provoqua un haut-le-cœur dans mon abdomen. Les couilles de mon gendre et de mon fils se bousculaient à l'entrée de ce que je reconnus comme étant le vagin et l'anus de ma petite épouse chérie, qui se trouvait à califourchon sur mon fils. Mon gendre était derrière elle, les genoux de part et d'autre des fesses de celle qui partageait ma vie. Chacun des deux mâles poussait des rugissements tout en ravageant la matrice et le gros intestin de celle que j'entendais hurler : "Défoncez-moi, déchirez mes intestins, vous bandez mou, espèces d'impuissants!"

Bien entendu, ces insultes atteignaient leur but et les deux fumiers tapaient de plus en plus fort dans les orifices de ce que je dus bien voir comme un sac à bites. Je voyais les quatre couilles se contracter de plus en plus, jusqu'au moment où les deux beau-fils ouvrirent les vannes en grand. Le tsunami de sperme que je devinai frappa alors le col de l'utérus et les parois du gros intestin de mon épouse, refluant de ses deux gouffres en jets modulés par les allers-retours qui continuaient. Ses jambes bloquées par quatre autres jambes furent secouées de tremblements, comme si elle voulait se dégager des deux taureaux qui la clouaient. Mais en réalité, elle en voulait encore : "Dépêchez-vous de recharger, j'en veux encore avant que le cocu n'arrive!"

Les deux salopards n'avaient pas besoins de ces encouragements : "T'inquiète, grosse pute, on va t'en foutre encore", dit mon gendre avec un ton que je ne lui connaissais pas. Sans même déconner ni déculer, ils rebandèrent au bout de quelques secondes et le carnage reprit de plus belle. J'avais sorti ma nouille de mon slip, et j'étais en train de me branler comme un bon cocu, lorsque mon fils, qui était sous le magma de viande en rut, m'aperçut. "Tiens, le vieux est là. Viens te faire sucer, au lieu de te branler! "

J'entrai alors dans la pièce et fis le tour du lit. Je vis alors le regard de ma femme : celui d'une chienne en chaleur. Je présentai à sa bouche mon gland violacé par le frottement de ma main, et elle l'engloutit sans hésiter, ce qu'elle n'avait jamais fait en trente ans de mariage! Je me surpris alors à l'insulter comme elle le méritait : "Suce, morue! " Elle réussit à sourire autour de ma queue. J'insistai alors " Sale pouffiasse, je vais te tapisser les amygdales. Ordure, sac à bites, vide-couilles!"

Ces compliments ont eu le don de décupler l'ardeur des deux hommes bourrés de testostérone. Emporté par la luxure qui remplissait la pièce, je me surpris à donner des ordres à mon épouse : "Mords-moi les couilles, salope, fais ton boulot, sale pute! " Elle m'obéit, et je sentis ses dents presser violemment mes glandes à travers la peau. Cette sensation me fit remettre ma bite dans sa bouche, juste à temps pour expulser la semence qui les emplissait. Le stock de plusieurs semaines lui remplit la bouche, descendant jusque dans son œsophage. "Avale, enculée", lui ordonné-je immédiatement. Elle déglutit, puis libéra mes gonades qu'elle pressait dans sa main droite avant de dire aux possesseurs des deux membres qui l'imprégnaient : "Finissez-moi, fumiers, ne me laissez pas comme ça.

Je reculai à côté du lit pour assister à l'hallali, tout en soupesant ses deux mamelles, taille 95C, que je découvris enspermées, ce qui avait sans doute été fait avant mon arrivée.

Depuis ce jour, nous avons renouvelé cette expérience chaque semaine depuis trois ans, en échangeant nos places plusieurs fois lors de chaque séance. Ma chérie ne peut plus s'en passer, et nos couilles le demandent autant qu'elle.

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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 25 jours

J’adore ces histoires bien hard et bien perverses qui te met la bite bien dur en fantasmant sur ma belle mère que je baiserai bien volontiers.

AurailiensAurailiensil y a 26 jours

Cru, salace et bien écrit ! J'aime bien

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